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Salon d'Ecriture Occasionnelle

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Cap:
Bien sympa vos textes :^^:

Doutch, je reste sur ma faim. Ton texte se suffit à lui même, la fin n'est pas vraiment une fin, mais j'aurais bien voulut en savoir plus. Plus sur le monde que tu présentes, plus sur comment il fonctionne (ces gens qui disparaissent :niak:), plus sur cette guerre, plus sur tout. Ton univers aurait bien mérité d'être mieux présenté, décrit. Affaire à reprendre peut être ;)

Jophine, la chute est plutôt évidente (on se doute que, même si j'avoue ne pas avoir trouvé tout de suite :niak:), mais l'idée est cool. Ça aurait presque mérité de faire traîner légèrement en longueur et de noyer les indices sous une masse d'infos complétement inutiles.  :^^:

Trictus McNatret:
Doutchboune, je viens de lire ton texte, et il me pousse à rédiger une critique que j'espère construite. Parce que, franchement, il le mérite.

Je ne me suis pas penché sur l'orthographe, d'abord parce qu'aucune faute ne m'a sauté aux yeux à la  lecture et ensuite parce que je n'ai pas envie de jouer mon prof de français . Néanmmoins, sur le style et la syntaxe, j'ai quelques petites remarques...

- chant incessant du vent... J'ai cru comprendre que ta cité était à l'abri d'un dôme, n'est-ce pas ? Donc l'idée du vent me paraît curieuse. Toutefois, l'aération artificielle de la ville peut à mes yeux justifier d'éventuels courants d'air, ainsi que la notion de bruit évoqué après. En revanche, j'ai plus de mal avec le « chant du vent » suivi de « ce son, ou plutôt ce bruit ». Scrogneugneu, un chant comparé à un bruit ? D8
-Le chant incessant du vent dans les feuillets des vitres de cristal des hautes tours de la ville bourdonnait à mes oreilles comme une plainte douloureuse. La lourdeur handicapante de cette phrase... c'est bien trop long, pas assez ponctué et donc confus, il faut la relire pour être sur de la comprendre et elle pèse sur les poumons. Je pense qu'un petit découpage de cette phrase, à coup de verbes et de virgules, peut la rendre plus fluide!
-Ici, il n’existait pas de travail intéressant, ou, tout du moins, on vous sélectionnait très tôt pour que ne vous fassiez que des choses qui ne vous intéressaient pas.  Phrase maladroite, une répétition et une mauvaise formulation de la seconde moitié, compréhensibles, certes, mais peu correcte...
-Oui, je devais vraiment être trop attaché à la vie, car j’eus le réflexe de plonger à l’abri, contrairement, je le sus plus tard, à nombre d’autres personnes témoins de la scène. J’eus aussi de la chance, je dois l’admettre. Une plaque vitrifiée d’au moins une tonne s’écrasa à moins de deux mètres de mon abri précaire, un véhicule garé au bord de la route. Ne pensant plus qu’à ma survie, je partis en courant entre les tours, cherchant un abri fiable. Ce n’est que lorsque je trouvai cet endroit suffisamment sûr que je pris conscience de nouveaux bruits dans mon environnement, et que je me posai la question du pourquoi.
Les phrases sont bien formulées, seule la répétition par trop fréquente du mot abri vient entacher leur beauté x)

Niveau de l'histoire, j'ai trouvé quelques incohérences ; hormis cette notion de vent qui me semble malvenue dans un monde sous verre (encore que, comme dit précédemment, la ventilation intérieure pourrait le justifier), il y a aussi la simplicité avec lequel le narrateur parvient à s'emparer d'un vaisseau ennemi. Partant du principe que les attaques de la ville ne touchent que de l'organique, ce qui expliquerait la mort du pilote et l'intégrité de son appareil, je reste tout de même troublé par le peu de temps qu'il lui faut pour en saisir le fonctionnement. La ville contient-elle des véhicules antigrav assez similaire pour rendre le maniement de l'engin familier ? Ou est-ce son instinct de gamer qui lui a permis de saisir les subtilités de la conduite ? Je chipote, je sais, mais aussi anecdotique que cela puisse paraître, ça reste curieux.

Sinon, le texte ne m'a pas déplu. C'est une nouvelle à la fois très brève, bien racontée et intéressante, surtout sur le plan de l'interprétation. L'Apocalypse, synonyme de nos jours à la fin du monde, retrouve également son sens étymologique de « lever du voile » : avec la destruction du dôme, c'est toute l'artificialité (oui, néologisme) de ta cité, coupée du monde, qui s'envole. On découvre à quel point la ville enferme ses habitants tout en les protégeant, ce qui me semble une belle métaphore de la société. Et, surtout, avec la fin, vient un nouveau début pour le narrateur, enfin libre de s'enfuir. Il est d'ailleurs amusant de noter que ce narrateur, somme toute citoyen lambda, lucide mais pas révolutionnaire pour deux sous, attends d'être mis au pied du mur pour saisir une chance de fuir ce monde qu'il n'aime pas. Il y a une sorte de réalisme touchant dans cette situation qui m'a plu.

Ton style n'est pas déplaisant, et si l'on excepte une récurrence du vocabulaire et des termes employés (le chant du vent, le bruit entêtant, les tours de cristal, les morceaux et éclats...) et les quelques erreurs que j'ai relevé plus haut, ton texte est vraiment bien écrit. J'ai aimé le lire, et c'est à ça que tu dois ce pavé. C'est le premier écrit que je lis de toi, Doutch, est c'est suffisamment prometteur pour m'en faire espérer d'autres^^

Doutchboune:
Cap > je sais que c'est très concis, après j'ai toujours eu énormément de mal à développer mes écrits, quels qu'ils soient. C'est un reproche qui m'a suivie toute ma scolarité, toutes mes études. dès que j'essaye de développé, je tombe dans des répétitions, je tourne en rond et c'est très vite lourd (du moins est-ce l'impression que j'ai). Pour le développement du monde, je ne voulais pas en dire trop, car le récit vient du narrateur, et il est assez difficile d'amener les infos via le narrateur. C'est un choix que j'ai fait, c'est voulu. Comme ces gens qui disparaissent, le narrateur n'en sait pas plus, donc le lecteur ne peut en savoir plus. Après, si jamais un jour je venais à prolonger cette histoire, peut-être en apprendrait-il plus sur son monde ? Qui peut le savoir ? (oui, moi, je sais.... ou je devrais être sensée savoir :niak:).


Rictus > déjà un gros merci pour ta critique, ça me fait bien plaisir. Déjà, je suis d'ac avec toi sur les lourdeurs et certaines répétitions. Cette deuxième phrase, oui, est trop longue, trop de "de" à la suite. Je vais tenter de la reprendre autrement, je pense. Et peut-être changer le mot chant. Même si je voulais aussi montrer la différence entre ce son (qui est comme une vibration dans les feuilles des arbres, peut-être devrais-je employer le mot murmure ? je vais y réfléchir) et la perception négative qu'en a le narrateur. Ce murmure du vent dans les tours est le bruit de fond de son monde, et il identifie son monde à ce son. Il n'aime pas son monde, il n'aime pas ce son. Et c'est quand ce son cesse qu'il prend conscience du changement autour de lui, et qu'il décide de passer à l'action.

Pour ce qui est du vent, il est artificiel oui. Le narrateur découvre l'existence du dôme lorsqu'il cède, il n'avait pas conscience d'être enfermé avant ça, et donc on suppose que ceux qui ont construit ce dôme on recréé dedans un endroit "naturel" avec du vent. Après, ça peut peut-être juste être le système d'aération, puisque le vent est incessant (et sous entendu constant, même si ce n'est ptet pas assez explicite). Reste que la population ne sait pas qu'elle vit sous un dôme.

Pour le vaisseau, j'aurais dû développer un peu plus la scène, et je le referai peut-être. J'ai signalé la simplicité des commandes justement pour montrer que la prise en main serait forcément simpliste. Mais je t'accorde que si j'avais écrit comment il a tenté d'appuyer sur les boutons, comment le manche était en fait assez similaire à ceux de leurs véhicules, ça aurait été plus clair, je suis bien d'accord. Je pense que c'est la flemme de fin de texte qui est surtout responsable ici^^

En tout cas merci, je ne promets pas de nouveaux écrits (je me connais, j'écris vraiment très rarement) mais je vais essayer de peaufiner celui-ci :)

Doutchboune:
Allez, pratiquement un an jour pour jour, je ressors ce topic des fins fonds du coin littéraire pour une petite prose de ma part. Je préviens d'avance que ceux qui ne connaissent pas l'univers de WoW manqueront quelques références, mais je pense que le texte reste compréhensible quand même. Enfin, j'espère. Je mets quand même deux trois trucs pour aider (et qui hérisseront ptet le poil des puritstes mais bon) :
Draenei : race extraterrestre à peau bleue, avec des cornes et des sabots
Draenor : planète où ont vécu les draenei pendant une assez longue période
Outreterre : ce qu'est devenu Draenor après s'être disloquée dans le Néant
Crocilisque : sorte de crocodile à 6 pattes, assez courant dans l'univers.
Azeroth : planète de base de l'univers
Etheriens : race pensante au corps éthéré et qui s'est installée en Outreterre et où ils ont implanté leur technologie
Eco-dôme : dôme d'énergie éthérien capable de permettre le développement d'un environnement viable (sorte de serre, en mieux)


Terres Médianes

Les éco-dômes. A chacun de ses retours en Outreterre, elle prenait le temps d'aller les explorer. Ils étaient une preuve supplémentaire pour elle que l'Outreterre n'était plus Draenor. Il restait tellement peu des forêts d'antan. Et celles-ci, à Raz-de-Néant, n'avaient plus grand chose à voir avec la végétation d'Ashran*. Elle ferma les yeux, se remémorant son monde disparu. Les odeurs, c'était surtout les odeurs qui lui manquaient. Mais, avec le temps, elle apprenait à apprécier les nouvelles. Draenor n'était plus, l'Outreterre avait pris sa place, et l'Outreterre vivait, elle aussi. De la vie nouvelle, parfois. En tout cas, à part la rumeur d'un spécimen aperçu en Nagrand mais dont l'existence n'avait jamais été prouvée, il n'y avait qu'ici, sous cet éco-dôme, que l'on pouvait trouver des crocilisques, sur ce monde ravagé. Leur cuir était une manne, d'autant plus qu'il était différent de celui que l'on trouvait sur les espèces d'Azeroth. La draenei rouvrit les yeux et les leva vers le ciel. Le dôme luisait, voile rose au dessus de sa tête. Était-il responsable ? Elle hausse les épaules. Peu importait, en fin de compte. Les crocilisques étaient là, leur cuir aussi, et ça, c'était le point intéressant.

Un craquement non loin la fit s'arrêter net, et se concentrer sur son environnement. Elle cherchait du regard, elle écoutait de toutes ses oreilles. Il y avait quelque chose de gros, à faible distance. Peut-être la créature responsable de la piste qu'elle suivait. Avec maintes précautions, posant ses sabots silencieusement sur le sol du sous-bois, elle avançait dans la direction du bruit. Elle concentrait doucement l'énergie élémentaire au bout de ses doigts, juste assez pour pouvoir frapper en cas de besoin, mais sans pour autant attirer l'attention avec des bruits d'éclairs crépitants. Elle se méfiait surtout des lynx, qui s'étaient installés dans ces nouveaux environnements et qui y pullulaient. Mais la piste n'était pas celle d'un lynx, en fait, ce n'était pas celle d'une créature habituée aux forêts. Cette créature était peut-être plus quelqu'un que quelque chose, et cela rendait la draenei curieuse. Elle restait néanmoins méfiante, sachant pertinemment que cette personne n'était pas forcément amicale. Elle continuait sa progression, lentement, discrètement, remarqua des traces étranges, comme si les plantes avaient été touchées, manipulées, mais sans pour autant avoir été abîmées. Sa curiosité en était décuplée. La terre devenait plus meuble sous ses sabots, elle approchait donc du lac. Bientôt, elle aurait une vue dégagée, et elle serait enfin fixée sur la nature de sa proie.

Un grand plouf la fit sursauter, et c'est d'un pas plus rapide qu'elle franchit les derniers mètres qui la séparaient de l'espace clair de la berge. Tout près, quelqu'un était tombé dans l'eau. Elle ne vit qu'une masse de cheveux acajou couler, puis revenir à la surface. La personne semblait savoir nager, mais ce serait inutile face aux prédateurs reptiliens de ce lac. D'un regard, la draenei scruta la surface, et décela, comme elle s'y était attendue, les légères ondulations de surface qui trahissaient l'avancée rapide des crocilisques. En quelques bonds, elle fut sur le bord le plus proche de l'être qui semblait un peu perdu. C'était une humaine. Un genou au sol, elle tendit la main le plus loin possible, et dit, d'un commun teinté d'un léger accent des gens de sa race :
- Vite, prenez ma main, ne restez pas dans l'eau, c'est dangereux !
Pendant ce temps, elle continuait à concentrer son énergie. Il n'était pas question d'avoir recours à la force de la foudre tant que l'humaine était dans l'eau, mais dès qu'elle serait sortie, il faudrait agir. Les crocilisques monteraient sur la berge, elle le savait. Elle sentit alors le contact de la peau contre sa paume, et serra la main. Elle tira de toutes ses forces, hissant la femme sur la berge. Elles basculèrent toutes les deux, la draenei se retrouvant sur son séant, et l'humaine allongée à côté d'elle. Sans même lui jeter un regard, la cornue tendit le bras, et envoya un éclair dans l'eau, puis un autre. Elle scrutait la surface, en alerte, c'était tout juste si elle entendait la femme tousser à côté d'elle. Croyant voir une nouvelle ondulation, elle renvoya une salve, et attendit. Sa respiration était saccadée, mais ses yeux et ses oreilles n'avaient rien perdu de leur concentration. Le lac était redevenu calme. Les reptiles n'avaient pas assez faim pour risquer leurs écailles. Elle se laissa aller à un gros soupir de soulagement.

 
La femme reprenait ses esprits, et après quelques instants, elle se mit à genou, à côté de sa sauveuse providentielle. Pour quelqu'un qui venait d'être en grand danger, elle paraissait plutôt calme. La draenei se demandait si c'était parce qu'elle avait l'habitude des situations dangereuses, ou si elle était seulement inconsciente. En tout cas, elle était jeune, de ce qu'elle en savait. Elle la regardait, légèrement souriante, mais avec un petit froncement de sourcils qui trahissaient une vague réprobation.
- Merci.
La jeune femme était à la fois penaude et reconnaissante. Son sourire était sincère, et sa gratitude tout autant.
- Je suis désolée, j'ai été imprudente. Je ne suis pas sûre que je m'en serais sortie si une de ces bêtes m'avait attrapée alors que j'étais dans l'eau. Merci du fond du cœur.
- Oh, mais, c'est normal, je n'allais vous laisser vous faire dévorer devant mes yeux. Mais tout de même, cette zone est dangereuse, que faisiez-vous ici ?
L'humaine sembla vaguement suspicieuse, et répondit d'un ton un petit peu froid :
- Je sais que vous venez de me sauver la mise, mais... je pourrais vous retourner la question.
La draenei éclata de rire. Quelques semaines passées en Outreterre, et elle avait déjà oublié à quel point les humains étaient susceptibles. Et méfiants. Elle regarda le visage décontenancé de son interlocutrice, et, avec un sourire franc, reprit la parole :
- Je me nomme Lishaasi, et je suis trappeuse. Ces éco-dômes possèdent une faune toute particulière qui fournit un cuir d'une qualité spéciale. Surtout les crocilisques. A la base, j'étais venue ici pour chasser, mais je suis tombée sur votre piste, qui, je dois dire, m'a beaucoup intriguée... Vous faites quoi, avec les plantes ?
La femme semblait surprise, mais sa voix s'était radoucie.
- Et bien, je suis botaniste. J'étudie les plantes, les examine, les répertorie. C'est d'ailleurs en voulant en voir une de plus près que je suis tombée à l'eau. Je savais que c'était dangereux, mais je pensais pouvoir l'atteindre.
Elle marqua une petite pause et ajouta, dans un petit rire :
- Il s'avère que j'avais tort ! Je m'appelle Adelheidy Hamar, je viens d'Azeroth pour étudier ces fabuleuses installations.
Elle accompagna sa phrase un large geste désignant son environnement, mais aussi le dôme au-dessus d'elles. Lishaasi fit une légère moue.
- Vous savez, ces choses éthériennes ont peut-être ramené la vie ici, mais ça n'a pas grand chose à voir avec les forêts d'antan. Enfin, j'imagine que ça n'enlève pas l'intérêt qu'on pourrait porter aux plantes qui y poussent.
- Je crois que de mon point de vue, rien ne peut enlever de l'intérêt à aucune plante, mais je ne suis pas vraiment représentative de ma race. Non, en fait, c'est surtout parce que chez moi, la terre a été corrompue, et je recherche un moyen de faire renaître la vie dessus. J'ai pensé que ces engins pourraient m'apporter une forme de réponse.
- Oh, vous venez de ces terres du Nord, prises par les... Comment c'était déjà ? Des morts-vivants, je crois.
Adelheidy ne masqua pas sa surprise.
- Vous connaissez Azeroth ?
- Oui, je connais votre monde, j'y vis, même. Enfin, quand je ne fais pas un petit voyage dans ce qu'est devenu mon ancienne planète. Je loge dans la ville de Hurlevent, mais je me balade beaucoup, j'aime le grand air.
- Et bien, c'est surprenant de vous rencontrer ici, alors ! Je suis originaire du Nord, oui, mais depuis des années, je vis dans le Sud. Ces derniers temps, juste à côté de Hurlevent, d'ailleurs, dans le...
La draenei redressa la tête, elle avait entendu un bruit. L'enthousiasme de la discussion lui avait fait oublier où elles se trouvaient, la jeune femme et elle. L'air soudain sérieux, elle se releva, et tendit la main pour aider Adelheidy à faire de même.
- Cette conversation est passionnante, mais nous ne devrions pas rester ici. Je connais une clairière bien plus sûre, pas très loin. Je pense que nous ferions mieux de continuer à parler là-bas.
Une fois debout, l'humaine acquiesça, puis suivit la draenei à travers la végétation de la forêt.

Cap:
Coucou !
J'ai enfin trouvé le temps de lire ton texte, et je dois dire que j'ai bien aimé. Je te rassure de suite, je ne connais absolument pas l'univers de WoW, et le texte reste parfaitement compréhensible. D'ailleurs, le lexique n'est presque pas utile, puisque tu ajoute quelques légères descriptions qui permettent tout de même de bien imaginer la scène (c'est un bon exercice, si l'envie te prend, essaye de te passer complétement du lexique).
Après, ce texte ressemble à un fragment de quelque chose de (beaucoup) plus grand. Je ne peux que t'encourager à le continuer :-*

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