Coucou j'ai avancé les AC aussi

Du coup comme je l'avais annoncé, j'ai rush la fin de
AC 3. Rien à dire, je ne m'en souviens pas vraiment, mis à part une vague collaboration Conor-Haythan qui m'a arrachée les cheveux par son incohérence et son sortage de nulle part. Voilà. J'ai pas aimé.
Et du coup, si on continue dans l'ordre, j'ai fait
Black Flag. J'ai adoré l'ambiance. Les chants lorsqu'on navigue, c'est juste parfait. J'ai accepté de ne pas jouer à un AC, mais à un pirate simulator, et du coup, j'ai vraiment apprécié. J'ai même trouvé les "grandes villes" (celles avec plusieurs points de synchronisation) un peu reloue à explorer, c'est dire.
Bon et je dois dire qu'Edwawrd est plutôt sympathique. Après s'être bien foutu dans la merde (ce début est juste parfait. Quand on connaît les enjeux et qu'on le voit faire, sa magouille avec les templiers, c'est beau). Le personnage a une évolution vraiment intéressante.
Puis on enchaîne avec
Rogue. L'idée en soi est bonne. Mais c'est mal exploité. On sait des le début que Shay va tourner templier. Sauf que son changement est expédié (je le trouve fragile perso pour retourner sa veste comme ça), et il se retrouve à tuer ses (ex)potes les un après les autres. Mais vu que le début est expédié, on n'est pas attaché à ses potes. J'avais 0 regret de les tuer. Le seul qui a fait un peu mal, c'était le second d'Edward, mais parce que Black Flag. J'aurai aimé que l'histoire soit plus développée, que le revirement de Shay soit une surprise, que ce soit un vrai déchirement de devoir tuer ses potes. Mais non. Le monde est vaste, mais c'est juste un copié collé/ et des grandes zones inusitées. Je m'attendais vraiment à mieux.
Par contre, retour de Haytham et Achille, la boucle est bouclée. Et la fin qui appelle directement Unity, c'est propre.
Et donc
Unity. J'ai adoré. L'ambiance, la révolution, Paris, Notre Dame (

). Un vrai plaisir de l'explorer. Arno a une évolution intéressante, je suis déçue que le jeu s'arrête au moment où il devient vraiment un assassin. Une suite, un peu comme il y a eu pour Ezio, aurait permi de continuer de le développer, il y avait clairement moyen. Surtout avec la scène début, on pourrait imaginer une suite mettant en scène Arno et Shay (grosse déception de ne pas le voir, ni même en entendre parler, dans tout le jeu). Mais bon, je crois que Ubisoft a laissé tomber le côté histoire pour préférer les crédits Hélix, cette honte. L'histoire se laisse suivre, avec des PNJ intéressants (Pierre Bellec, Elise, big up à vous). Et quel plaisir de retrouver les événements de la révolution et la terreur !
En tout cas, le système des assassinats, avec juste la cible, la zone, et à nous de se débrouiller pour l'atteindre, c'est vraiment agréable. On retrouve l'essence des AC, qu'on avait perdu avec le 3. Oh et ! ENFIN le bouton pour désescalader. Par contre plus de sifflement, ça manque clairement lors des infiltrations.
Bref. J'ai vraiment apprécié Unity. Avec un petit goût de trop peu.
Et j'ai fini
Syndicate tout à l'heure. Et bordel. Mais où est l'histoire ? Les jumeaux, assassins, vont donc à Londres contre l'avis du Conseil. Et voilà, osef de la confrérie, personne ne vient les rappeler à l'ordre, même pas leur "supérieur" que l'on voit pendant l'intro du jeu. J'ai trouvé le fil de l'histoire très segmenté. Bon et te faire pop au début de la mission à l'autre bout de la ville par rapport à ton objectif, je ne te remercie pas le jeu :<
Bon et on va se le cacher, je n'ai joué qu'un seul perso pendant tout le jeu (Evie, quel plaisir de jouer une femme pour une fois), sauf dans les missions pendant lesquelles je n'avais pas le choix. Les jumeaux ont certes des différences dans leurs compétences, mais c'est trop minime pour que ça ait une vraie influence.
Par contre. Le boss de fin est vraiment excellent. J'ai vraiment kiffé ce combat, contre toute attente. D'ailleurs la dernière mission était vraiment sympa. On alternait entre les deux personnages, avec des objectifs imbriqués. Dommage que ça n'ait pas été plus utilisé dans le jeu, avec des jumeaux, c'était le moment ou jamais.
Voilà voilà
