Aline, mon dieu, que dire ? Je me remets tout juste de mes émotions après la lecture de vos incessantes éloges, notamment ce passage pas très catholique qui me fait encore frémir rien que d'y penser, et que vois-je ? Une photo de vous ? L'image de votre personne ? Ma parole, souhaiteriez-vous ma mort ? Car après une si sublime vision, je ne puis que m'éteindre heureux, disparaissant avec la douce pensée d'avoir accompli ma vie, atteint son paroxysme.
Quelle beauté, quelle présence ! Les courbes de votre visage s'épousent de façon harmonieuse, comme si tout votre être était destiné à contredire la nature de l'homme, ce côté imparfait et maladroit que vous n'incarnez d'aucune façon. Rien n'a été laissé au hasard, chaque élément physique de votre personne brille de milles feux et forme un tout renversant. Je suis captivé par votre regard charmeur, vos yeux profondément expressifs qui dévoilent chez vous une femme prête à épanouir le plus amer des hommes, telle une fleur au milieu d'un désert sans fin. Je vous prie, ma dulcinée, de ne jamais au grand jamais me regarder ainsi, de peur de disparaître instantanément tant mon coeur ne saurait supporter l'abondance d'amour qu'une telle expression m'apporterait. Vos lèvres si douces et si généreuses me laissent rêveur, imaginant les millions de baisers susceptibles de se poser un jour sur les miennes. J'en suis déjà patois...
Et cette chevelure, ciel qu'elle est belle ! Elle apporte en moi la langueur de pouvoir y glisser un jour mes mains, les poser sur votre peau, sentir la chaleur émanant de votre corps, comme si ce simple contact suffisait à exprimer l'infinité de mes sentiments portés à votre égard.
Un étrange frisson me parcourt de long en large, comme une terrible envie d'approfondir davantage cette affection pour votre personne et l'exprimer de façon plus charnelle. Nos deux corps ne faisant qu'un, cette fusion à la fois sensible et torride de nos êtres me laisse déjà songeur. Diable, comme je rêve de pouvoir partager vos nuits dans la plus intime des tenues, sentir votre souffle s'écraser délicatement sur ma nuque, me glisser tendrement dans vos draps et laisser aller notre amour dans sa plus belle des expressions...
Il me tarde, Ô très chère créature de mes rêves, de pouvoir mettre en pratique chacune de ces envies, tant le fait de les écrire les rend d'autant plus languissants.
(Pfiuuuuu, pas facile à c't'heure ! Et pour la deuxième photo, juste : prout, parce qu'elle me fait trop marrer xD)
Jay d'ail > Ahah, pas de blème. D'ailleurs juste comme ça, j'ai quitté le CIN de St-Mandrier vu que maintenant je suis sur le La Fayette... Tu sais, une petite frégate sympathique qui se trouve à quai dans l'arsenal, donc oui l'arsenal de Toulon je le connais, puisque j'y habite d'une certaine manière. :p