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Débat / Pourquoi les jeunes vont-ils si mal de nos jours ?
« le: jeudi 01 février 2018, 23:10:27 »
J'ajouterais que si ni le système (école) ni l'environnement social (famille/potes/...) ne sont disposés à apporter des réponses concernant ton mal-être, la solution peut venir d'ailleurs.
Une première piste est de faire un peu le tour des organismes, mouvements associatifs et initiatives solidaires qui se dédient à apporter une réponse à ce type de problèmes. Google en référence beaucoup avec de simples mots-clés, et après un premier tri, on peut commencer à en contacter quelques-uns, notamment s'ils sont proches localement.
- Plusieurs associations sont agréées par l'Education Nationale pour remplacer en partie jusqu'à compléter les programmes d'enseignement. C'est une approche qui peut avoir l'avantage d'offrir un programme, ou au moins une organisation de travail plus ciblée et adaptée à l'élève. En plus d'apporter un soutien spécifique aux situations de phobie scolaire ?
- Dans un autre style, il y a énormément d'associations solidaires qui s'orientent sur la réussite des jeunes et le lien social. Ça peut être l'occasion d'y rencontrer un futur parrain, et tas d'autres gens, prêts à soutenir le concerné en lui apportant conseil, appui technique dans ses objectifs, soutien moral voire financier.
- Pour rebondir sur ce qu'a dit Yuan, l'école, et par conséquent le bac, est un système qui ne convient pas à tout le monde. Ce n'est pas une fatalité de ne pas s'y intégrer. Le mieux est encore d'étudier ce qu'on met déjà en place pour répondre aux concernés.
Par exemple, dès 16 ans, on ouvre l'accès au service civique, qui peut s'avérer être un projet gratifiant pour peu que tu trouves une offre qui te convienne en terme de sujet, d'activités, de temps et de perspectives (rencontres professionnelles, implication dans des réseaux et projets à long terme, ...). On trouve de tout, souvent de 20 à 30h par semaine, mais toujours avec la même rémunération. Souvent il n'y a aucune pression sur ce qu'on attend de toi, car tu n'es pas salarié. Et les horaires peuvent s'aménager en prenant en compte ton rythme de vie hebdomadaire.
Dans le cas où il n'y aurait pas d'offre intéressante près de chez soi, on peut malgré tout étudier la possibilité de se rapprocher d'organismes qui soutiennent les initiatives de service civique. Souvent en aidant à trouver une association intéressée et en finançant une partie du service civique à sa place.
Je réinsisterai moi aussi sur le fait que l'échec scolaire n'est pas un échec en soit. Certains s'épanouissent très bien sans avoir étudié après 16 ans. Par exemple en reprenant l'entreprise familiale grâce à leur savoir faire transmis. D'autres en investissant à risque (start-up, spéculation). Y'en a qui vont carrément trouver un style de vie où ils se passent de travailler et consommer, et qui leur convient quand même. Bref, y'a pas que le système de diplômes pour se projeter.
Une première piste est de faire un peu le tour des organismes, mouvements associatifs et initiatives solidaires qui se dédient à apporter une réponse à ce type de problèmes. Google en référence beaucoup avec de simples mots-clés, et après un premier tri, on peut commencer à en contacter quelques-uns, notamment s'ils sont proches localement.
- Plusieurs associations sont agréées par l'Education Nationale pour remplacer en partie jusqu'à compléter les programmes d'enseignement. C'est une approche qui peut avoir l'avantage d'offrir un programme, ou au moins une organisation de travail plus ciblée et adaptée à l'élève. En plus d'apporter un soutien spécifique aux situations de phobie scolaire ?
- Dans un autre style, il y a énormément d'associations solidaires qui s'orientent sur la réussite des jeunes et le lien social. Ça peut être l'occasion d'y rencontrer un futur parrain, et tas d'autres gens, prêts à soutenir le concerné en lui apportant conseil, appui technique dans ses objectifs, soutien moral voire financier.
- Pour rebondir sur ce qu'a dit Yuan, l'école, et par conséquent le bac, est un système qui ne convient pas à tout le monde. Ce n'est pas une fatalité de ne pas s'y intégrer. Le mieux est encore d'étudier ce qu'on met déjà en place pour répondre aux concernés.
Par exemple, dès 16 ans, on ouvre l'accès au service civique, qui peut s'avérer être un projet gratifiant pour peu que tu trouves une offre qui te convienne en terme de sujet, d'activités, de temps et de perspectives (rencontres professionnelles, implication dans des réseaux et projets à long terme, ...). On trouve de tout, souvent de 20 à 30h par semaine, mais toujours avec la même rémunération. Souvent il n'y a aucune pression sur ce qu'on attend de toi, car tu n'es pas salarié. Et les horaires peuvent s'aménager en prenant en compte ton rythme de vie hebdomadaire.
Dans le cas où il n'y aurait pas d'offre intéressante près de chez soi, on peut malgré tout étudier la possibilité de se rapprocher d'organismes qui soutiennent les initiatives de service civique. Souvent en aidant à trouver une association intéressée et en finançant une partie du service civique à sa place.
Je réinsisterai moi aussi sur le fait que l'échec scolaire n'est pas un échec en soit. Certains s'épanouissent très bien sans avoir étudié après 16 ans. Par exemple en reprenant l'entreprise familiale grâce à leur savoir faire transmis. D'autres en investissant à risque (start-up, spéculation). Y'en a qui vont carrément trouver un style de vie où ils se passent de travailler et consommer, et qui leur convient quand même. Bref, y'a pas que le système de diplômes pour se projeter.