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Bioshock
Guiiil:
Idem que Doutch, je n'ai jamais trouvé rapture oppressante en elle même. C'est surtout ce que les chrôsomes en ont fait qui laissait une drôle d'impression... Mais bon, c'était surtout les chrôsomes eux mêmes, et les caractères de ces derniers (surtout des personnages comme Andrew Ryan, le docteur J. S. Steinman, Gilbert Alexandre, Sander Cohen ou même Frank Fontaine) qui ont fait tout le sel d'un Bioshock, étant le symbole de la décadence effarante de la ville de Rapture.
Donc il suffit que les personnages d'Infinite et les situations soient aussi bonnes (voir plus) et qu'effectivement il y a des situations stressantes en rapport avec les cieux (machines en pannes, ouragants, chute dans le vide, cochons volants de Zelda) pour que le jeux laisse une impression de pression (huhu) similaire !
Doutchboune:
J'ai pas dit que je trouvais pas Ratpure oppressante en elle-même ;) (j'ai pas dit le contraire non plus d'ailleurs :p )
En fait, je voulais surtout dire qu'à priori, un univers sous-marin est forcément plus confiné qu'un univers aérien. Être coincé dans des bâtiments, sans vraiment d'issue, puisqu'une issue serait le fond marin, donne une ambiance à priori plus oppressante.
Après, je te rejoins sur le fait que c'est surtout les personnages, les chrosomes, les musiques d'ambiance, et les mises en scène qui te maintiennent sous pression dans Bioshock.
Après, de prime abord, le ciel, ça évoque plutôt une sensation de liberté, d'ouverture. Mais je compte bien sur les développeurs pour transformer ça en truc oppressant, je suis sûre qu'ils en sont capables, même si l'angoisse ne sera pas la même que sous l'eau, forcément.
Après tout, parfois, on peut être effrayé par trop de liberté ;) (même si j'imagine pas trop ça pour Bioshock^^)
GKN:
Vous vous sentiez oppressé dans Bioshock vous ? :|
Doutchboune:
Ben ça dépend, pas comme dans un survival horror, non c'est sûr, mais y a quand même une foutue ambiance qui fait que tu es dans le jeu, que tu trouves ton environnement hostile.
Mais bon, c'est le ressenti quand tu te balades dans des lieux relativement vides, dans lesquels tu vois des traces de combats plus ou moins récent, avec en plus toute la propagande eugéniste qui t'entoure, cette philosophie nauséabonde des fondateurs de Rapture... Ça donne une sensation de mal être énorme, enfin, en tout cas, ça l'a fait sur moi.
Rodrigo:
Pareil. :niak: Puis y'a des moments qui misent vraiment sur la flippe, comme le Pavillon médical, avec des lumières qui s'éteignent brusquement, des chrosomes qui atttaquent par suprise, etc Et dans l'ensemble, à part à la fin quand on est surpuissant, on est jamais tranquille, parce qu'on est relativement faible, et quand on croise un Big Daddy ... Y'a aussi le côté malsain des personnages, comme Sander Cohen, qui joue sur l'ambiance.
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