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Avis et tests de jeux vidéo.

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BadMirrow:
En l’an 2552 (ou un truc dans le genre), les aliens nous envahissent. Les cris de femmes et enfants apeurés résonnent à nos oreilles, tandis que les OVNIs, débarquent sur nos terres en paix. C’est à partir d’une idée aussi enfantine, que nos dev’s chéris nous ont concoctés une série fantasmique, qui est devenu un incontournable du genre FPS. Détails sur le dernier bébé de cette saga spatiale si culte…

Developpeur :   Bungie
Editeur : Microsoft
Type : FPS
Support : Xbox 360


[align=center][/align]

Je me souviens encore de la première fois que j’ai touché à Halo. C’était le deuxième opus, Halo 2, et ce moment restera gravé dans les annales de ma mémoire. J’attrapais son sniper et partais chasser du Covenant bien frais, qui, au passage, sont les « aliens » du jeu. Quelques coups de cross et balles bien placés, ainsi que de franches parties de rigolade en multi-joueurs, voilà ce que nous donnait Halo ! Mais qu’est devenu cette série, à terme ? Est-il aussi jouissif qu’auparavant, ou bien a-t-il sombré dans la facilité des jeux d’aujourd’hui ? Je dois vous dire tout simplement : Ben non !

Tout d’abord, commençons par le commencement qui serait vraiment le commencement, non seulement de ce fabuleux test par un fabuleux testeur, mais aussi l’histoire de la saga Halo. L’épisode « Reach » se passe en effet, bien avant le scénar’ de Halo Combat Evolved, premier du nom. L’histoire prend place au cœur de la planète Reach, qui serait menacée par l’attaque de nos doux extra-terrestres répondant au nom de « Covenants ». Ceux-ci seraient également les ennemis fideles des  « Spartans », des combattants humain en armure spatiale (ou anti-claustrophobes).  Nos chers combattants héros, ont placé une équipe spéciale (non, pas les Risquetout) pour protéger la planète : la Team Noble. Vous l’aurez sans doute deviné, c’est autour de cette équipe particulière que les cameras vont tourner, et expliquer comment ils comptent contrecarrer l’invasion ennemie. Nous sommes aux commandes du dernier venu au sein de la Team Noble, dont le nom de code serait « Noble Six ». Histoire classique, un poil trop cliché, je l’accorde, mais la magie Halo opère, pour nous offrir une campagne plus qu’honorable ! Une durée pas géniale, mais assez bonne finalement si l’on compare à ce que nous offrait la série, avant. Mais ce n’est pas là que réside la force du scenario de Halo Reach, c’est plutôt l’histoire en elle-même. Courte, mais si intensive, avec des personnages aux caractères variés, et des rebondissements en tous genres. La fin est également si belle et bien pensée, que je me suis surpris à verser une petite larme. Bref, vous devrez le voir par vous-même car je ne désire pas spoiler une si belle trame, mais c’est vraiment beau. Pas seulement en tant qu’un Halo, mais aussi en tant que jeu FPS à part entière. Le seul petit point noir : seulement 10 missions, pour environ 10h de jeu (ça dépend du joueur). On te pardonne, Bungie, car c’est malheureusement la moyenne atteinte pour la plupart des jeux d’action de nos jours.  A noter l’éternel mais très utile mode Co-op, pour la campagne.

Manette en main, cheveux dans le vent (pour nos amis Alaskiens), popcorn et Coca sur le coté. C’est armé de toutes ces magnifiques choses que l’on s’apprête à attaquer Halo Reach, tellement le gameplay est facile à prendre en main. On se délecte de cette instinctivité si simple, mais finalement si bien pensée et complexe, que l’on peut faire plein d’autres choses tout en jouant. Finies les phases véhicules un poil lourdingue. Avec quelques boutons, quelques coups sur le joystick et sur la gâchette, on parvient à bouger ET tirer facilement ! Comme toujours, les phases « à pied » sont toujours aussi bien maitrisées, car chaque bouton a sa propre utilité, avec des fonctions diverses, depuis la vision nocturne, jusqu'au changement immédiat d’arme, en passant par la recharge et le lancer de grenade. On a également des phases aériennes dans l’espace qui sont instinctifs, et finalement, on prend plaisir à neutraliser les Banshees (vaisseaux Covenant) ennemis ! Sinon, le système des packs de soin est repris, donc faudra aller chercher ces précieux objets lorsque la vie vous quitte, bien que le système de bouclier soit présent. Une autre petite nouveauté de cet opus : les packs ! Ce sont des petits bijoux de la technologie qui permettent d’assimiler une compétence. Par  exemple, si l’on s’équipe du pack Carapace, on peut devenir invincible sans bouger, pendant un petit laps de temps. Si l’on prend le pack Jet Pack, hop ! On s’envole vers d’autres cieux ! A savoir qu’au cours d’une mission, on peut changer de packs, mais ceux-ci sont éparpillés un peu partout, ‘faut donc les trouver. Ils sont disponibles dans tous les modes de jeu.

[align=center]
Que c'est beau...[/align]

Fini le caramel moisi et les textures datées que nous offraient les décevants Halo 3 et ODST ! Nous avons enfin des graphismes honorables qui sont, certes, pas encore au niveau de certains concurrents, mais tout de même remis à neuf. Et on doit l’avouer : ça claque pas mal ! Car oui, Halo Reach tourne sur un tout nouveau moteur, et non plus sur le vieux grill de la bonne Mamie Nova. Les paysages sont beaux et variés, et l’on retrouve toutes sortes d’endroits différents. Montagnes, plages, bases, tours, sans parler d’une visite spatiale, tout est au menu, servi avec une fondue au chocolat qui remonte la dose. Cependant, gare à l’arrière-gout, car la fondue peut fondre rapidement si elle est mal maitrisée. Maudits ralentissements, surtout lorsque l’écran est bondé d’ennemis, et que les explosions fusent ! On n’sait pas vraiment, en fait, si les dev’s ont voulu créer ces ralentissements comme Vanquish ou à la Matrix, à moins que ce soit juste une erreur de leur part. La deuxième option serait plutôt valable, car même lorsque ça ralentit, les lasers sur la tronche font quand même mal. Heureusement, ces bugs ne sont pas très récurrents et ne nuisent pas l’expérience du jeu. Quelques inégalités au niveau des textures risquent de déranger vos mirettes, mais rien de grave, je vous l’assure !

« Vas-y Jules ! Ouais un frag ! Oh zut, mort… » « Paf ! Dans tes dents, Seb ! »
Ah… Les bonnes parties multi’ Halo entre potes… Des heures et des heures de coups de sabres dans la figure... Les différentes arènes étant variées et magnifiques, on prend un malin plaisir à terrasser l’oncle Bernard, et le finir d’une grenade plasmique. Ce qui pousse, évidemment, le jeu vers des limites non trouvables ! Qui dit infini, dit également durée de vie, car c’est avec fierté que Reach nous propose des combats jouissifs, un multi-joueurs hallucinant, et un mode Xbox Live aussi bluffant que parfait. En fait, la durée de l’opus n’est bon, que si l’on joue en Live, car ‘faut bien l’avouer : à part le scenario, c’est le grand atout du jeu. Les parties onlines sont exaltantes, les joueurs sont très bons, et elles ne subissent aucunes saccades ou bugs. Les modes de jeu sont variés, et je vous laisse les découvrir par vous-même, mais globalement, les Team Slayers, l’Assassinat, les Flag Captures et compagnie sont au rendez-vous. En offline, on a également un mode Forge bien sympathique, qui permet de créer ses propres terrains assez intelligemment. Enfin, bref, vous pourrez voir que les possibilités de manquent pas, dans cet opus fort plaisant. Eh bien, on n’parle jamais de Halo, sans évoquer le Rock ! Reach ne fait pas exception, et les musiques sifflantes sont présentes, qui rebondissent bien dans les moments de tension !

[align=center]

Covenant versus Spartan ![/align]

[align=center]Graphismes : 16.5/20
Gameplay : 18.5/20
Durée de vie : 17/20
Bande son : 16/20
Scenario : 18/20

Appréciation finale : 17.5/20[/align]
Finalement, on apprécie bien le p’tit joujou de Bungie, car ‘faut l’avouer : il a tout pour plaire. Halo Reach remonte la sauce avec un scénario haletant, un gameplay parfait, une durée de vie extraordinaire avec un multi-joueurs impressionnant. Pour les amateurs de musiques fortes, le rock est au rendez-vous ! L’opus reste une référence du genre FPS sur 360, qu’il ne faut louper en aucun cas. Fan, ou pas.

[align=center]
Noble Team, pour vous servir.[/align]

Rodrigo:

--- Citation de: "BadMirrow" ---En l’an 2552 (ou un truc dans le genre), les aliens nous envahissent. Les cris de femmes et enfants apeurés résonnent à nos oreilles, tandis que les OVNIs, débarquent sur nos terres en paix. C’est à partir d’une idée aussi enfantine, que nos dev’s chéris nous ont concoctés une série fantasmique, qui est devenu un incontournable du genre FPS. Détails sur le dernier bébé de cette saga spatiale si culte…

Developpeur :   Bungie
Editeur : Microsoft
Type : FPS
Support : Xbox 360


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Je me souviens encore de la première fois que j’ai touché à Halo. C’était le deuxième opus, Halo 2, et ce moment restera gravé dans les annales de ma mémoire. J’attrapais son sniper et partais chasser du Covenant bien frais, qui, au passage, sont les « aliens » du jeu. Quelques coups de cross et balles bien placés, ainsi que de franches parties de rigolade en multi-joueurs, voilà ce que nous donnait Halo ! Mais qu’est devenu cette série, à terme ? Est-il aussi jouissif qu’auparavant, ou bien a-t-il sombré dans la facilité des jeux d’aujourd’hui ? Je dois vous dire tout simplement : Ben non !

Tout d’abord, commençons par le commencement qui serait vraiment le commencement, non seulement de ce fabuleux test par un fabuleux testeur, mais aussi l’histoire de la saga Halo. L’épisode « Reach » se passe en effet, bien avant le scénar’ de Halo Combat Evolved, premier du nom. L’histoire prend place au cœur de la planète Reach, qui serait menacée par l’attaque de nos doux extra-terrestres répondant au nom de « Covenants ». Ceux-ci seraient également les ennemis fideles des  « Spartans », des combattants humain en armure spatiale (ou anti-claustrophobes).  Nos chers combattants héros, ont placé une équipe spéciale (non, pas les Risquetout) pour protéger la planète : la Team Noble. Vous l’aurez sans doute deviné, c’est autour de cette équipe particulière que les cameras vont tourner, et expliquer comment ils comptent contrecarrer l’invasion ennemie. Nous sommes aux commandes du dernier venu au sein de la Team Noble, dont le nom de code serait « Noble Six ». Histoire classique, un poil trop cliché, je l’accorde, mais la magie Halo opère, pour nous offrir une campagne plus qu’honorable ! Une durée pas géniale, mais assez bonne finalement si l’on compare à ce que nous offrait la série, avant. Mais ce n’est pas là que réside la force du scenario de Halo Reach, c’est plutôt l’histoire en elle-même. Courte, mais si intensive, avec des personnages aux caractères variés, et des rebondissements en tous genres. La fin est également si belle et bien pensée, que je me suis surpris à verser une petite larme. Bref, vous devrez le voir par vous-même car je ne désire pas spoiler une si belle trame, mais c’est vraiment beau. Pas seulement en tant qu’un Halo, mais aussi en tant que jeu FPS à part entière. Le seul petit point noir : seulement 10 missions, pour environ 10h de jeu (ça dépend du joueur). On te pardonne, Bungie, car c’est malheureusement la moyenne atteinte pour la plupart des jeux d’action de nos jours.  A noter l’éternel mais très utile mode Co-op, pour la campagne.

Manette en main, cheveux dans le vent (pour nos amis Alaskiens), popcorn et Coca sur le coté. C’est armé de toutes ces magnifiques choses que l’on s’apprête à attaquer Halo Reach, tellement le gameplay est facile à prendre en main. On se délecte de cette instinctivité si simple, mais finalement si bien pensée et complexe, que l’on peut faire plein d’autres choses tout en jouant. Finies les phases véhicules un poil lourdingue. Avec quelques boutons, quelques coups sur le joystick et sur la gâchette, on parvient à bouger ET tirer facilement ! Comme toujours, les phases « à pied » sont toujours aussi bien maitrisées, car chaque bouton a sa propre utilité, avec des fonctions diverses, depuis la vision nocturne, jusqu'au changement immédiat d’arme, en passant par la recharge et le lancer de grenade. On a également des phases aériennes dans l’espace qui sont instinctifs, et finalement, on prend plaisir à neutraliser les Banshees (vaisseaux Covenant) ennemis ! Sinon, le système des packs de soin est repris, donc faudra aller chercher ces précieux objets lorsque la vie vous quitte, bien que le système de bouclier soit présent. Une autre petite nouveauté de cet opus : les packs ! Ce sont des petits bijoux de la technologie qui permettent d’assimiler une compétence. Par  exemple, si l’on s’équipe du pack Carapace, on peut devenir invincible sans bouger, pendant un petit laps de temps. Si l’on prend le pack Jet Pack, hop ! On s’envole vers d’autres cieux ! A savoir qu’au cours d’une mission, on peut changer de packs, mais ceux-ci sont éparpillés un peu partout, ‘faut donc les trouver. Ils sont disponibles dans tous les modes de jeu.

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Que c'est beau...[/align]

Fini le caramel moisi et les textures datées que nous offraient les décevants Halo 3 et ODST ! Nous avons enfin des graphismes honorables qui sont, certes, pas encore au niveau de certains concurrents, mais tout de même remis à neuf. Et on doit l’avouer : ça claque pas mal ! Car oui, Halo Reach tourne sur un tout nouveau moteur, et non plus sur le vieux grill de la bonne Mamie Nova. Les paysages sont beaux et variés, et l’on retrouve toutes sortes d’endroits différents. Montagnes, plages, bases, tours, sans parler d’une visite spatiale, tout est au menu, servi avec une fondue au chocolat qui remonte la dose. Cependant, gare à l’arrière-gout, car la fondue peut fondre rapidement si elle est mal maitrisée. Maudits ralentissements, surtout lorsque l’écran est bondé d’ennemis, et que les explosions fusent ! On n’sait pas vraiment, en fait, si les dev’s ont voulu créer ces ralentissements comme Vanquish ou à la Matrix, à moins que ce soit juste une erreur de leur part. La deuxième option serait plutôt valable, car même lorsque ça ralentit, les lasers sur la tronche font quand même mal. Heureusement, ces bugs ne sont pas très récurrents et ne nuisent pas l’expérience du jeu. Quelques inégalités au niveau des textures risquent de déranger vos mirettes, mais rien de grave, je vous l’assure !

« Vas-y Jules ! Ouais un frag ! Oh zut, mort… » « Paf ! Dans tes dents, Seb ! »
Ah… Les bonnes parties multi’ Halo entre potes… Des heures et des heures de coups de sabres dans la figure... Les différentes arènes étant variées et magnifiques, on prend un malin plaisir à terrasser l’oncle Bernard, et le finir d’une grenade plasmique. Ce qui pousse, évidemment, le jeu vers des limites non trouvables ! Qui dit infini, dit également durée de vie, car c’est avec fierté que Reach nous propose des combats jouissifs, un multi-joueurs hallucinant, et un mode Xbox Live aussi bluffant que parfait. En fait, la durée de l’opus n’est bon, que si l’on joue en Live, car ‘faut bien l’avouer : à part le scenario, c’est le grand atout du jeu. Les parties onlines sont exaltantes, les joueurs sont très bons, et elles ne subissent aucunes saccades ou bugs. Les modes de jeu sont variés, et je vous laisse les découvrir par vous-même, mais globalement, les Team Slayers, l’Assassinat, les Flag Captures et compagnie sont au rendez-vous. En offline, on a également un mode Forge bien sympathique, qui permet de créer ses propres terrains assez intelligemment. Enfin, bref, vous pourrez voir que les possibilités de manquent pas, dans cet opus fort plaisant. Eh bien, on n’parle jamais de Halo, sans évoquer le Rock ! Reach ne fait pas exception, et les musiques sifflantes sont présentes, qui rebondissent bien dans les moments de tension !

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Covenant versus Spartan ![/align]

[align=center]Graphismes : 16.5/20
Gameplay : 18.5/20
Durée de vie : 17/20
Bande son : 16/20
Scenario : 18/20

Appréciation finale : 17.5/20[/align]
Finalement, on apprécie bien le p’tit joujou de Bungie, car ‘faut l’avouer : il a tout pour plaire. Halo Reach remonte la sauce avec un scénario haletant, un gameplay parfait, une durée de vie extraordinaire avec un multi-joueurs impressionnant. Pour les amateurs de musiques fortes, le rock est au rendez-vous ! L’opus reste une référence du genre FPS sur 360, qu’il ne faut louper en aucun cas. Fan, ou pas.

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Noble Team, pour vous servir.[/align]
--- Fin de citation ---


Je ne suis vraiment pas d'accord avec ton test. :niak:

Déjà, oui, le background d'Halo est plutôt fourni, mais l'histoire de Reach est brouillonne et pas bien passionnante, pas vraiment de moments forts (à part la fin, très sympa comme tu l'as fiat remarquer), même les moments supposés "tragiques" tombent à plat tant la mise en scène est molle et les personnages peu développés. Dommage, car il y avait un vrai potentiel. Et puis ça dure 10h, mais tant mieux, vu comme le jeu peine à se renouveler, c'est pas un mal. :niak:

Puis, ce que tu cites comme une qualité, je l'ai perçu comme un gros défaut : on passe trop de temps à pied, et il y a beaucoup moins de phases en véhicules, alors que c'est pour moi ce qui faisait le charme d'Halo, les virées en Whartog, les opérations de destruction massive au Scorpion, les grandes bataille épiques avec plein de tanks ennemis, de chasseurs, de scarabs. Ici, il y a certes un niveau en véhicule aérien, mais il est très très classique, et sent le déjà joué, puis une phase dans l'espace, sympa aussi, mais trop courte, et sinon, il n'y a plus ces combats épiques. Certes, c'était déjà le cas dans ODST, mais le jeu assumait pleinement, on contrôlait un soldat lambda, bien moins fort que Master Chief, et l'approche se faisait plus subtile, moins explosive. Mais là ...

Les packs, c'était déjà présent dans le 3, sous forme de bonus à utiliser une fois, c'est très sympa, mais relativement conventionnel.  En multi par contre, c'est un ajout très intéressant qui change du tout au tout le cours des parties, très chouette.

Pour les graphismes, ça reste quand même très faiblard, et pas digne d'un jeu supposé "Triple A" comme Halo Reach, même si les décors sont toujours aussi beaux, ce qu'on voit clairement devant nous ets assez moche. On ajoute à ça que le jeu se renouvelle assez peu de ce côté, puisqu'on voit toujours le même genre d'environnements, ce qui est assez lassant.

Pour le multi, je suis assez d'accord, il est vraiment très sympa.

Je dirais en conclusion que c'est un jeu assez sympa, surtout en coop, mais qui à part pour son multi reste moins bon que ses prédécesseurs, la faute à Bungie qui ne sait pas se renouveler au niveau des séquences des jeux, de son moteur graphique et qui est incapable de rendre une histoire captivante, alors que le synopsys laissait entrevoir quelque chose de palpitant.

BadMirrow:
Floax -

Alors, pour les graphismes, c’est vrai que c’est pas génial, mais disons que j’ai mis une note en rapport des épisodes précédents, qui eux, étaient vraiment horribles.

Ensuite, pour l’histoire, personnellement j’ai aimé. Alors je sais pas, y’a bien quelques moments brouillons, mais j’ai été satisfait dans l’ensemble. Une affaire de goût, finalement. Par contre, la dernière scène … Extraordinaire.
C’est vrai que les phases véhicules manquent un peu, au profit de plus de phases à pied, et j’en étais content. Trop de « combats épiques », pour moi c’était « trop ajouter de sel », car je trouvais que ça devenait vite rébarbatif. Les quelques petites phases véhicules sont quand même bien sympa.

(Cliquez pour afficher/cacher)Notamment celle de la mission 8/9 (je sais plus) avec le gros tank dont le nom m’échappe

Les phases non-véhicules sont sympa sinon, un peu du style infiltration parfois.

(Cliquez pour afficher/cacher) En Alexandrie avec le jet pack… Nice !

Par contre, si on ne peut pas jouer en Live, le jeu perd beaucoup de son intérêt, j’trouve. Y’a aussi des moments dans la campagne qui sont énervants, notamment les gros Covenants qui balancent des lasers verts. Il faut leur coller au moins 800 balles pour qu’ils meurent, et c’est vite saoulant. Au niveau du level design, on sent qu’il y’a eu un petit effort car chaque mission possède un style propre, et finalement, on change de décor assez souvent je trouve. On aurait pu s’attendre à beaucoup mieux de la part de Halo, mais le tout reste assez satisfaisant, avec de bons points forts.

Rodrigo:
Non, mais l'histoire n'est pas mauvaise, mais la mise en scène est juste nulle, ça manque d'intensité, de sentiments, que sais-je, mais même un jeu comme COD réussit à mieux rendre la mort de quelqu'un tragique. Là, on est dans une équipe de super guerriers, on nous dit leur nom une fois, puis c'est tout, on ne les connait pas ces gens, et on fait toutes les missions avec eux, j'ai trouvé ça dommage.

Et justement, ce que je trouve rébarbatif, ce sont les phases au sol, qui peinent vraiment à proposer du neuf, on a l'impression de les avoir joué des centaines de fois dans les précédents Halo, parfois c'est juste PILE la même situation. v_v La phase que tu évoques dans ton spoiler est d'ailleurs super courte, et bien moins épique que celle du même genre dans Halo 3, ou là c'était vraiment une ambiance de guerre, avec des alliés et des ennemis partout qui s'entretuent dans des vastes espaces. Dans Reach, on est toujours coincé dans des couloirs, même en véhicule...

Pour les Chasseurs (enfin les trucs qui tirent des trucs verts si tu veux v_v), ce sont un peu des sortes de boss, normal qu'ils soient résistants, mais en visant bien sur leurs point sensibles, ils ne sont pas si forts que ça. (même en Légendaire) Puis pour la variété des décors, regarde Halo 3, tu passes en trois chapitres du désert à la forêt, puis tu termines dans un monde glacial. :niak:

silver:
[align=center]Oboro Muramasa : The Demon Blade[/align]

Muramasa, un jeu développé par Vanillaware qui a crée Odin Sphere et Grimgrimoire. Jeux qui ont pour traits communs de n'utiliser que la 2d caractéristique du studio.

[align=center][/align]

Commençons par les graphismes, ils sont l'un des points forts si ce n'est le point fort de tout le jeu. Estampes japonaises de toutes beautés, nous apprenons l'histoire de Momohime et Kisuke à travers ses planches qui composent tout le jeu mais il y a tout de même des imperfections. Si les mouvements des personnages et leurs intégrations sont parfaites, il y a tout de même un point noir. Nous avons pour ainsi dire jamais de différences particulières pour la moindre planche. Les plaines, les forêts, les châteaux, les villes, tout restera identique peu importe ce qui pourra se passer. les planches n'auront jamais de nouvelles apparences que l'éventuelle apparition des ennemis.

Poursuivons, les musiques représentent parfaitement tous les moments et s'adaptent très rapidement à notre situation. je n'ai guère plus à dire, elle intègre très bien la diversité des moments.

La difficulté, elle existe à différents niveaux et saura pour certains niveaux contenter un grand nombre malgré que ça soit très limité, nous avons un mode facile, normal, difficile et un spécial qui change la façon de combattre elle même. Il existe de nombreux "donjons" qui donnent de bons artefacts et un parmi eux permet d'obtenir malgré l'inutilité un objet qui facilite grandement le parcours de tout le jeu. Vous en aurez tout de même pour plusieurs après avoir fini le scénario de base. L'histoire n'est pas spécialement compliquée à finir mais elle nécessite qu'on fasse à tour de rôles les deux personnages qui se complètent dans leurs histoires.

[align=center][/align]

Le scénario, c'est un choix assez particulier. l'histoire est découpée en deux points de vue, Kisuke a une histoire et des ennemis qui sont assez simples à combattre mais très longs au contraire de Momohime qui en a des forts et de divers niveaux accompagné de grands déplacements. Les deux histoires nécessitent de finir avec les deux personnages pour connaître tous les détails. Je reprocherais surtout le fait que ça soit assez court, on est pas obligé de refaire totalement leurs parcours. On peut très bien reprendre une ancienne sauvegarde et continuer ainsi.

Le gameplay est basé sur la collecte d'épées qui ont des pouvoirs différents et qui sauront occuper un long moment. A chaque boss, nous obtenons une nouvelle épée et les différents donjons ont aussi des épées qu'il faut récupérer. une fois qu'on a récupérer toutes les épées dont les deux épées gagnées en combattant les boss finaux permettant équiper ensemble d'avoir une nouvelle fin et d'autres épées permettant elles d'avoir l'épée ultime du jeu. Oboro Muramasa qui déverrouille une toute autre fin qui se voudrait canon dans l'histoire puisqu'elle donne son nom à l'histoire.

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Je mettrais pour note, 7/10. C'est un très bon jeu avec des défauts mais je conseille cet opus pour ceux qui veulent un jeu bien fun et qui a de la ressource.

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