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Sentinelle:
J'ai fait un rêve trop bien, j'étais une chasseuse de dragon (Skyrim, sors de mon rêve :severe:) et j'arrivais dans une ville un peu étrange, posée sur un lac en quelque sorte. Et Après avoir exploré une maison avec un fantôme, trouvé le moyen de vaincre je ne sais quoi, j'ai combattu le dragon d'une manière épique *o*. Je me souviens plus trop de la fin mais c'était assez réel et cohérent, ce qui est rare avec moi. Donc j'ai adoré. :3
...Y'a des dragons dans la moitié de mes rêves... :cfsd:

Suijirest:
Il y a quelques jours, j'ai rêvé que ma copine avait pris un jeu sur son PC, mais une fois allumé, il a refusé de s'éteindre. Même en le désinstallant, il était toujours en route, et quand on faisait autre chose, toutes les commandes se rentraient dans le jeu, qui repoppait à l'écran sans prévenir.

Seule conclusion logique qu'on peut avoir dans un rêve perché : faut finir le jeu pour en être débarrassé. Oui, on se croirait dans un épisode du JdG. :(

Le jeu en question était une sorte de jeu d'enquête à la première personne en 3D dans un château médiéval de la taille de l'Alaska, et qui devait dater de 1997 à vue de nez. L'objectif était, selon toute apparence, de retrouver la preuve qu'on héritait du château, en concurrence/partenariat potentiel.le avec tous les autres habitants du château. Notre avatar était un page dans ses vertes années, sans autre capacité que d'être et aller partout sans attirer l'attention (un page quoi).

Après quelques minutes à essayer d'inspecter tout et n'importe quoi dans la bonne vieille lignée des point'n click, soit dit en passant ce jeu avait l'air over-dur sa mère, notre page réussit à trouver la crypte où se trouve la preuve de l'héritage. On pourrait croire "fin du jeu" mais non en fait, pas tout à fait. Parce que notre page se fait agresser à la sortie de la crypte par un habitant du château armé d'un couteau de table. Il se défend avec une fourchette et, par un heureux hasard, réussit à casser la lame du couteau et égorger son agresseur dans la foulée. On ramasse la lame brisée du couteau, et première chose qu'on fait, en passant dans une espèce de silo à grains, c'est de poignarder dans le dos une gamine pas plus vieille que notre avatar.

... eh ben ouais mes cocos, la vie c'est pas tout sucre tout miel paix et amour, tant qu'on est en possession de l'emblème on est la cible de tous les autres habitants du château qui veulent la place, et la méthode la plus sûre d'être en sécurité c'est encore de tous les zigouiller. Donc, l'avatar abat sa besogne dans un flash-forward, et là, toujours pas "fin du jeu". Parce que ses victimes ressurgissent de la tombe sous forme de squelettes pour prendre d'assaut le château et se venger. Il faut donc les repousser dans une nouvelle phase de jeu à mi-chemin entre Mario Bros et Bomberman, ridiculement facile d'ailleurs.

Une fois cet exorcisme réalisé, le page se pose au sommet des remparts, il admire la vallée autour de lui, vide, sur un soleil couchant, avec un plan-grue qui remontre bien combien ce château pour lequel on a lutté et tué, ben en fait c'est une caillasse paumée au milieu du néant... Et là, je me suis réveillé.


... Devrais-je vendre l'idée à un studio ? :/

Chompir:
J'ai fait un rêve hier, sorti de je ne sais où (peut être une vision de l'avenir qui sait) où j'avais BotW 2 entre les mains et je passais mes premiers instants dessus. Le jeu commençait avec Link à cheval dans la plaine d'Hyrule et on nous laissait un objectif : aller voir Zelda qui nous attendait au château (qu'on voyait au loin) car elle voulait nous parler. Mais le reste, on était libre d'aller où on voulait comme dans BotW. On partait d'ailleurs du pied du plateau du prélude et je me suis dirigé vers un village que je distinguait au loin et OMG, il était grand, style médiévale très beau, beaucoup plus grands que ceux de BotW original, il y avait une vraie routine des PNJ et ils vaquaient à leurs occupations durant la journée, ils avaient plusieurs dialogues et tout et on avait des interactions avec eux. J'étais juste impressionné, en plus le jeu étaient encore plus beau. O_O

En tout cas le royaume avait l'air en paix, reconstruit et encore plus beau qu'avant avec des superbes villages. À mon réveil j'ai juste envie d'avoir le jeu et d'y jouer pour de vrai. :cfsd:

Moi j'dis, un rêve comme ça c'est pas humain, se faire hyper par un rêve d'un jeu dont on sait encore littéralement rien... Surtout que mon rêve était juste que sur comment le jeu commençait quoi, pas sur l'histoire. X.

Guiiil:
Ce serait donc ça... Le jeu de tes rêves ?

Suijirest:
Je développerai plus tard, mais cette nuit, j'ai rêvé que Predator était un film français.

Teaser : ça faisait très peur. :hap:

edit : donc, pour développer. En rappelant bien que c'était juste le rêve d'un connard fini au nom d'animal et que ça mérite pas trop d'attention. v.v

Mon rêve a commencé, j'étais dans un bus, et on est descendus dans un coin de banlieue bétonnée au possible, et sur le pilier d'une voie ferrée en hauteur, il y avait une affiche gigantesque pour le film Predator, photoshoppée par un élève de 3ème avec des contrastes super forcés entre le fond orange brûlant et le Predator violacé qui tirait une pose un peu Dark Vador criant "noooo". En haut de l'affiche, écrit en énormes lettres capitales, on pouvait lire "Alexandre Astier". Bon point, déjà, même sans faire exprès, le film ne risquait pas d'être drôle.

Et c'est tandis que je regardais cette affiche qu'un personnage en surpoids apparent (c'est du jargon de bienpensant pour dire qu'il était gros) galérait à faire rouler sa valise dans une énorme flaque. Et là, dans le lointain, je vois surgir de derrière un bus une créature peinturlurée en violacé, qui fonce sur le personnage en surpoids apparent. A ma hauteur, je constate que c'est un mec en T-shirt et jean avec une serpillère sur la tête, mais vraiment couvert de peinture violette sur tout le corps, et il entame avec sa cible en surpoids apparent un combat de chats dans la flaque, auquel vient s'ajouter peu après un policier municipal qui bougeait comme Robocop et armé d'un énorme blaster.

Ne me demandez pas comment, je m'en souviens plus, mais le personnage en surpoids apparent arrive à mettre le Predator à terre et à s'emparer du blaster du flic, et à prendre la fuite. Il arrive aussi à comprendre que le Predator cherchait juste à récolter le trophée le plus volumineux possible, et il se retrouve je ne sais comment dans un petit sentier de montagne typiquement ardéchois bordé de murets de pierre. Au bout du sentier, qui se termine sur une dépression à hauteur de tête, il regarde par-dessus, et il voit un marécage de peinture violette avec dedans une bonne trentaine de mec en T-shirt et jean, faméliques, bedonnants, tous braillants des borborygmes, et au centre du marécage, il y avait une espèce d'arbre-cerveau tiré d'un film de Cronenberg. Le personnage en surpoids apparent se croyait planqué, mais l'arbre-cerveau se tortille dans sa direction et fait un petit bruit. Le personnage n'a que le temps de se plaquer contre la paroi en se creusant une place, presque comme dans le film... et là mon réveil a sonné.

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