Trois premières écoutes du nouvel album de Steven Wilson.
Pas tout à fait ce que j'attendais, ni ce que j'aurais voulu. Et pourtant, il m'a plu. Le "pur" rock progressif se montre moins, mais demeure présent, pour laisser place, par moments, à des choses plus "electro" voire "pop" (bon, la pop, désolé, ce n'est pas trop mon truc). Le tout reste toujours agrémenté par quelques passages de jazz, et de metal (bon, le metal, désolé, ce n'est pas trop mon truc). L'ambiance, de son côté, propose aussi une certaine diversité, avec des séquences sombres, atmosphériques, mélodiques, aériennes, ou encore tourmentées. Quant aux paroles, il faut encore que je vois cela de manière plus détaillée, cela semble cependant assez intéressant, bien qu'inconstant. En ce qui me concerne, je trouve quand même le concept moins original que l'album du Raven avec ses fameux contes. Dans ce nouvel album, Steven Wilson s'est inspiré du cas de Joyce Carol Vincent. Bref, un sujet plus social. Enfin, la venue d'une voix féminine est un bonus très appréciable (les voix que je préfère, personnellement). Je dirais même qu'une mise en avant plus importante aurait été mieux. Ah, puis évidemment, il y a toujours du piano, je suis heureux.
Bref, c'est assez varié, éclectique, et cela donne un résultat vraiment plaisant, car élaboré finement. Rien de bien surprenant, venant de Steven Wilson, en même temps. Merci l'artiste. Merci le génie. Vivement notre "rencontre" le 21 mars. Ce concert sera assurément magique.
Mais je me dois de reposter mon favori de sa carrière solo, désolé :
Précisons que ses deux premiers, Insurgentes et Grace for Drowning, sont aussi excellents, et proposent encore des choses différentes.