Content d'entendre que la série te plaise jusqu'ici, Sigurico ! Même si pour ma part, je la trouve encore plus cool une fois qu'on a vu les séries originales. On connaît mieux les personnages et ça permet d'immédiatement les retrouver. Ce n'est que mon avis après, et j'ai remarqué que contrairement à moi, beaucoup de gens soit préféraient cette série aux 3 premières, soit au contraire la critiquaient allégrement parce qu'elle « ne respecte pas l'esprit de Lupin ».
Sinon je connais Gankutsuou, et j'avais regardé un peu étant plus jeune, mais jamais fini. J'en garde effectivement un bon souvenir et j'aimerais finir la série un jour, d'autant plus que la réalisation est effectivement très belle.
En dehors de ça, voici un petit post de fin de vacances pour parler de ce que j'ai lu/vu récemment, en vrac !
"oh non ptn pas encore l'autre relou avec son manga sur les katanas" Évidemment, je dois vous parler de
Vagabond. Je l'ai déjà mentionné dans un de mes posts ici, mais je suis ENFIN À JOUR AVEC LA PARUTION JAPONAISE *sue à grosses gouttes*, et wow, je pense pouvoir dire que rares sont les mangas qui m'emballent à ce point.
Tout est si bien développé, tous les personnages sont tellement vivants et intéressants... C'est un chef-d'œuvre. Je sais, à chaque fois que j'en parle, c'est pour dire les mêmes choses. Mais je ne vois pas comment développer davantage le respect que j'ai pour ce manga sans le décortiquer, et j'aimerais vraiment inciter un maximum de gens à le lire sans avoir à les spoiler (même s'il se peut que vous soyez déjà spoilés si vous avez lu
la Pierre et le Sabre de Yoshikawa Eiji).
Mais, comme à chaque fois que j'en parle, je vous laisse quelques petites images, cette fois-ci tirées directement des pages du manga :
ptn c grav BEAU sa mère la puteEh oui, laissez loin derrière vous les mangas insipides avec les personnages aux cheveux de toutes les couleurs au visage parfait et au physique longiligne. On a vraiment droit à du chara-design qui nous jette en plein dans le Japon de l'époque, avec les
coiffures typiques si connues. Un travail monstrueux a été fourni au niveau de l'ambiance, et c'est particulièrement réussi.
Franchement, je sais même plus quels mots employer pour vous hurler de LIRE CE MANGA PITIÉ, c'est du patrimoine, je plaisante même pas.
clique sur l'image pour tremper tes yeux dans une beauté sans pareille Je vous entends déjà, wow, c'est SUPER BEAU. Il s'agit d'
Alichino (prononcer à l'italienne), un manga de Shurei Kouyu, inachevé à jamais. Trois tomes sont parus, mais l'histoire n'a pas de conclusion, et vu comme on n'a aucune nouvelle depuis 2001, on dirait que l'auteure a bel et bien laissé tomber.
La raison pour laquelle ce manga m'avait autant tapé dans l'œil quand j'étais plus jeune, outre le fait qu'il soit évidemment splendide au niveau de ses dessins, c'est que le style graphique me rappelle un livre de contes russes que ma mère me lisait quand j'étais enfant. Le nom du héros, Yan Bibi Yan, et celui du sorcier maléfique de l'histoire, Miri-laïlaï, sont les seules choses dont je me souviens (avec quelques bribes de l'histoire). Mais les illustrations étaient de la même veine que celles d'Alichino, avec une attention particulière aux yeux et cheveux, des papillons partout, et un coup de pinceau très délicat. Je sais franchement pas pourquoi je vous raconte ça, à part pour faire un petit big-up de désespoir envers ce bouquin russe qui a dû finir en morceaux quelque part dieu sait où chez mes parents et dont je ne trouve aucune preuve de l'existence, peu importe à quel point j'en cherche sur internet. #3615LaVieDesEnfantsÉlevésParDesParentsSlaves
Difficile de résumer l'histoire. Il existe des créatures d'une beauté particulière
(même si bon, le défaut du manga c'est que tout le monde a un peu la même tête, donc tous les personnages sont beaux) capables d'exaucer n'importe quel souhait pour peu qu'on en paye le prix : les Alichinos. Elles tirent cependant leurs pouvoirs de sceaux, individus que les hommes leur sacrifient pour ne pas attirer leurs mauvaises intentions.
Honnêtement, le scénario est confus et pas très bien mis en avant. Les personnages ne sont pas super intéressants non plus. Mais wow, c'est beau, et la narration est géniale, donc ça passe. En trois tomes, je n'ai réussi à m'attacher ni à l'histoire ni à aucun des personnages, mais mes yeux ont passé un bon moment. C'était un peu un artbook, en fait.
Je n'en recommande donc pas la lecture, mais en revanche, je vous invite à chercher des artworks ou des pages du manga, qui sont d'une beauté vraiment incroyable.
Petite mention spéciale à l'édition française, qui respecte exactement le format de la japonaise, et qui est vraiment magnifique, avec une jaquette semi-transparente. Par contre, bonne chance pour la trouver, les tomes n'ont plus été édités depuis mathusalem (et j'ai eu de la chance de pouvoir les trouver récemment en occaz à Book-Off sur Paris, ce qui m'a fait faire dokidoki très fort).
retournons au collège parler de Chobits, ce manga que tout le monde a oublié Ça fait quelques mois que je l'ai lu, mais je me rends compte que je n'ai finalement jamais partagé ici mon avis sur
Chobits. Parlons-en un peu, donc.
Tout d'abord, c'est super mignon. Il n'y a pas photo, les artworks en couleur ont une douceur toute particulière, ce qui renouvelle un peu le style graphique de Clamp (que j'apprécie déjà depuis quelques années, quand elles ont enfin arrêté de faire des épaules de 8m à tous les personnages masculins, même si elles ont encore quelques notions bizarres d'anatomie). Les personnages et les histoires narrées dégagent aussi une certaine niaiserie sympathique, et honnêtement, j'aurais bien aimé que ça reste comme ça, parce que je trouve malheureusement que le manga tourne au vinaigre.
Mon problème avec Chobits, ce sont les aspects clairement dérangeants du manga. Je ne les trouve pas glauques d'une façon réussie, c'est strictement du mauvais goût pour moi. Je sais que tout le monde l'évoque à chaque fois qu'il parle du manga, mais je rappellerai encore une énième fois que le bouton d'allumage de Chii (l'héroïne, qui est une androïde) se trouve dans sa TEUCHA. Déjà, rien que ça, au secours.
Ensuite, tout le passage concernant Chii et sa sœur jumelle sont... nuls ? Enfin déjà, le contraste entre les deux qui fait très ange/démon, ça a été vu et revu un milliard de fois dans tous les mangas du monde, et c'est bidon. Et je trouve ça particulièrement ridicule la façon dont la déception amoureuse de la sœur de Chii se termine : elle tombe amoureuse d'un homme marié, donc inaccessible, et en meurt de chagrin. WOW. J'ai pas réussi à trouver ça triste une seule seconde. C'est dramatisé à outrance pour rien du tout, et c'est assez pathétique. Je ne vois même pas quelle morale en tirer, à part « les maux de cœur c'est triste » ? Comme vous le constatez vous-mêmes, ça ne vole pas bien haut...
Quant à toute la scène finale, elle est assez indigeste à gober tant elle dégouline de ridicule niais elle aussi : la déclaration d'amour de Chii à Hideki est dramatisée à outre-mesure, ça s'étale sur des pages et des pages pour la rendre vraiment INCROYABLE, et on finit même par apprendre qu'apparemment, le sort des relations amoureuses de tous les androïdes étaient misés dessus. Gné ? Même symboliquement c'est nul...
Ne parlons pas du côté prêchi-prêcha du : « holala, si tu appuies sur le bouton d'allumage de Chii, sa mémoire est remise à zéro ! », i.e. « tu peux pas la baiser sans lui effacer la mémoire ». Surtout que ça marche que deux secondes ce truc parce que (désolé de complètement réduire en bouillie vos années de collège et votre vision de l'héroïne choupie) les pipes, ça existe.
En dehors de tout ça, on peut y ajouter les défauts typiques de beaucoup d'œuvres de Clamp (le character development inexistant étant l'exemple le plus remarquable) ainsi que les qualités qu'on y retrouve typiquement (belle narration, joli dessin), et on a un truc mignonet, mais pas génial. Ça se lit, ça passe, mais... ça s'arrête là. C'est moyen.
Et contrairement à ceux qui essayent de sauver les meubles en disant que Chobits est « un habile satyre de la fétichisation du virtuel et des canons du genre des mangas harem », je ne m'amuse pas à théoriser là-dessus. Il faut le chercher loin pour voir ça, tant c'est assumé jusque dans l'esthétisme (avec les styles lolita des robes que portent Chii et sa sœur) que les héroïnes sont mignonnes et insipides.
Bref. Je n'en attendais pas grand chose cela dit, puisque la majorité des gens sont d'accords pour dire que Chobits, c'était marrant au collège, mais mieux vaut ne pas relire ça plus tard sous peine de se le gâcher. Personnellement, je n'y avais pas touché à l'époque, je l'ai découvert il y a quelques mois, et, ben... bof.
franchement je trouve les artworks principaux mettant en scène Kamui et Fuuma super momoches, alors à la place je vous balance l'un des seuls personnages que j'ai appréciés du manga Cette semaine, je suis passé dans un manga-café à l'occasion de retrouvailles avec un pote, et après une longue hésitation, je me suis demandé quel manga lire. Au début, je voulais commencer Saiyuki Reload, parce que j'adore Saiyuki, mais leur premier tome avait déjà été emprunté (ce qui est bon signe, parce que j'adore ce manga, donc tant mieux si quelqu'un le lisait). Ensuite je me suis tourné vers Zatch Bell, que j'attends encore de pouvoir continuer, mais haha, il leur manquait exactement le tome où je m'étais arrêté, donc c'est tombé à l'eau aussi. Finalement, après avoir hésité avec plusieurs séries, je me suis tourné vers
X/1999 de Clamp, que je comptais lire tôt ou tard, donc je me suis dit autant en profiter.
Beaucoup de gens m'ont loué les qualités de ce manga, ses scènes dramatiques, blablabla. Bref, on me l'a survendu, parce qu'en fait c'est... moyen.
Franchement, j'ai pas de mots. C'est difficile de correctement résumer mon ressenti mitigé et amer vis à vis de ce manga, qui, à mes yeux, recycle bêtement tous les canons de son genre avec un arrière-goût fade de JRPG du pauvre.
Je vous jette au nez le résumé Wikipédia, parce que j'ai vraiment pas les forces de m'occuper de ça moi-même :
1999 : le jeune Kamui Shiro et sa mère Toru ont quitté précipitamment Tôkyô il y a six ans, laissant derrière eux Fuma et Kotori, des amis d'enfance. Alors que ses pouvoirs surnaturels se développent, Kamui voit sa mère se laisser brûler volontairement dans un incendie : sa dernière volonté est qu'il retourne à Tokyo. Il s'exécute, mais fait tout pour éviter avec une grande froideur Fuma et Kotori. Ceux-ci ne comprennent pas qu'il essaye ainsi de leur éviter les ennuis qui semblent le poursuivre où qu'il aille : Kamui est régulièrement assailli par des manifestations magiques hostiles, et des individus suspects tentent de le contacter. Cédant à leurs insistances, Kamui finira par comprendre qu'il est la clé de la bataille de l'Apocalypse à venir, "celui dont le Destin n'est pas écrit." Les six Anges et les six Sceaux, représentants humains des volontés divines, doivent s'affronter, les uns pour exterminer l'Humanité qui corrompt et agresse la Terre-Mère, les autres pour la protéger de la vengeance de la Nature. Kamui doit devenir le septième membre d'un des deux camps et lui assurer sa victoire ; pourtant, il n'a que faire de la Fin du Monde et de ses enjeux, surtout préoccupé par le devenir de Fuma et Kotori. La situation semble gelée, mais les prophéties faites sur la nature de Kamui sont incomplètes : le Destin va s'incarner dans des événements au-delà de toutes les prédictions, et forcer à un choix des plus douloureux... Bien que le résultat de l'Apocalypse semble surtout dépendre des actions de Kamui, X comporte un très grand nombre de personnages principaux développés plus ou moins également : les six Sceaux (Dragons du Ciel), les six Anges (Dragons de la Terre), leur famille, et d'autres personnages. Occasionnellement, leur passé est révélé dans des chapitres indépendants.
Chacun des deux camps en arrive à comprendre, via ses prophètes, que deux « Kamui » sont en fait censés rejoindre un camp, et s'affronter. D'abord incompréhensible, cette prédiction s'explique lorsque Fuma apprend qu'il est le « Gémeaux » de Kamui, son « étoile jumelle » : si Kamui choisit un camp, il est destiné à le remplacer dans l'autre en son nom. Kamui, toujours aussi indifférent au sort de l'Humanité (la châtier ? lui pardonner ?), finit par accepter que seul le bien-être de Fuma et Kotori lui importe vraiment, et qu'il ne peut accomplir cet objectif qu'en rejoignant les Sceaux. Dès que son choix définitif est assumé, Fuma perd sa personnalité, désormais possédé par le reflet de celle que Kamui aurait eu s'il avait choisi l'autre camp : il se fait lui-même appeler « Kamui ». Sous ses yeux horrifiés, Fuma/Kamui assassine Kotori, démontrant l'acceptation de son rôle de Dragon de la Terre. Il s'en va ensuite rassembler les Anges dispersés, pendant que Kamui sombre dans un état catatonique à la suite du traumatisme qu'il a vécu.
Vous avez mal à la tête ? Normal, on est dans un manga de Clamp.
Et comme on se situe dans un manga de Clamp, les personnages sont fades et creux, en plus de souffrir sérieusement d'un manque de character development. Ils sont tous figés et n'évoluent que très peu, voire pas du tout. Les seuls personnages ayant suscité mon intérêt (le moine caïra et la prostituée, par exemple) sont assez expédiés et peu développés. Quant aux autres, je crois qu'on arrive à réunir à peu près tous les clichés possible : le personnage créé par les hommes pour ressusciter un être cher (en plus il est asexué, le cliché est complet), l'amie des animaux qui possède un familier chien-chien, le méchant insipide qui balance des répliques classes sans profondeur, la lycéenne qui parle peu s0d4rk, la fanatique des ordinateurs... je pourrais continuer, mais bref, il faut retenir que le bestiaire ne vole vraiment pas haut.
Bien que le résumé ci-haut vous paraisse complexe, l'histoire tient en réalité sur un post-it : Kamui doit empêcher la fin du monde. Voilà. Et c'est vraiment présenté comme ça dans le manga, avec les mots « fin du monde », « le futur est déjà tracé » etc. bassinés à toutes les putain de pages. C'est lourd au possible. Quant aux subtilités du scénario, qui font, pour la plupart, référence à la Bible et à l'ésotérisme japonais... elles auraient pu être intéressantes, et elles partent d'un bon sentiment, mais c'est tellement un bric-à-brac pas possible que ça ne donne pas du tout envie de creuser. Honnêtement, il y a certains détails où je n'ai pas fait l'effort de relire si je ne comprenais pas. L'histoire et ses enjeux ainsi que les personnages ne m'ont pas du tout accroché, et j'en avais rien à battre. Même Saint Seiya m'avait davantage accroché, pour vous dire. Tout ce qu'on en retient, au final, c'est « 7 élus gentils contre 7 élus méchants », c'est à dire absolument pas le truc vu et revu depuis les débuts du genre.
Tout est atrocement romancé et dramatisé à outrance, à tel point que plus rien n'a d'effet. C'est super mal dosé. Et puis c'est quoi cette manie de romancer la mort, aussi ? « Il n'y a rien de plus beau que de mourir de la main de celui qu'on aime »... sérieux ? J'ai l'impression de lire une fanfic de collégienne (et je suis gentil là). C'est BIDON wow. Beaucoup de phrases faussement profondes ou d'effets voulus comme dramatiques sont foirés. C'est maladroit, maladroit, maladroit.
Les enjeux du manga sont assez pauvres aussi, au point où tout paraît manichéen au possible. Aucun des antagonistes ne donne de raison de l'être (à part un qui fait des efforts à ce niveau, ok (l'amoureux de Nekoi, j'ai oublié son nom mais osef)), ils sont juste là... parce que ? Pourquoi vouloir détruire l'humanité pour la punir ? Pour des enjeux écologiques (il n'y a qu'une seule page de tout le manga qui mentionne ça, en fait) ? On n'en sait rien, tout est posé comme un cheveu sur la soupe.
Ne parlons pas des relations entre certains personnages qui sont un carnage complet tellement elles sont nullissimes (la pire étant Sakurazuka et Subaru, wow, j'ai rien pigé, et le coup du « je voulais perdre cet œil pour être comme lui »... WTF)...
Enfin voilà, je clash gratuitement, mais parlons de l'aspect visuel et des points positifs.
C'est joli. Le découpage des cases est original et beau (on est chez Clamp et c'est une de leurs grandes qualités). Ça se lit bien. En revanche, faudrait qu'elles se calment sur les effets de verre brisé et avec les plumes partout, ça lasse vraiment à force...
Je trouve ça dommage que certaines cases de scènes d'action soient surchargées, par contre. Je dois avouer que je jetais un coup d'œil puis je tournais la page sur certains de ces moments. Il y a quand même un certain soin et détail apporté aux plans, d'ailleurs j'ai beaucoup apprécié les scènes un peu plus gores des premiers tomes (même si lol j'ai un peu hurlé de rire en voyant les scènes de démembrement, genre la meuf elle est déchirée en mille morceau mais sa tête elle est décapitée proprement, impeccable).
Au niveau des corps, l'anatomie correcte n'est pas toujours bienvenue (surtout dans les premiers tomes), et j'ai parfois trouvé les gestuelles des personnages assez exagérées. Qu'est-ce qu'ils ont à toujours se toucher le visage les uns aux autres... ?
Sinon, bonne tentative d'incorporer plusieurs mythologies au manga. Dommage que ça soit si manichéen et mal dosé.
Franchement, ça me rend triste. J'aurais vraiment aimé pouvoir apprécier ce manga. Mais la pilule ne passe pas du tout. Dommage.
Passons aux animes et laissons de côté les trucs nuls, parlons de qualitay !
SEE YOU SOMEWHERE SOMEDAY SPACE COWGIRL En fait je voulais juste vous mettre une image de Spike. J'adore
Cowboy Bebop. Un culte. Du patrimoine. À regarder si ce n'est pas déjà fait. Je m'arrête là. Vive Watanabe.
Et n'oubliez pas le frigo...
aïe j'ai mal au kokoro je vais m'allonger un peu bye J'ai revu ces bons vieux épisodes de
Neon Genesis Evangelion puisque j'en ai ENFIN acheté les DVDs l'an passé, et qu'on est en 2015 (NGE ça se passe en 2015 si vous n'aviez pas déjà regardé).
C'est toujours aussi bon. J'adore vraiment cet anime, c'est peut-être mon préféré d'ailleurs, malgré sa fin en queue de poisson... que personnellement j'adore, malgré tout ce qu'on peut lui reprocher. J'ai toujours été un grand fan des notions philosophiques et psychologiques abordées dans la série, surtout telles qu'elles sont touchées dans la finale (même si je comprends totalement pourquoi elle a été critiquée à l'époque, pusiqu'avec des épisodes pareils, la série n'avait pas de conclusion). L'esthétisme de la réalisation est splendide, et c'est fou tous les petits détails glissés ici et là qu'on ne remarque qu'avec de multiples visionnages. Les plans sont rarement gâchés et la mise en scène est parfaitement dosé. Bref, un excellent anime, évidemment cultissime, que je ne peux que vous recommander.
D'ailleurs, après tous ces visionnages, il y a un truc que je ne voulais pas m'avouer pendant de nombreuses années mais que j'arrive enfin à accepter... mon personnage préféré est sans doute Kaji Ryouji. Ce qui m'agace. Ce personnage fait plein de trucs que je désapprouve (toute sa personnalité « extérieure » (j'entends « ce qu'il montre aux autres ») de tombeur est pas géniale au premier abord, il faut le dire), mais à chaque fois que j'ai maté la série, il m'est toujours apparu comme plus touchant que la fois précédente. Pour mieux m'expliquer à ceux qui ont vu la série, je peux me contenter de dire que j'adore toute la symbolique derrière Kaworu (le fait d'être la représentation de l'amour, d'apporter la paix à Shinji, d'être tout ce dont il a besoin et de lui apporter tout ce qu'il désire), et qu'on la retrouve parfaitement chez Kaji (mais à l'égard de Misato), à différence que c'est, évidemment, développé d'une autre façon. Je sais pas. J'aime beaucoup Kaworu et Kaji OK...
*s'allonge par terre et roule*
Bref, il ne me reste plus qu'à acheter
Death & Rebirth et
The End of Evangelion pour les faire également découvrir au pézédien avec qui j'ai maté la série originale récemment. Ensuite ça sera au tour des films
Rebuild, histoire de faire monter un peu le hype en attendant le quatrième et dernier, qui sortira à la fin de l'année je l'espère, histoire de coïncider avec l'année 2015 !
Il faudrait aussi que je lise le manga, d'ailleurs, chose que je n'aie toujours pas faite.
PFIOU voilà
Résumé :
- LISEZ VAGABOND PITIÉ
- Vous avez pas déjà maté Bebop et Eva ? Mais qu'est-ce que votre vie wtf
- Alichino c bo
- Les Clampinettes sont incapables de me faire rêver en-dehors de CardCaptor Sakura (que je kiffe trop btw) et ça me rend triste
C'est tout pour aujourd'hui.