Les hommes se déployaient donc sur la plaine encore ensanglanté afin de récupérer les corps, et rechercher les éventuels blessés.
Les hommes se déployèrent donc sur la plaine encore ensanglantée afin de récupérer les corps, et de rechercher les éventuels blessés.Et je te conseillerais d'enlever le "encore", puisque la bataille vient à peine de se terminer, elle est forcément ensanglantée. Quand on met "encore", c'est plutôt pour symboliser le fait que ce soit étonnant qu'elle soit encore ensanglantée après tout ce temps.
Les hommes se déployaient donc sur la plaine encore ensanglanté afin de récupérer les corps, et rechercher les éventuels blessés. Tâche terrible et effroyable pour chacun de ces soldats encore sous le choc des images violentes et barbares des combats.
Les deux phrases doivent être reliées. Quand on dit "tâche terrible et effroyable", on sous-entend dans la phrase "qui est une tâche terrible et effroyable" ou "c'est une tâche terrible et effroyable", donc :
Les hommes se déployaient donc sur la plaine encore ensanglanté afin de récupérer les corps, et rechercher les éventuels blessés, tâche terrible et effroyable pour chacun de ces soldats encore sous le choc des images violentes et barbares des combats.
Un émissaire royal intervint alors à la rencontre de l’Etat-major.
Un émissaire royal vint alors à la rencontre de l’Etat-major. ... Tu as quelque chose avec le verbe "intervenir", toi...
énonça le messager
annonça le messager, car le terme "énonça" n'est pas approprié.
Monsieur pouvez vous nous expliquer, demanda avec impatience un général.
Monsieur, pouvez-vous nous expliquer ? demanda avec impatience un général.Informez en le responsable de l’armement
Informez-en le responsable de l’armementBien général, répondit l’émissaire
Bien, général ! répondit l’émissaireSur-ce il s’en alla sur son destrier vers la cité d’Hyrule.
Sur ce, il s’en alla sur son destrier vers la cité d’Hyrule.4 141 soldats de la garde civil
4 141 soldats de la garde civile2 080 épéiste
2 080 épéistes954 chevalier
954 chevaliersLe visage du généralissime
Comme pour tout à l'heure, tu ne l'as jamais appelé généralissime avant.
Tant d’homme avait périt, ce n’était que la première bataille, et tout le potentiel des gerudos n’avait pas été mis en œuvre.
Tant d’homme avaient péri, ce n’était que la première bataille, et tout le potentiel des Gerudos n’avait pas été mis en œuvre.Et avec ça, il y a aussi "mis en œuvre" qui ne va pas très bien avec la phrase. Peut-être plutôt "dévoilé", "révélé", "employé"...
C’est maintenant que commençait la guerre, la vraie.
Déjà, tu as mis "C'est" au présent. Ensuite, la phrase n'est pas très belle telle qu'elle. Je te propose : "C’était maintenant que commençait la véritable guerre.".
Cette fois si, ce ne sera pas comme au temps de la guerre contre Bongo, ou ce fut le nombre qui faisait pencher la balance.
Cette fois-ci, ce ne serait pas comme au temps de la guerre contre Bongo, où ce fut le nombre qui fit pencher la balance.Cette fois si, ce ne sera pas comme au temps de la guerre contre Bongo, ou ce fut le nombre qui faisait pencher la balance. Mais aujourd’hui ce sera bel et bien l’ascendant technologique et stratégique.
Déjà, il y a quelques fautes dans la deuxième phrase.
Mais aujourd’hui, ce serait bel et bien l’ascendant technologique et stratégique.Ensuite, cette partie est un peu mal construite. Je peux te proposer ces quelques solutions :
Cette fois-ci, ce ne serait pas comme au temps de la guerre contre Bongo, où ce fut le nombre qui fit pencher la balance, mais ce serait bel et bien l’ascendant technologique et stratégique.
Cette fois-ci, ce ne serait pas comme au temps de la guerre contre Bongo. Ce serait l’ascendant technologique et stratégique et non le nombre qui ferait pencher la balance.
D'autres solutions sont possibles, bien sûr.
et stratégique. Le Royaume
Un double espace s'est glissé entre le point et "Le".
Ces canons promis par les célestiens il y’a un an et demi devaient absolument être livré dans les plus brefs délais…
Ces canons promis par les Célestiens il y a un an et demi devaient absolument être livrés dans les plus brefs délais… C’était l’arme décisive qui permettrait à Hyrule de conserver un ascendant technologique certains face à l’armée Gerudo.
C’était l’arme décisive qui permettrait à Hyrule de conserver un ascendant technologique certain face à l’armée gerudo. Ici, "gerudo" est un adjectif. Quant à "certain", il s'accorde avec "UN ascendant technologique", il est donc à mettre au singulier.
-Bien, commença Link, au vu des circonstances actuelles, j’ordonne le retrait temporaire de toute l’armée. Nous perdons notre temps à tenir ces positions. Celles-ci ne nous sont d’aucune importance économique et militaire, finit le général en observant les falaises frontalières gerudo, alors conquises.
Il y a un problème avec les verbes de parole dans cette réplique. Déjà, on dirait plutôt "conclut" que "finit", et ensuite, le fait de dire "..., dit Link, ..., finit le général", peut perdre le lecteur étant donné que tu as changé la manière de l'appeler pendant qu'il parlait. Je te propose donc :
-Bien, commença Link, au vu des circonstances actuelles, j’ordonne le retrait temporaire de toute l’armée. Nous perdons notre temps à tenir ces positions. Celles-ci ne nous sont d’aucune importance économique et militaire, conclut-il en observant les falaises frontalières gerudos, alors conquises.
(Ah oui, j'ai aussi rajouté un "s" à la fin de gerudos, comme c'est un adjectif qui se rapporte aux falaises.)
-Pardonnez moi, questionna le responsable de l’armée du Nord, mais que projetez vous quand à la suite des opérations ? Devrons nous attaquer la cité gerudo ou rester sur nos positions dans l’attente du renforcement de nos troupes ?
-Pardonnez-moi, questionna le responsable de l’armée du Nord, mais que projetez-vous quant à la suite des opérations ? Devrions-nous attaquer la cité gerudo ou rester sur nos positions dans l’attente du renforcement de nos troupes ?Il faut un tiret entre le verbe et le sujet lorsqu'on les inverse dans le cas d'une phrase interrogative.
Il ne faut pas confondre "quand", adverbe interrogatif questionnant sur le temps, et "quant à", un... heu... truc... qui introduit... d'autres trucs...
J'ai changé "Devrons-nous" en "Devrions-nous", car le temps est plus adapté. Le futur simple exprime une action certaine, or ici, rien n'est sûr quant aux décisions prises.
Et enfin, je te conseillerais de mettre un autre verbe de parole que "questionna", car à ce point de la phrase, le responsable de l'armée n'a pas encore posé de question.
Qu’entendez vous par là général ?
Qu’entendez-vous par là, général ?Il faut harceler toute leurs voies de communication
Il faut harceler toutes leurs voies de communicationIl faut harceler toutes leurs voies de communication qui pourraient éventuellement acheminer des ressources.
Ici, la phrase n'est pas bien construite. Ce serait plutôt :
Il faut harceler toutes les voies de communication qui pourraient éventuellement acheminer des ressources.Je m'explique : "leurs" est un adjectif possessif, donc "harceler toutes leurs voies de communication" se suffit, il n'y a pas besoin de préciser que ce sont celles qui peuvent acheminer des ressources, puisque ce sont déjà toutes leurs voies qui vont être harcelées. Par contre, si tu écris "toutes les voies", là, il est nécessaire d'avoir cette précision, puisque ce ne sont évidemment pas toutes les voies existantes qui vont être coupées, ce sont seulement les voies gerudos.
Mais pour que la phrase soit complète, il faut encore rajouter un mot, pour rappeler que ce sont des gerudos qu'on parle :
Il faut harceler toutes les voies de communication qui pourraient éventuellement leur permettre d'acheminer des ressources.
Voilà, c'est ici que "leur" aurait dû se placer (même si, effectivement, ce n'est plus un adjectif mais un pronom).
Leur commerce doit être anéantit
Leur commerce doit être anéanti, c'est comme cela que s'écrit le participe passé du verbe "anéantir".
L’ensemble de l’Etat-major semblait satisfait face à cette stratégie
L’ensemble de l’Etat-major semblait satisfait de cette stratégied’autant plus que ça permettrait de gagner du temps
L'emploi de "ça" ne fait pas très joli... On n'emploie normalement pas "ça" dans un texte, étant donné qu'il s'agit d'une contraction de "cela". Si tu as peur que l'emploi du mot "cela" soit trop lourd, trop soutenu dans ton texte, tu peux toujours remplacer "ça" par "elle", puisqu'on parle de la stratégie.
Ils se révéleront décisif dans la suite des combats.
Ils se révéleraient décisifs dans la suite des combats.L’ensemble de l’Etat-major semblait satisfait face à cette stratégie, d’autant plus que ça permettrait de gagner du temps. Temps se révélant être précieux, l’armée hylienne avait besoin de ces canons. Ils se révéleront décisif dans la suite des combats.
J'ai déjà relevé une petite erreur de ce type un peu avant dans le chapitre, je ne sais plus comment je l'avais expliqué, mais pour faire simple, comme tu apportes une précision sur le temps, tu ne peux pas la faire dans la phrase d'après. Normalement, ce serait comme ça :
L’ensemble de l’Etat-major semblait satisfait de cette stratégie, d’autant plus qu'elle permettrait de gagner du temps, temps se révélant être précieux, l’armée hylienne ayant besoin de ces canons. Ils se révéleraient décisifs dans la suite des combats.Mais ce ne serait pas très joli, ni très correct. Donc voici ce que je te propose :
L’ensemble de l’Etat-major semblait satisfait de cette stratégie, d’autant plus qu'elle permettrait de gagner du temps, et le temps se révélait précieux. L’armée hylienne avait besoin de ces canons. Ils se révéleraient décisifs dans la suite des combats.Voilà, à toi de trouver la formulation qui te convient le mieux dans ce paragraphe. Je t'en ai proposée une, mais ce n'est pas forcément la meilleure.
Là-dessus l’ordre de retrait de l’armée fut donné.
Là-dessus, l’ordre de retrait de l’armée fut donné.Le calme revenu sur la pleine
Le calme revint sur la plainel’obscurité s’abattaient sur les terres d’Hyrule
l’obscurité s’abattit sur les terres d’Hyrule Le fait de s'abattre est une action brusque, soudaine, on utilise donc le passé simple plutôt que l'imparfait.
A jamais, ils seront hantés par l’effroi
A jamais, ils seraient hantés par l’effroiceux-ci savaient néanmoins que demain il faudra reprendre les armes
ceux-ci savaient néanmoins que demain, il faudrait reprendre les armesDemain il faudra à nouveau s’élancer à travers l’atrocité et le désespoir.
Demain, il faudrait à nouveau s’élancer vers l’atrocité et le désespoir.Ayant perdus tout sens de justice et toute notion du bien
Ayant perdu tout sens de justice et toute notion du bien, car avec l'auxiliaire "avoir", le participe passé ne s'accorde jamais avec le sujet.
les hommes, assoupis, étaient prêt
les hommes, assoupis, étaient prêtsVoilà, c'est fini. Et si je peux me permettre un conseil pour éviter de reproduire les fautes à l'avenir, n'oublie pas de ne jamais employer le présent ou le futur dans ton texte, en aucunes circonstances (sauf dans les dialogues bien entendu, même si ce serait amusant que tout le monde parle au passé).