De nouveau, Lypphie, ça me paraît aussi absurde que de ne pas finir un film ou un livre; la comparaison à une chasse au trésor de ROMM n'est pas si mauvaise. Oui, il faut finir par se "séparer", comme d'un ami, un jour, d'une histoire, en la terminant. Cette incapacité à couper le cordon ombilical me sidère.
Et c'est un peu trop "branlette mentale", ton histoire de "continuer le rêve", etc; de une, parce que rien ne t'empêche de continuer l'histoire après avoir terminé ce que les auteurs t'ont raconté, pour toi; de deux, parce que je ne compte pas le nombre de jeux qui ont une fin trop évidente pour supposer "rêver la fin soi-même" en ne la continuant pas; et de trois, parce que je peux te citer 5 milliards de livres, films, séries, jeux, bande-dessinées, etc. qui reposent SURTOUT sur leur fin. Va voir Inception et dis-moi que tu as pas regardé la fin, je facepalmise; fais la même chose avec Shutter Island mais je vais jusqu'à t'en vouloir -c'est bête, huhuhu, mais vraiment cette force qui réside justement dans la résolution et dans la lumière qui est enfin faite sur tout ça...
Donc oui, je ne vois rien d'autre qu'une perte dans ce besoin de ne pas finir. De nouveau, le cordon ombilical qui se forme à la découverte d'une histoire, il est censé se couper.