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Stefbad, les fics de l'histoire
Xanto01:
Salut, Stefbad ! J'espère que ça été ton brevet ! ^^
Alors pour commenter ce chapitre...
J'aime bien la façon dont tu introduis l'histoire de Siov. C'était fluide et je trouve ce Zora qui n'aspire qu'à rentrer chez lui après 18 ans de recherches touchant.
Sinon pour la créature qui parcourt le monde en donnant des cours d'escrime clandestins...hum...ne serait-ce pas ce cher Spectra ?
Pour le coup j'ai hâte de te voir avec un Siov franchement transformé en humain dans votre traversée du désert Gerudo pour retrouver Spectra !
Au passage dis à ton ami qu'il a un joli pseudo ;)
Allez à plus ! ^^
stefbad:
Chapitre 4 : La fille des sept-roses
(Cliquez pour afficher/cacher)Stefbad et Siov continuaient leur traversée du désert à pieds. Stefbad entendait souvent le nouvel hylien gémir et pester contre sa nouvelle apparence et en guise de réponse, le mage lui avait dit que c'était plus pratique : en effet, les zoras oranges ça ne court pas les rues et sa forme de zora lui empêchait d'aller dans le désert Gerudo à cause de déshydratation. De plus, cette forme hylienne va lui permettre de se sociabiliser car les hyliens ont besoin d'être ensemble pour survivre, c'est dans leurs gênes, donc Stefbad espérait que cela lui permettrai de s'ouvrir au monde. De ce qu'il a lu dans les souvenirs de Siov – oui, ce n'est pas bien mais après tout, l'ancien zora n'a jamais donné son désaccord – il n'était pas plus sociable là que dans son monde, donc s'il revient dans son monde il subira le même calvaire. Il le sait bien mais préfère retrouver sa renommée que de rester ici pour se sociabiliser avec d'autres scientifiques – et là il risque de se faire beaucoup d'amis au vu de ses capacités. C'est donc pour cela que Stefbad l'a transformé en hylien.
Les deux voyageurs arrivèrent dans un petit village. Il était visiblement nouveau comme tous les villages ici mais lui était en pleine construction. Une pancarte était affichée en Gerudo qui disait : "Bienvenue à Aidehaz". Il y avait un grand nombre de tentes et des maisons comme auparavant commençaient à être construite. Stefbad admirait l'art Gerudo et toute cette culture. Leur habillement était aussi exceptionnellement beau et il pensait acheter des habits pour résister à la chaleur ici ainsi que peut-être des chameaux. Il s'avança dans la ville et apostropha une Gerudo :
- Bonjour madame ! Nous cherchons un commerce où acheter de l'habillement et peut-être un chameau pour nous aider dans notre traversée du désert.
- Vog savatto ! Vohr gerudo nahaj oharuu ! Vohr hass'da mej'arruk ? répondit-elle dans un Gerudo plus récent que celui que parlait Stefbad.
Stefbad compara les mots avec ceux qu'il connaissait et en tira une traduction : "Bonjour les hommes ! Vous parlez un gerudo très ancien ! Pouvez-vous répéter ?". Il répéta donc la phrase en ajoutant les mots plus actuels qu'il venait de découvrir. La femme hocha la tête et répondit assez lentement pour que le mage comprenne :
- Vahr'o sahk'vahr oharro mej vahr'o Aidehaz'ak sahk'erro.
Stefbad après un temps de réflexion en tira la traduction : "Je suis une commerçante qui a un commerce ici". Il était un très grand fan de langues et pendant toutes ses années de vie n'a eu cesse d'apprendre de nouvelles langues, ce qui explique sa place de traducteur. Siov, lui, semblait totalement perdu et était en train d'écouter la langue par pure appréciation de la sonorité. Pendant ce temps, Stefbad continua d'assurer la discussion avec la Gerudo :
- Pouvez-vous nous emmener dans votre commerce ?
- Vog ok pozh'eruud. répondit la gerudo, cela signifiait "Suivez-moi".
- Bien sur !
Arrivés dans le commerce de la Gerudo, on voyait beaucoup de choses en tout genre. Il y avait de la nourriture, des armes et des vêtements. La jeune femme prit place derrière le comptoir et leur dit :
- Vog sahkaj tahr'irud, sahkaj qohd ehaj haako sahkeruu ! signifiant "Regardez dans le magasin, il y a sûrement quelque chose de bien !"
Stefbad choisit des habits de vohr conçus pour le désert. Il demanda à la dame son nom qui lui répondit qu'elle s'appelait Arhetna et elle lui demanda :
- Vog Gerudo'reajh'ak vehr'iru ? qui signifiait "Que faites-vous ici dans le désert Gerudo ?"
- Nous cherchons quelqu'un. répondit Stefbad.
- Vahr'o khan'aru sedherro. demanda la gerudo, qui signifiait : "Je souhaite vous aider."
Stefbad fut abasourdi. Pourquoi voulait-elle les aider ? elle ne voulait plus de son commerce ? De toute façon, ils ne pouvaient pas se permettre d'inclure quelqu'un d'autre dans leur expédition, c'est dangereux pour leur anonymat. Mais elle a l'air d'être un bon élément car elle sait parler Gerudo et en plus elle a de la magie. Ses bras trahissent une ancienne activité militaire. Elle était sûrement archère. Elle avait de longs cheveux roux, des yeux vert, une peau ambrée et surtout une bonne musculature, comme toutes les Gerudos de toute façon. Elle aurait eu beaucoup de chances d'être prise si l'expédition ne nécessitait pas un tel entrainement. Stefbad était sûr de refusé son offre lorsqu'elle lui dit en parfait hylien :
- Je suis l'arrière-petite-fille de votre premier disciple, Stefbad Zedjovsk.
La Gerudo lui avait bien gardé qu'elle savait parler hylien ! Mais, si elle est la petite-fille du premier disciple de Stefbad, elle a beaucoup de chances d'avoir un grand potentiel magique comme son grand-père. Le mage ne savait pas qu'un de ses descendants était marié à une gerudo. Et ils avaient eu la fille qui était devant lui ! C'est-à-dire qu'il ne risque pas d'il y avoir de problèmes d'anonymat car elle doit avoir entendu son arrière-grand-père lui dire ses histoires de l'ancien temps. Il lui demanda :
- Connais-tu la méditation des Sept Roses ?
- Oui bien sûr. répondit-elle.
- Montre-là moi.
- J'aimerais comprendre, pourquoi vous parlez Hylien alors que juste avant vous parliez deux langues différentes ? Le vocabulaire ainsi que la structure grammaticale varie entre les deux ce qui veut dire qu'elles sont apparentées. Pourquoi ne parliez-vous pas hylien depuis le début ? remarqua Siov.
La discussion s'interrompit entre les deux mages pour regarder Siov. Comment avait-il fait pour remarquer que les deux langues étaient différentes ? Pourtant il y a la même sonorité et des mots ainsi qu'une structure grammaticale très proches. Arhetna lui répondit :
- Je parlais Gerudo comme me le demande la société. Or Stefbad est venu et il m'a parlé en une ancienne version du gerudo, vieille de deux siècles. En effet, les dernières traces du gerudo se trouvaient il y a deux siècles. Il les a étudiés et a recomposé la langue Gerudo avec succès. Je lui donne même mes félicitations pour réussir à parler une langue qu'il n'a jamais entendu, et on s'est compris malgré la différence entre les deux langues. En deux siècles, on a bien évolué de notre côté mais forcément, ici non. Je connais l'hylien grâce à mon arrière-grand-père qui me l'a parlé car il prenait beaucoup de contacts avec Stefbad qui l'aidait à être encore meilleur en magie qu'il ne l'était déjà. Oui, il vit toujours grâce à un sort de magie noire qu'il avait testé avec Stefbad les rendant tous deux immortels, du moins aux morts naturels. Ai-je tort en un point Stefbad ?
- Non, en aucun. Bref, la méditation.
- J'y vais.
Arhetna se plaça assise par terre en tailleur et elle ferma les yeux, le dos des deux mains posés sur ses deux genoux. Elle rentra en transe comme des cercles magiques se formaient autour d'elle. Un cercle apparut et sept médaillons étaient symbolisés dessus. Ce n'étaient autre que les sept médaillons des sages, dont un médaillons sur lequel est symbolisé la triforce qui n'est autre que le médaillon du chef des sages. Le médaillon de l'esprit commença à briller et le cercle magique sur lequel il était commençait à tourner. lorsque le médaillon de l'esprit fut devant elle, tout le cercle brilla ainsi que tous les autres au fur et à mesure et de l'énergie commençai à affluer ver la Gerudo qui commençait à briller d'une aura orange. Lorsque tous les annaux furent brillant, une grande explosion de magie se sentit dan l'air et même les bâtiments bougèrent par cette puissance. De la poussière était apparue, empêchant Stefbad de voir le résultat de la méditation des sept roses. Lorsqu'elle s'estompa, Stefbad vit Arhetna avec une grande armure plus grande les cheveux plus longs et dégageant une aura surpuissante. Peu de temps après, l'effet se dissipa et l'arrière-petite-fille du disciple de Stefbad reprit son apparence normale à genoux, épuisée. Stefbad sourit et lui dit :
- Tu maitrise très bien les Sept-Roses. Veux-tu nous rejoindre pour trouver mon maître ?
EDIT : Un deuxième pour la route ;)
Chapitre 5 : Ombres Artificielles
(Cliquez pour afficher/cacher)Deeræ s'avança dans la salle du trône. Le grand trône déjà centenaire était surmontée d'une monumentale statue de la triforce avec les trois déesses représentées, Din, Farore et Nayru. L'empereur Elmon avait fait une percée au milieu de la salle du trône et cela lui permettait de voir ce qu'il se passait en dessous de ses pieds, mais la rumeur veut que ce ne soit pas la seule raison. Un grand tapis rouge faisait le tour de cet édifice et c'est sur celui-ci que Deeræ s'engagea. Arrivé près de la percée, l'empereur l'apostropha :
- Deeræ, qu'y a-t-il ?
- Squibbo s'est échappé mais je l'ai rattrapé. Je l'ai retrouvé moi seul alors qu'il tentait de s'enfuir par les douves. Avoir une ascendance zora ne donne pas des ailes, des nageoires plutôt !
- Très bien, on va lui faire subir la sentence MO7.
Deeræ devint livide. Malgré la haine contre le prisonnier en question qui brûlait comme un foyer de Vesta dans son cœur, la sentence était trop horrible pour être donnée à un prisonnier de guerre. Un traître, peut-être mais la sentence était déjà inhumaine. Il fit une avance osée devant son empereur :
- Monsieur, malgré tout mon respect, la sentence n'est-elle pas trop lourde ?
- Oserai-tu me contredire ?
- Non, mais je trouve la sentence trop… expéditive pour être exercée sur un prisonnier de guerre. Mais si tels sont vos ordres, je me dois de m'y plier.
-Je préfère cela. Disposez.
Mirada apparût aux côtés de Elmon et, voyant Deeræ partir en furie, elle lui demanda ce qu'il s'était passé, et, son mari n'étant pas coopératif, elle dit tout fort avec la vergogne propre à sa famille, les Daphnes :
- C'est à propos de la sentence MO7 ?
Deeræ stoppa ma route et l'empereur arrêta de jouer avec sa bague de mariage. L'impératrice avait vu juste. Les Daphnes sont la famille qui gouverne le Nouveau Royaume de Pzia depuis sa création après la défaite du royaume d'Hyrule, aussi nommé Ancien Royaume de Pzia pendant la guerre civile hyruléene. Les armées Zora, Goron et Kokiri ont formé une coalition et ont envahi le royaume et la citadelle. Les Gerudos n'ont pas rejoint cette coalition, la reine Yalba qui gouvernait avant la naissance de Ganon et pendant son enfance n'a jamais voulu prendre contact avec l'extérieur. Elle disait que si les Gerudos prenaient contact avec l'extérieur, elles partiraient du désert et la culture Gerudo qui était à cette époque rayonnante, disparaîtrai des pensées. Mais l'Ancien Royaume de Pzia leur avait déclaré la guerre et elle devait prendre contact avec l'extérieur. Elle a prit contact avec les Gorons car elle pensait qu'ils seraient en mesure de comprendre son choix. Or, les gorons sont des personnes absolument pas individualistes et Yalba avait été invitée à la table ronde des résistants contre son gré. Elle se fit tout de même entendre et il fut décidé qu'elle garderait ses frontières mais qu'elle fournirait des provisions mais surtout des armes et des minéraux. Elle contribua aussi au commerce avec la civilisation des Zunas, des Darknuts et des Gorons de Labrynna et ainsi apporta des guerriers expérimentés sur le champ de bataille. Ganondorf fut partie de l'équipe d'intervention, un petit corps de l'armée de la coalition qui devait assurer les bases arrières des autres belligérants et ainsi il découvrit à quoi ressemblait le monde extérieur au désert Gerudo.
C'est ainsi qu'il commença à être jaloux des autres races, des hyliens en particuliers. Lorsqu'il prit le pouvoir, la guerre venait de finir sur un armistice signé par le roi Eagus III Gustaf. Le roi Gerudo ne voyait pas tout de cet angle au contraire. Il vint en personne adresser ses salutations au roi pour lui signifier qu'il acceptait la fin de la guerre, mais cela n'était qu'une partie de son plan. La paix fut signée et le Royaume d'Hyrule fut renommée le Nouveau Royaume de Pzia et de nouvelles lois ont été établies, dont celle que le pouvoir pouvait être donné à une femme. Dans ce cas là, la dynastie changera de nom et prendra le nom du mari que la princesse prendra pour assurer le bon fonctionnement du royaume. En fait, la règle n'a été appliqué qu'une seule fois, avec la reine Zelda I prenant le nom Daphnes de son mari, Perhod Daphnes I. Aujourd'hui, on a tendance à mettre le nom de la dynastie avant le prénom et à la fin le rang de noblesse, l'empereur s'appelle donc officiellement Horasséa Elmon Hyrule I. Bref, Ganondorf revint ensuite voir le roi Eagus III et l'assassina. La princesse Zelda, qui avait tout vu, dénonça le roi qui fut capturé par les armées internationales.
L'armée Pzienne, supportée par les armées Zoranes, Goronnes et Kokiries repoussa les Gerudos et envahit tout leur territoire. Dans le désert, ils construisirent une arène dans laquelle les soldats ainsi que des personnes venues de toute la terre d'Hyrule venaient voir des Gerudos s'affronter pour leur vie. Ganondorf ne fut pas lui jeté dans l'arène sous les conseils de la reine Zelda I mais fut exécuté dans le royaume des ombres dans lequel il trouva un allié et menaça le monde encore une fois, mais cette fois-ci un héros, le héros de l'ombre, apparut et le vainquit après une longue épopée. Mais pendant cet âge d'or pzien, les gerudos survivantes se sont enfuies chez les Zunas et ils se sont trouvés des terres dans le désert du doute. Ils ont trouvé des terres où s'établir un peu plus au sud et ils ont donc mené pendant longtemps une vie normale basé sur le commerce.
Mais depuis peu, depuis le couronnement du roi Narudorf, les Gerudos sont en campagne pour reprendre leurs territoires d'antan. Ils sont en train de réussir car ils ont bien calculé leur coup : ils ont attendus que la guerre civile commence et se mette correctement en place et ils ont lancé l'attaque. Ils ont rapidement reconquis les territoires du désert et sont désormais proche de la vallée Gerudo, une attaque devrait bientôt arriver et les Gorons, qui détiennent de nombreuses mines dedans, risquent de se mêler à la guerre et donc peut-être en voyons-nous la fin ? En tout cas, le miroir des ombres a été sauvé de l'invasion, du moins ses restes depuis qu'il a été brisé par la reine Midona des Twilis, et il a été reconstitué ici dans le palais. La sentence MO7 n'est autre qu'une utilisation du miroir des ombres. Il a été découvert pendant la reconstitution de cette antiquité que lorsqu'on l'activait, il provoquait des radiations qui pouvaient entraîner de profondes blessures dont on ne connaît pas la nature. La sentence MO7 va donc être utilisé contre Squibbo. On va lui faire subir des radiations aléatoires et voir ainsi l'utilité de ceci. C'est pour cela que cette sentence est horrible car on devine que cela provoque d'atroces souffrances. Même contre Squibbo, c'est inhumain. Cette question fâche beaucoup quand elle est introduite et on voyait bien le camp pour et le camp contre son utilisation. Deeræ et l'Impératrice Mirada Daphnes de Horasséa étaient contre mais Elmon de Horasséa pour. Elmon répondit donc à sa femme :
- Oui, exactement. On a abordé la question MO7 et je suis prêt à l'utiliser, et même toi, chérie, ne pourra m'en empêcher.
- Dis-moi au moins son crime ! répondit d'une voix beaucoup plus douce qu'auparavant l'impératrice tout en se penchant sur son bien-aimé.
- Le criminel a…
L'empereur fut coupé par sa femme qui l'embrassa. Lorsqu'ils eurent finis, elle fit signe à Deeræ de continuer ce que disait son mari :
- Le criminel, Squibbo, a été capturé en train d'espionner le château. C'est moi qui l'ai capturé mais il s'est évadé. Je l'ai à nouveau capturé alors qu'il allait plonger dans les douves. Votre mari souhaite tester la sentence MO7 sur ce prisonnier de guerre.
- Effectivement, c'est grave, mais il faudrait attendre d'avoir un traitre, quelqu'un qui puisse recevoir cette sentence car il l'a mérité. Lui ne mérite pas ceci. Des tortures et de la prison, oui, mais pas MO7. dit la reine Mirada.
Elmon réfléchit et Deeræ pensait l'affaire dans la poche comme à chaque fois que cette question était posée mais là il secoua la tête et dit en se levant :
- Malgré vos jérémiades je ne vais pas fléchir cette fois. Il aura la sentence MO7 que vous le vouliez ou non. De plus, il pourra constituer un sujet d'expérience parfait.
La reine sortit de la salle du trône par le tapis, c'était signe qu'elle abandonnait et que son mari ne flanchera pas. Deeræ l'imita et tous deux se retrouvèrent en dehors de celle-ci. La reine le remercia de son soutien à quoi il répondit poliment. Mirada était très gentille mais aussi très têtue. Malgré tout, elle prenait soin des personnes qui la servaient et les chérissaient, restaient polie comme si c'étaient des personnes égales à elle qui lui rendaient un service. Il continua son chemin et s'en alla dans les prisons.
Deeræ était un jeune homme de 26 ans, un épéiste très armé. Il avait les cheveux blond foncé légèrement bouclés, il avait les yeux marron-jaune, la peau blanche légèrement cuivrée et une stature athlétique. Il était armé d'une armure complète dont le casque qu'il avait ôté et qu'il avait posé dans l'armurerie comme le veulent les règles de savoir-vivre ici. Il était armé d'une épée dans son dos et de deux dagues sur sa ceinture mais il est aussi habituellement équipé d'un espadon, d'une deuxième épée, d'une rapière et d'un cimeterre Gerudo, sans oublier un bouclier hylien. Il n'était pas très imposant par rapport à d'autres car son armure en acier épousait ses formes et il n'était pas particulièrement grand non plus mais il devenait imposant avec son casque orné d'une queue de plumes de beaucoup de couleurs chaudes différentes et avec son armement.
Lorsque l'épéiste arriva dans les cachots, il entendit des prisonniers gémir car ils avaient vu la lumière du jour. Il les ignora et se dirigea droit vers la cellule de son prisonnier. Arrivé là, sa tête se découvrit et Deeræ lui dit :
- J'ai quelque chose de très important à te dire.
M-mais, comment t'as deviné @xanto01 ? Peut-être que c'était trop évident...
Bref, j'ai déjà écrit un chapitre en plus car je ne trouvais plus trop l'inspiration pour ce point de vie mais je l'ai trouvée au dernier moment alors que j'écrivais le chapitre maintenant 5. Bref, je pense qu'il y aura trois points de vue différent : le point de vue Zelda IV, Xanto01 et Gb8 ; le point de vue Stefbad, Siov et Arhetna ; et un point de vue encore mystère qui se dévoilera dans le chapitre prochain ! Actuellement, j'ai déjà deux personnes pour le troisième point de vue mais il m'en manque un troisième, donc si quelqu'un à une idée, qu'il me le dise là ou après le chapitre 5 (qui va paraître bientôt, juste une partie de Civ 6 et je publie).
Sinon j'espère que vous avez apprécié !
EDIT : Et donc le dernier point de vue est Deerae et Squibbo, et il me manque quelqu'un, donc si vous pouviez me donner une idée, ce ne serait pas de refus :/
Et le gerudo dans le Chapitre 4 est bien réfléchi et veut bien dire quelque chose (pas des mots alignés au hasard, ça non !)
Xanto01:
Hello !
N'ayant pas eu beaucoup de temps, je n'ai malheureusement pas eu le temps de bien lire tes deux nouveaux chapitres. :-|
Néanmoins, ce que j'ai lu et compris me donne très envie de lire la suite et de découvrir les différents points de vue des personnages.
Après si j'ai bien compris, tu as besoin d'un nom pour les personnages qui manquent pour ton prochain point de vue ?
stefbad:
Effectivement @xanto01 j'aurai besoin d'un personnage complet pour continuer le troisième point de vue. Comme tu as sûrement remarquée, dans le premier point de vue il y a 3 personnages (Zelda, toi et Gb8 - Chapitres 1 & 2), le deuxième aussi (Siov, moi et Ahretna - Chapitres 3 & 4) mais dans le troisième il en manque un (Deerae, Squibbo et ??? - Chapitres 5 & 6), et j'aime bien être régulier. Donc il me faudrait quelqu'un pour combler le trou dans le 3ème point de vue, et que je puisse facilement intégrer (je t'enverrai les détails de la suite par MP si tu veux). Toute idée est bienvenue !
stefbad:
Chapitre 6 : Voyage au centre du Cœur
- J’ai quelque chose de très important à te dire, dit Deeræ.
Squibbo releva la tête. Il se leva et se mit à son niveau, dans un air de défi. Il y avait de la foudre entre ces deux épéistes surdoués. Eux deux se ressemblaient énormément, peu de choses différaient physiquement comme mentalement. Ils auraient pu être frère et cela ne choquerait personne. Squibbo était un jeune homme de 27 ans avec les cheveux châtains légèrement bouclés, il avait les yeux marron, la peau cuivrée et une stature athlétique. Eux deux avaient de belles oreilles hyliennes qui faisaient tomber les femmes. Mais là où Squibbo s’abandonnait aux plaisirs polygames, Deeræ avait jeté son dévolu sur une femme qui l’aimait tout autant et il rejetait toutes les autres. Squibbo ne savait pas qui elle était mais il se doutait que ce ne devait pas être une femme de la haute société, vu le niveau de charme qu’a Deeræ. Il sourit à ce point. Squibbo lui répondit sèchement :
- Que me veux-tu ?
- Tu va être condamné à la sentence MO7.
- Je ne sais pas parler Kokiri.
- Tu vas être exposé aux radiations du miroir des ombres.
- En Hylien merci.
- Tu vas être un cobaye sur des effets qu’on sait dangereux mais dont on veux en savoir plus.
- Oui, et à quoi ça va me servir ?
- L’impératrice Mirada et moi sommes contre son utilisation qu’on juge inhylienne, même avec toute la haine que j’ai pour toi.
- Haine ?
Squibbo était réellement étonné. Pourquoi de la haine ? Et comment se fait-il qu’il ne l’ait pas remarqué ? Deeræ prit une longue inspiration et raconta :
- Je suis étonné que tu ne t’en sois pas rendu compte. Nous sommes tous deux rentrés dans l’armée à nos 4 ans, mais toi un peu avant moi. Lorsque je suis arrivé, je t’admirais. Je te contemplait toi avec ton teint qui devenait plus cuivré et avec toutes tes techniques. J’ai donc essayé de me rapprocher de toi mais toi, tu me répondait avec dédain. Je me suis donc décidé à devenir aussi fort que toi pour que tu me remarque enfin. Je m’entrainait beaucoup plus que tout le monde et au final, nous sommes arrivé à un niveau proche l’un de l’autre. J’ai donc décidé de à nouveau me rapprocher de toi puisque nous avions un niveau plus ou moins égal. C’était à nos 5 ans. Or, tu continuait à me remplir de dédain. Je suis donc tombé en dépression. Et c’est là que j’ai trouvé l’amour de ma vie¹. Elle m’a aidé à remonter la pente et c’est grâce à elle que je suis toujours là aujourd’hui. Je sais qu’elle est aujourd’hui du côté opposé du mien dans cette guerre mais je pense toujours à elle, je serais incapable de la tuer. Mais cette admiration que j’avais pour toi s’est mué pendant que je remontais la pente en haine. Mais j’en reste tout de même à penser que MO7 est trop terrible, même pour toi.
Quel aveu ! Squibbo était très étonné de tout ce qu’il n’avait pas remarqué. Mais, de toute façon, il a eu ce qu’il voulait en essayant de devenir ami avec lui, le grand Squibbo ! Il reprit totale confiance en lui et se demanda ensuite qui était l’élu du cœur de son ennemi. Après un temps de réflexion, il trouva. Il se détendit et se mit assit, totalement abasourdi par cette découverte. Deeræ, qui l’avait vu, lui dit:
- Je crois que tu as raison.
Incroyable. Squibbo, lui, n’avait rien remarqué. Deeræ sortit de la salle et laissa Squibbo seul dans le noir complet. Les prisonniers avaient entendu leur discussion et on entendait parfois deux en discuter. Il se mit sur le côté de sa cellule. Il devait s’attendre au pire. Squibbo réfléchit pendant un moment aux paroles de Deeræ qui en disaient plus long que ce qu’il en paraissait en prime abord. Il était en pleine réflexion lorsque la porte du cachot s’ouvrit, laissant passer de la lumière. Deux chevaliers de Pzia s’avancèrent. Contrairement aux chevaliers d’Hyrule qui étaient habillés en violet, les chevaliers de Pzia étaient habillés en vert, et recevaient une éducation plus stricte que leurs congénères. Ces deux ouvrirent la porte du cachot et dirent :
- Loarin-oka wa ! qui signifie en Hylien du Crépuscule : ‘‘Viens’’.
Squibbo ne broncha pas et se leva. Les deux gardes prirent chacun un de ses bras et il fut emmené violemment vers la salle du trône. Là il fut enchaîné au plafond au dessus du trou et se retrouvait au niveau de l’Empereur qui ne manquait pas un instant de cette rencontre. Deeræ était aussi là aux côtés de son suzerain mais détournait poliment la tête du condamné. L’impératrice Mirada, elle, n’était pas là. Squibbo comprit qu’elle boudait cette torture car ses avertissements n’ont pas marché sur Elmon. Les gardes apportèrent une sorte de disque qui semblait être lourd, ceux-ci ayant le dos courbé, mais ils l’accrochèrent vite à un piédestal de façon à ce que ce disque soit dirigé vers le prisonnier. Trois mages arrivèrent ensuite du dos de Squibbo et se mirent autour du Miroir des Ombres.
La cérémonie commença. Les mages incantèrent dans une langue inconnue de Squibbo et le miroir commençait à faire apparaître d’étranges signes dessus. À partir d’un certain temps, lesdites radiations commencèrent à affecter Squibbo qui commença à souffrir le martyre. Pendant les derniers moments pendant lesquels il avait le contrôle de sa vue, il vit Deeræ céder à sa curiosité et le regarder. Ensuite, le noir. Il ne voyait plus rien, il ne sentait plus rien, il n’entendait plus rien. Il savait qu’il hurlait mais il ne le sentait pas. Pourtant, soudain, il avait soudain l’impression d’être quelque part, dans une salle aux dimensions infinies. Tout à coup, il vit des traces blanches, les mêmes que celles qui apparaissaient sur le Miroir des Ombres. Il se sentit tomber dedans. Il allait le traverser quand il fut arrêté par quelque chose d’invisible. Comme s’il était tombé sur une plateforme, mais qu’il n’avait pas eu mal. Squibbo se releva et vit devant lui un étrange être. Il était grand, les cheveux roux, les yeux rouges, mais le plus perturbant était qu’il était noir et blanc, avec d’étranges marques sur son ventre. Il se mit à parler une langue étrange, mais Squibbo comprenait surprenamment ce qu’il disait, comme si sa langue était naturelle :
- Bonjour Aureyd. J’ai longtemps cherché à te contacter mais te voilà enfin.
- Qui êtes-vous ? Pourquoi m’appelez-vous Aureyd ?
- Je suis le roi Ukyedd des Twilis, le père de la reine Midona I des Twilis, du roi imposteur Xanto des Twilis et de la princesse Echwalda², ta grand-mère du cinquième degré côté paternel, soit ta triple arrière grand-mère. Je t’appelle Aureyd car c’est ton vrai prénom, donné par ta mère Gwaydd, la double arrière petite-fille de ma cousine du second degré, une Twili elle aussi.
- Pardon mais c’est un peu trop de vocabulaire pour moi. Si vous êtes mon quadruple arrière grand-père, alors vous devez être mort. En effet, quand le héros du Crépuscule est allé dans le monde des Twilis, soit la période de nos ascendants au 3ème degré, vous étiez mort, seuls restaient votre fille Midona avec qui il voyageait et votre fils Xanto l’Usurpateur. Comment ça se fait que vous soyez ici alors ? Et si je suis fils d’un twili, comment cela se fait-il que je ne ressemble pas à un ?
- En effet, je suis mort, mais n’avez-vous jamais entendu que les twilis ont la capacité de revenir sous la forme d’esprit surveiller leurs descendants ? Eh bien, tu le sait maintenant. Et pour la seconde question, c’est que tu as été caché par ta mère et ma fille.
- Comment ça ?
- Sache que peu de personnes ici savent que les Twilis existent. Depuis que Midona a détruit le miroir, les personnes ici-bas pensent que les Twilis ont disparu, qu’ils sont morts car ils étaient trop peu - ou trop nombreux, ça dépends des versions. En tout cas, lorsque ta mère a été découverte avec ton père, la garde royale a envoyé des soldats pour vous tuer. Ta mère a appelée à l’aide à ma fille et ensemble elle t’ont créé un charme de protection qui te faisait ressembler à un hylien normal, avec juste le mari de ma fille étant un zora, mais tu as aussi perdu toute ta mémoire. Tu avais 4 ans. Ma fille t’a guidée sans que tu le sache vers la caserne de la garde royale de Pzia où tu as été accepté, comme une nouvelle recrue, avec l’aide de ma fille. Or, lorsque le miroir des ombres a été utilisé contre toi, cela a rompu en partie le charme, te refaisant prendre ta vraie forme et en dégageant une puissance qui m’a permis de te retrouver. Je vais envoyer quelqu’un te rejoindre et te guider, ne t’inquiète pas. Aussi, il ne sera pas dur pour toi avec tes nouveaux pouvoirs de Twili qui t’ont été accordés par ce miroir, car, même pour quelqu’un d’ordinaire, ces radiations entament un processus de transformation douloureuse en twili.
- Mais…
- Je n’ai plus le temps, tu vas te réveiller de ta transe. On parlera plus tard lorsque tu sera en lieu sûr, dehors avec mon servant.
Squibbo se réveilla. Il était encore enchaîné, pendu au-dessus des autres salles du château. Elmon, voyant ses yeux rouges s’ouvrir dit:
- Alors, semi-ombre, comment s’est passée la torture ?
Il ne daigna pas répondre. L’Impératrice arriva sur ces entrefaites. La première chose qu’elle dit en entrant dans la pièce, après avoir vu Squibbo à moitié Twili fut:
- C’est exactement ce que je pensais, incroyable ! Je m’en doutais ! Comment c’est dans… Ah oui, c’est vrai. Tu es venu à 4 ans. Tu ne dois en avoir aucun souvenirs. Elmon ! Pourquoi l’as-tu fait aussi tôt ! Je sort de la bibliothèque de laquelle je cherchais l’origine de la puissance magique, et je ne m’étais pas trompée ! De plus, tu as dû recevoir la visite de l’un d’entre eux, vu la puissance que tu as déversé ! Gardes ! Libérez-le et amenez-le moi dans mon petit salon, je dois m’entretenir avec lui pour mes recherches. Squibbo, je présume que tu ne vas pas essayer de me tuer car je suis la sœur de Zelda, ta suzeraine ! Allez-y.
Elle se retourna et alla dans sa suite. Elle avait dit tout cela d’une façon très particulière. Elle s’adressait au prisonnier avec gentillesse et compassion et aux gardes avec dureté et sévérité. Elle savait bien jouer ses rôles. Elle était très curieuse, très familial des Daphnes, et était très impatiente d’en savoir plus dans ses recherches. Pour cela, elle a rassuré son mari en posant une question bien placée à l’épéiste et elle s’adressait à lui avec gentillesse uniquement pour soutirer plus d’informations de sa part : technique classique.
Squibbo arriva dans le salon de l’impératrice qui était confortable. Les murs peints en vert neutre faisaient écho à la couleur royale de Pzia et des bannières étaient accrochée sur les murs. Il y avait les bannières de tous les différents pays connus, actuels comme antiques. Il remarqua même avec amusement une bannière Twili aux couleurs noir et turquoise. Une table basse était au milieu de la salle, il était d’un blanc pur, avec des renforcements en quartz et recouvert d’une nappe aux couleurs de Pzia : Vert et Or. Une fenêtre donnait sur l’extérieur et inondait la salle de lumière naturelle, renforcée par un lustre en pierre Nox au-dessus de la table basse. La sœur de Zelda invita le semi-twili à s’installer sur un sofa tandis qu’elle s’asseyait devant lui. Deux gardes gardaient l’unique porte qui donnait sur la salle du trône, pourtant il semblait il y en avoir une autre cachée, qui devait, le devina Squibbo, donner sur la Suite Impériale. Mirada demanda peu de temps après que l’épéiste se soit installé :
- Tu es bien fils d’un twili ?
- Oui, je viens de l’apprendre.
- Tu dois donc pouvoir utiliser des pouvoirs propres à cette race naturellement ! Attends.
Elle se leva et tira un livre d’une étagère. Elle se rassit sur le sofa et feuilleta le livre qui avait de marqué sur sa première de couverture ‘‘Magie Twilie’’. Après un moment de recherches, elle dit à Squibbo :
- Voilà. Regarde là. Essaye de copier ce qui est écrit. Ne vas pas me dire que tu ne sais pas lire car je sais qu’on l’apprends aux gardes.
L’un d’entre eux hocha la tête, empêchant à Squibbo toute riposte construite. Il se plia donc à ses ordres et recopiât les gestes écrits sur le livre. C’était un sort pour faire téléporter des objets. En voyant la tête de l’Impératrice, il comprit alors qu’elle voulait lui donner des clefs pour s’enfuir. Elle est loin d’être stupide car comme ça, personne ne la soupçonnera de l’avoir aidé à s’enfuir. En plus, elle pourra feindre que se téléporter soi est une capacité non naturelle des Twilis car le livre est manifestement une copie de Mirada, qui aurait très bien pu cacher les techniques pour se téléporter soi, et personne n’irait sur le livre d’origine car le script Twili est sans conteste très dur. Squibbo fit les signes, les mouvements décrits sur le livre et dit ces mots :
- Loch’add gwedall-a okfell. qui signifiaient ‘‘Tasse, déplace-toi où je veux.’’
La tasse de thé se décomposa en plein de petits carrés et à côté, des petits carrés apparurent et la tasse de thé fut recomposée. Mirada parut émerveillée et lui dit :
- C’est incroyable ! Ce type de magie est réellement unique ! Bon. Notre entrevue est terminée. Reviens au cachot et fait des expériences pour m’en montrer plus la prochaine fois ! Merci !
- De rien.
Squibbo revint dans sa cellule, et lorsqu’il fut sûr que aucun garde n’était là, il essaya de se téléporter en dehors du château. Il sentit tout à coup la sensation qu’il était décomposé, déchiré. Il arriva ensuite dans un monde noir avec des cercles magiques blancs un peu partout, puis ces cercles disparurent pendant que Squibbo se sentit se réassembler. Lorsque cette douleur fut terminée, il ouvrit les yeux et vit la plaine de Pzia. Il était libre, enfin ! Il allait partir lorsque deux personnes arrivèrent en même temps. À sa droite, il y avait une femme étrange aux yeux rouges, les cheveux roux et la peau blanche. À sa gauche, il y avait… Deeræ.
Note de bas de page :
¹ – Les Hyliens tombent amoureux beaucoup plus tôt que les Humains. Ils commencent à ressentir des sentiments pour le sexe opposé dans les environs des 3 ans et la plupart des couples se forment soit entre 4 et 8 ans lors de leur première poussée, soit à partir de 14 ans après l’adolescence. Mais, contrairement aux Humains, les Hyliens ont tendance à s’intéresser aux affaires relationnelles vers 4 ans, ce qui est très tôt !
² – Le ‘ch’ dans Echwalda se prononce comme le ‘ch’ dans Nacht en Allemand, le ‘х’ dans всех en Russe, le ‘j’ dans jota en Espagnol ou le ‘c’h’ dans sac’h en Breton. Ce son n’existe pas en Hylien, donc la princesse s’est renommée ‘‘Edwaldda''.
Je me suis lâché ^^
Bref, pour mon problème de troisième personnage, c'est désormais plus affiné : j'aurais besoin d'une femme Twili servant le roi Ukyedd des Twilis. Merci !
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