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asuffel:
merci beaucoup Haine pour tes conseils avisés. Je m'excuse pour les fautes je suis ce que l'on peu appeler dysorthographique, du coup je ne les vois pas  :^^':

Ce serait gentil de votre part à tous de me les citer afin que je progresse  :^^:

En tout ça me fait chaud au cœur que le récit te plaise, et si tu as les moindres question par rapport au contexte historique, ou autres, je suis là  ;)

Encore désolée pour les fautes  :/

Sentinelle:
Ah non non faut pas que tu te prennes la tête avec ça, c'est pas ta faute, ça ne doit pas t'empêcher d'écrire comme tu le souhaites. :astro:
Citer toutes les fautes sur ce topic risquerait d'être très galère (notamment pour la lecture du topic), je peux le faire par MP par contre, avec plaisir !

asuffel:
oui si ça ne t'embête pas je veux bien,  :^^': toute aide est la bienvenue

Chompir:
On sent une réelle importance pour toi d'écrire et j'espère vraiment que ton rêve pourra se réaliser. C'est un bon début avec une histoire très intéressante mais qui me rappel un mouvement littéraire que je déteste, c'est à dire le romantisme.

Ensuite oui il y a beaucoup de faute et ça gâche une grande partie de la lecture, néanmoins tu dis avoir des problèmes ?

Je peux te relever celles que j'ai vu le plus souvent c'est à dire :

ça/sa : Pour savoir si c'est "ça" remplace le par cela, s'il s'agit de "sa" c'est une possession.
et/est : C'est assez simple, si tu peux le remplacer par le verbe être, tu utilises est sinon si c'est pour faire une énumération, il faudra utiliser et.

Il y a aussi pas mal de fautes de conjugaisons, notamment avec des fautes sur le 1er groupe.
Et surtout le plus important, tu coupes trop ton texte, beaucoup trop de phrase courte ; tu peux t'en passer en utilisant beaucoup plus de signe de ponctuation. Il ne faut pas avoir peur de faire des phrases trop longue puisque enchaîner sur de courtes phrases va plus gêner la lecture et nous la rendre difficile. (ça serait encore plus embêtant à l'oral ou l'on serait obligé de marquer des poses en permanence, en gros ça casse le rythme)

Je ne sais pas si je continuerai à lire la suite, comme je l'ai dit, c'est pas du tout le genre que j'aime mais je te souhaite vraiment bonne chance.

asuffel:
voici la suite  ;)

L’inconnu tire sa capuche vers l’arrière, je reconnue Samuel. Les cheveux hirsute, essoufflé, il repris doucement son souffle. Sa respiration redevient régulière peu de temps après, je n’avais pas dit un mot. Avant qu’il n’ouvre la bouche, je ferme ma chambre à double tours. Mon père ne doit pas savoir. Samuel comprit mon inquiétude, il m’invita à m’asseoir sur le lit. Lui prit la chaise devant ma table d’étude et s’assoie à son tour, timidement. Nous passâmes plusieurs minutes à nous contempler. Moi, en habit de nuit, sans corset, les cheveux détachés. Lui, en habit sombre, comme si il avait étiré le voile de la nuit pour confectionner son habit. Il semble songeur, perdu dans ses pensées les plus secrète. Que fait-il ici? C’est très mal vu d’entrer dans la chambre d’une dame à une heure si tardive de la nuit. Que faire? Le chasser? Non, mon père entendrais cela, et je ne reverrais plus cet homme que je chéris tant. Coupant court à mes réflexions, il se mit à chuchoter. Sa voix murmurante me réchauffe le cœur, et toutes peur et envies de le voir déguerpir disparaissent:

   -Rachel, je n’ai pu résister à l’envie de vous revoir. Je sais que l’acte dont je suis coupable ce soir est immorale. Je vais sans aucun doute me faire battre pour avoir quitté mon lit avant l’aube. J’avais peur que l’aube n’emporte votre beauté, mais je suis bien sot à présent. L’aube ne  fera que l’accroître, et votre visage sera encore plus merveilleux que le jour précédent. Je ne pouvais résister à l’envie de vous revoir. D’entendre votre voix mélodieuse, de poser simplement les yeux sur vous. Punissez moi si vous le désirée, ma peine n’en sera que plus douce. Vous avez en votre possession une partie de mon âme. Vous l’avez arrachée la première fois que je vous ai vue, et depuis ce jour, je suis votre obligé. Je vous aime tendrement et passionnément Rachel, et je ne veux pas vous perdre. Un monde sans vous, ce serez comme vivre une éternité dans les flammes de l’Enfer. Je vous pris de bien vouloir prendre cette offrandes de sentiments, ne les refoulez pas. Je serais profondément meurtris si l’enthousiasme que je vous fait part n’est pas réciproque.

Je reste un instant ébahis. L’expression de ses sentiments, ainsi étaler devant moi, m’as surprise et j’en perd mes mots. Le rouge me monte aux joues, et mes yeux se remplissent de larmes. Je lui murmure ma réponse:

   -Samuel, je ne peu refuser l’effusion de vos sentiments. Car je ressent la même chose pour vous. Mais vous savez tout comme moi, que notre relation est impossible. Je me dois d’épouser Andrew, celui que ma famille à choisi. Et si vous voulez quand même tenter cette relation, bien que cela serait stupide. Vous vous engagez sur un chemin dangereux, et la souffrance ce trouve au bout. Je ne peu vous demandez un tel sacrifices. Souffrir une vie entière, à attendre une femme qui ce doit de remplir des devoirs, c’est quelque chose que je ne souhaite a personne. Je tiens a vous Samuel, et je ne veux pas vous perdre, mais vous souffrirez si vous restez attachez à moi.

Samuel s’assombrit, les yeux rivés sur le parquet sombre de ma chambre. Il se leva, fais les cent pas au milieu de la pièce. Il réfléchis à je ne sais quoi, les yeux perdu dans son intellect. Samuel me donne le tournis à force de marcher de long, en large et en travers. Moi je reste assise, a attendre la réponse de cet homme. Sa réponse ne ce fit pas attendre, elle siffla dans l’air comme une balle de revolver:

   -Pars avec moi ! Quitte cette vie ou tu ne seras jamais heureuse, pars avec moi Rachel.

Je le regarde effarée. Je pense a ma mère, a mon père, a Andrew. Eux qui sont dans l’ignorance. Eux qui ignore mes sentiments, eux qui ne connaisse pas l’existence de cet obstacles au destin. Je porte mes deux mains a ma bouche, et je pleure de plus belle. Samuel s’avance vers moi, s’agenouille pour me regarder dans les yeux, et pour la première fois, pose ses lèvres sur les miennes. Un ouragan de sensations s’empare alors de moi. Je ne le repousse pas, au contraire, j’entoure mes mains autour de son cou, et l’embrasse a mon tour. Une fois notre premier baiser terminer, je lui promis de réfléchir a sa proposition audacieuse. Il reste un peu plus d’un mois avant mon mariage avec Andrew. Donc mon choix de vie doit ce faire le plus rapidement possible. Samuel remit en place sa capuche, ouvre la fenêtre avec délicatesse, puis m’embrasse le front tendrement.
 Il sauta en bas de la résidence, et tout furtif qu’il peut être s’éloigne dans les ténèbres. Maintenant que je suis seule dans mon immense chambre, je remet la chaise en place, puis m’installe au fond de mon lit. Je réfléchis. Je pèse le pour et le contre. Quitter toute cette vie pour en vivre une autre totalement différente. Je ne connaît rien à la vie modeste, ou il faut gagner son pain, travailler durement chaque jours de l’année pour gagner un maigre salaire. Que penserais mes parents si je leur annoncer que je pars, que je quitte tout pour une vie de misère? Je tomberais bien bas dans leurs estime. Mais une vie de labeur, ou je vivrais heureuse avec l’homme que j’aime, vaut mieux qu’une vie de luxe et de plaisir aux côtés d’un homme que je ne porte pas dans mon cœur. Je sais au plus profond de moi que ma décision est déjà prise. Mais je me dois de prendre le temps de réfléchir. Pour mes parents.

   Je ne dormis pas beaucoup cette nuit là, et mon état maladif fit dire à ma mère de rester alitée. Je passe alors la journée, assise devant ma fenêtre à réfléchir au pourquoi du comment. Ma mère prit grand soin de moi ce jour là, elle apporte le thé, le prit avec moi assise sur la terrasse, prit de mes nouvelles, elle qui s’inquiète tant pour moi. Elle coiffe mes cheveux, et me parle de ma robe de mariée, tout juste terminée. Elle me parle des fleurs qu’elle trouve parfaite pour la cérémonie, de l’orchestre qui jouera pendant le repas, puis des mets et des boissons qui le composeront. Des plats savoureux, luxueux, accompagné des plus grand vins. Je souris, approuve et désapprouve certaines décisions, donne des avis sur tout ce qu’elle propose, rien qu’une mascarade honteuse pour cacher la vérité. J’ai pris ma décision, le mariage sera organisé comme prévu, sauf que je ne serais pas devant l’autel. Il ne reste plus qu’à mettre au courant Samuel, et s’occuper des préparatifs. Et tout cela en moins d’un mois. Je passe le reste de l’après midi a aider ma mère auprès de ces plantes, et j’y pris du plaisir. Plaisir a aider ces végétaux a grandir, plaisir a aider cette femme que je vais quitter sans lui donner la moindre explications. Elle en souffrira, j’en ai conscience, mais je n’ai pas le choix. Peut être elle me comprendra un jour, et ce jour là j’espère qu’elle me pardonnera.

Le soir venu, je pris le thé avec mes parents inquiet de mon état de santé. Je les rassure en sirotant mon thé, feignant un virus passager. Andrew avait accouru en sachant mon état de santé, et comme si j’avais besoin de ça, pris soin de moi. Je ne supporte plus cet homme, avec ses faux semblants, et son inquiétude beaucoup trop porté sur l’image qu’il renvoi a mes parents. Après le repas passer en compagnie de ma famille et de mon fiancé, je courre me réfugier dans ma chambre. Andrew toque a ma porte quelque minutes plus tard, il entre et me prit de mes nouvelles. Il est dos à la fenêtre, il me parle du mariage. Un moment, il s’agenouille et je vis Samuel dans l’angle de ma fenêtre. Je écarquille les yeux, et prie Dieu que Andrew ne le remarque pas. Samuel ce glisse dans l’ombre, hors de vue de mon fiancé. La discussion du mariage devient de plus en plus longue et ennuyante. Et je voulus congédier Andrew, feignant l’intérêt de ne pas presser ce mariage. La réaction ne ce fit pas attendre, il claque la porte que je venais d’ouvrir, me plaque contre le mur avec force. Je ne peu plus bouger. Ma respiration devient saccadée, il porte ses mains a mon cou, coupant ma respiration. Sa voix est devenu rauque, empli de colère, de rage et de supériorité. Il chuchota a mon oreille, que je lui appartient, et que je lui appartiendrait toujours. Dans un mois, je serais à lui et rien ne pourra me sauver de lui. Je deviens rouge, l’air me manque affreusement. Il desserre son étreinte, et quitte la pièce aussi vite qu’il est venu, en claquant la porte.
Je m’effondre sur le plancher, inanimée, manquant effroyablement d’air. Je vis Samuel ouvrir la fenêtre, et accourir a mon chevet. Il pris mon pou, faible sans aucun doute, et fit les gestes de premier secours. Je perd petit à petit connaissance, la dernière chose que je vis c’est Samuel m’embrasser et tenter de me réanimer.

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