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The Legend of Zelda / Fiche des impressions de chaque Zelda
« le: samedi 04 juin 2016, 20:00:09 »
Ocarina of Time (N64)
Mon premier Zelda! C'était il y a longtemps maintenant, précisément en Décembre 1998. Les fêtes de Noel approchaient et le jeune garçon que j'étais n'arrivait toujours pas choisir quel jeu allait succéder à Mario 64 dans sa première console de salon, la mythique Nintendo 64!
L'épiphanie eu lieu un Mercredi matin, j'étais affalé paresseusement devant la télévision quant un spot publicitaire bref mais cinglant vint me sortir de ma torpeur; il s'agissait bien évidemment de la bande annonce d'Ocarina of Time dont la sortie prochaine était annoncée sur N64.Ni une ni deux c'était le jeux que je devais demander à mes parents, ces derniers finirent donc par le précommander; toutefois mon père m'expliqua que du fait du grand nombre de précommandes, je risquai d'obtenir la cartouche un peu après les fêtes. Je me fis donc à cette idée malgré une légère déception il faut le dire. Le 11 Décembre au soir, date qui marquait le début des vacances de Noel, je rentrais calmement chez moi, mes parents étaient absents mais sur mon lit avait était déposé une boite parallépipédique noire sur laquelle était inscrit en lettre d'or " Zelda ".Il était donc là, entre mes mains; le Graal le monolithe sacré qui une fois inséré dans la console révélait ses pouvoirs fascinants ! Que dire de l'écran titre du jeu et de cette mélodie qui à elle seule résume toute mon enfance, ou encore de cet instant ou pour la première fois Link retire l'épée de Légende de son piédestal... Encore aujourd'hui la magie de cet épisode opère, c'est dire la puissance de l'oeuvre. Désormais la vingtaine bien entamée, je continue de suivre avec ferveur les nouvelles productions Zelda; j'ai d'ailleurs terminé tous les épisodes affiliés à la franchise sur lesquels je pourrais également m'épancher de la sorte; mais aucun n'égale cette première expérience fantastique ! C'est cette sensation d'émerveillement que j'essaye à chaque nouvel opus de ressentir, celle-là même qui me ramène à cet auguste jour de Décembre 1998.
Majora's Mask
Revenons désormais sur un autre épisode phare de la saga Zelda sorti lui aussi à l'origine sur N64 : Majora's Mask !
Replaçons nous dans le contexte, nous somme en l'an 2000; année ô combien symbolique car marquant le début d'un nouveau millénaire. Fait marquant, à cette période de nombreux devins d'opérette prédisaient l'imminence de la fin du monde provoquée par la chute d'un corps céleste sur notre bonne vielle Terre ! Il faut croire que ces prophéties ont fait le tour du monde, car c'est précisément le thème de l'apocalypse qui a été retenu par les équipes de Nintendo pour le dernier Zelda. Celui-ci arrive dans nos contrées en fin d'année 2000, pour ma part je le reçois un matin de Noel; et la c'est le drame ! En insérant la cartouche de jeu dans la console, je déclenche l'apparition d'un écran indiquant " Expansion pack requis ! ", et oui je ne disposait alors pas de ce petit objet censé amélioré les performances de la console et nécessaire pur profiter du dernier Zelda. Autant le dire, j'ai écumé toutes les boutiques de jeux videos mais je ne suis pas parvenu à mettre la main sur l'objet recherché; je me suis donc résolu à oublier Majora's Mask qui sommeillait au fond de sa boite. C'est près de huit mois plus tard que le destin va m'offrir un match retour...
Un de mes amis souhaite à ce moment acquérir une Playstation 2, console 128 bits toute récente qui symbolise le futur du jeu vidéo pour l'époque, il décide donc de vendre sa N64 et l'ensemble de ses jeux; par chance je parviens à récupérer l'expansion pack dans les entrailles de sa machine ! C'est le début de la revanche, cette fois le Mask de Majora va apparaitre sur mon téléviseur, le monde de Termina sombre, onirique, étrange et psychédélique va dévoiler ses secrets.
Pour le jeune garçon que j'étais alors, cette aventure est quelque peu déroutante par rapport à celle vécu dans l'opus précédent; monde moins vaste, récit moins épique mais pourtant une inexplicable sensation de proximité vis à vis des personnages du jeu que l'on vient à connaitre intimement à mesure que l'on revit les trois mêmes journées; l'immersion est inouïe renforcée par des mécaniques de jeu irréprochables. Majora's Mask est donc cette grande oeuvre torturée et tortueuse qui nous plonge dans la détresse d'un peuple trois jours avant le grand chaos final; pour ma part ce sont les quêtes annexes qui dans cet épisode présentent le plus d'intérêt, chacune raconte à sa manière une partie de l'histoire du jeu !
J'encourage donc chaque joueur à s'essayer à cette quête mystique sans pareil qui même si elle parait rebutante au début révèle par la suite une profondeur d'écriture et de mise en scène jusqu'alors inégalée dans toute la saga.
Mon premier Zelda! C'était il y a longtemps maintenant, précisément en Décembre 1998. Les fêtes de Noel approchaient et le jeune garçon que j'étais n'arrivait toujours pas choisir quel jeu allait succéder à Mario 64 dans sa première console de salon, la mythique Nintendo 64!
L'épiphanie eu lieu un Mercredi matin, j'étais affalé paresseusement devant la télévision quant un spot publicitaire bref mais cinglant vint me sortir de ma torpeur; il s'agissait bien évidemment de la bande annonce d'Ocarina of Time dont la sortie prochaine était annoncée sur N64.Ni une ni deux c'était le jeux que je devais demander à mes parents, ces derniers finirent donc par le précommander; toutefois mon père m'expliqua que du fait du grand nombre de précommandes, je risquai d'obtenir la cartouche un peu après les fêtes. Je me fis donc à cette idée malgré une légère déception il faut le dire. Le 11 Décembre au soir, date qui marquait le début des vacances de Noel, je rentrais calmement chez moi, mes parents étaient absents mais sur mon lit avait était déposé une boite parallépipédique noire sur laquelle était inscrit en lettre d'or " Zelda ".Il était donc là, entre mes mains; le Graal le monolithe sacré qui une fois inséré dans la console révélait ses pouvoirs fascinants ! Que dire de l'écran titre du jeu et de cette mélodie qui à elle seule résume toute mon enfance, ou encore de cet instant ou pour la première fois Link retire l'épée de Légende de son piédestal... Encore aujourd'hui la magie de cet épisode opère, c'est dire la puissance de l'oeuvre. Désormais la vingtaine bien entamée, je continue de suivre avec ferveur les nouvelles productions Zelda; j'ai d'ailleurs terminé tous les épisodes affiliés à la franchise sur lesquels je pourrais également m'épancher de la sorte; mais aucun n'égale cette première expérience fantastique ! C'est cette sensation d'émerveillement que j'essaye à chaque nouvel opus de ressentir, celle-là même qui me ramène à cet auguste jour de Décembre 1998.
Majora's Mask
Revenons désormais sur un autre épisode phare de la saga Zelda sorti lui aussi à l'origine sur N64 : Majora's Mask !
Replaçons nous dans le contexte, nous somme en l'an 2000; année ô combien symbolique car marquant le début d'un nouveau millénaire. Fait marquant, à cette période de nombreux devins d'opérette prédisaient l'imminence de la fin du monde provoquée par la chute d'un corps céleste sur notre bonne vielle Terre ! Il faut croire que ces prophéties ont fait le tour du monde, car c'est précisément le thème de l'apocalypse qui a été retenu par les équipes de Nintendo pour le dernier Zelda. Celui-ci arrive dans nos contrées en fin d'année 2000, pour ma part je le reçois un matin de Noel; et la c'est le drame ! En insérant la cartouche de jeu dans la console, je déclenche l'apparition d'un écran indiquant " Expansion pack requis ! ", et oui je ne disposait alors pas de ce petit objet censé amélioré les performances de la console et nécessaire pur profiter du dernier Zelda. Autant le dire, j'ai écumé toutes les boutiques de jeux videos mais je ne suis pas parvenu à mettre la main sur l'objet recherché; je me suis donc résolu à oublier Majora's Mask qui sommeillait au fond de sa boite. C'est près de huit mois plus tard que le destin va m'offrir un match retour...
Un de mes amis souhaite à ce moment acquérir une Playstation 2, console 128 bits toute récente qui symbolise le futur du jeu vidéo pour l'époque, il décide donc de vendre sa N64 et l'ensemble de ses jeux; par chance je parviens à récupérer l'expansion pack dans les entrailles de sa machine ! C'est le début de la revanche, cette fois le Mask de Majora va apparaitre sur mon téléviseur, le monde de Termina sombre, onirique, étrange et psychédélique va dévoiler ses secrets.
Pour le jeune garçon que j'étais alors, cette aventure est quelque peu déroutante par rapport à celle vécu dans l'opus précédent; monde moins vaste, récit moins épique mais pourtant une inexplicable sensation de proximité vis à vis des personnages du jeu que l'on vient à connaitre intimement à mesure que l'on revit les trois mêmes journées; l'immersion est inouïe renforcée par des mécaniques de jeu irréprochables. Majora's Mask est donc cette grande oeuvre torturée et tortueuse qui nous plonge dans la détresse d'un peuple trois jours avant le grand chaos final; pour ma part ce sont les quêtes annexes qui dans cet épisode présentent le plus d'intérêt, chacune raconte à sa manière une partie de l'histoire du jeu !
J'encourage donc chaque joueur à s'essayer à cette quête mystique sans pareil qui même si elle parait rebutante au début révèle par la suite une profondeur d'écriture et de mise en scène jusqu'alors inégalée dans toute la saga.