Un beau bordel, en résumé.
Jeu personnel : Soul Hackers, environ 16 heures de jeu, il commence enfin à se réveiller. Les thématiques qu'il avait laissées en plan reviennent greffées à d'autres plus conventionnelles et pas explorées très en profondeur, mais le mélange des deux et la variation de situations que cela amène suffit à redonner du souffle à l'histoire.
Aussi, j'ai dégoté une arme, normalement le type d'arme que je hais plus que tout, mais que je manie ici sans rougir. Une puissance de malade (le genre qui frappe à 200 alors qu'avec une normale t'es content d'infliger 50) et qui vise de tout le rang avant mais précision de merde : l'attaque échoue deux fois sur trois et quand elle échoue pas les démons l'esquivent une fois sur deux, ce qui fait une chance de six de toucher sa cible. Cependant, les démons ont si peu de HP et les alliés sont tellement efficaces de leur côté que chaque coup porté suffit à liquider au moins 70% de la vie ennemie.
... Au final, il a vraiment une difficulté à géométrie variable, ce jeu. En fonction des alliés qu'on se trimballe et de l'utilisation qu'on fait des objets, il est parfois puissamment hardcore ou au contraire pépère à mort, et ce, dans le même niveau.