Art > Longs métrages et Télévision
Watching Challenge 2019
Yorick26:
Du coup D_Y m'a chauffé et ma relancé. J'en ai regardé trois cette semaine. C'était bien.
Les lumières de la ville
5. Un film avec "ville" dans le titre - 8/10
Difficile à aborder. Un film en noir et blanc c'est joli. Mais muet, c'est particulier. En effet si on a le malheur d'être un peu fatigué lorsqu'on regarde le film, ce qui est toujours mon cas, on a tendance à plus facilement s'endormir car il n'y a aucun dialogue auquel s'accrocher. Mais c'était surtout très intéressant à regarder. En effet, au delà de l'humour un peu vieillot, on ne peut qu'admirer le jeu d'acteur de Charlie Chaplin. Bon sang qu'il est expressif. Et qu'il est doué. Il y a une gestuelle. Une précision digne d'une chorégraphie. Les gags s’enchaînent et se répètent avec une précision folle. On ne peut, même si on apprécie pas la forme, qu'admirer le talent que contient ce film.
Sin City : J'ai tué pour elle
6. Un film en noir et blanc sorti après 1990 - Hésitation avec The Artist - 7/10
Je dois avouer que normalement j'aurais du regarder le premier volet, mais suite à une lamentable erreur qui a duré plus d'une heure et demi, j'ai cru regarder le premier volume alors que je regardais le second. Du coup, je comprenais pas tout, mais de toute façon, ce n'était pas tant l'intrigue qui était intéressante dans ce film. C'est surtout le côté visuel. Je m'attendais typiquement à un film uniquement en noir et blanc où juste la technique employée permettait d'avoir un meilleur résultat. En définitive c'est beaucoup plus complexe que ça. Toutes les images ont été d'abord pensées en noir et blanc puis retravaillées pour être encore plus impactantes. Quelques touches de couleurs sont rajoutées, assez pour qu'elles aient encore plus d'importance. Visuellement c'est un travail admirable. Je ne sais pas si un autre sujet pourrait être tout aussi bien mené avec la même direction artistique, mais si tel est le cas que c'est un peu moins noir et un peu plus blanc, je serai volontiers partant pour regarder.
Limitless
35. Un film qui met en scène un trip sous substances - C'est le principe du film me semble-t-il... - 7/10
J'ai bien aimé dans l'ensemble, mais il y a quand même des choses qu'il ne faut pas pousser. Des incohérences grosses comme des ficelles. Et plus ça va, plus ça part en vrille. On te dit dans le film (à raison) : "Okay, je peux vous refaire la même formule, mais pour l'administration, faut que ça passe la barrière hématoencéphalique, faut calculer la meilleure absorption, le temps de demi-vie". Bon j'extrapole un peu, mais la question est largement posée. Et quelques minutes après, qu'est-ce qu'on a ? Un mec à la renverse qui décide de boire du sang contenant du NZT presque en dose homéopathique. Alors non seulement ça agit par magie, mais en plus ça agit plus vite qu'en cachet. Alors qu'il y avait une seringue juste à côté en contenant. Vous pouviez pas faire plus réaliste ? Non ? Vous aviez la solution sous les yeux. Non, vous préférez utiliser l'aiguille pour crever un œil (ce qui est assez chouette, ok). Et puis, le mec il arrive à s'en sortir quand même. Tout le monde en est mort, mais lui non. Le lambda survit. Plein d'hommes et femmes ont eu des compétences intellectuelles surdéveloppées pour trouver avant lui une méthode d'améliorer l'administration et baisser les effets secondaires, mais non, lui il y arrive. Cela manque de cohérence, mais le pitch est sympa et c'est bien bien regardable.
Logan
36. Un spin-off - 9/10
C'est un film de superhéros, on n'en demande pas plus. Il y a la relève, c'est la fin d'un héros, le début d'un autre. Enfin, je reste persuadé qu'ils se sont laissés la possibilité de le faire revenir un jour ou un autre. Un combe-back surprise que les gens ne comprendront pas, mais la fin de Logan était pas si claire que ça. Ou alors c'est mon côté optimiste.
Baby driver
40. Un film de course-poursuite - 9/10
C'était rigolo. Il parait que quand on le regarde en DVD le son est également distribué selon les oreillettes que portent Baby, tout du moins pour la musique. Les personnages sont à peu près tous des têtes à claques. Les situations sont évidemment pas toutes crédibles (genre, le revirement du Doc à la fin, j'y crois pas un sou), mais c'est quand bien sympa à regarder. Les courses poursuites et la passion de la musique en font un film sympathique.
Detective Dee : Le Mystère de la flamme fantôme
46. Un film d'arts-martiaux - 6/10
Ahalala. C'est marrant ce genre de film. Au départ, j'étais parti pour le prendre au sérieux, mais rapidement, j'ai vite déchanté. Ce n'est pas du tout crédible. Pas le moins du monde. C'est très esthétique, mais pas forcément impressionnant. L'histoire est globalement prévisible. Au bout de la moitié du film, on comprend déjà les gros mystères du film, le gros méchant est assez vite démasqué (même si en vrai j'aurais dû le comprendre encore plus tôt) alors que le plus grand détective ne le comprend pas.
Ma vie de Courgette
48. Un film d'animation en stop-motion - 8/10
Longtemps dans mes envies, j'ai pris plaisir à regarder. D'autant plus qu'il est court. En définitive, le chara design choisi ne m'a pas enthousiasmé. J'aime beaucoup le stop motion, mais si j'ai aimé la technique, j'ai eu plus de mal avec l'esthétisme de ce film. Et c'est à peu près la seule chose que je reprocherai à ce film. L'histoire est particulièrement belle et touchante. Ce sont les enfants oubliés que l'on rencontre qui se retrouve dans un foyer pour orphelins, là où il n'y a plus personne pour les aimer. On a presque un happy ending complet. Mais on a une progression des personnages qui est bien chouette.
Jielash:
Mon rythme a moi s'est un peu ralenti.
Un film qui se passe dans une prison : Chicago
J'ai beaucoup aimé les numéros musicaux et l'ambiance graphique portée par les rêves de star de la protagoniste. Les personnages principaux, tous très opportunistes à l'exception du mari, étaient sympathiques à suivre dans leurs manigances.
Un film avec "ville" dans le titre : Ville Portuaire
Le passé trouble de la protagoniste qui se dévoile au fil du film est intéressant à découvrir. C'est une époque différente mais pas si lointaine et les thèmes abordés trouvent encore un écho.
Un film dystopique : La cité des enfants perdus
Esthétiquement ça m'a plu, par contre j'ai trouvé que l'histoire avait pas mal de longueurs, notamment à cause de la sous-intrigue avec les institutrices qui devenait très poussive à force.
Un film avec des vampires : Morse
Bien dérangeant et angoissant (à part pour une scène avec des chats qui m'a fait plus rire qu'autre chose :oups:), j'ai beaucoup aimé l'ambiance et la relation intrigante entre les deux protagonistes.
Une adaptation d'un jeu-vidéo : Super Mario Bros
Cette introduction. :hap: Ce scénario. :hap: Ces références. :hap:
Un beau gros n'importe quoi qui est quand même plutôt distrayant à voir. Yoshi était trop mignon !
Jielash:
J'ai rien maté du tout en avril, je me traine un peu là. Il m'en reste plus que 5 dans la liste que j'avais faite mais je ne sais pas si je vais avoir la motivation de me lancer dans l'autre moitié ceci-dit... On verra quand j'y serais.
Un film de 2018 ayant eu beaucoup de succès : La Forme de l'Eau
En vrai, je crois qu'il est sorti à la toute fin 2017 mais bon...
J'avais très envie de le voir mais j'avais comme souvent eu la flemme d'aller au cinéma lors de sa sortie. Beaucoup aimé l'histoire et l'ambiance.
Un film qui brise le quatrième mur : Le Dictateur
... J'avais oublié pour quel thème je l'avais pris et en fait je ne me souviens pas d'une scène où le quatrième mur aurait été brisé ? Mais j'ai bien apprécié le visionnage, même si je l'ai trouvé un peu longuet à certains moments.
Un film qui a gagné un Oscar des meilleurs décors : Le Voyage Fantastique
Les décors à l'intérieur du corps sont en effet magnifiques. Ce type d'histoire a pas mal été repris mais le scénario est bien rythmé et se suit avec plaisir.
Un film en noir et blanc sorti après 1990 : J'ai toujours rêvé d'être un gangster
Je n'avais pas du tout lu de quoi ça parlait, j'aimais juste bien le titre. C'est donc un film à scénettes humoristiques, plus ou moins liées entre elles et tournant autour d'un café sur l'autoroute (une, beaucoup moins que les autres). Je les ai toutes trouvées bien sympathiques et drôles, une bonne surprise !
Un film avec un monologue mémorable : Paris, Texas
Le mystère de son protagoniste, perdu au milieu de nulle-part, qui se dévoile petit à petit au fil de l'intrigue était intéressant à découvrir (virant un peu sur le malaisant sur la fin, notamment dans la scène de monologue tout à fait mémorable). Bien aimé les scènes et décors souvent très saturés.
(Cliquez pour afficher/cacher)Je me suis quand même sentie bien mal pour l'oncle et la tante qui ont élevé le gosse la moitié de sa vie et se retrouvent dégagés du scénario :(
Yorick26:
J'avoue ne pas avoir beaucoup avancé au profit d'un peu de lecture et de beaucoup d'heures de sommeil. Je peux déjà rajouter celui-là :
Les oiseaux
49. Un film avec des oiseaux - J'ai quand même hésité avec Nicostratos
Ce film ne m'a pas plu autant qu'il l'aurait du. J'ai eu beaucoup de mal à le remettre dans son contexte historique. Il y a des passages où j'ai trouvé le jeu des acteurs absolument catastrophique (notamment Mélanie avec la surprise). Le pire a été le moment où les voitures explosent à cause de l'essence. Il y a une succession de plans sur Mélanie où elle joue la surprise dans différente direction. C'était risible. J'ai eu pas mal de soucis avec la bande-son également : les cris des mouettes. Je sais pas si les mouettes américaines ont un chat dans la gorge à qui on écrase la queue, mais on dirait qu'ils ont jamais entendu une mouette de leur vie. Pourtant il y en a des vraies dans le film. Pareil pour le sang. Je n'ai jamais vu du sang qui ressemblait autant à de la peinture... Je veux bien que ce soit une autre époque, mais tout de même.
Après cela m'a gêné de ne pas avoir de réponse sur le mystère des oiseaux. Après réflexion ce n'est pas plus mal car cela contribue au malaise et que c'est sûrement ce qu'a voulu l'auteure de la nouvelle. Mais pendant le film, je voulais comprendre.
Jielash:
J'ai fini ma moitié de challenge ! Du coup, je vais essayer de trouver des films pour faire l'autre moitié aussi.
Un film sur l'adolescence : L'Esquive
Bien aimé tout le contexte du théâtre qui se rattache. Le personnage principal n'est pas exactement sympathique mais colle très bien au thème de l'adolescence.
Un film avec un personnage historique : Lautrec
J'ai trouvé le rythme parfois un peu chaotique mais j'ai bien aimé dans l'ensemble. J'avais un peu peur avec les premières scènes de maisons closes que ça reste totalement dans un côté très fantasmé, ce qui aurait été un comble pour un film sur Lautrec mais on voit quand même un peu l'envers beaucoup moins reluisant du décor.
Bien que j'ai vu les œuvres de Lautrec plusieurs fois dans des cours d'histoire de l'art, je ne me rappelle pas avoir jamais appris qu'il était atteint de nanisme. Je ne connaissais pas Suzanne Valadon non plus. Même si le film est probablement très romancés sur certains aspects, il m'a quand même appris des trucs du coup. :niak:
Un film contemplatif : Le Sacrifice
C'était le seul long-métrage de Tarkovski (et son dernier) que je n'avais pas encore vu. Du coup c'est effectivement très contemplatif (mais ça je m'y attendais en ayant vu ses précédents films) et on sent le temps passer un peu lentement. La manière dont il a été filmé est très particulière, beaucoup de plans séquences (celui ouvrant le film étant particulièrement marquant :hap:) et des scènes d'intérieur qui m'ont un peu donné des sentiments de malaise avec la manière dont la caméra glisse le long des pièces et les personnages qui ne cessent de bouger en arrière-plan, étant toujours en action. C'est volontaire au vu de l'histoire du film et des relations complexes entre les personnages et je trouve que ça colle bien tout en restant vraiment particulier.
Un film avec des statues : La Cinquième Colonne
Bien aimé tout l'aspect grand complot du film et les péripéties, moins apprécié les clichés de la relation amoureuse entre les protagonistes.
Un des films préféré d'un de tes réalisateurs préférés : Le Voleur de Bicyclette
(D'après Buta Connexion, le fansite français sur Ghibli, c'est un des films préférés de Hayao Miyazaki avec le Serpent Blanc, Le Roi et L'oiseau et la Reine des Neiges (version russe, évidemment) que j'avais tous déjà vu)
Un film déchirant sur un homme qui cherche à retrouver sa bicyclette. J'ai beaucoup aimé, à chaque nouvelle scène on veut espérer qu'il va pouvoir s'en sortir, tout en sachant que c'est très improbable et que cela ne va pas se terminer en happy end. Le final est très dur.
26 A Single Man
27 One Piece : L'île du Baron O-Matsuri
28 : Bagdad Café
29 Dune
30 Rocky Horror Picture Show
31 Patlabor 3
32 Le Boucher
33 Vertigo (/Sueur Froides)
34 Sword of the Stranger
35 Easy Rider
36 The Animatrix
37 Bon Baisers de Bruges
38 Camille Redouble
39 Cléo de 5 à 7
40 Mad Max
41 Hannah Takes the Stairs
42 The Neon Demon
43 Les Hommes du Président
44 Fury
45 O Matador
46 A Touch of Zen
47 Tchao Pantin
48 Krysar : Le Joueur de Flûte de Hamelin
49 Birdy
50 Microcosmos
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