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À la bonne recette - Projet

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stefbad:
Attention, j'ai été inspiré !


"Nous allons chez les Yigas. Krystal et Linkondo y sont et Chompir ne devra pas nous accompagner à la fin du trajet."

 La surprise fouetta l'assistance. Tous me regardaient d'un regard, étonné pour certains, d'autres, désillusionnés et même un désapprobateur, comme si je disais quelque chose de stupide, irréel et sûrement faux ! ... enfin, c'est comme cela qu'ils doivent le percevoir, j'y pense. Je pense que je leur doit quelques explications, mais je ne vais pas pour autant dévoiler mon don... ou plutôt ma malédiction, car c'est très dur à vivre, je ne sais plus ce que c'est qu'une nuit sereine. Je m'hasarde donc à leur dire :

"Non que j'ai quelque chose contre Chompir ! Pas du tout ! Mais en fait... J'ai pratiqué un jour de la divination et j'ai vu quelque chose avec succès, je vais vous raconter :
« J'ai vu un bokoblin. C'est en fait, je m'en rends compte maintenant, pas n'importe qui, c'est le bokoblin spécial qui a désormais une page dans mon carnet, Linkondo. Devant lui, j'ai vu une femme qui essuyait des verres. Tout à coup, un gardien est apparu en dessous d'elle de façon à ce qu'elle le chevauche. Elle a ordonné au gardien de tirer sur Linkondo, mais quelqu'un masqué se jeta devant lui et le sauva in extremis. Puis, Verantwo, je le sais maintenant apparut devant moi et déchira la carte du monde en deux, de façon à séparer le nord du sud, et elle m'a hurlé : "Adieu ! Adieu !"
« Ce matin j'y ai repensé et j'ai compris sa signification désormais, du moins je le pense, en fait, la barman est sûrement cette dénommée Krystal dont vous m'avez parlé et je pense que le gardien est une référence à la technologie Sheikah donc aux Sheikah eux-mêmes qui peuvent être une référence aux Yigas, surtout en croisant ceci avec le fait que Linkondo soit dans un endroit froid. Bref, cela veut dire que Krystal va peut-être essayer de tuer celui-ci pour je ne sais quelle raison, mais qu'elle va le rater, mais le plus intéressant est le fait que Verantwo a déchiré la carte du monde en deux, en séparant le nord du sud, et je pense qu'il veut dire que Chompir, qui vit au nord, va être séparé de ceux qui sont au sud, et sûrement de manière violente. Voilà donc pourquoi je dis cela. Enfin, je peux parfaitement me tromper dans mon interprétation !"

 Tous réfléchissent. Ais-je réussi mon coup ? J'espère que oui ! En tout cas, j'avais installé un silence pesant et on mangeait notre gâteau aux carottes. L'air matinal est frais comme toujours dans ce pays mais un grand soleil se lève et les premiers rayons me caressent la peau de façon que je n'avais jamais réellement pris plaisir à ressentir. Il est vrai que je ne m'expose que peu au soleil au final, même si je parcours le monde depuis... déjà cinq ans ! Tss... Pourquoi y-ais-je pensé ? Je vais de nouveau être morose toute la journée à repenser à ma vie horrible à la cité Gerudo ! De plus, ce n'est pas le moment ! On a des problèmes plus importants !
 J'entendis tout à coup le bruissement d'un pas sur le sol dans la terre battue. Je me retourna et vis Chompir qui arrivait, visiblement il est encore pas totalement remis de son accident ! Il dit :

"Où est Linkondo ? J'ai vu Kilton et j'ai pu lui acheter son remède. J'ai aussi recontré quelqu'un qui à construit tout un village, il pourrait nous aider pour le restaurant."

 Un silence encore plus pesant que celui que j'avais créé s'est installé. Je ne pensait pas que c'était possible ! Tout le monde semblait surpris que Chompir ne se souvenait de rien, mais en fait c'est normal car lorsqu'on subis un grand coup dans la tête, on risque d'avoir des dérèglements dans le cerveau qui font que les neurones ne se remettent pas forcément à effectuer les mêmes schémas mémoriels ! C'est logique ! ... enfin pas pour tout le monde je pense... Jielash repris soudain la parole, elle est apparemment la première à sortir du choc :

" Tu ne te souviens de rien ? C'est Veran machin truc qui à kidnappé Linkon... Je veux dire le Boko. Il ne faut pas penser à son nom sinon on le mettra en danger.

- C'est Verantwo son nom. Je crois que Yorick à eu une conversation avec le Bokoblin grâce au collier nox et j'ai pu en déduire leur position. Ils sont sur le plateau d'Umetake au dessus du canyon Gérudo." répondis-je du tac au tac.

- Qu'attendons nous alors ? Nous devons nous dépêcher d'allez le sauver !" dit Chompir.

- Ecoute Chompir, je sais que ça ne va pas te plaire mais tu ne dois surtout pas y aller. C'est trop dangereux pour toi. D'après Stefbad et sa vison tu risquerais d'y rester. Et puis tu es bien trop faible encore pour faire quoi que se soit." expliqua Yorick.

- On ne peut pas l'abandonner là bas ! On doit faire..." dit Chompir mais il perds tout à coup l'équilibre et ne peut terminer sa phrase.

- Ne t'en fais pas Chompir, je ne vais pas laisser au griffe de se monstre. Je vais y aller. Stefbad m'accompagnera pour me montrer le chemin. Jielash va te garder et t'aider. Sur ce nous partons maintenant. Nous n'avons pas de temps à perdre. Je vous souhaite bonne chance de votre côté. Jielash, prend soin de Chompir et empêche le de nous rejoindre." le rassure Yorick.

- Très bien. Tu peux compter sur moi." acquiesça Jielash.

- Je... Je... Je ne suis pas d'accord. Je dois y aller. Je... Je suis désolé d'être inutile et de devoir compter sur vous. Sauvez Lin... Sauvez le boko mais aussi Vaati le Zora. Il n'a rien fait dans l'histoire." annonça Chompir.

- Je te le promet. Sur ce je vous dit au revoir." conclut Yorick.

 Ouf ! Heureusement qu'il a assuré, grâce à lui on est tous avec un but. Je n'ai rien demandé dans cette histoire mais je suis quand même heureuse de pouvoir aider le groupe de... amis ? Je ne sais pas. J'attends Yorick qui prends son cheval et nous nous dirigeons vers le canyon Gerudo. Le trajet se fait en silence et à chaque fois que nous croisions des monstres que Yorick tuait habilement, je prenais des notes sur ceux-ci. Cela faisait apparemment perdre beaucoup de temps à l'expédition. Le soleil en était à son zénith lorsque nous nous sommes arrêtés dans les ruines de l'étape du seuil. Malgré mon envie intenable d'aller explorer ces ruines, je me suis résigné à préparer des boulettes aux herbes avec un boisseau de riz et deux violettes tempo. Pendant ce temps, je jette un coup d’œil à Yorick qui semble plongé dans ses pensées et ne semble en aucun cas enclin à la conversation. Cela m'est profitable : je ne souhaite pas le faire mais je ne peux m'empêcher de me demander qu'est-ce qu'il n'allait pas. Ça me fait penser à mes relations avec une Gerudo, quand j'étais enfant.

 Elle s'appelait Neyrin et était autant ma seule amie que ma pire ennemie. Elle semblait toujours être enclin à m'aider car je n'avais aucune amie mais souvent, du jour au lendemain, elle me lâchait et me traitait comme toutes les autres le faisaient. Elle me faisait des insultes bien placées ainsi que beaucoup de piques et ensuite, pendant quelques jours, elle faisait comme si nous n'avions aucune relations quelles qu'elles soient et elle redevenait mon amie ensuite. C'est très étrange et je me demande toujours aujourd'hui pourquoi. Mais à chaque fois qu'elle m'abandonnait, je restait totalement silencieuse et j'acceptais mon sort. La situation de Yorick me fait penser à cela. Il n'aspirait qu'à faire un restaurant avec son amie Krystal et voilà que plein de malheurs s’abattent sur lui. Je ne connais que ses malheurs récents mais il n'a pas dû voir la vie en rose auparavant. Je soupire un bon coup. De toute façon, dans ce monde où le malheur ne fait que s'abattre, il est impossible de faire des choses calmes, prévues et normales : j'en suis la preuve, je suis sensé trouver un voï mais je satisfait mon inébranlable curiosité en parcourant le monde et je me fais encore une fois déranger dans mes plans avec cette stupide histoire de Verantwo ! Si seulement elle ne pouvait pas exister... le fait est que désormais j'ai rencontré des personnes et je peux satisfaire une des demandes de ma mère qui était de m'ouvrir au monde... La vie est dure...

 Mes boulettes aux herbes sont en train de brûler donc j'enlève rapidement le wok du feu et j'emballe les six boulettes dans des feuilles locales et j'en sert trois à Yorick qui après un poli remerciement s'en va dans les ruines. Il a besoin de s'isoler pour mieux digérer, dans tous les sens du terme. Je l'observe donc marcher lentement et embrasser le magnifique paysage qui s'offre à nous tout en grignotant sa première boulette. Le vent souffle légèrement et me décoiffe mes longs cheveux lâches. Le soleil caresse toujours ma peau de la même façon que ce matin. Ce décor paisible ne reflète en aucun cas l'état de ce monde dévasté. Je me lève. Je m'en vais faire une promenade dans les ruines à un autre endroit que Yorick. J'ai moi aussi besoin de calme et solitude. J'en profite pour examiner ces ruines de loin et je lâche quelques larmes en pensant à ce qu'ont dû souffrir ces pauvres innocents qui vivaient là. Mais pleurer fait du bien. Je ne retient pas mes larmes qui se mirent à couler à flots sur mes boulettes. J'en mange en même temps et apprécie leur goût salé. Après que j'aie versé toutes les larmes que je pouvais, je repartit vers nos affaires en achevant ma dernière boulette. Je me rééquipe de mon lourd sac et je vais voir Yorick et je lui dit :

"Excuse-moi mais on devrais y aller.

-J'arrive."

 Il l'a dit dans un ton grave. Il arrive et semble lui aussi avoir versé quelques larmes malgré sa masculinité. Il rééquipe son sac et se met sur son cheval. Nous continuons donc le chemin et rien d'autre ne se passe, malgré les monstres croisés que Yorick tue en même temps que je prends des notes. Le temps perdu s'accumule de plus en plus et malgré le fait que j'écrive en marchant, ce sont les montées et descentes incessantes de Yorick qui prennent longtemps. Il m'a un moment dit sèchement que je devrais me battre mais il soupira ensuite en murmurant dans sa barbe. Il était réellement affecté par ses malheurs et au prochain combat je sortit mes deux cimeterres et combattis seule le blob qui s'approchait dangereusement. Yorick me remercia alors.

 Le voyage continua froidement et nous nous sommes arrêtés dans le relais de l'orée de la plaine. Yorick parla dans sa gemme nox à Chompir et Jielash qui sont restés au relais, qu moins c'est ce qu'ils disaient car j'entendis le vent qui soufflait, et je pense qu'il n'y a pas beaucoup de vent du côtés des marais de Lanelle ! On a aussi reçu un appel plus tard, pendant la nuit, de Linkondo. Je montais alors la garde. Il nous dit :

"Yorick ? Hé, ho ! Yorick !

- Linkondo ? C'est toi ?" réponds Yorick

- Oui ! Je suis content que tu réponde !

- Et Verantwo ? Il est toujours avec toi ?

- Oui, mais il dort

- Ouf, cela veut dire qu'on peut se parler sans qu'il nous écoute ! Tu peux m'expliquer ce qu'il se passe ?

- Il m'a enfermé dans une sorte de prison maléfique qui me foudroie quand je pense du mal de Ganon ! Le grand seigneur Ganon !

- Euh... D'accord... Et tu es où, là ? Quand même pas dans le château d'Hyrule ?

- Non, je suis dans une zone désertique."

 Ah ! Cela confirme ce que je pensais ! J'écoute en fait attentivement la discussion. Cela veut donc dire qu'il est sûrement chez les Yigas ! J'aime pas trop les hauteurs Gerudos. Il fait, je trouve, très froid et en plus les couleurs du Canyon se marient mal avec le blanc de la neige. Encore, je vais dans les monts de Hébra, je me souviens d'avoir visité le village Piaf -j'ai peut-être croisé Chompir, qui sait ?-, et d'avoir acheté une tenue contre le froid que je porte toujours dans mon sac aujourd'hui, mais les hauteurs Gerudos, non. Mais je devrais y aller pour retrouver Linkondo ! Et peut-être que j'en ai ce souvenir de froid intense uniquement car je l'ai vu lorsque j'avais tout juste commencé mon voyage, quand je n'avais pas mon attirail Piaf ? Il faudra tester. Yorick questionne Linkondo pour continuer la discussion :

"Désertique ? Il t'a quand même pas envoyé chez les gerudos ?"

 Pas bête ! Je n'y ai pas pensé ! Il peut être dans le désert, et j'aurais alors tout faux ! Linkondo s'empressa de répondre :

"Non, je suis sur un plateau, mais c'est des rochers ! Les bokoblin craignent beaucoup la chaleur, je ne pourrais pas tenir dans le désert."

 Bien. Mais, ils craignent beaucoup la chaleur ? Très intéressant ! Il faut absolument que je prenne des notes car je ne l'aurais jamais découvert toute seule ! Je lui pose donc la question :

"Intéressant... Et tu peux supporter jusqu'à quelle température ?

- C'est Stefbad ? Tu es la gerudo qui accompagne Chompir, c'est ça ?" demanda Linkondo

- Stefbad, tu es sensée monter la garde." ordonna sèchement Yorick.

 Tss... Rabat-joie... Je cherche quand même à me justifier :

"Oui... mais c'est le bokoblin qu'on cherche, non ? C'est peut-être la dernière fois que je rentre en contact avec lui, alors j...

- STEFBAD ! Retourne monter la garde !" ordonna Yorick.

 Bon, OK, t'as gagné ! Je me retourne et je 'monte la garde'. En réalité je ne suis pas du tout concentrée dans mon travail et j'écoute la discussion. En plus, avec la nouvelle lune on ne voit rien ! Mais bon, Yorick est très tendu en ce moment, donc c'est sûrement pour ça. Il dit à Linkondo :

"Bon, écoute, Linkondo. Il faut qu'on fasse vite avant que le démon ne se réveille. Peux-tu nous décrire là où tu es ?

- Euh... Oui, je vais voir. Mais on n'y voit pas grand-chose, avec la nouvelle lune. Ben, y a pas grand chose, en fait. C'est une grande zone plate, mais c'est quasiment entouré de falaises. Eh, et il y a une grosse tour, aussi. Comme celles qu'on voit un peu partout."

 C'est donc sûrement le plateau d'Umetake, la description y ressemble en tout cas. Cela confirme encore une fois ce que je pensais ! Yorick continua donc :

"Très bien, on va tenter de retrouver ta position... Je suppose qu'une zone aride comme celle-ci doit être soit vers les gorons, soit vers les gerudos. Stefbad pourrais nous aider, elle connaît la région du désert ! Bon, je vais te laisser, il ne faudrait surtout pas que Verantwo soit au courant pour les pierres. Essaie de dormir, comme ça tu n'y pensera plus quand il se réveillera.

- OK !

- Rappelle-nous quand il y a besoin, on va essayer de ne pas le faire nous. Ce serait bien trop risqué de le faire. Allez, au plus tôt !

- À bientôt !"

 La gemme nox s'éteint et je continua ma garde au relais. La nuit était paisible et les étoiles formaient un rideau au dessus de nos têtes. C'est paisible. Le monde est paisible mais ce qu'il s'y passe ne l'est pas. Ah... c'est une question existentielle que je me suis déjà posée, pas la peine d'y repenser car sinon ça nous fait pleurer sur notre sort. Un bruissement se fit entendre et je me retourne pour voir d'où il venait. Ce n'était autre que le gérant qui allait dormir. En parlant de cela, il faudrait bien que j'y aille ! Mais sinon j'aurais une autre vision et de toute façon aucune de mes nuits n'est reposante ! Je continue donc ma garde jusqu'à que Yorick se réveille et prenne son tour de garde. Je m'en vais donc dans un lit et je m'endors.

 Je vois... Chompir ? Je m'attendais à Verantwo, honnêtement. Tout d'un coup, je le vois s'illuminer, comme s'il cachait le soleil qui se levait. Ensuite Verantwo arriva, mais en mauvais état. Je revis Chompir qui, s'il avait une bouche, m'aurait souri, j'en suis sûre. Tous deux disparaissent et je vois donc la carte du monde posé sur une table en bois. La carte est sombre et je ne vois rien et tout d'un coup, elle s'illumine. Je relève la tête et je me brûle les yeux avec la lumière.

 Je me réveille en sursaut. Que signifie ce rêve ? Il est beaucoup plus heureux que les derniers que j'ai eue. Je me dépêche de prendre mon carnet et j'écris ce que j'ai vue. Tout d'un coup, je me rendis compte qu'on m'observait. Je regarde autour de moi et je vois Yorick qui est allongé sur sa tranche. Il me dit alors, à ma grande surprise :

"Est-ce que ça t'arrive d'avoir des nuits normales ?"


(Cliquez pour afficher/cacher) Je tiens à m'excuser de mon non-respect des règles de la fic collective. J'en ais jamais fait donc je pense que je peux l'attribuer comme une faute de débutant. En tout cas, je m'excuse profondément de mes écarts et je vous assure que cela ne se reproduira pas, dans mon cas en tout cas. Pour ma défense je ne peux que dire que c'était le week-end de l’ascension donc j'avais le temps, mais ce n'est qu'une maigre raison. Je sais que Chompir a demandé à n'avoir aucune réponse à son message mais je me sens obligé de m'excuser : je me connais, j'aurais avoir le coeur lourd encore longtemps si je ne m'excuse pas.
Mais pour Verantwo je n'ai rien fait, je n'ai que suivi Vaati the Wind Mage !

Nevermind, oubliez cz que j'ai dis...

Vaati the Wind Mage:
J'ai mal, si mal, pourquoi ne m'aident-t-ils pas? Ils sont tous là et ils ne m'aident pas, j'ai beau hurler:

Vaati, le zora:  Aaaaah par touts les dieux, aidez moi, JE VOUS EN SUPPLIE, AHHHHHHHHHHHHHHH

Elle me recouvre, elle me recouvre, c'est si douloureux! Que... Un grand noir, je ne vois rien! Je... JE NE PEUX PLUS BOUGER, OU SUIS JE? Ah enfin quelque chose, mais.... Mon regard se déplace mais ce n'est pas moi. Je parle, mais ce n'est pas ma voix. Mes mains sont.... de la couleur des ténèbres. Mon corps.... il ne m'appartient plus. Bon sang je vole? Je ne fais que voir les images. Je ne ressens rien, ni la sensation de voler, rien. Je veux retourner au village zora, je veux les revoir tous! Mais même si Chompir était là je suis sûr qu'il ne m'aurait pas aidé, il n'avait pas l'air de beaucoup m'apprécié..... Etais ce donc mon destin, un corps qui ne m'appartient plus et la dernière personne avec qui j'ai tissé des liens qui ne m'apprécie pas? La déesse de la destinée peut donc se montrer si cruelle....Nôtre vole dure si longtemps, où allons nous ainsi? Mais cet emblème.... Les Yigas?Pourquoi aller ici? ............Mon corps est occupé par...... un monstre? NOOOOOOOOOOON! UN MONSTRE DANS MON CORPS, MON JOLI CORPS? AH, C'EST HORRIBLE!! Et en plus je suis seul, et même si je suis libéré on continuerait à me considérer comme un monstre au service de Ganon. Je serais emprisonné, voir exécuter. Je serais seul.... pour toujours. Le monstre s'endort et je me sens m'endormir avec lui....



Je me suis réveillé, une arme dirigée droit vers moi. J'ai peur mais ça ne semble pas être le cas de ce Verantwo. Il le saisit par la gorge et le menace. Il me fait peur alors que je ne suis techniquement qu'un esprit... Mais oui, je ne suis plus physique, je peux tenter de m'évader de mon corps pour aller prévenir quelqu'un, ....... le prince Sidon et l'armée zora, ils viendront si ils savent qu'une créature dangereuse possède l'un des leurs! J'essaye, j'essaye, j'essaye.... Impossible.Je suis bloquer dans mon corps. Et en plus on dit que les monstres sont immortels à cause de la Lune de Sang... Quelle veine... A c'est reparti pour un envol! Et bien allons y gaiement! Le vide me fait ressentir un certain vertige. On survole les marais prêt de chez moi. Il voyage donc si vite? Il fonce droit vers un groupe de voyageurs dont un bokoblin. Chompir! Il est là au loin! AIDE MOI! AIDE MOI! AIDE MOI! Aide..... moi... par pitié. Bien sur il ne m'entend pas... Mais qu'est ce que je fais? Le bokoblin, je le menace et... Oh mon dieu, j'ai l'air d'avoir sérieusement blessé Chompir. Je devrais l'aider mais je ne peux pas et.... Non... NON! Ce n'est pas moi! je n'ai pas pu avoir kidnappé ce bokoblin! Il suffit de l'entendre pour voir que lui n'est pas un monstre, comme moi. Je l'ai enfermé dans une sorte de cage magique. Il a penser du mal de Ganon et.... Oh mon Dieu il a l'air de tant souffrir! Verantwo arrêtes! ARRÊTES! AAARRRÊÊÊTES! J'ai crié.... mais rien ne se passe. Oh il s'endort encore. Peut être demain sera un autre jour, mais la situation empire tellement........ vous, les compagnons de Chompir et de ce bokoblin, je sais quue vous viendrez le sauver, mais il n'est pas le seul à en avoir besoin! S'il vous plaît, même si vous pensez que je ne suis qu'un monstre, que je ne mérite pas vôtre pitié, ne me tuez pas avec lui! S'il vous plaît.... sauvez moi!


(Cliquez pour afficher/cacher) Je tiens moi aussi à m'excuser, sauf que comparer à Stefbad c'est vraiment de ma faute et j'ai pas vraiment d'excuses, sauf une énorme dose d'inspiration après la lecture du manga des oracles. Je m'excuse aussi envers Stefbad, c'est moi qui l'y est entraîné là dedans

Neyrin.:
J'espérai revoir ce voï. J'aurai aimé en entendre plus sur le Héros de la légende, il en savait beaucoup. Il disait que cela l'intéressait, qu'il voulait en savoir davantage sur tous les mystères qui régissaient la contrée. Il était persuadé que le Héros allait revenir, qu'il n'était pas encore l'heure de désespérer et qu'un jour, le Fléau disparaîtrait. Je n'avais rien ajouté. Après tout, je n'avais pas d'avis sur ce sujet. Lorsque je lui ai demandé de m'en raconter davantage, il m'a dit que je devais découvrir le reste par moi-même. Je le remerciai pour cette conversation enrichissante, puis suis partie me coucher. Je me suis lovée dans le lit du relais, à côté de celui de l'Hylien. Il ronflait fort. Le raffut qu'il faisait ne vint pas troubler mon sommeil, la fatigue m'assommait.

Le lendemain matin, nous nous sommes levés dans les alentours de dix heures. L'Hylien m'avait laissé dormir, disait-il. Apparemment, j'avais l'air tant épuisée qu'il n'avait pas osé me réveiller. Nous sommes donc repartis vers onze heures en direction du village d'Elimith, après un maigre déjeuner. Les voyageurs d'hier avaient disparu. Eux aussi, avaient repris leur chemin. Avec un pincement au cœur, je montai sur mon cheval. C'était une belle monture à la robe brune, je sentais que j'allais vite m'y attacher. Nous reprîmes la route après avoir chargé mon cheval de mes affaires. Durant deux bonnes heures, le trajet fut calme.

L'Hylien s'arrêta subitement, en plein milieu de la pente. Nos chevaux devinrent nerveux. Ils grattèrent le sol de leur sabot, avant de remuer la tête de haut en bas, comme s'ils s'impatientaient.

« Ne bougez pas, dit-il. Il y a des monstres, par ici.

- Quel type de monstre ? répondis-je en sortant mon cimeterre.

- Des bokoblins.

- Vous êtes capable de n'en faire qu'une bouchée, non ? »

Il acquiesça. Nous attendîmes longtemps, un peu trop longtemps à mon goût. Il n'y avait pas l'ombre d'un bokoblin en vue. Je décidai donc de reprendre le trajet, mon arme à la main. J'étais prête à agir si l'un deux venait à surgir.
 
« Hé mais qu'est-ce que vous faites ?

- Nous n'allons pas rester plantés là indéfiniment. Dépêchez-vous. »

Je remontai la pente jusqu'à entendre des grognements lointains. Ce devait être ces bokoblins. Je descendis de ma monture sous le regard de l'Hylien, puis m'accroupis derrière un rocher. Je jetai un coup d'œil de l'autre côté : ils étaient trois, accroupis et avalaient une énorme pièce de viande autour d'un feu de camp. Ils n'avaient pas remarqué ma présence, ni même senti mon odeur. J'ignorai si cela était une bonne idée de m'attaquer à eux. Après tout, nous pouvions traverser sans risquer de nous faire attaquer, à condition d'y aller au pas.
Je me tournai vers mon compagnon de voyage fixé à la selle de son cheval, cramponné aux rênes. Alors, c'était cela, le grand voyageur sans peur et sans regret ? Quelle bravoure !
Je me redressai, lui fit signe que j'allai monter sur ce rocher tout en extirpant mon arc et mes flèches. Il me répondit par des mouvements de mains précipités, m'indiquant de revenir.

J'escaladai jusqu'à me retrouver au-dessus des monstres. C'était l'endroit parfait. Je bandai mon arc, visant la tête du bokoblin à la peau étrangement bleue. Concentrée sur ma cible, je ne fis plus attention à ce qu'il se passait autour de moi. Je pouvais l'avoir aisément à cette distance. Alors que je m'apprêtai à tirer, quelqu'un m'en empêcha en me saisissant les bras fermement. C'était l'Hylien, cela ne pouvait être que lui. Il avait un air paniqué sur le visage.

« Vous êtes folle ! chuchota-t-il, la voix tremblante. »

La flèche fut tout de même décochée, se planta dans la cuisse de l'un des bokoblins. Le monstre poussa un affreux cri de douleur, alarmant les deux autres qui se redressèrent d'un bond. Leurs regards se tournèrent vers nous, puis ils crièrent à leur tour. Le hurlement de leur acolyte couvrait le leur. Ils étaient furieux.
Du haut de ce rocher, nous ne craignions rien. Je décidai alors de tirer à nouveau, bien décidée à planter cette deuxième flèche entre les deux yeux de nos adversaires mais le jeune voï me saisit par le bras, me tira vers lui.

« Fuyez ! Nos chevaux vont se faire tuer !

- Je peux m'en charger, laissez-moi faire, dis-je en résistant. »

Je luttai afin qu'il me lâche. Voyant que je n'étais pas prête de céder, il finit par se résigner, glissa jusqu'à son cheval puis prit la fuite au triple-galop. Ma monture se cabra, apeurée. L'Hylien s'enfonça dans la forêt de sapins, et disparut. Je le regardai partir, éberluée. Venait-il, à l'instant, de m'abandonner ? Serait-il aussi lâche ?

Lorsque je reportai mon attention sur mes trois adversaires, l'un d'eux avait disparu : celui avec la jambe blessée. Prise de panique, je décochai ma flèche dans la tête du bleu qui s'écroula. Le second, qui ne semblait nullement effrayé par la mort de son compagnon, chercha à escalader le rocher pour m'atteindre. Je rangeai mon arc et mes flèches précipitamment, dégainai mon cimeterre et sautai du promontoire. Les bokoblins n'étaient pas bien intelligents, ce qui était un grand avantage. Je me ruai sur le second monstre qui tentait tant bien que mal de grimper sur la paroi rocheuse, le plaquai au sol avant de le tuer d'un coup bien porté dans la gorge. Lorsqu'il ouvrit la gueule pour pousser son dernier cri, son haleine me prit à la gorge, si bien que j'eus des nausées.

Constatant que le dernier avait pris ses jambes à son cou, je me précipitai jusqu'à mon cheval et fonçai vers la forêt à mon tour. Je ne voulais pas rester une seconde de plus dans les parages. J'étais plus furieuse qu'autre chose, à vrai dire. Comment avait-il pu être aussi lâche ? J'en étais encore retournée.

Le chemin était bordé par de nombreux sapins, je ne voyais que la route à suivre. Au bout de quelques minutes de trajet, il finit par s'élargir. Étais-je arrivée au village d'Elimith ? Cela m'importait peu désormais. A la sortie de la forêt, la pente se fit plus raide et au loin, je pus entendre les cris d'enfants joyeux. Ma monture ralentit. Je remontai cette côte, découvris un petit village dont l'entrée était surveillée par un paysan, une fourche à la main. Ce devait être un voï d'une quarantaine d'années. A ses côtés se trouvait quelqu'un sur son cheval, avec qu'il discutait. Je n'eus pas grand mal à reconnaître son interlocuteur.

« Hé ! hurlai-je, furibonde. »

Ils se tournèrent vers moi, intrigués. Je descendis de mon cheval avec précipitation, courus jusqu'à l'Hylien avant de l'attraper par le col de son vêtement pour le déloger de la selle de sa monture. Surpris, il ne savait que dire.

« Je savais bien que les voïs étaient lâches ! On ne m'avait pas menti sur votre sujet !

- Aaah.. M'dame, je suis désolé mais je tenais à ma peau ! se justifia-t-il. Mais r'gardez, nous sommes arrivés à Elimith en un seul morceau ! »

Je cernai mieux le personnage désormais. C'était inutile de persister avec une personne telle que lui. Je le lâchai. Il eut un mouvement de recul, cherchant à garder une distance entre lui et moi. Le paysan était perdu, ne sachant que faire face à une situation comme celle-ci. J'allai ranger mes armes dans mes bagages.

« Ça suffit, dis-je en essayant de retrouver mon calme. Je resterai au village quelques jours, mais je repartirai sans vous.

- Non, non, non ! s'écria-t-il en se précipitant jusqu'à moi. Vous n'pouvez pas partir comme ça ! Vous n'pouvez pas voyager seule !

- Je trouverai un autre compagnon de voyage, ne vous inquiétez pas. »

Jielash:
Chompir m'avait laissé devant la boutique du Nid d'étourneau afin de nous réapprovisionner pour le voyage à venir. Il s'était ensuite directement envolé vers les sommets du village afin de parler avec le chef. Tout en haut, au dessus des dernières maisons de bois, reposait un oiseau mécanique immense sur la tour de pierre servant de base au village.
D'après les Piafs, c'était le héros qui l'avait forcé à se poser là. Il était assez incroyable de se dire qu'au même moment où nous vivions nos vies hasardeuses dans cette ère maudite du royaume d'Hyrule, un héros légendaire se battait pour venir à bout du mal qui régnait en maître. C'était un peu difficile à croire et habituellement, je me méfiais de ces rumeurs mais voir la silhouette sinistre du gardien au dessus du village leur donnait un peu plus de crédibilité.

Après avoir fait des provisions, je décidais de continuer ma visite des lieux. Une agréable brise passait entre les structures de bois formant le village et ses maisons circulaires, telles de petits nids jonchant le flanc d'une montagne. Je ne m'attardais pas près de l'auberge où un couple se disputait et continuait plutôt mon voyage vers les hauteurs. Les jeunes piafs voletaient de plateformes en plateformes ou couraient dans les escaliers en gazouillant gaiement. Aussi je m'arrêtais un instant pour les écouter entonner des chants traditionnels avant de me rendre au magasin de vêtements.

Chompir m'avait confié la tache de lui prendre de quoi s'infiltrer dans la Cité Gerudo, seulement je ne pouvais pas dire que je m'y connaissais beaucoup quand il s'agissait des goûts des Piafs en matière d'habillage... Pas que je sois davantage renseignée au sujet de la mode Hylienne d'ailleurs.
Je choisissais finalement, en grimaçant à la vue du prix, une tenue rose pâle qui devrait bien aller avec la teinture des plumes de Chompir, ainsi qu'un petit bijou ornemental pour les plumes de la tête. Je prenais aussi un pantalon épais et des bottes rembourrées pour moi-même, car bien que l'artefact offert par la Grande Fée m'aiderait à conserver de la chaleur, il m'en faudrait plus pour lutter contre le froid des Hauteurs Gerudos et marcher dans la neige.
Alors que je pensais me ruiner avec tous ces achats, je fus surprise quand le vendeur sembla savoir qui j'étais et me fit une ristourne. J'y devinais là une intervention de Chompir qui avait dû prévenir ses semblables tandis que je me promenais. Cela m'évitais en tout cas d'être totalement à sec niveau rubis, même si ma bourse s'était tout de même bien allégée.

Puisqu'il y avait un espace pour cuisiner, je préparais des tourtes à la viande avec de la venaison, un boisseau de blé, une motte de beurre et un cristal de sel. Avoir des plats déjà préparés avec nous serait utile lors de notre traversée des Hauteurs. Chompir pourrait me porter pour atteindre les sommets de la chaine de montagnes plus facilement mais il faudrait ensuite traverser ces plateaux immenses pour se rendre en direction du désert.
Le soleil avait commencé sa descente dans le ciel, teintant d'orangés le lac Pipiaf. Ses rayons réchauffaient ma peau comme une dernière caresse avant de disparaitre, il devait probablement faire glacial la nuit dans le coin. Au vu de l'heure, je ferais bien de rassembler mes affaires et me rendre au relais à l'entrée du village pour retrouver Chompir, comme nous l'avions décidé.

Chompir:
Tandis que Jielash partait en direction des boutiques, Chompir arriva devant la hutte de son grand père. Le chef du village Piaf, Kaï. Il savait qu'il allait se faire reconnaître très rapidement mais il savait aussi que son papy ne dirais rien à sa mère. Il entra.

- Kaï : Tiens mais qui est cette jeune Piaf ? Je ne la connais pas. Oh mais... Mais oui c'est bien toi. Ohohoh. Que fait tu habillé comme ça, Chompir ?

- Chompir : Oh papy ! (Il alla le serrer dans ses bras.) Si tu savais ce que j'ai vécu depuis que je suis parti ! J'ai tant de chose à te raconter mais d'abord je vais commencer par une demande. J'aimerais que tu uses un peu de ton autorité pour une amie hylienne qui va acheter des choses dans les boutiques. On va avoir beaucoup de dépense à faire. On va se rendre dans les hauteurs Gérudo pour atteindre le désert et pour ça il va nous falloir de bonnes tenues et de la nourriture. Je lui ai donné une part de ma bourse. J'ai l'intention de me déguiser en femelle Piaf pour infiltrer la cité Gérudo.

- Kaï : Ohohoh, c'est du pur génie ce plan. Bien sur tu peux compter sur moi pour les petites ristournes. Allez maintenant explique moi tout sur ton voyage. Et qui est cette amie Hylienne ?

Le jeune Piaf commença à expliquer comment tout c'était passé après son départ. Le survole de la plaine avec le Bokoblin qui attaquais les autres et qui n'allais être que son ami Linkondo. La rencontre avec Jielash qui avait peur de voler l'offrande à la statue. Le fait qu'il avait appris grâce à elle à monter à cheval et qu'ils étaient partis pour le village d'Ecaraille. L'attaque des Yigas sur le chemin. Les blessures et l'aide apporté par le chef d'Ecaraille.

- Kaï : Oh ? Tu as rencontrer le vieux d'Ecaraille. On avait pris la mer étant plus jeune. On avait passer trois jours en pleine mer. Ah ça remonte tout ça. Il allait bien ? Et je suis pas étonné qu'il t'ai aidé. Il a toujours eu l'âme charitable.

Je continuais donc ma narration et lui expliquais qu'il allait très bien. Je lui dit qu'après avoir fait un tour en mer sur un radeau que je faisais avancer avec mes ailes, nous avons été attaqué par un Lézalfos. Après ces aventures à Ecaraille nous étions donc partie pour le village d'Elimith. Là bas je lui expliquais qu'on avait rencontré le bokoblin qui parle et Krystal. Une folle, ivrogne, méchante, qui prenais un malin plaisir à diriger tout le monde et les manipuler. Peut de temps après il avait rencontrer Yorick. Le collègue de Krystal. Il voulait construire un restaurant.

- Chompir : J'ai promis de les aider à le construire. Mais hélas tout à mal tourné après. Nous sommes partie à Cocorico pour voir si on ne pouvait pas construire le restaurant là bas. Pendant que mes compagnons étaient partie là bas j'ai du garder le boko mais hélas une lune de sang est apparu et j'ai été obligé de le tuer. Le pire dans tout ça c'est qu'il est revenu à la vie mais il est devenu doré.
 Après ça on est parti voir la grande fée Cotura qui m'a permis de me laver mes plumes. Elle m'a aussi donné ce collier qui force la personne qui le porte à dire toute la vérité pendant une heure. Après ça j'ai décidé de quitter mes amis pour partir chercher un dénommé Kilton qui aurait de quoi empêcher des crises lors des prochaines lunes. Sur la route je me suis arrêté au domaine Zora. J'y ai d'ailleurs pu rencontrer le roi Dorefah. Il m'a expliqué que vous étiez de très bon amis et que vous aviez fait beaucoup de chose ensemble quand vous étiez plus jeune. Il m'a offert des outils et de la nourriture pour mon voyage et j'ai pu me faire un bon ami là bas.
 Le prince Sidon. Vous saviez qu'il avait un fan club ? Ah oui son fan club je dois vous en parlez, j'ai rencontré là bas au jeune Zora du nom de Vaati il voulait absolument que je l'emmène voir Kilton à cause d'une tache dans le dos. Je suis arrivé en Akkala. Là bas il y a un village du nom d'Euzero qui a été construit. Je suis devenu ami avec le charpentier et sa femme. C'est un village vraiment magnifique tout comme la région. Je voulais d'ailleurs rencontrer un professeur Sheikah du nom de Faras mais il n'était pas là. J'ai par contre pu parler à son fourneau du nom de Sherry. Là bas j'ai pu aussi rencontre la grande fée Mija qui m'a permis avec mon collier de parler à distance avec quelqu'un d'autre qui porte une gemme nox taillé. Oh et bien sur j'oublie le plus important ; la rencontre avec Kilton. Quel étrange personnage ? Vous devriez voir ça. En tout cas il m'a beaucoup appris. Il tient une boutique qu'il emmène un peu partout en Hyrule. Il vend des objets très étranges et il a sa propre monnaie : Le Streums. On peut en avoir en échangeant des morceau de monstres. 

- Kaï : Oh le roi Dorefah va bien ! Je suis content. Et content que tu sois devenu ami avec son fils. Je l'avais rencontrer il était tout jeune. Pour ce qui est de ce Kilton, je ne savais pas du tout. Comme quoi, je n'ais pas tout découvert. Houhouhou. En tout cas,
 je vois que tu as découvert beaucoup de peuple d'Hyrule et tu as drôlement mûri. Je suis vraiment fier de toi. Houhouhou.

Et Chompir continua d'expliquer tout ce qu'il c'était passé à son grand père, Kaï qui avait l'air de redevenir jeune en écoutant tout cela. Il parla de Verantwo et de sa rencontre avec Stefbad. Enfin il expliqua ses blessures face à Verantwo et son arrivé ici avec son amie. L'idée qu'il avait derrière la tête et la rencontre avec la fée Caesa.
Ça y est ! Il venait enfin de tout raconter. Après plusieurs heures d’explication et de détailles, remarque il avait tout raconté à son grand père, ce grand aventurier qui au même âge était parti découvrir le monde. Il était content et voyait son grand père fier de lui. Il alla le serrer dans ses bras et lui promis de revenir lui présenter tout ses amis après leurs passages dans la cité Gérudo.

Chompir pris le temps d'observer une dernière fois la vue avant de partir. De voir la beauté du lac et des colonne luxuriante qui forme le village Piaf. Demain ils partiraient de bonne heure pour atteindre le plus tôt la cité Gérudo. La nuit commençais à tomber et il était temps de retrouver Jielash au relais. Il fallait qu'il découvre ce qu'elle lui avait acheté comme tenue.

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