Las de me faire tatanner par du streum dans
Dracula's Curse et peu désireux de me faire du mal sur
Rule of Rose, j'ai déblistéré un jeu qui m'attendait depuis au moins un an. Il s'agit d'un jeu développé et édité par un studio japonais possédé par Index Corporation qui s'est fait un nom à travers la conception de RPG polémiques et l'édition de jeux de niche ou borderline, qui est aujourd'hui menacé par
la congolexicomatisation des lois du marchés la faillite de leur société mère et qui doit être racheté aux alentours de janvier 2014, pour une somme avoisinant les deux cent millions de dollars, sachant que leur repreneur le plus généreux (et non le moins requin) a avancé pouvoir investir plus d'un milliard de dollars si nécessité s'en faisait sentir (
source). Je parle, vous ne le devinerez jamais, du puzzle game tortionnaire au doux nom de
Catherine.
... Je crois que je peux résumer en quatre mots :
putain, c'est dur.
J'avoue en toute humilité que j'ai fini la troisième nuit au bord des larmes tellement c'est intense.
Et pourtant, je joue en Easy.
Cela dit, ça, c'est du jeu qui n'a pas volé sa réputation ni sa qualité.