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Les questions bêtes de la vie.

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Peter:

--- Citation de: "Michael" ---
Et c'est pas lui qui dira le contraire xD
--- Fin de citation ---


Pour ce genre de tofs Mike, t'as le topic des photos des membres... XD

Linkymike:
Non je vais faire comme toi avec ta photo, je vais la mettre en avatar xD

Royug:
Voilà, je poste ici pas vraiment pour poser une question, mais plutôt pour faire part d'une réflexion qu'il m'arrive d'avoir: admettons qu'on ait un tube creux et aux deux extrémités ouvertes. Si on insère une des deux extrémités dans l'autre, et qu'on la pousse un peu, la première extrémité entre donc à l'intérieur du tube. Mais si on pousse l'extrémité encore et toujours plus loin, on peut s'imaginer qu'elle finira par sortir du tube... par sa propre extrémité, non? Je sais qu'en pratique, c'est impossible, et en théorie aussi, mais imaginons que ça le soit, ça fait une situation assez étrange non?



Mais essayons d'aller plus loin: ça voudrait dire qu'au même moment où l'extrémité "sort du tube par elle-même", une autre extrémité (la même) sort par elle, puisque tout changement qui se produit à l'extrémité doit se produire pour toutes ses versions d'elle-même, puisque c'est la même extrémité. On aurait donc une extrémité qui sort d'une plus grande, mais aussi une plus petite qui sort de la première en même temps, et une autre plus petite encore sortant de la petite, et ainsi jusqu'à l'infini.



Et en plus, ce serait la même chose vers l'infiniment grand.

Est-ce que ça vous semble logique? Avez-vous déjà eu la même réflexion et êtes arrivés à la même conclusion?


Sinon, ça fait longtemps, mais je souhaitais répondre à Akishin sur le sujet des portails qu'il y avait sur le topic des images drôles. Je répond par contre ici, parce que ça me semble plus adapté:


--- Citation de: "Dashins" ---Royug >> De 2D en fait. Mais le principe des portails c'est d'amener d'un point de l'espace à un autre sans intermédiaire, sans rien entre, donc techniquement il ne reste autour que les deux surfaces, et une surface n'a pas d'épaisseur.
--- Fin de citation ---


Ah ok, j'avais pas compris que la première image était liée aux autres, et que ça portait toujours sur les portails. Je croyais que tu demandais seulement si une ligne verticale solide sans épaisseur pouvais couper notre bras. S'il s'agit de deux portails collés ensemble, j'imagine que non, le bras ne serait pas coupé, ça ne ferait que comme s'il n'y avait pas de portails du tout.

John Craft:
C'est le coup de l'ouroboros, tout ça. Tu sais, le serpent qui se mord la queue, et se mange, et donc il finit par se manger en entier.
Le serpent, il disparaît, tu crois ? Même s'il s'avalait vraiment, il ne pourrait se manger jusqu'à sa tête. Il resterait toujours quelque chose qui rentrerait pas.
Là c'est pareil. "Rien ne se perd", disait Lavoisier : tu as la même "quantité" de tube, en gros, donc à la fin tu ne peux le faire durer "à l'infini".
C'est vrai que "en théorie" ça pourrait avoir une cohérence, mais en pratique le diamètre du cercle formé par le tube s'enroulant sur lui même ne pourra jamais aller en-dessous de l'épaisseur du tube à l'origine, donc il ne pourra se "plier à l'infini", si tu vois ce que je veux dire.
Y a aussi un truc amusant là-dessus, c'est le coup de la cible : un archer tire une flèche dans le milieu de la cible; pour ce faire, la flèche doit parcourir la moitié de la distance entre l'archer et la cible, pas vrai ? Sauf que, après, il doit ENCORE parcourir la moitié de la distance qui reste entre la moitié de la distance entre l'archer et la cible, mh ? Tu me suis ? Sauf que, après, encore une fois, il reste la moitié de la distance restante ! Et encore la moitié de la distance restante ! Et encore et encore et encore... donc même si la flèche se rapproche ainsi à l'infini de la cible, elle ne l'atteindra JAMAIS, vu qu'il lui restera toujours une moitié de distance à atteindre ! En gros, c'est une suite numérique un = 1/2n (avec n ε  Ν l'ensemble des entiers), soit parfaitement infinie, devenant de plus en plus petite au fur et à mesure que n tend vers + ∞ ... mais jamais nulle (soit n'atteignant jamais la cible).
Tu comprends ? Tout ça c'est de la théorie par l'absurde. C'est super mais ça marche pas en vrai ^^

Classic:

--- Citation de: "John Craft" ---C'est le coup de l'ouroboros, tout ça. Tu sais, le serpent qui se mord la queue, et se mange, et donc il finit par se manger en entier.
Le serpent, il disparaît, tu crois ? Même s'il s'avalait vraiment, il ne pourrait se manger jusqu'à sa tête. Il resterait toujours quelque chose qui rentrerait pas.
Là c'est pareil. "Rien ne se perd", disait Lavoisier : tu as la même "quantité" de tube, en gros, donc à la fin tu ne peux le faire durer "à l'infini".
C'est vrai que "en théorie" ça pourrait avoir une cohérence, mais en pratique le diamètre du cercle formé par le tube s'enroulant sur lui même ne pourra jamais aller en-dessous de l'épaisseur du tube à l'origine, donc il ne pourra se "plier à l'infini", si tu vois ce que je veux dire.
Y a aussi un truc amusant là-dessus, c'est le coup de la cible : un archer tire une flèche dans le milieu de la cible; pour ce faire, la flèche doit parcourir la moitié de la distance entre l'archer et la cible, pas vrai ? Sauf que, après, il doit ENCORE parcourir la moitié de la distance qui reste entre la moitié de la distance entre l'archer et la cible, mh ? Tu me suis ? Sauf que, après, encore une fois, il reste la moitié de la distance restante ! Et encore la moitié de la distance restante ! Et encore et encore et encore... donc même si la flèche se rapproche ainsi à l'infini de la cible, elle ne l'atteindra JAMAIS, vu qu'il lui restera toujours une moitié de distance à atteindre ! En gros, c'est une suite numérique un = 1/2n (avec n ε  Ν l'ensemble des entiers), soit parfaitement infinie, devenant de plus en plus petite au fur et à mesure que n tend vers + ∞ ... mais jamais nulle (soit n'atteignant jamais la cible).
Tu comprends ? Tout ça c'est de la théorie par l'absurde. C'est super mais ça marche pas en vrai ^^
--- Fin de citation ---
Je ne comprends pas du tout le coup de l'archer et de la cible. Pourquoi la flèche devrait parcourir la moitié de la distance entre l'archer et la cible pour atteindre la cible? Remarque, je comprends ce que tu veux dire par le fait que la flèche parcourt toujours la moitié de la distance restante, logiquement elle ne se rendra jamais à la cible. Mais ce que je ne comprends pas, c'est pourquoi la flèche parcourrait toujours la moitié d'une moitié de distance...?

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