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La Tour du Rouge : [Random | Très court] Sans titre #1
Nehëmah:
Oui, oui, de ce côté-là, après relecture, il n'y a plus aucun doute, en effet, et puis s'il avait lancé ceci, Rirjk ne serait pas dans sa position, j'ai mal lu peut-être tout simplement aussi (ça arrive quoi... je lis, je lis et pouf moment de déconcentration et je loupe quelque chose d'important xD ).
Bon, ensuite si t'arrives à tenir un chapitre par semaine comme l'épisode de Bleach, en espérant que ce soit aussi bien voire mieux, ça me va parfaitement :niak:
Great Magician Samyël:
Hop, me revoilà : ) Après un attente plus qu'intolérable, voici venir le chapitre 8, ou le chapitre 1 du Livre deux, comme vous voulez :niak: Un chapitre court, qui sert principalement à faire arriver un nouveau personnage. Cependant, ne vous inquiétez pas, le chapitre 9 est déjà en cours d'écriture et arrivera ce soir (mais ne comptez pas trop là dessus^^) , lundi ou mardi grand maximum^^ Sur ce, bonne lecture^^
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Le Cycle du RougeLivre II : Les Prémices du Mal.
Chapitre 8 : Le Roy de Solanéa.
Le valet se dirigea d'un pas vif, quoi que sûr vers la cabine qu'occupait son maître, slalomant habilement entre les matelots, les soldats et les cordages qui jonchaient le pont du navire. Il emprunta le petit escalier qui menait aux pièces inférieures du vaisseau. Il frappa à la porte de ce qui semblait être la cabine du capitaine.
-Qu'y a-t-il?, répondit une voix légèrement agacée de derrière le battant.
-Mon seigneur, nous allons bientôt débarquer.
-Ha, bien. Merci Marco. Je me prépare.
-Sa seigneurie désirera-t-elle quelque chose d'autre?
-Non, ça ira. Tu peux disposer.
Le vieux serviteur dénommé Marco s'inclina face à la porte et repartit avec l'air digne et noble des majordomes d'expérience.
L'occupant de ladite cabine n'était autre que Ferdinand D'Alembord, maître du comté du même nom. Autrement appelé Le Vieux Lyon Assoupi. C'était un homme d'âge, environ la cinquantaine, mais qui gardait une silhouette et un visage fort jeune, au point que les autres seigneurs en venaient à le jalouser. Cependant, il avait un physique quelconque, les yeux bruns et les cheveux noir courts, des traits typiques des habitants du Sud. Il arborait une moustache fine et soignée, à la manière des gentilshommes distingués, ce qu'il était à sa manière. Il s'habillait souvent d'habits simples, qu'à la cour on qualifiait "d'inappropriés". Mais il fallait le voir sur un champ de bataille, dans son armure de plaque finement travaillée où, comme sur la garde de sa fabuleuse épée, rugissait le lion qui lui avait donné son nom. Ferdinand avait jadis été l'un des guerriers les plus redoutables et redoutés de tout le Continent. Cependant, les années passant, il avait petit à petit perdu le goût du combat ou de la joute, ceci étant en grande partie dû à la guerre qui avait secoué le Continent, quelques années plutôt. Avoir dû combattre ses frères humains sur de véritables champs de batailles, théâtres de toute la sauvagerie dont été capable l'homme lui avait montré que les Codes de la Chevalerie n'étaient rien d'autre qu'une tradition maintenant oubliée. A cause de cela, et en pensant avant tout au bien de son peuple, il avait déposé les armes devant les armées d‘Arabéus, négociant la paix. Le Commandeur de l'époque s'était montré grand seigneur, ce qui avait fortement étonné Ferdinand. Il avait pu gardé son rang et son pouvoir, en contre parti il avait dû instauré cette religion vouée à ce "Seigneur", et renfloué les caisses de la Sainte Expédition. Pour les Purges, il avait réussi à berner le Pontife en envoyant au bûcher ou à la potence des condamnés à mort, tandis qu'il envoyait les mages et autres jeteurs de sorts de son royaume vers Solanéa, ou d'autres comtés encore libres. D'ailleurs, cette attitude passive face aux armées d’Arabéus en avait surpris plus d'un, et c'est à cette période qu'il avait perdu son surnom de Jeune Lyon Flamboyant pour celui qu'il possédait actuellement. Mais il n'en avait cure. Il n'était pas du genre à s'occuper du regard des autres et le comté D'Alembord vécut heureux et en paix quelques années, jusqu'à ce que survienne l'assassinat du Pontife, et la prise de pouvoir par son fils. Un nouveau Commandeur était alors arrivé en Alembord. Il avait remplacé Ferdinand par l’un de ces fanatiques, enrôlé de force les jeunes hommes afin de grossir les rangs des Armées Saintes, et augmenté les impôt pour payer son entretient.
Il n'avait pas fallu longtemps pour qu'une révolte éclate. Ferdinand en était d'ailleurs à la tête. C'est là bas que le lion rugit pour la dernière fois. Après une courte mais violente bataille à l'intérieur de son propre château, Ferdinand avait reconquis ses terres et bouté les religieux dehors à coup de lame d'épée. Puis, il avait réunis tous les habitants de son royaume, tous les soldats, les montures, les chariots, les vivres, les armes, les mulets, le bétail et les avait envoyés vers Arendia, avec à leur tête son propre fils, en lequel il avait une parfaite confiance. De son côté, las de la guerre, de la sauvagerie des hommes et des complots politiques, il entreprit le voyage vers Solanéa, havre de paix où ses ancêtres avaient pour habitude de venir s'installer et mener une petite vie paysanne et tranquille une fois leur temps révolu. Se faisant passer pour un riche négociant textile, il avait réussi à se rendre à Port-Ebène avec sa petite escorte, composée des ses plus vieux compagnons d'armes et amis, où ils avaient trouvé un bateau qui faisant la jonction entre le Continent et Solanéa. Ferdinand aurait aimé être là pour voir la tête que ferait le Commandeur lorsqu'il viendrait reconquérir l‘Alembord, pour ne trouver qu'un royaume vide d'âme et dépouillé de ses richesses. Le comte d’Alembord se leva de la banquette où il était assis et se rendit sur le pont. L'air frais et vivifiant de la mer l'accueillit, l'odeur d'iode vint lui chatouiller les narines. Il s'appuya au bastingage, et admira l'île qui se profilait devant eux.
Une véritable merveille.
Rien qu'à la pensé que les hommes d'Arabéus y étaient venus trois ans plus tôt le faisait bouillir. Maudits fanatiques!
Un attroupement de curieux se rassembla vite autours du navire de Ferdinand. Depuis le départ d'Eratius, ils n'avaient plus vu de gros bateaux, et celui-ci n'en faisait pas partit. Cependant, il arborait sur sa voile l'emblème du Lyon, le blason des Alembords. On n'en avait guère vu par ici depuis quelques années. Le père et le grand père de Ferdinand étaient morts respectivement lors d'une joute et durant une partie de chasse à l'ours.
Et sur l'île on attendait le retour de cette grande famille, avec une certaine impatience. Il était vrai que les Alembords étaient réputés pour leur sagesse et leur bonté dans le tout Solanéa, et leurs conseils avisés dans les échanges commerciaux avaient toujours été bénéfiques pour l'économie de la communauté insulaire.
Ainsi accueillit-on Ferdinand avec une certaine liesse, à son grand étonnement. On le mena dans le petit manoir qu'avaient occupé ses ancêtres avant lui, l'on prépara un banquet, et on fit fête jusqu'à tard dans la nuit.
Et, les mois passant, on le sacra roi. Roi de Solanéa la Belle, et on le surnomma le Vieux Roy des Îles...
Great Magician Samyël:
Hi les gens! ^x^ Avec un peu de retard, voici venu le chapitre 9! ^^
Je préfère ne pas trop me prononcer sur la date à laquelle arrivera la suite, mais ce week-end me semble raisonnable... ^^
Sur ce, bonne lecture! :)
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Chapitre 9 : Evolution.
Rirjk se releva péniblement, son dos craqua. Il s'épongea le front, qui ruisselait de sueur dans cette chaleur suffocante et moite d'été. Il s'assit sur le petit muret qu'il avait érigé tout autours de son champ, les mains sur le manche de sa bêche. Il contempla son travaille, l'air satisfait. Les récoltes seront sûrement bonnes, se dit-il, avec un temps pareil...
Six années s'étaient écoulées depuis ce triste hiver qui avait vu la fin d'un être cher. Rirjk avait essayé de vivre au mieux, refouler sa culpabilité en s'occupant de Samyël aussi bien qu'il le put. Il l'avait pris sous son aile et éduqué au même titre que son fils. Il avait gardé un oeil constant sur lui, le regardant grandir et évoluer. Quelque chose s'était brisé en Samyël ce jour là.
Il était resté au lit durant plusieurs jours, inconscient et délirant, cauchemardant et criant. Ca avait été une épreuve difficile pour Rirjk. Il s'en était voulu encore plus. Mais un beau matin, environ une semaine plus tard, son apprenti s'était réveillé. Il était étrangement calme. Il n'avait rien dit, n'avait pas pleuré. Il avait gardé les yeux fixés sur le plafond. Ses yeux avaient changé. Ils étaient plus... distants, plus froids. Il avait perdu sa candeur, sa joie de vivre. Il ne parlait presque plus, se contentant de répondre avec la tête ou les mains. Il passait beaucoup de temps sur la falaise, là où on avait enterré Henry. Il s'asseyait sur le rebord, les jambes dans le vide, et il regardait la mer, dos au Continent. Au début, Rirjk avait eu peur qu'il se jette dans le vide, sincèrement.
Après tout, le choc avait dû être terrible, et il n'avait que six ans!
Rirjk avait poursuivi son enseignement. Samyël ne se plaignait plus de rien, mais s'investissait beaucoup plus dans l'apprentissage des Arts. Rirjk avait été abasourdi de la vitesse à laquelle il était venu au bout de l'exercice de la Position du Penseur. Le garçon arrivait très facilement à faire le vide dans son esprit, faire abstraction du monde pour vivre dans une bulle qui l'isolait complètement. Rirjk en était personnellement incapable. De plus, ses capacités au tir à l'arc s'étaient grandement améliorées, et il était devenu le meilleur archer de Solanéa, sans le savoir. Il avait compris le lien qui unissait tous les exercices que lui avait demandé de faire son maître. La Position du Penseur lui avait enseigné la concentration, l'apprentissage de l'écriture des deux mains avait développé sa dextérité et les bases de l'art, qui lui serviraient pour tracer les runes complexes des sorts. Et enfin, le tir à l'arc lui avait apporté de l'équilibre, de la force et la capacité d'évaluer les distances. Autant de compétences que se doit d'avoir tout magicien qui se respecte. "Un mage doit être fort de corps et d'esprit" lui disait Rirjk. Il avait sans doute raison. C'est vers l'âge de neuf ans qu'il avait appris son premier sort. Ce n'était rien d'autre qu'un tour de passe-passe qui faisait apparaître un petit globe lumineux dans la paume de sa main. A partir de cette base, Rirjk lui avait demandé de faire évoluer ce globe. Premièrement en l'agrandissant, puis l'étirant, en lui faisant changer de forme et au final en changeant sa composition par celle du feu. Samyël avait terminé la phase finale de l'exercice un an plus tard. C'était un résultat moyen. Le record étant d'environ six mois, mais selon les annales de la Citadelle, l'auteur de cette prouesse était devenu Archimage à vingt trois ans. A partir de là , Samyël avait dû commencer par apprendre une liste de runes indigeste, leurs noms plus leurs calligraphies exacte. Rirjk lui avait dit que la moindre erreur dans le tracé pouvait fausser la rune.
Avec les bases qu'il avait acquis, Samyël apprit rapidement à lancer quelques sorts communs, comme celui pour allumer un petit feu, verrouiller une porte ou autre, apposer une marque... Même si il y mettait toute sa bonne volonté, il avait du mal, et cela l'épuisait énormément, si bien qu'il lui arrivait de dormir un jour complet afin de récupérer. Cependant, il avait l'air d'y prendre goût, même si Rirjk n'avait plus vu la joie s'inscrire sur son visage depuis ce fameux jour...
La femme rousse lui tendait la main, une fois de plus. Il l'admira, une fois de plus. Sa beauté était renversante, le fait de poser ses yeux sur elle lui procurait une sensation qu'il ne connaissait pas. Il se perdit dans l'intensité de son regard émeraude, ses cils gracieux battirent plusieurs fois, lui renvoyant un regard féerique. Son front était ceint d'un fin tiare d'argent, qui retenait ses cheveux soyeux qui cascadaient jusqu'au sol, si bien qu'elle semblait auréolée d'un halo de feu. Ses oreilles ornées d'anneaux d'or étaient longues et pointues, ce qui la rendait encore plus irréelle car cela accentuait la perfection de son visage.
Les courbes de son corps étaient parfaites, à peine cachées par la tunique verte qu'elle portait. Ses gestes respiraient la grâce et la volupté, et elle possédait un port noble, telle la princesse esseulée d'un château de conte de fée. Dans sa main gauche elle tenait une longue et magnifique lance, où deux dragons, l'un d'un blanc immaculé, l'autre d'un noir de jais, s'enroulaient autours dans une étreinte mortelle.
Un rire cristallin retentit, se répercutant à l'infinie dans la nébuleuse étoilée qui les entourait. Elle lui sourit, et un soleil s'alluma dans son coeur. Il tendit la main vers elle, avec l'espoir fou et secret de pouvoir la toucher, la serrer contre lui, la garder à jamais.
Mais elle s'éloignait. Il paniqua alors, battit des bras, des jambes, pour tenter de la rattraper, mais rien n'y fit. Il la perdait. Il voulut l'appeler, mais il ne connaissait pas son nom. Le désespoir commença à le submerger.
Le rire retentit de nouveau, plus lointain. Une pensée effleura son esprit "Viens, je t'attend...". C'était comme la caresse tiède du vent de Mars, lorsque la terre se réchauffe et reprend vie. Les étoiles happèrent son image, et elle disparu.
Samyël se réveilla en sursaut, en sueur. La vue de la mer scintillante devant lui l'apaisa aussitôt. Encore ce rêve... Toujours ce rêve.
Il perdit son regard dans l'immensité de l'Océan, et son esprit vagabonda un instant le long des vagues, tentant vainement de rattraper l'apparition de ses rêves.
"Qui es-tu?, se demanda-t-il. Cela l'intriguait, mais sans plus. Il n'avait plus le coeur à courir après des chimères. Il se releva, s'épousseta légèrement. Il ramassa son arc, le passa en bandoulière, puis il se tourna vers la pierre solitaire qui faisait face à la falaise.
-Je repasserais te voir plus tard, grand-père, murmura Samyël avant de s'engager sur le sentier.
Bill était partagé entre la joie et l'étonnement lorsqu'il vit arriver Samyël. Par moment, il lui faisait peur, avec ses long cheveux couleur de sang, ses yeux verts, éteints, qui avaient été si intenses lorsqu'il était plus petit, l'aura de tristesse et d'amertume qui l'entourait... Mais étrangement, il le fascinait. Peut être parce qu'il s'identifiait à lui, d'une certaine façon. Bill avait été comme ça aussi, lorsque sa mère était morte. Mais pas plus de deux mois. Pour Samyël c'en était déjà à sa sixième année. Il se demandait si son ami allait un jour redevenir le petit bonhomme bon vivant qu'il avait connu...
Samyël s'arrêta à hauteur de son ami, mais il ne dit rien, se contentant de fixer le sol. Bill resta sur la souche où il s'était assis pour regarder paître les moutons de son père qu'il devait surveiller.
-Hé bien, qu'est-ce qui t'amène?, le héla-t-il.
-Je ne sais pas, répondit Samyël après un temps de silence, d'une voix faible et lente. Je crois... Je crois que je vais m'asseoir avec toi, pour regarder le troupeau.
Bill le regarda d'une étrange façon.
-Si tu veux. Mais, Firjk (même après six ans que Rirjk s'était installé sur Solanéa, très peu savaient prononcer son nom correctement) ne va pas te chercher après?
Samyël fit le tour de la barrière qui délimitait l'enclos à mouton. Il enleva son arc, qu'il posa près de lui sur le sol. Puis il se laissa tomber près de bill, adossé à la souche.
-Non. Je dois aller voir Silex. Depuis que son fils est parti pour le Continent, il a besoin d'un apprenti. Rirjk m'a proposé.
Bill acquiesça. Silex était le forgeron du village. C'était un vieil homme, mais il possédait une robustesse et une musculature digne de celle d'un jeune et fringant guerrier. Il avait tendance à babiller tout seul, mais c'était un "bon gars", comme on disait au village.
Les deux jeunes garçons restèrent ainsi sans mot dire. Ils écoutaient le doux tintement des cloches que portaient les moutons.
-Tu as faim?, finit par demander Bill.
Silence.
-Un peu.
-J'ai du fromage, c'est ma mère qui l'a fait.
Nehëmah:
Ben alors ! Il est où le critique officiel de Samyël :niak: ?
Bref, que dire... Je suis pas super inspiré pour commenter, d'autant qu'il ne se passe pas grand chose dans ces deux nouveaux chapitres, c'est plutôt un "constat".
on suppose que ce Ferdinand va être amené à rencontrer Samyël, en tout cas, et on voit que l'entraînement intense de Samyël, après les évènements de son passé tragique lui ont forgé une toute autre personnalité. Complètement aseptisé, il n'a plus l'éclat de la vie. C'est bien triste quand on a connu ce bonhomme de six ans vif et malin, plein de vie et de joie de vivre. Toutefois, j'attends plus complexe que ça, hein Samyël, donc me déçois pas hein :niak: (d'toute manière je pense que tu as prévu plus complexe).
Bon, à la fin par contre, je pense que c'est Erik qui répond avecu n sourire timide et non Rirjk.
Ah oui et cette scène tellement clichée de l'attaque d'une personne faible par plusieurs personnes plus fortes, ça m'a un peu agacé. Ca navigue entre le kitsch et le parodique, et l'intervention de Samyël était forcément prévisible. Là, c'étaitu n peu décevant pour le coup, tu aurais peut-être dû appuyer l'orientation du passage clairement : soit en faireu n passage carrément pathétique mais alors insister d'avantage sur la détresse d'Erik et l'arrivée héroïque de Samyël (avec un registre épique du point de vue d'Erik par exemple), ou bien un registre plus ironique. Là, ça reste en demi-teinte résultat ça fait un peu passage vu et revu seulement trente mille fois par dix mille écrivains différentes, de toutes nationnalités et époques.
Ceci dit, sur le fond, j'ai toujours envie de connaître la suite !
Great Magician Samyël:
Ouais c'est vrai ça, il est mon critique là? C'est pas sérieux! :niak:
Bon, première chose, tu supposes bien ^^ Mais bon, en même temps, c'était assez logique ^^
Pour ce qui est de Samyël, bien sûr que c'est plus complexe que cela (laisse moi le temps de metre tout ça en route^^). Sinon ça ferait vraiment stéréotype du héros blasé qui a tout perdu et qui se ratache à la vie que grâce à quelques amis... :niak:
Pour ce qui est de la scène de l'attaque, je suis plus que complètement d'accord avec toi. Je n'étais pas trop inspiré quand je l'ai écris, et donc je crois que je vais la réécrire complétement ^^
(Oui, effectivement, c'est bien Erik qui répond avec un sourire timide, mille excuses pour cette petite erreur qui a sû passer les mailles du filet de la relecture :niak:)
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