Bon. Évidemment que je l'ai fait. Et du coup, petit récap de mon avancée

J'ai vraiment apprécié le 2. J'ai suivit Ezio, son histoire et son évolution avec beaucoup de plaisir. Je n'ai pas cherché à Ubisofter toute la carte ni toutes les quêtes annexes. J'ai pris le temps d'avancer à mon rythme, certains moments j'avais envie d'explorer les villes, je l'ai fait, d'autres j'avais envie d'avancer la quête principale, ce que j'ai fait. La fin est un putain de cliffhanger, tellement énorme que Bortherhood reprend à l'exact moment de la fin du 2, que ce soit pour Desmond (normal vous me direz) que pour Ezio. S'en suit un habile procédé pour perdre tout l'équipement, et nous voilà à Rome.
L'histoire est sans plus, j'ai beaucoup moins aimé l'ambiance (mais je trouve Rome moins sexy que Florence ou Venise), mais Ezio est toujours aussi agréable à suivre et j'avais envie d'avoir la suite de l'intrigue avec Desmond. Encore une fois, je n'ai pas spécialement trainé à faire les annexes. Flemme de chercher tous les trucs à ramasser. Par contre, c'était rigolo de gérer ses apprentis. Complétement déséquilibré (comme tout les combats dans le jeu), mais ça m'a amusé. Et puis, il y a eu les quêtes retraçant son histoire avec Cristina. Et contre toute attente, j'ai été touchée. Je crois que c'est à ce moment que je me suis vraiment attachée à Ezio.
Puis sans surprise j'ai continué avec Révélations. Constantinople a été surprenamment agréable. Et le jeu surprenamment court. Je savais que je devais dire au revoir à Ezio, et le jeu s'est enchaîné pour arriver à la fin tellement rapidement que je n'étais pas prête pour la fin. Par contre, un plaisir d'en savoir plus sur Altaïr, et big up pour la découverte à la fin.
Le jeu en profite pour donner quelques miettes sur Desmond, mais ça s’essouffle. Et ça se sent.
Parce que là, j'en suis au 3, et bordel. Je préviens, ça va spoil.
Le jeu prend tellement longtemps à se lancer. On passe un tiers du jeu avec Haytham, qui, sans aucune surprise, est un templier. Ouais, j'avais vu venir le truc depuis quasi le début. J'étais quasi sûre que Charles en était un, et je trouvais que Haytham fonctionnait de façon hyper louche pour un Assassin. Donc je me posais plein de questions.
Puis indian simulator, que j'ai rush. Et on commence avec Connor à la moitié du jeu. Alors ouais, passer après Ezio, c'est dur, et il en souffre le petit. Mais bordel. Aucun charisme, des choix plus que discutables, un pacte avec l'ennemi. Connor stp respecte toi :<
Après, le jeu est mal construit je trouve. On arrive dans un nouveau lieu (New York, je te regarde) et il faudra deux séquences avant qu'on puisse l'explorer librement. De quoi se couper toute envie d'y faire un tour. Et le monde n'est devenue qu'une immense carte (découpée en plusieurs zones, mais l'idée est là) de trucs à ramasser. Les seuls trucs scénarisés, c'est littéralement la quête principale. Quête principale qui est un bordel monstre. J'ai certes du mal avec cette période de l'histoire (j'aime pas l'histoire de l'indépendance américaine), mais je trouve que c'est un fouillis de PNJ osef et mal amenés.
Bon et l'histoire Desmond a perdu tout ses enjeux j'ai l'impression. Je ne dis pas qu'ils ne sont plus là, juste qu'on ne sent plus leur présence. Dommage...
Je pense que mon estimation était bonne. Je finis l'histoire Desmond, puis j'irai jouer à autre chose, le temps de laisser revenir l'envie d'aller ubisofter des maps géantes. Déso Konod, pirate simulator sera pour plus tard
ou pas si je trouve rien d'autre à jouer, et que je me laisse tenter parce que je suis bien trop faibleBon et entre temps, j'ai aussi découvert le court-métrage Embers. De quoi dire un dernier au revoir à ce cher Ezio. Comme quoi. Je pensais pas que ce personnage m'aurait autant marquée.