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Débat / Végarisme, végétalisme et autres végémachins
« le: Aujourd'hui à 10:26:31 »
APPELS A LA NATURE
AD ANTIQUITATEM
Être omnivore est utile à la survie de l'humain.
La consommation de chair et de lait maternel d'animaux
est utile en l'absence de végétaux diversifiés adéquats.
Cela ne signifie pas qu'il serait "naturel" de continuer
à consommer sans nécessité du lait de ruminants.
Il en va de même concernant leur chair.
HORS-SUJET DU CAPITALISME
Le 1er "symptôme de la maladie" relatif à l'élevage intensif,
c'est la cruauté banalisée.
La cruauté culturelle de l'élevage extensif a été laissée faire,
ce qui a eu pour conséquences sa banalisation dans les mœurs
et ainsi l'acceptation de la mise en place de l'élevage intensif.
Le capitalisme a exploité le phénomène de banalisation
de la cruauté par objectifs de croissance économique
et opportunisme.
Le végétalisme suffisant n'est pas nécessairement
dépendant de l'agriculture industrielle comme prétendu.
Sur un même plan, pour une partie hypothétique de notre société :
• la permaculture avec élevage peut être mise en place et être viable.
• la permaculture sans élevage peut être mise en place et être viable.
Ainsi, le capitalisme est hors-sujet.
Avec ou sans capitalisme, faire tuer sans nécessité
des animaux d'élevage est automatiquement cruel,
donc immoral.
AD ANTIQUITATEM
• les humains ont évolué pour être omnivores (cf. nos dents et la taille de notre système digestif)
• c'est la consommation de viande qui semble naturelle, tandis que le végétarisme/lisme parait être tout à fait arbitraire au regard de l'histoire et la biologie humaine
• on a le cerveau développé justement parce qu'on a eu accès à des protéines animales dans notre évolution
Être omnivore est utile à la survie de l'humain.
La consommation de chair et de lait maternel d'animaux
est utile en l'absence de végétaux diversifiés adéquats.
Cela ne signifie pas qu'il serait "naturel" de continuer
à consommer sans nécessité du lait de ruminants.
Il en va de même concernant leur chair.
HORS-SUJET DU CAPITALISME
Le 1er "symptôme de la maladie" relatif à l'élevage intensif,
c'est la cruauté banalisée.
La cruauté culturelle de l'élevage extensif a été laissée faire,
ce qui a eu pour conséquences sa banalisation dans les mœurs
et ainsi l'acceptation de la mise en place de l'élevage intensif.
Le capitalisme a exploité le phénomène de banalisation
de la cruauté par objectifs de croissance économique
et opportunisme.
Le végétalisme suffisant n'est pas nécessairement
dépendant de l'agriculture industrielle comme prétendu.
Sur un même plan, pour une partie hypothétique de notre société :
• la permaculture avec élevage peut être mise en place et être viable.
• la permaculture sans élevage peut être mise en place et être viable.
Ainsi, le capitalisme est hors-sujet.
Avec ou sans capitalisme, faire tuer sans nécessité
des animaux d'élevage est automatiquement cruel,
donc immoral.
Citer
l'absurdité de l'argument de notre ami qui soutient qu'on ne peut rien faire contre l'exploitation humaine au risque d'aggraver la situation des travailleurs.Déformation. J'ai dit que le boycott n'aidait pas les petites mains.