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Fable et jeu de l'Oie

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raphael14:
Excellent chapitre, à part quelques fautes d'innatention, rien à signaler. l'action suit son cour, on veut en savoir plus...Bref vivement la suite.

FitzChevalerie:
J'ai lu ta fiction Yorick et je l'ai trouvée vraiment bien !
Tu dis que tu fais beaucoup de fautes d'orthographe, pourtant seul le premier chapitre en comporte un nombre important. Les trois suivants sont vraiment bien travaillés de ce point de vue, mais s'il reste quelques fautes d'orthographe, ça passe plus pour de l'inattention. Ta syntaxe est très bonne, je n'ai rien à dire dessus. Pas de fautes d'expression, les phrases sont bien tournées, même si parfois des mots ne sont pas très bien placés. Enfin, le style est vachement fluide, accrocheur, on ne bute pas sur certaines phrases, ça coule. Et en plus, tu arrives à nous rendre un contenu assez poétique, non vraiment j'apprécie beaucoup :)
Quant au scénario… Vraiment, je le trouve intéressant et très original. Le premier chapitre commence tout de suite avec le mystère des flammes bleues, les explications sur la vie de Frederik. Celles-ci sont néanmoins parfois un peu ennuyeuses, même si elles sont nécessaires. Mais bon, j'aime les débuts dans l'action, donc c'est sûr que ça ne me plaira pas forcément ^^.
Puis tu nous introduis de la même façon Artémis, son caractère, son histoire et le mystère de son père qui est parti. J'ai trouvé ce chapitre-là beaucoup plus intéressant, le style est moins mou, plus énergique. En tout cas, le personnage de la jeune femme est très charismatique, je me suis tout de suite attaché à elle. Elle a un côté attachant et elle dégage une aura de force calme, comme le démontre la scène avec son frère.
Vient ensuite la rencontre entre nos deux protagonistes dans le chapitre 3 (au titre plutôt moyen en passant :niak:). Celui-ci est aussi très intéressant, plaisant à lire, bon style et puis on commence enfin l'intrigue comme tu le dis. L'élément du frère qui va réunir nos deux personnages est plutôt subtil, je trouve ça pas mal. J'ai vraiment hâte de voir ce que ça va donner quand les relations se seront approfondies : vas-tu opter pour une amitié solide ou pour un amour tout ce qu'il y a de plus inconditionnel ? Bien envie de savoir ^^
Enfin, le quatrième chapitre, mon préféré. Tu as su insuffler une ambiance sombre et lyrique à ton écrit, quelque chose de mystérieux qui me plait bien. Le rêve que Frederik fait est bien retranscrit et le personnage de la sorcière donne envie d'en savoir plus sur son compte. Il y a juste quelques phrases qui sont un peu confuses, mais rien qui empêche de comprendre ou d'apprécier ton texte.
Bref , j'ai hâte de lire la suite Yorick !

Ps : tes chapitres sont pile poil à la bonne longueur ;)
Ps2 : j'adore les petites images au début de chaque chapitre !

Yorick26:
Raphael14 ~ Je suis désolé pour les fautes d'orthographes. J'avoue que je pourrais me relire, mais une fois le chapitre fini, je suis pris d'une très grande flemme et je ne cherche pas les fautes d'orthographes. Je devrais. Je sais. Surtout qu'à l'ordinateur, j'en fait plus que sur une feuille. Étrangement. En tout cas content que ça te plaise. Je ne sais pas trop commencer l'histoire. Je la continue comme ça dans ce chapitre. Les événements j'espère vont se bousculer un peu plus rapidement pour me donner envie d'écrire. Je suis comme vous, un lecteur qui ne connaît pas encore la suite de l'histoire. Et c'est cette envie qui me pousse à écrire la suite. ^^

Fitz ~ Désolé, mais aux vues de tes compliments, ce chapitre risque de te décevoir. Car un an après, Artémis a été oublié par Frederik. Je compte la réintégrer dans l'histoire ne t'inquiètes pas. Néanmoins, pour l'instant cela reste sans amour. J'ai décidé de faire vieillir mon personnage d'un an pour qu'il soit plus proche de moi et pour justifier (subtilement) mon absence d'écriture. D'accord, je n'ai aucune justification. En tout cas ça me fait très plaisir que tu aies commenté. Je tâcherais de me remettre un peu plus à l'écriture à l'avenir, mais étant en prépa ça risque d'être difficile.
Enfin, mon chapitre s'est rallongé car si on reste à la taille d'avant, il serait resté bien ennuyeux. Sans aucune action. Voilà, et puis contrairement à ce que disais je ne sais plus qui. Ce n'est pas Artémis qui découvrira en premier les flammes bleues mais bien son oncle. Enfin bon, je vous laisse lire si ce n'est pas déjà fait ^^!


LES FLAMMES BLEUES
Chapitre V : Culpabilité
      Frederik s’assit sur le rebord du pont. Une de ses jambes pendait dans le vide au dessus de l’eau. Il avait déjà eu l’occasion de voir l’océan. Lorsqu’ils allaient à Darter, sa mère et lui, ils passaient toujours un moment sur la plage de galet et restaient là à regarder l’horizon sans rien dire. Maintenant qu’il vivait chez son oncle à Mnémé, il venait souvent au bord de l’océan. Cela lui rappelait sa vie d’avant. Sa vie avec sa mère. Voilà un an qu’il avait quitté Darter. Il avait changé et surtout muri. Il s’était renfermé aussi. Il avait cessé de croire au jour où il pourrait la rejoindre lorsqu’un mois après être arrivé dans la capitale un coursier leur avait appris la mauvaise nouvelle. Sa mère n’avait pas survécu à la maladie.
      Cela lui avait fait un choc. Le silence s’était peu à peu installé entre lui et son oncle finissant par détruire toutes les tentatives de ce dernier pour établir un lien avec Frederik. Depuis la situation s’était détendu, mais elle restait froide. Le jeune homme ne lui en voulait pas. Il le trouvait même sympathique, mais depuis il préférait rester seul. Il avait peur d’avoir à se justifier. Se justifier de raisons que peu de gens pourraient comprendre. La « maladie » n’était pas très virulente dans la capitale. Beaucoup de médecins travaillaient d’arrache-pied pour contrer Nécrose. Au-delà des montagnes, ce n’était pas la même chose. La situation devenait plus dangereuse. Toutes les personnes fragiles risquaient d’être touchées. Femmes enceintes, vieillards, enfants. Tous étaient des victimes potentielles. Depuis il régnait un contrôle systématique de l’hygiène. Certains docteurs étaient partis bénévolement de l’autre côté du Menh. Une sage initiative car s’ils ne l’avaient pas fait, les habitants encore saints auraient fuit vers les plaines participant ainsi à la propagation de la maladie. Depuis une seconde école de médecine avait ouvert ses portes. Cela restait qu’un simple bâtiment réquisitionné à Parmis où s’étaient rassemblés plusieurs médecins afin de former le plus de personnes capables d’agir contre cette Nécrose. Ils n’avaient pas encore trouvé de remède. Ils trouveraient c’était certain. Tout du moins Frederik le pensait. Il l’espérait.
      Le port était calme. L’activité du port n’était plus ce qu’il était. Ce fut le commerce qui imposa la suprématie de Mnémé sur les autres villes. Au centre d’Iolys, elle pouvait desservir toutes les villes. Aujourd’hui les échanges se faisaient par voies terrestres. Si on voulait voir des bateaux quitter le port, il fallait se lever tôt. Les pêcheurs ne reviendraient que tard l’après-midi et s’installeraient le soir sur la place principale pour vendre leur récolte sur les stands bruyants du marché. Frederik s’allongea et écouta le refrain du bruit des vagues s’échouant sur les roches. Il n’y avait personne. Seule sa propre respiration venait compléter la mélancolie de la mer
.      Frederik ne savait pas comment occuper ses journées. A Darter il travaillait à la forge. Ici, les forges étaient trop réputées pour employer un simple garçon comme lui. Au fond de lui-même, il préférait que ce soit ainsi. Il n’avait pas besoin de gagner de l’argent. Son oncle faisait parti des personnes les plus riches de la ville. Puis, le travail signifiait une communauté. Dans n’importe quel contexte, il préférait la solitude.
      Le jeune homme resta ainsi jusqu’au couchant. Les pêcheurs retardataires se dépêchaient de quitter le port laissant leur bateau se cognait contre les autres. Il était l’heure de rentrer. Sur le chemin du retour, Frederik continua ses réflexions. Pourquoi les flammes bleues étaient-elles apparues en même temps que la maladie ? Il ne le savait pas. Ce n’était peut-être qu’une coïncidence. Tout du moins, il l’espérait tout autant que sa mère fut encore en vie. Si ces deux événements étaient liés alors il était particulièrement responsable de sa mort. Il se rappela du rêve qu’il avait fait avec son père. Rêve qui était revenu sans cesse hanter ses nuits. C’était comme si ce rêve se réalisait. Dans ce rêve, c’était lui le responsable des meurtres. Il savait que ce n’était qu’un rêve pourtant il eut l’impression que ce n’était pas qu’une simple image de l’esprit. De puis le décès de sa mère, il avait prit des allures prophétiques.
       Arrivé chez lui, il passa par la porte des serviteurs. Il prit quelques tranches pains qui trainaient sur une table et retourna dans sa chambre. Elle était plongée dans le noir. Par habitude il se dirigea vers la bougie posée sur le buffet. Serrant la mèche dans le creux de sa main, il l’alluma d’une flamme bleutée. Quand il la lâcha, elle était allumée d’un feu normal. Dans la main de Frederik, les flammes s’étaient éteintes. Depuis quelques mois, la puissance de pouvoir était accrue. Maintenant, il pouvait donner consistance à ses flammes. Une fois la chambre faiblement éclairée, il s’allongea sur le lit et s’endormit rapidement.

      Au beau milieu de la nuit, la fin de son cauchemar le réveilla. Dans sa tête résonnait les dernières paroles. « Fais-toi discret chez ton oncle et tout se passera bien. ». Depuis un an, il s’était tenu tranquille. Pourtant sa mère était morte. Il avait tout perdu, et au fond de lui-même Frederik savait qu’il était malheureux. A force d’entendre ces mots, ils les avaient crus. Ils les haïssaient. Ils étaient responsables de cette vie. Tout comme ces flammes. Il commençait à les détester.
      Quelqu’un marchait dans le couloir. Deux personnes à priori. Il entendait leurs voix mais n’arrivait pas à distinguer leurs paroles. Sans faire de bruit, il se leva de son lit. Torse nu, vêtu d’un bas long beige, il ne prit pas la peine de mettre quelque chose à ses pieds. Il se rapprocha de la porte sans faire de bruit. De là, ils les entendaient mieux. L’oreille collée sur le bois, il réussit à entendre :

« Marche plus doucement, mais plus vite. On va le réveiller. Vaut mieux pour nous qu’on le tue dans son sommeil. »      Frederik recula. De qui parlait-il ? Accolé à un mur, dans l’obscurité, il attendait que la poignée tourne. Rien ne se passa. Il prit son courage à deux mains. Dans le couloir, il n’y avait plus aucun son. Peut-être attendaient-ils le bon moment pour s’attaquer à lui ? Non, il l’aurait fait avant. Il était sensé dormir à cette heure là et il n’avait pas fait assez de bruit pour qu’ils sachent que ce n’était pas le cas. Ils ne venaient donc pas pour lui. Pour qui alors ? La réponse lui apparut comme une évidence. Si ce n’était pas pour lui, c’était forcément pour son oncle. Après tout c’était une personne qui était importante à Mnémé et qui dit importante dit dangereuse ou gênante pour certains. Frederik se saisit du tisonnier et sortit de sa chambre.
      Il n’y avait personne dans le couloir. Il fallait qu’il les rattrape. Ils avaient déjà assez gagné d’avance. Le jeune homme connaissait les lieux. Peut-être que les assassins aussi. Ils pouvaient très bien être munis d’un plan, mais Frederik n’aurait pas à hésiter. Il utilisa ses pouvoirs. Dans un crépitement, le tisonnier se recouvra de flammes bleues. Les murs étaient maintenant visibles. Il ne pouvait pas se perdre. Sans se poser de question il se rua dans le couloir de gauche. Il ne pouvait se permettre de perdre un autre membre de sa famille par sa faute.

      A quelques mètres de là, Will était agenouillé devant une porte. Ils étaient arrivés sans se tromper devant la chambre de Gabriel Dorr. C’était un homme puissant et de nombreuses personnes voulaient sa place. Will et son acolyte Clauss avait reçu l’ordre de le tuer. Il ne savait pas d’où venait la demande, mais il savait qu’il payait cher pour que le travail soit fait. Ils en avaient pour l’instant que le quart, mais c’était déjà une grosse somme. D’un mouvement de poigné, il fit sauter la serrure. C’était sa passion. Depuis tout petit il adorait prendre des objets en cachette. Le risque d’être surpris en faute l’avait toujours motivé. Aujourd’hui, il usait de son talent inné pour gagner de l’argent. Et il ne se débrouillait pas trop mal. Non seulement il pouvait rentrer dans un manoir comme celui-ci sans se faire repérer en planifiant chaque étape du programme, mais il n’avait pour l’instant essuyé aucun échec si bien qu’il était plus réputé dans les classes malfaisantes que par les services de la milice. De plus, il ne s’était encore pas salit les mains. C’était le travail de Clauss. Son air rude et brutal aurait pu faire fuir n’importe quelle personne. Il prenait plaisir à tuer et essayer de varier les techniques. Il était assez fort pour abattre un homme d’une main, mais préférait parfois et surtout quand la situation l’imposer, choisir des méthodes plus douces et plus discrètes. C’était le cas ce soir. Ils allaient l’étouffer. Ainsi, le meurtre pourrait passer pour une mort naturelle. Un homicide se rependrait comme une trainée de poudre et remonterait peut-être jusqu’à eux. C’était une victime trop importante pour la ville. Alors qu’un petit brigand pouvait être égorgé à la sortie d’un bar, ici il fallait être invisible. La prudence la plus élémentaire le recommandait. Ainsi que les directives de leur commanditaire.
      Clauss entra en premier dans la chambre. C’était à lui de jouer. Will lui resta un moment dans le couloir pour s’assurer que personne n’était là puis entra à son tour. Il n’eut pas finit de fermer la porte qu’une autre personne entra forçant le passage. Tout à coup un tisonnier prit feu en l’air. Will fut stupéfait par la couleur des flammes. Ce bleu était magnifique. Il resta sidéré pendant que la barre de fer s’écrasa sur son crâne. Il sentit une vive brûlure puis sombra dans l’inconscient. Clauss fut lui aussi surpris, mais réagit plus vite. Il fonça tête baissée vers le jeune homme qui était au bout du tisonnier. Il avait l’air gringalet. Le bruit que fit Frederik lorsqu’il se heurta au mur réveilla son oncle. Il mit un moment à comprendre ce qu’il se passait. Le jeune homme était en l’air et ses pieds battaient dans le vide. A son cou, deux mains énormes le serraient. Il tentait en vain de les décrocher. Alors qu’il manquait d’air, il en appela à la magie. Peut-être que celle-ci lui serait vraiment utile pour une fois. Les flammes bleues brûlaient la peau de son assaillant, mais celui-ci tînt bon. Il savait que s’il arrivé à résister à l’envie de tout lâcher, le jeune homme serait mort asphyxier. Ce dernier essayait de plus en plus fort de le faire lâcher prise. Il se sentait s’éteindre tout comme les flammes qu’il projetait. Soudain il put de nouveau respirer et retomba comme un poids mort sur le sol. A ses côtés, l’homme baraqué se vidait de son sang un tisonnier dans les entrailles.

Prince du Crépuscule:
Hey hey, bonsoir mage complice. Eh oui je sais, ça fait bien longtemps que tu n'as pas pu profiter de mon aimable présence dans ce topic. Faut dire qu'il semblait un peu... abandonné. ^^
Mais tu reprends, c'est une très bonne chose. J'en suis très heureux, d'autant que ça me permet d'apprécier ta belle petite fiction. Bref, comme tu t'en doutes je suis venu poster un petit commentaire. Non non, n'aies crainte! Ne recule pas comme ça je ne suis pas un monstre! (ou presque. ;p) Il me semble me souvenir que tu n'es pas particulièrement fan des commentaires-fleuves que je peux faire dans mes moments de passion frénétique, alors je vais tâcher de me tempérer un peu. ;)

Premièrement, je me dois de préciser que j'ai relu toute ta fiction pour me remettre dans le bain, comme on dit. Je n'ai pas été déçu du voyage! ça m'évoque pas mal de souvenirs en fait, et vu que je suis un grand nostalgique, eh bien... j'aime! X'3
Bref, comme ces chapitres sont assez disséminés temporellement parlant, j'ai pu constater une nette évolution dans ta manière d'écrire. Oui, en clair tu as bien progressé. Mais tu as progressé sans perdre cette fraîcheur que j'apprécie vraiment dans ta fiction. Ton style est simple et fluide, ça se lit très bien. En fait je trouve qu'il regorge d'une poésie un peu naïve qui me séduit beaucoup (ce n'est pas du tout péjoratif, ça fait un peu bucolique si tu préfères ^^)

Seulement, comme tu t'y attends sûrement, il y a quelques zones d'ombres qui viennent entacher cette jolie manière de conter. Il y a en effet pas mal de fautes de Français, surtout au niveau de la conjugaison (temps conjugué ou participe passé) et de la syntaxe, qui me paraît parfois un peu maladroite. Tu te mélanges pas mal dans les prépositions j'ai remarqué également. Enfin, ceci concerne surtout les 3 premiers chapitres, le quatrième est nettement mieux sur ce plan-là. J'avoue que j'ai la flemme de relever (ça ne ferait qu'allonger pernicieusement ce commentaire tout mignon et innocent. :niais:), mais quoiqu'il en soit je te félicite pour ta progression en la matière. Je sais que c'est ta bête noire, mais tu vois, tu en triomphes peu à peu. ^^

Après, concernant l'histoire j'aime beaucoup. J'aime bien le portrait que tu brosses du monde que tu animes sous nos yeux et de tes personnages, aussi. Ils sont très attachants, comme j'ai déjà pu le dire. ^^ En fait c'est drôle, mais en relisant, surtout pour les premiers chapitres, ça me fait beaucoup penser à l'ambiance un peu naïve des Tales of. Je sais pas si c'est fait exprès ou que je délire, mais je trouve que ton monde s'y rapporte assez bien. Les personnages sont bien typés comme dans cette belle série, la dimension poétique et sa simplicité y concourent également. Enfin, c'est peut-être la carte avant tout qui m'y fait penser. Les noms des villes et la présentation pourraient tout à fait convenir à un Tales of. (propose ta candidature à Namco, ils seraient ravis de te prendre je crois. *fufu*) ;)

Bien sûr quand je dis ça ce n'est pas une critique négative hein, j'apprécie vraiment! Concernant l'intrigue, je trouve ce début bien amené. On se demande bien ce qui va arriver à ce pauvre Frédérik qui se renferme et qui est nouvellement confronté à l'univers d'une grande ville et aux tentatives d'assassinat! J'ai hâte de voir ce que tu nous réserves, faute de pouvoir critiquer quelque chose de vraiment établi. (bienvenue au club de ceux qui mettent trois plombes à commencer, serrons-nous la main mon frère! :roll:)
Ah si, si j'avais un défaut à relever, je pense que dans le chapitre 4 l'apparition de la sorcière en rêve est un peu... facile. Je sais pas, je m'attendais à quelque chose de plus original qui provoquerait la mort de sa mère. Pour tout te dire je n'ai pas été trop réceptif à ce chapitre, pour cette raison et aussi parce que je n'ai pas été très gagné par l'ambiance que tu as voulu insuffler.

Hm. Enfin voilà, sur ce je te souhaite bien du courage pour la suite, que j'attends d'ailleurs bien impatiemment! Ne me fais pas saliver, vil mage complice, ou je t'attends au tournant! ;)


PS: Tiens, puisque je suis dans mon délire Tales of, je t'offre affectueusement cet opening d'un animé que je te recommande chaudement: http://www.dailymotion.com/bookmarks/prince-du-crepuscule/video/x79nx9_tales-of-the-abyss-opening-01_creation
Voilà, j'espère que tu as aimé, à bientôt j'espère pour un nouveau chapitre! ^^

raphael14:
Génial, je me demandais si ta fiction réapparaîtrait un jour.
J'avais oublié à quel point tu écris bien ! J'ai nôté moins de faute, toujours un déterminant qui manque par-ci par-là, mais il y a du progrès.
Mmmm, que va t-il se passer. L'oncle de Frederik l'a forcément vu utiliser ses pouvoir. Va t-il le chasser ou l'aider. Ne nous fait pas trop attendre, ce serait cruel.

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