Lilia : mon chieur adoré, c'est mon copain, avec qui je me prends tout le temps la tête, mais que j'adore quand même (et non pas aimer pour moi, même au bout de 7 mois, tiens aujourd'hui même !, on n'emploie pas encore ce vocabulaire)
Ton sujet est intéressant je trouve, assez simple sur l'opposition entre la vraie vie et l'apprentisage par les livres, surtout que c'est dit par un personnage d'un livre, donc il y a une sorte de paradoxe entre l'affirmation de sganarelle qui incite le lecteur à poser le livre pour se mettre à vivre par lui même, et le fait que malgré tout, le livre est écrit pour qu'on le lise. Il y a un roman je ne me rappelle plus lequel qui termine par lecteur pose ce livre, quelque chose comme ça... En général en dissert, tu commences par aller dans le sens de la citation, donc la vraie vie qui n'agale pas les livres, l'apprentissage par les livres qui nous donne une vison tronquée de la réalitée, tu peux citer Don Quichotte qui reste dans l'illusion, ou encore Mme bovary, qui reste à rêver grâce aux livres sans vivre.
Ensutie tu contrebalance, les livres comme le moyen d'aprentissage, ce qui permet de dépasser la simple connaissance primaire, et tu termine par quelque chose de plus personnel, la vie comme illusion, dont finalement les livres nous permettent de prendre conscience, cf Sartre Qu'est-ce que la littérature, l'homme est une conscience dévoilante, rôle de l'artiste, rôle d'Hugo...
(pourquoi ai-je arrêter les lettres, trop en manque)