Retour à la turne
pour te péter les burnes et je continue ma lecture là où je l'avais laissée.
le bureau du Maire Dotour où l'on assiste à une décision animée
Une
réunion plutôt, non ? (et laissons Jéhova hors de cela)
Il est cependant évident que se résigner ou nier l'apocalypse approchante n'est pas acceptable pour tout le monde.
Tu as utilisé le participe présent "apocalypse approchant" jusque-là, l'adjectif verbal fait un peu bizarre.
Ils se révéleront finalement lâche puisque certains d'entre eux finiront par quitter la ville tout de même.
Il manque un pluriel, et la généralité initiale est contredite par la proposition suivante.
on a pu mettre en application le modèle de Kübler-Ross et ainsi mieux comprendre les réactions des différents personnages. D'autres réactions apportent également d'autres nuances que nous n'avons pas abordées.
La répétition si rapprochée alourdit un peu la lecture.
Si on s’intéresse un peu plus précisément aux uns et aux autres, puis à chacun d’entre eux
La formule fait doublon avec la suivante en plus de ne pas lui apporter plus de sens. Je devine que tu voulais dire "
si on s'intéresse un peu plus précisément au quatuor dans son entier, puis à chacun d'entre eux" mais tu le confirmeras mieux que moi.
Skull Kid et Majora emprisonnent les quatre géants dans les restes des boss (...) mais également pour les empêcher d’éviter la catastrophe qu’est la chute de la lune et la mort de tous
Cette formule-là n'a carrément pas de sens, tu l'as sans doute utilisée par dépit de ne pas pouvoir dire "pour les empêcher d'empêcher", ce qui aurait été encore plus insensé. Je t'aurais recommandé "
pour ne pas leur laisser la possibilité d'empêcher" ou encore, pour coller davantage à ton écrit, "
pour les empêcher de contrecarrer"
l’hypothèse (...) semble tout à fait possible
Dans le cas d'une hypothèse, on a tendance à préférer le terme de "
plausible" mais ça passe.
« Le pouvoir leur fut donné sur le quart de la terre, pour faire périr les hommes par le glaive, par la famine, par la mortalité, et par les bêtes sauvages de la terre. »
J'ai la même édition de la Bible chez moi et j'ai vérifié. C'est exact. J'ajoute juste, l'ordre est le suivant : le Cavalier Blanc apporte l'envie de conquête, le Cavalier Rouge apporte la guerre provoquée par l'envie de conquête, le Cavalier Noir apporte la famine à cause de l'effondrement de l'économie provoqué par la guerre, et le Cavalier Verdâtre apporte les épidémies causées par les champs de bataille infestés de mouches et de charognards.
De même, même si les quatre cavaliers sont représentés par des hommes
Encore une fois, la répétition de "même" aurait pu être évitée en préférant, par exemple, un "qui plus est" au départ.
seul le premier possède un nom que l'on pourrait qualifier d'humain.
Tout dépend de la traduction ; si celle de Segond, qui ne fait pas tout à fait autorité, propose "Vainqueur", d'après Wikipédia, on peut aussi l'appeler "Conquête" et ce n'est pas un nom humain non plus.
le Vainqueur est également appelé Pestilence
Faux, c'est l'attribut du Cavalier Pâle, dont le rôle premier n'est pas la Mort mais la Maladie, qui entraîne les Epidémies, qui entraînent la Mort. C'est confirmé une fois de plus par
Wikipedia.
Si l'on se réfère alors à l'étymologie grecque, au delà des traductions et adaptations à travers les siècles, le chevalier pâle renverrait non à la mort (chaque cavalier ayant le potentiel de la provoquer d'une manière différente des autres), mais à la maladie.
Toute une partie de la zone n'est explorable qu'à moins de prendre une barque ou de voler par-dessus.
Soit c'est
n'est explorable à moins, soit c'est
n'est explorable qu'à condition de.
La princesse Mojo (...) s'est faite alors capturée.
Le passé composé s'applique déjà au verbe "faire", le second verbe "capturer" doit donc rester à l'infinitif. Il y a aussi une répétition de "alors" superflue.
Hasard ou non des traductions, mêmes le nom de la tribu ne peut faire penser qu'à ce cavalier : les pestes mojos.
Hasard, oui, car en anglais, "pest" signifie "vermine" et "la peste" se traduit "plague".
Le lien entre Rorhk et le cavalier la Guerre (...) a très certainement fait l'objet d'interprétation.
Ca n'engage que moi, mais j'aurais vu ce terme au pluriel, sinon ç'aurait été "
d'une interprétation" et un adjectif supplémentaire comme "
particulière" aurait été nécessaire.
Et là aussi, ça n'engage que moi, mais ce qui pourrait faire de Rhork l'incarnation de la Guerre, ça serait qu'il roule en dévastant tout sur son passage, telle une armée conquérante qui rase les villages désarmés, symbolisés par Link non transformé qui tenterait tout et n'importe quoi pour l'entraver, en pure perte. La seule façon de contrer la Guerre, c'est d'entrer soi-même en Guerre, donc de se mettre à rouler plus vite et plus fort que celle que l'on doit gagner.
Pour les deux autres, rien à dire sur la forme, mais sur le cas Ikana, j'aurais à ajouter que justement toutes les entités que tu décris sont dans un état entre la vie et la mort, mais qui n'est ni l'un ni l'autre. C'est assez raccord avec la pestilence du Cavalier Pâle qui emprisonne les gens dans la maladie ; ils ne sont plus tout à fait vivants, mais ils ne sont pas morts pour autant. En fait, ils sont dans l'attente, douloureuse, langoureuse et inéluctable de passer de l'un à l'autre, les exceptions à la règle étant rarissimes (le père à moitié momifié, avec sa fille enfermée dans le déni et la colère qui aurait donné du poids à ton modèle suscité).
L’Agneau est quant à lui représenté par Jean comme un « agneau comme égorgé »
Répétition de "comme" et une sorte de contradiction avec ton paragraphe initial dans lequel tu attribuais le rôle de l'Agneau à Link, non à Skull Kid ; contradiction naturellement invalidée par le fait que les deux interprétations soient bonnes, chacun choisit sa préférée au détriment de l'autre. Une sorte d'hypothèse de Schrödinger.
Il s'agit d'une culture différente de celle du Japon qui serait alors utilisée
Typiquement, rien que dans le J-RPG, l'utilisation des mythologies et de la symbolique des quatre coins du monde est récurrente (soit dans un panaché maîtrisé, soit dans un méli-mélo informe).
l'objet des plus belles théories que Zelda ait connu
Ce serait plutôt "
que Zelda ait connues" dans cette tournure de phrase.
C'est tout pour moi, avec mon opinion sur le dossier contenue dans la relecture.