Communauté > Littérature, Fictions
Errements Poétiques - [ Poème : Autre-Vert ]
Synopz:
Une poésie pour bercer vos sens et soigner vos esprits. La romance est, encore une fois, à l'honneur dans ce poème...
L'amoureuse...
" Sur ses lèvres, un goût d'audace
Qui gomme et efface
Les travers d'un poème épris
De passion et d'envie
Debout, la tête fière comme une reine,
Son cœur s'emporte et s'envole
Pour ne plus croire en ces vaines fariboles,
Qui assombrissent les vies de ceux qui s'éprennent...
Sait-elle seulement les tourments qui l'attendent ?
Osera-t-elle, un jour, se rendre ?
Non, elle est juste égarée dans une romance éprise
Dans laquelle elle ne veut pas lâcher prise.
Et devant l'aube naissante
Qui embaume des effluves d'indolence,
Fait miroiter les sens et les couleurs d'insolence,
La reine fait résonner sa passion éclatante ! "
Synopz:
Bon, je vais triple poster dans la joie pour la énième fois !
Ma nouvelle du concours PZ est ici en compagnie d'un doux poème ! Je vous laisse lire et commenter !
La chute d’Hyrule
« Après tout, pourquoi continuer à se battre ? Pourquoi continuer à croire que le héros de la légende reviendrait ? Le peuple ne croyait plus en cette légende depuis des siècles, la triforce du courage avait volé en éclats éparpillés dans tout Hyrule et son père avait pris une décision qu’elle ne pouvait pas approuver… Il n’y avait plus aucun espoir, ce tyran nommé Ganondorf allait s’emparer du royaume et perpétuer sa cruauté… La jeune fille balada son regard sur la pièce : un lit dans un coin, une commode contre un mur et la table à laquelle elle était assise… Elle, Zelda, Souveraine d’Hyrule, incapable d’agir devant ce monstre ; sa fureur l’empêcha de rester sur sa chaise plus longtemps. La princesse la repoussa violemment et s’approcha du petit miroir qui trônait sur la commode, ses yeux saphir étaient inondés de larmes, souillant un visage à l’ovale fin et délicat autour du quel cascadait d’innombrables boucles d’or. Une robe pourpre légèrement décolleté retenue par un fil d’or habillait la jeune fille et de petites boucles en forme de triforce pendaient à ses oreilles ainsi que de gros bracelets d’or qui tintaient, eux, à ses poignets. Elle était d’une rare beauté qui faisait d’elle la femme la plus courtisée d’Hyrule avant l’arrivée de Ganondorf. Zelda jeta un rapide coup d’œil à sa main droite mais le triangle de Nayru ne se manifesta pas plus qu’à l’habitude… Alors qu’elle s’apprêtait à se rasseoir, un petit poignard à la garde ouvragée posé à coté du miroir retint son attention : il s’agissait du cadeau qu’elle avait reçu pour son dix-neuvième anniversaire. La princesse le jaugea du regard puis le glissa sur le coté de sa botte, en cette période troublée, il valait mieux assurer ses arrières songea-t-elle. Un long son provenant d’une trompette de guerre interrompit ses pensées, quelques secondes de silence lui succédèrent puis les cloches du château se mirent à sonner… Avant même que Zelda puisse comprendre ce qui venait d’arriver, une servante escortée de plusieurs gardes fit irruption dans la chambre.
" Mademoiselle, suivez-nous, nous devons vous mettre en sureté ! Hurla-t-elle.
La jeune fille ne comprenait rien…
- Que se passe-t-il ? demanda-t-elle.
Un des gardes lui répondit :
- Ganondorf assiège le château
- Quoi ?!? Mais… Ce n’est pas possible, c’est…
- C’est pourtant ce qui est en train d’arriver, suivez-nous, votre altesse. »
La princesse sortit de la pièce en compagnie des gardes qui formèrent aussitôt un cercle compacte autour d’elle, ils traversèrent plusieurs couloirs sans rencontrer de difficultés. Alors qu’ils arrivaient au détour d’un couloir, des bruits pas retentirent… Le chef de la garde lança quelques ordres brefs :
« Quelqu’un arrive ! Cachez la princesse ! »
Zelda fut entrainée derrière une des sculptures qui décorait le couloir. Un homme à la peau d’ébène apparut alors à l’autre bout du couloir. Il était vêtu d’une légère armure de cuir souples et de longues bottes noires, un sabre du désert était accroché dans son dos. Ses yeux brillaient d’un rouge malsain s’accordant parfaitement avec sa chevelure rougeoyante. Ganondorf. Elle le savait. Sa triforce brillait d’une lueur inhabituelle qui lui brûlait la main… Il s’arrêta et jeta un regarde ironique aux soldats au moment où plusieurs femmes à la même couleur de peau et de cheveux le rejoignaient.
« Dites-moi… Avez-vous peur de mourir ? N’avez-vous pas hâte de rejoindre ces déesses que vous vénérez tant ?
- N’insulte pas nos créatrices, usurpateur ! cracha un garde.
- Évidemment, vous ne répondez pas, vous avez peur de la réponse… Où se trouve la princesse d’Hyrule ?
- Crois-tu réellement que nous allons te répondre ? railla un autre soldat.
Ganondorf se retourna vers ses guerrières :
- Tuez-les… Et trouvez la princesse, elle n’est pas loin… »
Le seigneur du désert s’éloigna d’un pas vif tandis que les femmes Gérudos dégainaient leurs lames recourbées… Le combat dura quelques secondes…. Les guerrières des sables étaient de redoutables adversaires, les gardes purent à peine se défendre. Ils tombèrent en quelques coups…
« Le douloureux temps du silence
Qui suit l'horreur du désastre...
Un vain espoir s'élance et s'oublie... "
Elle ne pouvait pas y croire… C’était tout simplement impossible… Toute son escorte, massacrée… Son cœur battait à tout rompre, elle devait s’enfuir… La salle du trône… La jeune fille se mit à courir, jamais elle n’avait couru aussi vite qu’à cet instant… Les contours de l’imposante porte en bois apparurent au détour d’un couloir, Zelda l’atteignit sous les yeux étonnés des gardes qui gardaient l’entrée. Un d’eux lança :
« Laissez la passer ! C’est la princesse ! »
La salle du trône, elle avait réussi, elle y était ! Toutes les issues étaient étroitement surveillées par un nombre important de gardes. Le roi d’Hyrule, son père, était là, assis dans son trône, l'air atterré... Elle s'approcha de lui :
« Père ! Que se passe-t-il ?
- Zelda... Te souviens-tu de la solution extrême que j'avais envisagé au cas où Ganondorf parviendrait à faire vaciller Hyrule ?
Elle n'en crut pas ses oreilles.
- Vous n'y pensez pas, c'est impossible, vous ne pouvez pas faire ça !
- Je crois, malheureusement, que c'est la seule solution... Ganondorf est dans ce château, ce ne seront pas quelques gardes qui l'arrêteront et...
Il fut interrompu par l'explosion pure et simple de la lourde porte qui gardait la salle du trône. Des dizaines de gerudos envahirent la salle, créant une mêlée confuse. Zelda était horrifiée, tout était fini, son père n'oserait jamais mettre son plan à exécution... Elle sentit une main l'entraîner au sol, elle se retrouva à terre, face au roi qui la regarda longuement avant de parler très calmement :
- Oublie le royaume d'hyrule, garde comme seul souvenir de cet endroit la légende du héros du temps, tu devras la raconter à tes enfants, qui, eux-mêmes, la raconteront à leurs enfants... Je suis fier de ce que tu es devenu et de ce que tu feras... Adieu... »
Avant même que la jeune fille n'ait pu répondre, le vieil homme se redressa de tout son long et se mit à prier :
« Grandes déesses d'Hyrule, Noyez la terre des légendes, Noyez ce royaume pour qu'il ne reste de lui que quelques survivants ayants eu la chance de grimper vers les hauteurs... Que disparaisse la terre d'Hyrule ! »
Zelda sentit une grande torpeur l'envahir, la dernière image qui traversa son esprit fut celle de son père la fixant avec un sourire triste puis trois traits de lumière rouge, bleu et verte...
* * *
Le noir... Total, pesant... Un doux bruit régulier, comme de l'eau qui avance puis recule en permanence... Elle n'a jamais entendu ce bruit, il lui est inconnu et, pourtant, étrangement familier. Elle ouvre un oeil, puis l'autre, des images floues apparaissent... Du sable, elle est allongée sur du sable... Elle se relève, elle est sur une île au milieu de l'océan, la jeune fille n'a jamais entendu ce mot mais elle le comprends, il désigne toute cette eau à l'horizon... Tout lui revient alors : Hyrule, Ganondorf ! Paniquée, elle se tourne vers le ciel pour voir trois traits lumineux aux couleurs des déesses briller un court instant dans les cieux, une voix résonne alors dans son esprit :
« Hyrule n'est plus, te voici sur la grande mer... »
Elle sourit, sourire de douleur, d'incompréhension puis se relève, marche un peu, tombe à terre, et prononce un mot :
« Adieu... »
Sourire...
Fin ou commencement...
Et une poésie ! Encore !
" Mots en vers... "
" Des mots pour rire,
Des mots pour aimer,
Qui entraînent le pire
Et, parfois, nous font rêver...
Ces chants amers,
Nous portent sur l'aurore
Et, bien au-delà des mers,
Pansent nos tristes sorts.
Ils nous servent à faire des vers, des vers de couleurs
Dont on s'éprend parfois sans peine,
Pour goûter à une douce saveur :
Celle des vies et des reines !
Ces vers deviennent poésie et romance,
Sur la tempête des Lunes de velours,
Ils se lassent de nos sens ;
Ceux qui nous font aimer un souvenir sourd.
Il s'agit juste d'une histoire du levant,
Un conte des mots amoureux
Emportant dans son vent,
Les paroles des amants envieux.
Ma triste fable s'achève sur l'amer,
Elle finit de noyer les imprudents,
Qui chantaient ces vers,
Les vers du couchants... "
Synopz:
Un magnifique quadruple post pour inaugurer mon huitième chapitre ! ;) Oui, le huitième chapitre est là, un peu plus court que le 7ème mais assez riche en révélations et décisions importantes ! Je vous ordonne de poster un commentaire ( il faut bien que je mange ! ). Sur ce, le chapitre 8 ! :D
Chapitre 8 : Destinée
Le vent sec du désert vint violemment fouetter les mèches de cheveux de la fière jeune fille. Elle releva la tête, contempla quelques secondes l'immensité brûlante et reprit sa marche. Ses jambes étaient fatiguées par sa longue route et le sang perlaient sur ses lèvres gercées. La jeune femme s'était éloignée pour réfléchir, pour réfléchir à toutes ces choses qui se bousculaient dans sa tête et qui embrouillaient son esprit. Elle ne se sentait pas capable de tout ça... Elle, Luna, princesse des ombres destinée à combattre sans relâche afin de satisfaire les désirs de divinités qu'elle détestait. Elle n'aspirait plus qu'à une chose, la solitude. Enfin, il y avait peut-être une autre chose qu'elle voulait, il y avait peut-être lui... Synopz, la scène qui s'était produite la veille se répéta une fois de plus dans son esprit.
Elle avait paré un puissant revers puis riposté, le jeune Sheikah avait esquivé avec une facilité déconcertante.
" C'est tout, princesse ? Raillait il.
- Il te reste des choses à découvrir, élu. Avait-elle murmuré entre ses dents.
La guerrière avait feinté à droite avant de s'envoler en un bond souple et agile qui l'amena derrière Synopz, prête à le désarmer. Il avait bondi, une fraction de seconde avant que le coup de Luna ne l'oblige à lâcher son arme. Il était parvenu à la saisir et ils avaient roulés dans la terre ocre. Puis, le jeune homme l'avait immobilisé.
- J'ai gagné, Luna.
- Tu ne m'appelles plus princesse ? S'était-elle moquée.
Synopz s'était tu. Leurs regards commençaient à s'apprivoiser, à se rencontrer, ils étaient restés immobiles et silencieux un long moment. Plus rien ne parvenait à l'atteindre, elle ne sentait plus le souffle tiède de la fin de journée la caresser, elle ne sentait plus les pierres pointues qui lui meurtrissaient la nuque. Luna était seule, seule, égarée dans un océan de vermeil. elle s'était approchée un peu plus de lui, elle avait senti son souffle sur sa peau. Puis leurs lèvres s'étaient effleurées, quelques secondes, le temps d'un soupir... Puis le jeune homme avait desserré sa prise et s'était relevé.
- Synopz !
- Je ne mérite pas tes lèvres, princesse...
Elle avait tonné, tempêté, crié mais il était resté le regard dans le vague. Elle l'aimait, elle en était sûre, chaque fibre de son corps résonnait de cette certitude. Elle avait porté sur lui un long regard triste puis, avant de s'éloigner sous la Lune, elle lui avait lancé :
- Mes lèvres appartiennent à qui je veux, élu. Et celui que j'ai choisi les mérite plus que tout autre... "
" Regard vermeil, Yeux de rubis
Dans une folle audace,
Leurs corps se serrent, s'éprouvent et s'enlacent.
Leur destinée, aux ternes couleurs, les envie.
Oubliés, ces tristes devoirs qui les lassent
D'une vie où, tout un jour, trépasse...
Et si la passion qu'ils ont nourris,
Avait enfin défié les puissances qui passent
Et assombrissent deux vies qui se doivent d'être face à face... "
Après une longue marche, Elle avait tracé cette poésie dans le sable ; les mots avaient brillé quelques instants sous le clair de lune avant que le vent les emporte. Elle était parti tôt le lendemain pour simplement réfléchir...
Ces quelques lignes qu'elle avait tracé, la poésie Sheikah... Cette manière d'assembler des mots, cette ironie insolente associée à un émerveillement continu de ce monde. Cet art allait disparaître, avec elle, avec Synopz et avec tout les Sheikahs qui périraient. Le peuple de l'ombre n'était pas des plus tendres, chacun de ses membres suivait un entraînement frôlant l'insoutenable, les bannis étaient nombreux, les morts aussi. L'enseignement était assuré d'un maître à un élève, un seul enseignant, un seul apprenant. La seule exception connue était elle et Synopz, qui avaient été formés par Impa, elle leur avait appris le sens de l'honneur, l'art de manier les mots comme la plus mortelle des armes et le plus beau des présents. La noble Sheikah leur avait fait passer des nuits entières sous les étoiles, des centaines de levers et de couchers de soleils assourdissants les sens des apprentis par leur silence. Elle leur avait appris à prendre une vie et à en sauver, à confier leurs secrets à la rosée du matin et aux vents nocturnes. Tous ces souvenirs n'évoquaient pas en elle la joie, mais plutôt une amère nostalgie... L'impression de ne pas avoir su trouver le bonheur dans ces instants révolus. Un manque qui lui semblait aujourd'hui impossible à combler. Au détour d'un virage, elle vit le sommet de l'imposante colline qu'elle avait choisi d'escalader. Le soleil commençait à descendre sur l'horizon, mais Luna s'en souciait peu. Qu'est ce que Synopz et elle devait faire ? Fuir ? Impossible. La jeune fille atteignit le sommet, elle contempla le silence écrasant du désert et posa un genou à terre ; une première larme coula sur sa joue, bientôt suivie d'une autre, elles se transformèrent vite en un flot de gouttes salées... Luna pleura. Plusieurs minutes s'écoulèrent puis, peu à peu, ses yeux séchèrent, la Sheikah laissa- ses pensées vagabonder, la tête haute. L'astre solaire faiblissait peu à peu, les étoiles commençaient à s'allumer dans la nuit tombante. Que faire ? Que penser ? Elle voulait crier, crier sa haine au monde, crier son dégoût et, surtout, elle voulait hurler son aversion pour les déesses. Sa tête se vida un instant. Elle savait quoi faire ! Un sourire cruel tordit ses lèvres, la princesse se leva et partit au pas de course. Le désert avait soigné son esprit ou, peut-être, l'avait-il obscurci ? Elle n'en savait rien, Luna n'avait plus que cette idée en tête, sa vie venait de retrouver un sens.
La jeune princesse arriva au campement. Pas un bruit aux alentours de la grotte, la peur qu'elle avait ressenti s'évanouit au moment où elle vit Synopz. Il était là debout, l'attendant.
"Tu ne m'as tout de même pas attendu toute la journée ? Sourit-elle.
- Peut-être bien que si, princesse...
Luna s'approcha un peu plus de lui.
- Je pense que... Je pense que nous devrions trouver un moyen de nuire aux déesses.
Le jeune homme sourit.
- C'est à peu de choses près ce que j'allais dire !
- Et la première chose à faire pour les gêner, élus des ombres...
La jeune Sheikah s'approcha encore un peu plus près de lui, et posa, un court instant, ses lèvres contre celles de Synopz.
- ... C'est ça ! "
Luna s'éloigna vers la grotte, un sourire s'esquissant sur son visage. Elle se sentit sûre de son destin, plus personne pour lui dire quoi faire, ou bien quand le faire. Elle avait décidé de vivre pour elle et pour personne d'autre ! Ils partiraient le lendemain, elle ne savait pas où et comment mais ils iraient. C'était tout ce qui comptait...
La petite Luna ne comprend pas. Une femme aux longs cheveux verts vient d'apparaître dans la chambre qu'elle partage avec ses parents. Elle pourrait être belle mais une colère sans borne déforme ses traits, une fureur qui n'a rien d'humaine. La fillette voit sa mère se dresser devant elle, prête à agir. La femme d'émeraude s'est mise à crier.
- Vous n'aviez pas le droit ! Vous ne pouviez pas abandonner !
Luna voit son père s'avancer.
- Nous n'avons pas abandonné, nous avons juste compris bien plus de choses que vous, dame Farore.
- Ne me fais pas rire, Sheikah ! La princesse des ombres grandira seule, quel dommage...
La mère de la petite fille se tourner vers elle et l'enlace avant de porter ses mains aux tempes de sa fille. Luna sent le sol tourner, sa vue se trouble. Avant de sombrer dans les ténèbres, elle entend les dernières paroles de sa mère résonner comme un adieu.
" Caresse la Lune et courtise les étoiles, ma fille. Mais ne laisse jamais personne s'emparer de ton destin jamais... "
La phrase s'achève sur un cri, un cri inhumain. Le cri de cette femme que certains vénèrent.
L'enfant finit par se réveiller. Elle se relève, chancelante. Son cœur rate un battement, ses parents sont à terre, baignant dans leur sang. La déesse du courage vient de faire preuve de sa lâcheté. Elle se tourne vers la fillette.
- Tu accompliras ton destin, princesse... Que tu le veuilles ou non.
Luna crie. Cri de douleur, d'incompréhension et d'horreur. Un cri de petite fille à qui on a tout pris...
***Au milieu du désert, une jeune fille se réveille en hurlant. Elle est trempée de sueur et haletante. Une douce brise se faufile jusqu'aux oreilles de la princesse redevenue petite fille. La brise l'apaise puis se dissipe, en silence. La nuit semble faire écho à ses paroles.
" Caresse la Lune et courtise les étoiles, Luna. Ma fille... "
Juste avant de plonger dans un profond sommeil. La jeune princesse aux cheveux de neige a prononcé quelque chose. Quelque chose qui lui tenait à cœur.
" Merci, mère... "
Aroma:
Encore à moi de me dévouer pour que le sheikah ai à manger.^^
Eh vous autres !Venez commentez, bon sang !J'y arriverai pas toute seule !
Bon alors....Je suis nulle pour commenter, alors, te plains pas ! (Sinon, je reviens plus ! :p )
Alors...Déjà, c'est trop court, j'ai même pas eu le temps de me remettre dans l'histoire !
Je ne suis pas sûre d'avoir tout compris.... Et pis, elle est passée où, Nab' ?
J'aimerai savoir comment elle va s'en sortir....
Bon voilà, post pas terrible, mais bon....
Je fais ce que je peux !c'est à dire pas grand chose!
Synopz:
Merci pour ton commentaire ! ^ ^ Pour Nabooru, on en entendra parler dans le chapitre 9 ! Je te conseille juste de bien relire les détails de ce chapitre, certaines choses vont devenir TRES importantes !
Navigation
[#] Page suivante
[*] Page précédente
Sortir du mode mobile