Dream Theater - The Dark Eternal Night
En quelques mots, dingue, décomplexé, bourrin et hallucinant techniquement.
Les riffs sont bien méchants, en partie grâce a l'utilisation d'une 7 cordes de la part de Petrouche.
Le chant très étonnant, etant donné que LaBrie n'est vraiment pas le chanteur Death par excellence, on rajoute la voix de Portnoy avec un max de disto, et au final ça le fait plutôt bien.
La partie instru est complètement barré, on a l'impression que le groupe en a rien foutre, s'éclate complètement, se lâche techniquement (nan mais ce solo, c'est abusé quoi).
Rudess ressort son fameux piano bar, Portnoy mitraille comme un malade son kit de batterie, et Myung soutient toujours le rythme sans fioritures à la basse.
Seul point noir, la fin. Elle commence sur un Riff vraiment excellent, qui pète bien des cacahuètes disons, mais Rudess vient tout gâcher avec son Continum... On est loin de l'intro de atmosphérique de Octavarium
Au final, l'un des titres les plus thrash et dingue de DT. La Metropolis de Pantera comme l'a qualifié Portnoy, c'est exactement ça.