La première ligne était constituée de garde de la citadelle.
La première ligne était constituée de gardes de la citadelle.La première ligne était constituée de garde de la citadelle. Ils menaient les divisons tout en restant en cohésion.
Là, deux choses : premièrement, je te conseilles de réunir les deux phrases : "La première ligne était constituée de garde de la citadelle, qui menaient les divisons tout en restant en cohésion.", et ensuite, je te conseille de modifier la fin de la phrase. L'objectif de mener les troupes est justement de faire en sorte qu'elles restent en cohésion, alors que l'emploi de "tout en" dans une phrase montre que l'on effectue deux actions normalement incompatibles en même temps. Je dirais peut-être : Ils menaient les divisions afin qu'elles restent en cohésion", plutôt.
L’entraînement militaire mit en œuvre par Link il y’a quelques mois portait ses fruits.
L’entraînement militaire mis en œuvre par Link il y a quelques mois portait ses fruits. "mis" est un participe passé, et le participe passé du verbe "mettre" s'écrit avec un -s. Ici, l'auxiliaire est sous-entendu : "L'entraînement militaire mis en œuvre = L'entraînement militaire qui a été mis en œuvre". Et bien entendu, la vilaine apostrophe qui s'est glissé sournoisement entre le "y" et le "a".
Ah, et je mettrais aussi "mis en œuvre ces derniers mois", plutôt que "il y a quelques mois", car l'entraînement n'a pas duré un jour, mais s'est étalé sur plusieurs semaines voire mois. Mais tu fais comme tu veux.
Arrivée à 700 mètres des régiments Gerudo, les lieutenants ordonnèrent aux colonnes de stopper la marche.
Déjà, ici, "Gerudo" n'est pas employé en tant que nom de peuple mais en tant qu'adjectif, donc il ne prend pas de majuscule et il s'accorde avec son sujet, en l’occurrence "régiments". Par exemple, on dit : "le Français va acheter du pain et de l'eau", tandis qu'on dit : "Les montagnes françaises sont très belles". Il faut donc écrire "régiments gerudos".
Ensuite, c'est compliqué à expliquer, mais la phrase est fausse telle qu'elle. "Arrivée à 700 mètres des régiments Gerudo" est une proposition subordonnée, qui vient compléter la proposition principale de la phrase."Arrivée à 700 mètres" se réfère donc aux "lieutenants". Déjà, c'est une faute d'accord, car il faudrait donc dire "Arrivés à 700 mètres, les lieutenants...". Le problème, c'est que tu ne voulais pas dire que les lieutenants étaient arrivés à 700 mètres, mais l'armée toute entière. Je te propose de modifier la phrase comme ceci :
Lorsque l’armée arriva à 700 mètres des régiments gerudos, les lieutenants ordonnèrent aux colonnes de stopper la marche.
Un élément lui avait échappée…
Un élément lui avait échappé… , car "échappé" s'accorde avec "un élément", au masculin singulier.
Un élément lui avait échappée… Néanmoins, elle n’en fit rien et ordonna à ses archers légers de s’avancer.
Bon. Tu t'en es rendu compte tout seul, pas vrai ? Eh oui, quand on écrit, parfois, on pense à une phrase tout en écrivant autre chose, on s'embrouille sans s'en rendre compte, et ça aboutit à ce genre de phrases dénuées de sens mais très amusantes.
les lieutenants hyliens ordonnèrent à leurs soldats de reculer en vitesse
Je ne trouve pas la formulation "en vitesse" très jolie... Peut-être plutôt "rapidement" (ou "prestement", si on veux faire dans le soutenu), ou alors tout simplement laisser "reculer" tout seul, après tout, au cœur d'une bataille, on se doute que les troupes doivent être rapides, donc le "en vitesse" est un peu sous-entendu.
La sorcière gerudo profita de cette désorganisation pour faire charger toute sa droite.
La formulation n'est pas très belle, ni très cohérente au niveau du choix des mots... On comprend ce que tu veux dire par "toute sa droite", mais je pencherais plus pour "La sorcière gerudo profita de cette désorganisation pour faire charger toutes les troupes à sa droite.".
Si rien n’était fait, l’aile tomberait et les gerudos déborderaient alors et menacerai gravement le centre hylien.
Si rien n’était fait, l’aile tomberait ; les gerudos déborderaient alors et menaceraient gravement le centre hylien. Une erreur de conjugaison et la répétition du mot "et" deux fois dans la phrase, qu'on peut éviter facilement en remplaçant le premier "et" par un point-virgule.
un jeune capitaine ordonna l’envoie de la réserve
un jeune capitaine ordonna l’envoie de la réserve, car"envoi" est un nom, pas un adjectif, il reste donc toujours au masculin singulier.
un jeune capitaine ordonna l’envoie de la réserve. Elément qu’aurait souhaitait garder Link pour sa tactique…
un jeune capitaine ordonna l’envoie de la réserve, élément qu’aurait souhaité garder Link pour sa tactique… Bon, là, plusieurs choses. Tout d'abord, il faut combiner les deux phrases, car "élément qu'aurait souhaité garder Link pour sa tactique..." n'est pas une phrase en elle-même, ne comprenant pas de verbe et n'étant qu'une précision sur la réserve. Ensuite, "souhaité" est un participe passé.
Enfin, pour que la phrase soit plus belle, je te conseillerais d'écrire "élément que Link aurait souhaité garder pour sa tactique..."
pour attaquer par derrière le centre
Là, la phrase est un peu compliquée... tu parles en même temps de l'arrière et du centre. Pour rendre plus compréhensible, je te conseillerais de mettre : "pour attaquer son centre par derrière". L'emploi de "son" change out : il permet de bien distinguer le centre et l'arrière. Le centre, c'est le centre de l'armée hylienne, et l'arrière, c'est le côté par lequel les gerudos attaquent.
Indécis, la sorcière
Indécise, la sorcière Et si je peux me permettre, le terme "indécise" ne convient pas, puisque dans la phrase, Koume prend la décision d'envoyer ses troupes contre-attaquer, or le terme "indécise" signifie, "qui ne parvient pas à prendre une décision, qui hésite". Je pense que "déstabilisée" conviendrait mieux.
la sorcière envoya alors tout son centre contre attaquer les troupes hyliennes leur faisant face.
la sorcière envoya alors tout son centre contre-attaquer les troupes hyliennes leur faisant face. Tiens, j'en profite : dans cette phrase, j'ai cru au début que tu avais fait une erreur, et qu'il fallait une virgule avant leur, car j'avais compris la phrase comme "le centre contre-attaque, il leur fait face". En fait non, et je viens seulement de m'en rendre compte. La phrase est parfaitement juste, ce sont les troupes hyliennes qui font face aux troupes gerudos. Donc, voilà, j'ai failli faire une erreur et te dire une bêtise, c'était juste pour te rappeler que je peux me tromper dans mes corrections parfois (ça ne veut pas dire que tout ce que je dis est faux, mais qu'il se peut à l'avenir que je dise des bêtises).
Bref, je reprend.
Les archers gerudo
Les archers gerudos, comme pour tout à l'heure, "gerudos" est un adjectif.
Le général en chef ne pouvait plus ignorait l’effondrement éventuel de sa droite
Le général en chef ne pouvait plus ignorer l’effondrement éventuel de sa droite En plus de cette petite erreur, il y a un problème dans la phrase : lorsqu'on parle d'"éventualité", on parle d'une chose future qui va peut-être se produire, qui est possible.
Ici, tu dis que Link ne pouvait plus ignorer quelque chose, c'est donc quelque chose qui est en train de se produire actuellement, et qui va probablement voire certainement se poursuivre.
Et il y a une différence entre "ça peut se produire" et "ça va probablement se produire".
Le terme "effondrement progressif" conviendrait peut-être mieux. Dans "progressif", il y a l'idée d'être déjà en train de se produire, donc que Link peut voir, et aussi l'idée que ça va continuer et même empirer s'il ne fait rien.
Les restes des hallebardiers furent totalement anéantis par l’action des arcs à longue portée gerudo.
Le reste des hallebardiers fut totalement anéanti par l’action des arcs à longue portée gerudo. La formulation au singulier est plus exacte dans cette situation.
Les généraux sur la colline étaient sceptiques face à la situation et évoquaient déjà la retraite à leur supérieur, Link.
Les généraux sur la colline étaient sceptiques face à cette situation et évoquaient déjà la retraite à leur supérieur, Link. Je trouve le mot mieux. Voilà. Voili voilou. Voiiiiilà.
C’est alors que le choc entre les deux centres se fit, produisant une confusion totale.
C’est alors que le choc entre les deux centres se fit, provoquant une confusion totale. Le mot est plus adapté à la situation.
Les épéistes hyliens combattait avec ardeur face aux terribles faucheuses gerudo.
Les épéistes hyliens combattaient avec ardeur face aux terribles faucheuses gerudos.La violence dans le corps-à-corps atteint son paroxysme. Or, une fois de plus, l’infanterie gerudo dominait.
La violence dans le corps-à-corps atteignit son paroxysme, or une fois de plus, l’infanterie gerudo dominait.Soudainement le commandant de la cavalerie hylienne abaissa son bras.
Soudain, le commandant de la cavalerie hylienne abaissa son bras.Les troupes gerudo se retrouvaient alors face à un élan inébranlable du fer de lance de l’armée hylienne
Les troupes gerudos se retrouvèrent alors face à l'élan inébranlable du fer de lance de l’armée hylienne L'accord de "gerudo", une erreur dans l'emploi des temps, et une autre erreur : il faut mettre un "l'" au lieu de "un" car il n'y a qu'un seul "élan inébranlable". Ce n'est donc pas un élan, c'est L'élan.
c’était l’élément qui manquait à Koume, la présence de la cavalerie lourde.
c’était l’élément qui manquait à Koume, la présence d'une cavalerie lourde. Elle n'a pas de cavalerie lourde, tu ne peux donc pas dire "la cavalerie lourde".
les restes des ailes gerudo
les restes des ailes gerudosla cavalerie frappa de plein fouet l’infanterie gerudo
la cavalerie frappa de plein fouet l’infanterie gerudo Alors ? Tu as vu l'énorme différence n'est-ce pas ? Oui, évidement. Tu avais mis deux espaces au lieu d'un entre "fouet" et "infanterie". Ça saute aux yeux n'est-ce pas ? Ne me remercie pas, je n'ai fait que mon devoir.
La ligne ennemie vola en éclat, le centre était totalement enfoncé.
La ligne ennemie vola en éclat, son centre était totalement enfoncé., pour relier les deux propositions et faire comprendre quel centre était enfoncé.
Dans un effort désespéré Koume envoya toute son aile gauche
Dans un effort désespéré, Koume envoya toute son aile gauche Il faut séparer les deux parties avec une virgule.
la sorcière ne pouvait se battre à arme égale face aux chevaliers hyliens
la sorcière ne pouvait se battre à armes égales face aux chevaliers hyliensAlors, déjà, il y a cette faute. Ensuite, ce qui m'étonne, c'est qu'au début de ton histoire, tu avais plutôt l'air de dire que les gerudos étaient de bien meilleures guerrières que les humains, donc l'expression "ne pouvait se battre à armes égales" me paraît incohérente. Ce n'est pas que la sorcière n'avait pas les mêmes armes que Link pour cette bataille, c'est qu'elle est actuellement en difficuté, qu'elle est dépassée par les événements de la bataille. Je ne trouve pas de meilleure formulation actuellement, mais je pense qu'il y a plus adapté que ça.
C’est alors que la chef Gerudo décida d’intervenir personnellement dans le combat.
Déjà, "Gerudo" doit s'écrire "gerudo", car c'est un adjectif attaché à "chef". Ensuite, le terme "chef" me dérange un peu. Jusqu'ici, tu l'as appelée uniquement "Koume" ou "la sorcière". Je pense que tu pourrais plutôt dire "la générale".
C’est l’élément que redoutait Link, manquant des ses fantassins envoyés trop tôt, il décida d’envoyer 150 hommes de la garde royale en urgence.
La phrase n'est pas juste telle qu'elle. Ce serait plutôt "manquant de fantassins, car ceux-ci avaient été envoyés trop tôt". Et pour éviter que ça rende la phrase trop longue, voilà ce que tu pourrais écrire : "C’est l’élément que redoutait Link. Manquant de fantassins, car ceux-ci avaient été envoyés trop tôt, il décida d’envoyer 150 hommes de la garde royale en urgence.".
usant de sa magie de feu elle brisa l’élan hylien
usant de sa magie de feu, elle brisa l’élan hylienles chevaux brulaient au cœur de la mêlée
Déjà, le mot "brulaient" et tous les mots de la même famille prennent toujours un accent circonflexe sur le "u". Ensuite, je te conseillerais de rajouter "et les hommes" après "les chevaux", puisque si les chevaux brûlent dans la mêlée, ceux qui les montent devraient brûler aussi en toute logique.
Les chevaliers, à terre, étouffait dans leur lourde armures en fer forgé.
Les chevaliers, à terre, étouffaient dans leurs lourdes armures en fer forgé. On revient au même problème. Si la sorcière a allumé un incendie au milieu de la bataille, les chevaliers devraient brûler eux aussi (ton texte n'est vraiment pas assez violent, vraiment ; moi je veux des morts et du sang !!!!).
Des auras de feu apparaissaient brusquement, projetant et enflammant les soldats, restant néanmoins tenace au cœur de ce cataclysme.
La phrase manque de cohérence. Un soldat qui a été projeté par une boule de feu et qui brûle ne peut pas "rester tenace", car il est trop occupé à être mort. D'autant plus que l'idée globale du paragraphe, c'est "AAAAAAH KOUME EST LA ELLE DEFONCE TOUT J'AI PEEUUUUUR !", c'est pourquoi je te conseille de déplacer "les soldats restaient tenaces" (ah oui, à ce sujet, tu avais oublié le "s" à "tenaces") un peu plus loin. Ce paragraphe dit : "Koume est là, on va mourir". Le suivant dit : "Mais les soldats sont forts donc on ne meurt pas". La phrase "les soldats restaient tenaces" devrait donc êtr dans le paragrahe suivant, celui de la victoire.
Les lourds boucliers en acier
Les lourds boucliers en acier Encore un vilain espace qui s'est glissé entre deux mots,"lourds" et "boucliers".
Les lourds boucliers en acier, capable de résister à la magie, formait une ligne de défense redoutable.
Les lourds boucliers en acier, capables de résister à la magie, formaient une ligne de défense redoutable.Dans un rang absolument parfait, la garde avançait au milieu des flammes, elle était absolument inébranlable dans sa marche.
Il y a la répétition d'"absolument" dans la phrase. Et ensuite, je crois qu'il faudrait scinder cette phrase en deux : "La garde avançait au milieu des flammes, Dans un rang parfait. Elle était absolument inébranlable dans sa marche."
Toute la fureur ennemie se déchaîna avec haine et fanatisme sur les soldats hyliens
Le terme "fanatisme"... J'ai du mal à en comprendre le sens dans cette situation... Tu veux dire que ce peuple ne croit pas en Din, Nayru et Farore, et qu'il croit en une autre religion, qui est maléfique ? Non, je crois que le terme fanatisme n'est pas adapté.
Pas à pas elle avançait
Pas à pas, elle avançaitDans un élan de rage la sorcière envoya un terrible rayon de feu
Dans un élan de rage, la sorcière envoya un terrible rayon de feuBoucliers largement endommagés, le capitaine de la garde ordonna la charge.
La phrase est un peu incorrecte... Pourquoi pas "Leurs boucliers largement endommagés, la garde chargea.", ou si tu veux garder l'idée du capitaine"Leurs boucliers étaient largement endommagés. Le capitaine de la garde ordonna la charge." ou encore "Leurs boucliers étaient largement endommagés, cependant le capitaine de la garde ordonna la charge.".