Quand à 16h, j'arrive à me dire: "Faudrait que je déjeune" je peux difficilement nier que j'ai foiré mon dimanche et que je suis décalé. Bon. C'pas bien grave, me diriez-vous! Mais tout de même... Peut-être que je peux rattraper ça en lisant 99 francs de Beigbeder?
J'ai souvent trouvé mes dimanches tristes. Ce sont des jours de traînes, d'inactivité, d'attente du lundi. J'ai toujours adoré les dimanches qui se rattrapaient, que ce soit en famille, ou entouré d'amis... Et là, pour le coup, entouré de livres. Ce qui n'est pas moins intéressant, mais tout de même moins vivace, si vous voyez ce que je veux dire.