Que dire si ce n'est que la caverne des glaces est toujours aussi chiante mais a gagner en beauté, son wolfos blanc qui se fait os si on l'attaque par derrière (et là, j'en suis sûr, c'était pas le cas dans OOT64, c'est un mini-boss, merde!)
J'ai été très agréablement surpris par le temple de l'eau qui a été vraiment bien travaillé point de vue décor. Il y a néanmoins deux trucs qui nuisent à ce légendaire traumatisme zeldaique:
1) un interrupteur menant à une skulltulla n'est plus derrière la grille, où il fallait faire une attaque tournoyante pour l'ouvrir, mais juste posé devant...
2) effectivement, le fait de montrer directement le passage secret de la tour centrale casse tout dans le temple. Maintenant, il faudra vraiment le vouloir pour fouiller tout le temple une semaine pour trouver cette foutue clé manquante.
Niveau boss: Dark Link a été casualisé à fond: now on peut le battre à la loyale et il n'attaquera plus jamais lorsqu'il sautera sur votre épée. Pour preuve, durant tout le duel, il ne m'aura touché qu'une seule fois. D'ailleurs la salle où il se trouve est magnifique avant sa mise à mort: dommage qu'il ne reste plus aucune trace de cette beauté après.
Morpha par contre reste toujours une merde, aucun changement détecté depuis OOT64 :mad:
Ensuite vient ensuite la cinématique à Cocorico: elle était vraiment magnifique, les différents effets étaient super. :yeah:
Le puits était assez moche, y avait rien grand chose de vraiment notable, si ce n'est que le poigneur est bien modélisé et que je m'y retrouve pas dans ce donjon de merde :ash:
Vient le temple de l'ombre: son entrée a vraiment de la gueule. Pour le reste, rien de vraiment transcendant si ce n'est quelque passages cultes:
1) la salle aux crânes vraiment bien faite
2) le navire des âmes qui est vraiment magnifique
Vient enfin Bongo-Bongo: dieu qu'il était chaud à vaincre. Fin faut dire aussi que je tentais de l'avoir au grappin alors que c'est l'arc qui est efficace. Bref,il m'os avec sa charge et s'il m'attrape avec ses gros doigts boudinés (attaque que je me souviens pas avoir subi sur 64, rajout? :conf: )
Après ca, on enchaine avec la forteresse gerudo, joliment décorée intérieurement mais par contre, les boss là-bas sont super résistants à battre :conf: J'en ai chié pour les vaincre. Pour le reste peu de changement. Par contre, je râle contre les traducteurs de merde qui ont viré son accent arabe au vendeur de missile sur son tapis volant: son intérêt est tombé à zéro :mad:
Sinon le colosse du désert est juste magnifique, pont de vue extérieur et intérieur: l'architecture est vraiment fameuse. Par contre, je trouve les haches-viande assez statiques :conf: Mais je pense que c'était déjà comme ça sur 64. Nabooru est juste :

: et les sorcières fun. Par contre, le bruit du vent qui souffle, ca a pas changé depuis la version 64 et... c'est moche.
Pour le boss: aucun changement déclaré si ce n'est que le nom n'apparait qu'une seule fois en tant que Twinrova (exit donc Koume et Kotake puis Koutake). Maybe juste la fusion qui se remet plus vite de son ko, laissant moins de temps pour la frapper.
Vient enfin le grand final: le château de Ganon: premier point fort: le pont des sages est devenu magnifique

Premier point faible: les deux sentinelles à l'entrée tournent maintenant dans le même sens. En clair, l'une d'elle sert à rien :mad: Pour le reste, aucun changement détecté. Le centre de la tour par contre: cette pure ambiance, quoi
Niveau boss: Ganondorf est toujours aussi faible. Par conte, les horribles ralentissements quand il se prend une flèche dans la gueule: ca en devient injouable :mad: . Par contre sa transformation en Ganon est beaucoup moins impressionnante, la faute à une scène trop éclairée: sur 64, il faisait sombre, on ne voyait limite que ses yeux briller. La lumière durant la transformation est aussi moins voyante, rendant le truc encore moins impressionnant. Par contre, la difficulté du combat a été revue à la hausse: Ganon est beaucoup plus rapide que sur 64. Mais ça ne surprend qu'au début. Après avoir prit ses marques, on recommencera à le perfect, dommage.
