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Fable et jeu de l'Oie
Ivy Bulge:
Bon, alors puisque personne ne veut commencer, je vais le faire!^^
Ta fic, je la trouve génial à cause de la description très réussi mais le seul défaut dans celle-ci c'est qu'on ne connaisse pas l'âge et la descriptions physique du personnage principal! (A moins que tu veux les mettre plus tard!^^)
J'espère que tu n'abonneras pas cette fic aussi! Je la trouve génial! ^x^
Sur ce, bonne continuation! ;)
Prince du Crépuscule:
Puisque Prince du Crépuscule ne donne pas parole sans l'honorer le plus tôt possible et de la meilleure des façons (j'espère ^^), je vais respecter ce que j'ai affirmé pour la Renaissance du Forum Littéraire et commenter ta nouvelle fictions, d'autant que j'en avais envie de toute façon. Mais bon je suis parti et ces derniers jours j'ai été plus qu'occupé, mieux vaut tard que jamais comme on dit. ;)
Avant toute chose je te remercie de m'avoir placé dans les têtes de liste concernant tes fictions préférées, je suis heureux que ce soit le cas. Mais comme tu n'as j'amais commenté je ne pouvais pas le savoir, mais moi je le fais vois-tu? *message subliminal* Je dois dire que j'avais bien aimé aussi ton premier écrit, que tu considères comme raté. Je le trouvais bien sympathique, tout comme ta fiction concours, uqe j'ai déjà lue depuis longtemps mais ça, tu le sais déjà. En revanche, ce que tu ne sais pas, c'est que peut-être que personne ne commente à cause de cette foutue taille d'écriture que tu nous a mise là... Mais c'est horrible, même en zoomant avec ta technique là, je t'abjure d'arrêter! En tout cas moi ça m'a vraiment pas donné envie, après tu fais ce que tu veux mon mage complice, je vais pas te forcer t'es assez grand pour entreprendre de suivre de maigres conseils ou pas hein? :p
Ceci étant dit, je vais arrêter mes vains palabres et me concentrer sur l'important: ta nouvelle fiction, "Les Flammes Bleues". Titre déjà intéressant, presque un oxymore comme on dirait dans un jargon littéraire que je ne connais pas, les flammes diffusant chaleur et lumière et le bleu étant bien souvent assimilé à une valeur plutôt froide et triste, et à l'élément aquatique. D'ailleurs je ne me suis pas trompé, il s'agit là de l'une des nombreuses interrogations de ton Frederik. ^^
Ensuite ensuite... J'apprécie ton style, même si j'aurais aimé que tu pousses un peu plus la description m'enfin moi et mes descritpions téléscopiques hein, je vais me taire. C'est très bien comme ça je ne vais pas me plaindre, tu manies bien ton sujet et tes phrases, les tournures, le vocabulaires, les enchaînements tout ça, parfait. Néanmoins je ne suis pas trop friand de cette foule de questions et du fait qu'on jongle souvent selon le schéma description/interrogation/action, etc... Et surtout, les fautes. Je sais bien tu n'as pas le temps de te relire, que tu n'as pas envie ou que tu n'as pas de correcteur, mais parfois c'est assez désagréable, sans autant tomber dans la récurrence je te rassure. A vrai dire, elles sont plutôt rares mais les fautes d'accord et de participe passé me gênent le plus, comme ici par exemple...
--- Citation de: "Yorick" ---Il s’était rappelait que la veille...
Elle était faite d’une de ces beautés qu’on imaginer pouvoir toucher du bout des doigts
--- Fin de citation ---
Voilà voilà. Tes personnages sont d'ores et déjà très attachants, et tu plantes bien le décor et l'ambiance, on est tout de suite plongé dans ton histoire (mis à part cette écriture horrible v_v). Le héros m'a l'air d'être très intéressant, même si comme l'a déploré Saphira on ne sache pas encore son âge ni son apparence, je mise sur un jeune adolescent vu cette masse de questions qu'il se pose. Très réussi en tout cas, j'attends d'en savoir plus. Concernant l'histoire, je ne peux pas encore réellement me prononcer, mais il faut avouer que c'est original, mystérieux et assez obscur, j'aime ça! :)
Somme toute, il s'agit là d'une fiction prometteuse et que je suivrai de prêt! Tu peux déjà t'en assurer, mes pavés viendront se jeter dans la marre de ton topic fréquemment, j'espère que ça ne te déplaît pas trop. Sur ce, je te souhaite une excellente continuation mon cher mage complice, poursuis dans cette voie je suis certain qu'il en ressortira une création merveilleuse! Bonne soirée. ^^
Yorick26:
Commentaire des commentaires
SaphiraJe suis désolé, franchement désolé pour l'âge de Frederik. Ca me paraissait tellement évident que je ne l'avais pas marqué. Il a dix-sept ans. Il n'est pas tout à fait majeur ce qui explique toutes ces questions. En tout cas merci bien. Ca fait énormément plaisir.
Prince du CrépusculeAlors comme je dois relire ton commentaire pour le commenter, je vais essayer de faire vite ^^ ! Alors pour ta place dans les fics préférées, à vrai dire je n'ai lu que le premier chapitre mais il m'a ... comment dire... assommer. Enfin pas comme l'Assommoir connu pour ces vertus ennuyeuses chez certains mais, tes descriptions longues demandent une concentration totale et la longueur du texte demande du temps et de la patience. A la fin j'étais à bout de force, je n'ai donc pas commenté ^^ ! Mais j'aime le style et j'ai hâte de voir quand l'intrigue sera bien posée.
Pour la taille d'écriture, je trouve ça plus jolie comme présentation, si ça vous gêne vraiment. Vous faites un copié/collé dans Word et c'est pareil surtout que tu aimes lire les textes sur des feuilles dans ton lit. Alors ... Je te fais plaisir là. Ce n'est rien que pour toi que je fais ça... nan ! Mais bon. Si je reçois trop de plaintes, je changerais.
Le titre, j'ai pris le premier qui me passait par la tête. J'avais envie de changer d'élément. Etant tourné vers l'eau, que j'adore et que je sanctifie, j'ai décidé de changer un petit peu. J'ai donc pris son opposé les flammes. Et pour crée une situation plus inattendue mais aussi plus unique et originale, j'ai pris des flammes bleues.
Quant aux questions, je ne suis pas sûr que tu t'en poses si peu s'il t'arrive le même phénomène. Je crois que toutes ces interrogations sont justifiées. C'est inexplicable, il ne lui reste que les Interrogations. Je n'ai pas le temps de me relire, j'ai une correctrice que je salue bas mais qui pour que je m'améliore ne me corrige pas les fautes d'orthographes. Donc je dois le faire manuellement ce qui est long et franchement mauvais pour mon égo. Car je suis très souvent impardonnable car ça traite plus de l'inattention que d'autre chose. L'apparence viendra après... Quant à l'histoire, je présente un autre personnage dans le chapitre suivant, et à la fin du chapitre 3 normalement en cours de rédaction, vous aurez ce qui lancera l'histoire.
LES FLAMMES BLEUES
Chapitre II : Une famille formidableLe soleil brillait déjà intensément. Il n’était pas encore très haut dans le ciel pourtant, mais on sentait quand même la chaleur de la journée qui nous entourait. Mais il est vrai qu'en cette saison, il fait tout le temps chaud. C’est pour cela qu’Artémis s’était réfugiée sous l’arbre qui avait été planté sûrement il y a bien longtemps sur la place du village. Le monde qui circulait autour d’elle ne la gênait en aucune façon. Ni les regards parfois intrigués ou pour - ceux qui la connaissaient - désespéré. A l'ombre, elle était bien. C’était ce qui comptait. Après tout, ils n'avaient rien à lui apporter et ils ne comprenaient pas ces simples désirs. Assise contre le tronc du hêtre, elle s’amusait à lancer son couteau en l’air et de le rattraper en le laissant tomber naturellement dans sa paume. L’idée que ce soit la lame qui arrive en premier ne lui avait pas effleuré l’esprit. Sa vision de la vie était naïve disait les gens : mais il est vrai que ne pas profiter des choses si on court un risque est une entrave au bonheur. Tout avait un risque, pourtant cela n'empêchait pas certaines personnes de courir le danger. Le boulanger risquait de se brûler, une couturière de se piquer, mais ils exerçaient leur métier quand même. Alors, sans attendre un quelconque accord inutile, elle jouait avec son couteau.
C’était l’objet fétiche d’Artémis. Un couteau que lui avait offert son père avant que son père parte pour une de ses aventures. Cela faisait quatre ans qu’il était parti. Et cette entaille, la plaie causée par l'absence de son dernier membre de sa famille, était bien pire que celle qu’elle pourrait se faire dans la main en manquant de vigilance avec son arme blanche. La guérison fut longue et plus que difficile. Elle était peut-être refermée pour l’instant, mais elle menaçait se rouvrir à tout moment. Et la curiosité - ou la pitié de certains - lui faisait mal comme si un poison se répandant dans ses veines. Elle avait donc choisie une vie solitaire, une vie qui lui convenait parfaitement loin de tous les problèmes affectifs qu’une vie à plusieurs pouvait avoir pour conséquence. Et quand elle assistait à une dispute entre ses parents adoptifs, elle se disait qu'éprouver des sentiments pour quelqu'un ne valait pas le coup quand on se rend compte du prix réel à payer.
Son seul compagnon avait été donc son couteau pendant quatre années. Depuis le départ de son père, elle avait dû habiter dans une famille d’accueil. La greffe de ces nouveaux parents ne s’était pas bien passée. Ne s’étant jamais occupé d’enfants comme elle, ils n’avaient pas su comment s’y prendre avec cette fillette de douze ans. Ils n’avaient pas su s’occuper d’elle et compenser l’amour paternel qui lui manquait. Artémis vivait chez eux, mais son cœur était ailleurs. Elle ne travaillait pas. Une vie bien rangée ne l’intéressait pas, l'ennuyait même : seule l’aventure parvenait à occuper son esprit pleinement. C’est pourquoi, quand elle ne passait pas son temps à ne rien faire comme ce jour-là, elle partait dans les bois, cueillant, suivant à la trace certains animaux. Au fur et à mesure de ses expéditions elle essayait de se souvenir de ce que son père lui avait appris : les noms de certaines plantes, le danger que l'on courrait pour les plus nocives, leur propriété curative pour d’autres. Parfois tombant sur un spécimen inconnu, elle l’amenait à l’herboriste pour savoir ce que c’était. Quand elle avait de la chance, c’était une plante assez rare ou bien utile. Le marchand la lui achetait pour quelques pièces d’argent. Elle se faisait comme cela une cagnotte pas très conséquente, mais assez pour faire quelques achats. Cet argent pourrait toujours lui servir si elle voulait voyager. Suivre la trace de son père. Elle l’avait souvent imaginé mais n’osant pas prendre une telle décision elle était restée dans ce village.
Pour l’heure, elle se contentait de regarder les feuilles du hêtre frémir sous la pression du vent. Les branches se penchaient d’un côté puis de l’autre selon le bon vouloir de la brise. Le murmure de l’air se glissant sous les feuilles, les faisant siffler, avait tendance à bercer Artémis. Elle se laissa ainsi pendant quelques minutes entre le sommeil et l’éveil. Cette journée était vraiment parfaite pour rêvasser. Le soleil lui frappait le visage. Elle le laissa chauffé son corps. Pourquoi se protéger de ce qui était bon ? Elle préférait rester là à profiter de l’environnement qui l’entourait plutôt que, comme certains, se presser, ne pas prendre le temps de savourer les bonnes choses. Elle était calme, reposée. Contrairement à tous les autres qui se dépêchaient de courir après le temps. Simplement calme et reposée.
Elle resta dans cet état jusqu’à ce quelque chose s’interposa entre elle et le soleil ce qui eut pour conséquence de déposer un voile d’ombre sur ces paupières. Elle ouvrit les yeux. Celui qui la gênait pouvait apercevoir ses iris gris foncé aux éclats d’argent. Artémis le reconnu tout de suite. C’était son frère. Enfin son frère adoptif. Un enquiquineur qui n’arrivait pas à supporter que ses parents accordent à cette jeune fille, une intruse à ses yeux, un minimum d’attention. D’un ton impérial, il lui ordonna de lever. Ce qu’elle fit. Déjà autour d’eux des passants curieux s’étaient arrêtés pour voir ce qui se passait. La suite, Artémis la connaissant déjà. La rumeur allait circuler dans tout le village. Artémis, l’ours - la plus utilisée des moqueries à son égard à cause de son nom de famille originelle : Ourson -, la sauvage avait encore fait du grabuge. Si seulement ils savaient, ricana-t-elle intérieurement. Lorsque l'on a une réputation de fille violente, la violence venait parfois d’elle-même vous voir. La toisant du regard, il continua sur le même ton :
« Artémis ! Qu’est-ce que tu fais encore là à ne rien faire ? Tu ne sais donc que jouer les parasites ?
- A quoi ça sert de le demander puisque la réponse est déjà dans la question, frérot ? interrogea-t- elle d’un air narquois.
- Je ne suis pas ton père, espèce de b... d'insolente. dit-il avec colère. Je ne vois pas ce qui retient mes parents de te foutre à la porte. Avec moi ça ferait déjà bien longtemps que tu n’aurais plus ni gîte ni couvert. Mes parents n’ont rien en retour. Tu ne leur donnes rien ! Tu ne rends aucune affection alors qu’il t’en donne trop. Tu es une voleuse. Tu profites des gens. Tu leur prends leurs biens sans remords jouant de leur naïveté.
- Alors qu'est ce qui t'empêche de me déloger ? répliqua Artémis. Tu es plus âge que moi et surtout tu me détestes. Hein ? Dis, qu'est-ce qui te retient ? Tu as peur de faire souffrir tes parents ? Nan, je ne crois pas. Tu sais ce que je pense, je pense que tu as peur de décevoir profondément tes parents. Tu as peur de perdre leur amour et de te retrouver dans la même situation que moi. Orphelin.
- Comment oses-tu dire ça ? Toi, mes parents t'aiment. Même si tu ne le mérites pas. rétorqua son frère adoptif.
- Justement, ce sont tes parents. Je ne veux pas de leur affection. C'est de la pitié à mes yeux. Jamais je les verrais comme ma famille. Tu ne seras jamais mon frère. Un frère qui n'arrive même pas à choisir ce qu'il souhaite vraiment, qui reste sous la domination de ses parents. Un faible. cracha Artémis.
- Non. Je ne suis pas comme ça, moi ! Je sais ce que je veux. Et je veux que tu disparaisses et que tu souffres, car je vois clair en toi ! Tu n'es qu'un monstre. Rien d’autre qu’un monstre. rugit-il. »
La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe comme on dit. Artémis se fichait complètement de ses remarques. Elle ne s’attendait pas à mieux venant de son frère adoptif. La jeune fille opta pour le silence, elle n’allait pas perdre son temps en dispute avec cet idiot surtout qu'elle savait qu'il avait tort, qu'il était dans sa propre illusion. Toujours sans bruit, elle s’assit tout en ne lâchant pas du regard le gêneur.
Ce dernier n’en pouvait plus. C'était presque comme si on pouvait le voir transpirer sa colère. Avant qu’elle ait pu toucher le sol il l’a saisi par le col et la plaqua contre l’arbre. Il tint son regard enfoncé dans le sien. Puis il baissa les yeux et aperçu le couteau qui était resté dans sa main. D’un geste vif, il s’en saisi. Le frère contemplait tout à tour l'arme et sa propriétaire.
Artémis était là, devant lui, la source de tous ses problèmes. Il l’aurait bien tuée sur-le-champ avec son objet fétiche. Il ne pouvait pas se le permettre. Quoi qu’il en pense, ces parents étaient attachés à cette fillette orpheline. Ce meurtre, même s'il serait pour lui une libération, leur briserait le cœur. Mais tout était là. Elle se tenait immobile avec son sourire qui l’énervait tant. Il avait son arme, son couteau qu’elle aimait tellement, dans la main. Il n’en pouvait plus. Cela faisait quatre années qu’il la supportait. Quatre ans. Quatre ! Il tendit le bras et leva la lame le plus haut possible. Artémis ne bougea pas. Cela lui semblait tellement facile. Le couteau plongea vers Artémis et se figea que lorsqu’il eut atteint sa cible. Le frère lâcha prise et dans un geste de colère cassa le couteau qui s’était fiché non pas dans le corps de la jeune fille mais dans le hêtre qui était derrière. La lame céda net séparant l’arme en deux morceaux : un tomba par terre et l’autre resta coincé dans l’arbre. Content du résultat il partit. Il avait détruis l'objet dans lequel elle enfermait sa fierté et l'avait ridiculisée devant les passants interloqués. Ce n’était pas la lame qu’il venait de briser mais Artémis et cette pensée le fit sourire.
Quand son frère adoptif fut assez loin, elle décrocha la partie tant bien que mal, mais avec haine qui était fichée dans le hêtre. Elle ramassa l’autre morceau et se dirigea vers un autre coin de la ville tout en jurant qu’il lui paierait.
Great Magician Samyël:
Bon, j'ai lu le premier chapitre, je ne commenterais donc dans un premier temps que celui-ci^^ Le suivant un peu plus tard, quand j'aurais le temps ^^
Alors, déjà je dégage une grande qualité dans ton texte et un gros défaut. Gardons le meilleur pour la fin, je commence par ce qui ne va pas à mon sens.
En fait c'est surtout du point de vue syntaxe, orthographe et tout ça, comme tu dois t'en douter ^^" Comme l'a déjà fait remarquer PdC, il y a effectivement un gros souci dans l'orthographe (et c'est moi qui dit ça, XD), avec des trucs vraiment énormes. Quelques grosses répétitions aussi, par exemple "Pendant quelques secondes il gémit mais se réveilla en sursaut quelques secondes après."
J'ai remarqué une faute de temps quelque part, je ne sais plus où. Parfois quelques mots mal employés, par exemple "- Oui ça peut aller, s’enquit-elle de répondre." Ici le verbe s'enquérir ne correspond pas.
Quelques tournures de phrases maladroites également.
Et un petit truc, m'enfin ça c'est plus d'ordre personnel, je trouve plus jolie d'utiliser "cela" au lieu de "ça" ^^"
Bon, voilà pour ce qui fâche. Mais il ne faut pas que cela te décourage, où que tu prennes ces critiques trop à coeur, surtout! Vraiment, essaie de relire, quitte à retarder un peu la parution, car il y a un gros fossé entre la narration et la syntaxe, c'est dommage! Ca ne reflète pas la qualité de tes textes, ce qui m'amène au point suivant, l'histoire en elle même.
Là, je ne peux qu'applaudire. Tu plantes très bien ton décors, lance doucement ton intrigue, fort originale d'ailleurs, qui soulève dès les premières lignes mystères et questions, que Frederik se posent beaucoup d'ailleurs. Et ça justement c'est aussi excellent, ça fait "vrai", d'autant plus qu'effectivement ton héros est en pleine adolescence, âge où on se pose énormement de questions, et si en plus on se découvre une "aptitude", ca va encore moins. Une très bonne chose donc! Comme l'a fait remarqué encore une fois PdC, on s'attache très vite aux personnages.
Bref, j'ai hâte d'en savoir plus. Surtout que des flammes bleues, s't'assez étrange :niak:
J'ai adoré la philosophie de Frédérick dans le tout début du texte, à savoir : "Quand on voit les choses, on ne peut que modifier, transformer alors que lorsque l’on ne voit pas, on crée, on invente notre environnement." C'est très bien trouvé, je suis fan :<3:
Petit bémol cependant, comme l'on déjà dit plus ou moins mes prédécésseurs, parfois le manque d'informations peut être assez gênant. On ne sait par exemple pas dans quel type d'époque Frederik vit. Il prend des douches donc technologiquement ils doivent être assez avancés, mais d'un autre côté il travail dans une forge, chose peu courante pour une époque moderne. A moins que ce ne soit une ère hybride? L'absence de descriptions de Frederik ne me dérange pas, cela permet de se l'imaginer comme l'on veut, si ce n'est quelques informations assez essentielles manquantes, mais ça c'est du détail :)
En résumé, une très bonne histoire, qui malheureusement pêche à cause des problèmes linguistiques et syntaxials. Ceci dit, cela peut être corrigé, ça ne serait que bénéfique! :niak:
Je vais donc suivre ça de très près, en espérant ne pas avoir été trop dur dans le commentaire, mais les critiques permettent l'amélioration =p Bonne continuation!
PS: je rejoins PdC, une nouvelle fois, quant à la taille de la police =D
John Craft:
Félicitations pour ta fic, Yorick ! J'aime ! :D
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