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Errements Poétiques - [ Poème : Août IV ]
Suijirest:
Rien que pour arracher la centième réponse de ce topic, je tiens à partager un ressenti :
Si j'ai bien aimé cette poésie, comme toutes les autres, je trouve que le vers j'écris d'obscures runes tombe à plat parce qu'on s'éloigne de la portée physique ou relationnelle qui prédomine pour faire une incursion dans l'écriture qui, à elle seule, ne mène nulle part.
Pour rimer avec "lune" j'aurais tenté d'utiliser le mot "rancune" qui, en plus, se serait bien accordé avec le "carnage" qui apparaît en-dessous.
Voilà, c'est tout. :-*
Synopz:
Il y a une coupure assez franche, je suis d'accord, Wolf, mais c'était voulu, pour bien marquer l'absence. Après, je veux bien croire qu'elle soit maladroite :^^:
Sinon, une petite maxime pour changer, écrite par moi :
Désillusion
" La couleur des photos est comme le monde : elle est décevante par rapport à ce que l'on croit voir. "
Synopz:
Une nouvelle poésie, n'hésitez pas à commenter et donner votre avis :^^:
Dépendance
" Dévêtue dans mes bras,
Nue sur mes draps.
Un mouvement, une esquisse
Et mes sens se hérissent.
Danse brûlante de deux corps,
S'il te plaît, aime-moi encore.
On dit parfois des poètes,
Qu'ils sont faits de démesure,
Et ont des rêves pleins la tête.
Je suis de ceux-là, sois-en sûre !
La vie ne passe qu'une fois,
Tant qu'il est temps embrasse-moi.
Allez, allez, ne te méprends donc pas,
C'est toi que j'aime, toi qui es là.
Tu ne laisserais pas partir,
Nos amours et nos désirs ?
Car à te sentir loin de mon étreinte,
Je ressens durement une horrible,
Morbide et déchirante crainte :
Un sentiment terrifiant et indicible.
Mais, j'ai tort, je le sais bien.
Je crois en notre vrai et pur lien.
Je crois en tes douces caresses,
Et je t'aime finalement sans cesse.
Plus qu'en la vérité, la liberté et la vie,
Je crois, ma belle, en ce qui nous unit.
Alors même loin de tes regards,
Je me souviens de ta peau sucrée.
Reviens-moi avant qu'il soit trop tard,
Avant que ma dépendance m'ait achevé "
Synopz:
Connerie
La connerie, c'est comme la musique : c'est un éternel recommencement.
Suijirest:
--- Citation de: Synopz le jeudi 26 avril 2012, 16:12:58 ---Connerie
La connerie, c'est comme la musique : c'est un éternel recommencement.
--- Fin de citation ---
Pas d'accord. :/ La musique "moderne" oui on a un couplet qui se répète trois à huit fois avec peut-être un solo, mais si tu prends les anciennes symphonies, ça s'étale parfois sur de nombreux mouvements qui sont parfois très différents les uns des autres. Et c'est pareil pour le style : je ne pense pas qu'on puisse écrire de la musique classique (si j'ose ainsi m'exprimer) comme on écrirait de la tecktonik, du rap ou de la variété française. Sans même parler des textes, rien que les mélodies ne sont pas du tout pensées pareil.
Pour la connerie, là, c'est sûr que ça existe depuis l'aube de l'humanité, et qu'on est ni plus ni moins avancé qu'avant (peut-être un peu plus avancé, l’illettrisme et l'obscurantisme ayant sérieusement diminué) mais je suis pas trop d'accord pour la comparer à la musique.
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