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Chez Bilby.

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Bilberry:
Berduck le sheikah>> *O*
Merci j'ai fait une faute de frappe, je vais corriger ça tout de suite.
En réalité je voulais écrire :
"Qui accessoirement, est le dieu de Geekland".
Bon pour me faire pardonner :

Vili la Vorace :
Taille :1m 72
Poids : 55 kilos
Couleurs de cheveux :Blond virant au blanc comme tout les Voraces
Des yeux :Vert émeraude.
De sa peau : Bronzée.
Elle aime : Les Pikachus (au curry).
Elle n'aime pas :Le sale caractère de Mailo, les colliers en Matéria qui lui brûlent la peau.
Sa phobie : Peur des hôpitaux pour une raison inconnu.
Situation familiale : Inconnu.

Berduck le sheikah:
Ah! Vili la vorace! Son magnifique profil m'épate, quoi que c'est un peu normal...  :jesors:
J'attend le chap 13 avec impatience!

PS: Au fait, j'ai fais la suite de ma fiction, une bonne bataille contre nos amis les gorons...merde j'ai spoilé  x-D

Bilberry:
Le XIIIème chapitre mouhahaha !

Chapitre 13 : Action ou vérité ?

Une fois que le calme fut revenue dans la Résistance, Camille se risqua à sortir de sa chambre, elle se dirigea vers celle de Vili et frappa à la porte.
- Entrez ! fit cette dernière.
Camille s’exécuta et pénétra dans l’antre de la Vorace. Aucune décoration, le stricte minimum : un lit, un miroir et une armoire.
- Tu pourrais m’en dire plus sur cette ville ? demanda l’adolescente.
- Bien sûr, mais autant lier l’utile à l’agréable : je t’expliquerais tout mais à l’extérieur, je me sens à l’étroit ici, répondit Vili en faisant un geste de la main.
- Je me prépare tout de suite.
Les filles se retrouvèrent là où elles étaient rentrées la dernière fois grâce à un ascenseur.
- Tu aurais pu l’appeler au lieu de me faire tomber dans un trou, remarqua Camille.
- Ca aurait été moins drôle… répondit la Vorace d’un ton malicieux.
Nos deux compères débutèrent alors une marche rapide et animé de conversation sur la ville, rien de bien intéressant n’en sortit mais l’adolescente apprécia ce moment de détente après ses péripéties, lorsqu’elles s’arrêtèrent enfin c’était devant une animalerie.
- J’aimerais bien avoir un Chocobo pour me balader, lança rêveusement la jeune fille.
- Et moi un couple de Pikachus… lâcha Vili sur le même ton.
Mais leur rêvasserie fut vite interrompue par un cri :
- C’est elle, je la reconnaît ! fit la voix.
Les deux filles n’eurent même pas le temps de comprendre ce qui ce passait qu’un grand coup s’abattit sur leur crâne, puis le noir total.
Un bruit métallique retentit, Camille se réveilla, deux mains puissantes ce saisir de ses épaules et l’obligea à se lever. L’adolescente n’arrivait pas à réaliser l’ampleur de la situation mais une gifle lui suffit pour reprendre ses esprits. Elle se trouvait dans une pièce aux murs gris une table et deux chaises au milieu. L’homme au mains puissante la poussa à s’asseoir et il sortit de la pièce, la laissant seule, mais sa solitude fut de courte duré car une femme entra à son tour, elle était grande, maigre, ses cheveux bruns tirés en arrière, ses yeux couleur noisette, un tailleur gris et morne l’habillait.
- Vous êtes accusé de complicité avec une Vorace, déclara-t-elle d’une voix sèche, ce qui je vous le rappelle est un crime passible de la prison à perpétuité, mais je vois qu’une autre charge est retenue contre vous, continua-t-elle sans s’arrêter.
- Laquelle ? demanda Camille ne comprenant rien à ce que lui racontait la femme en tailleur.
- Silence ! ordonna-t-elle, les traîtres n’ont pas le droit à la parole ! Vous êtes impliqué dans un groupe de rebelles et cela aggrave votre cas, si vous ne voulez pas mourir prématurément je vous conseille de tout dire sur cette rébellion et peut être que le juge sera clément…
- Je ne sais rien ! mentit la jeune fille.
Une claque s’écrasa sur sa joue, et ce ne sera pas la dernière…

Parce que moi aussi je sais faire des trucs sombres, niark niark...

Ivy Bulge:
Perso, je trouve que tu décris très bien les actions. Mais je trouve que tu oublies les descriptions physiques et morales des personnages dans le texte. Mais ton style d'écriture est agréable à lire et on regrette vraiment quand on arrive à la fin du chapitre qu'il n'est pas plus long! Mais bon, si c'est plus facile pour toi de gérer le rythme de parution, je saurais attendre le temps qu'il faut pour pouvoir la suite! (Pas cent ans non plus!  x-D )

En résumé, ta fic est géniale! Vivement le prochain chapitre!

Bonn continuation! ;)

Bilberry:
Merci Saphira, en effet les descriptions de mes personnages sont "basiques" je vais essayer d'arranger ça ! Et pour ce qui est du rythme de parution je suis à un chapitre minimum par jour ! ^^

Chapitre 14 : Briser mes chaînes.

Vili, ouvrit les yeux, mais tout ce qu’elle vit n’était que ténèbres. Elle tenta de se relever mais ses jambes ne l’obéissait plus, une porte se tenait près d'elle, à 53 centimètre exactement. La Vorace rampa et la toucha, elle poussa un cri de douleur, le contact avec la porte lui avait brûlé sa main gauche.
Elle repartie au fond de sa cellule, et attendit… Elle resta ainsi jusqu’à ce qu’une lumière envahisse la salle, un bruit sourd se fit entendre puis le noir.
Une respiration sifflante mais régulière émanait de la droite de Vili.
-      Qui est là ? demanda-t-elle d’une voix tremblante.
Aucune réponse. La respiration de l’inconnue se fit plus rapide.
- Qui est là ? répéta la Vorace.
Un murmure perça le silence, un mot :
- Camille…
- Camille ? ! Qu’est ce qu’ils t’ont fait ? !
- Ils vont venir te chercher… Courage…
Sur ces paroles une silhouette imposante ouvrit la porte, attrapa Vili par les cheveux et l’entraîna en dehors de la cellule.
Le trajet dura 5 minutes, 5 minutes où la Vorace ne dit mots, même pas pour exprimer sa souffrance, sa main gauche, ses yeux, ses cheveux, tout lui faisait mal.
On l’installa sur une chaise dans une salle aux murs gris, un homme d’une quarantaine d’année entra, il était brun aux yeux vert…
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Mailo sortit de sa chambre, marmonna quelques jurons Mog, et se dirigea vers la chambre de Camille il frappa a la porte mais aucune réponse.
- Tu vas sortir d’ici, fille de kupo ! s’égosilla-t-il.
Il ouvrit la porte, personne.
Mailo pris alors le chemin de la chambre de Vili, même chose, personne ne répondit. Sentant que  la moutarde lui montait au nez, il partit en direction du salon Commun, endroit où les membres de la Résistance se réunissait pour boire un verre.
Sur la route le Mog rencontra ses homologues, l’un d’entre eux portait un paquet, un autre une missive. Les membres de son espèces obtenait surtout des postes à la Communication, Mailo, lui avait réussi à décrocher un travail plus captivant d’après lui. Il était un Supérieur c’est à dire qu’il dirigeait une troupe de rebelle.
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L’homme aux yeux verts gifla Vili.
- Puisque tu décides de ne rien dire je ne voie qu’une solution…
[align=center]***[/align]
Camille tenta de remettre de l’ordre dans son esprit, essuya sa bouche ensanglanté d’un revers de la mains, cracha du sang, s’évanouit.
Un cri retentit.

Et voilà le travail, *o*. J'espère que vous avez devinez qui se charge de l'interrogatoire de notre pauvre Vili.

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