ParallèleD'un côté, j'ai listé de manière non-exhaustive diverses pratiques d'exploitations, dont les interdictions ici et là tendent à débanaliser la cruauté.
(commerce de l'ivoire, capture et commercialisation d'animaux exotiques, vente de chien et chat en animalerie, combats de chiens, combats de coqs, corrida, spectacles de dauphins, chevaux de calèche, fourrure animale, foie gras).De l'autre, j'affirme que l'élevage pour l'alimentation banalise également la cruauté puisque, dans les 2 cas, il s'agit d'exploitations animales non-nécessaires.
En réponse :
- tu amalgames l'animalerie, la fourrure et le foie gras avec "le sport et les activités touristiques" ;
- tu échoues à démontrer comment un élevage "vertueux" pourrait annuler le caractère cruel de l'action de tuer des animaux d'élevage sans nécessité.
Ton rejet est donc injustifié et non-constructif.
Source scientifiqueJ'ai déjà pris en compte le témoignage de Cap,
ayant déjà formulé une mise en contradiction.
Suggérer l'inverse manque, au mieux, d'attention.
- Le témoignage se rapporte à une expérience d'alimentation végétarienne sans complémentation, alors carencée en fer. Cette expérience ne contredit pas que, bien tenues (donc avec une complémentation adéquate si nécessaire), les alimentations sont viandes sont viables pour tout le monde.
- Cap a prétendu consommer des produits laitiers dans l'intérêt d'obtenir un apport de vitamine B12 non-synthétique. J'ai démontré qu'il s'agissait d'un faux prétexte en plusieurs points :
- La chair animale confère déjà de la B12, rendant superflu l'apport des produits laitiers.
- La biodisponibilité en B12 des produits laitiers est variable.
- Les ruminants d'élevage sont eux-mêmes supplémenté en B12 de synthèse, car considérés comme déficitaires.
- (je complète) Il n'y a pas de contrainte à la complémentation autre que d'effectuer l'achat. La préférence personnelle de refuser se complémenter ou de refuser les aliments enrichis (comme un jus enrichi en vit. C, du sel enrichi en iode) n'est pas une bonne raison de ne pas se complémenter.
La publication que j'ai partagée
[lien 2016 · VF 2009] n'est pas une étude seule comme prétendu, mais une revue systématique.
La qualité des études examinées et confrontées sur les 117 références différentes peut tout à fait être discutée dans le détail. Toujours est-il que, sur l'échelle de la preuve, ou dans la pyramide de l’évidence
[image], les synthèses méthodiques (ce qui inclut les revues systématique et les méta-analyses) se situent au sommet.
En réponse :
- tu amalgames cette revue systématique avec un témoignage de tiers ;
- tu amalgames cette publication à une "Bible dogmatique avec ses prophètes" ;
- tu ne propose aucune documentation scientifique ;
- tu échoues à démontrer comment la consommation de produits d'origine animale serait prétendument nécessaire.
Ton rejet de la documentation est donc injustifié et non-constructif, avec une approche obscurantiste.