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Messages - JeK

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: lundi 28 octobre 2013, 22:12:02 »
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pourquoi tient-elle toujours à se maquiller, hier elle ne l'étais pas....

Bah du coup elle ne se maquille pas toujours alors :p
Ah les femmes…

Enfin à ta place je ferais un petit recadrage quand même, parce que je veux pas dire mais elle a un peu tendance à te prendre pour un onk la Leonora hein :astro:

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Jeux Vidéo / Resident Evil
« le: lundi 28 octobre 2013, 17:41:14 »
Sori, je voulais pas foutre la merde :h:
Oui je prenais surtout RE 1 comme exemple pour le côté huis clos. Et vu que REC est un huis clos, la comparaison est légitime à mon goût v.v
Après je suis quand même d'accord avec GKN pour RE 4. Pas besoin d'avoir forcément un huis clos pour faire un bon RE bien flippant, l'ambiance seule suffit.
Un huis clos serait l'idéal (comme on disait au début), mais pas forcément une obligation, certes.

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Jeux Vidéo / Resident Evil
« le: lundi 28 octobre 2013, 07:28:19 »
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Je vois pas trop de rapport entre Rec et Resident Evil moi (excepté le fait qu'il y as des zombies). Si tu pouvais être un peu plus explicite

Le rapport c'est surtout le huis clos, comme on l'a dit avec GKN.
Resident Evil (je parle essentiellement du premier) se passe quasi intégralement dans un manoir, qui malgré sa taille est un lieu confiné et complètement isolé du monde extérieur. Bah REC c'est un peu ça (l'immeuble remplaçant le manoir). J'suis désolé mais ce détail m'y fait clairement penser, c'est pas qu'une histoire de zombies parce qu'à ce compte-là tous les films où y'a des zombies dedans on va dire "ah tiens, ça me rappelle RE !" :h:

Au delà de ça, y'a tout ce côté "contamination" qui m'y fait penser, et aussi le fait que les habitants de l'immeuble s'accusent mutuellement d'être la cause de tout (tout comme les membres des STARS qui se font plus du tout confiance entre eux).

Mais en fait, je crois que j'ai tellement été déçu par les adaptations officielles de RE que je rêverai qu'un jour on nous serve ENFIN une adaptation fidèle et honnête du jeu. Et on a fait tellement mieux et tellement plus innovant dans le genre depuis le temps, que je me dis qu'un film comme REC, ou même 28 Days Later, c'est un peu ce qu'on doit s'attendre d'un film RE : un truc bien gore, bien flippant, bien burné, 1h30 de train fantôme quoi. Et perso je retrouve pas du tout ne serait-ce qu'un seul de ces critères dans les adaptations officielles v.v

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En restant dans le domaine de la comparaison, je sais pas si comparer le fan film avec les films existants est si pertinent, surtout quand le but c'est seulement de les dénigrer.
(Ils sont plutôt nuls cela dit, mais à t'entendre bientôt on pourra dire que même Joséphine Ange Gardien les enculent sans soucis.)

Bref ce que je veux dire c'est qu'ils jouent pas vraiment dans la même cour, à part partager le nom Resident Evil, du coup faudrait pas mélanger les torchons et les serviettes.

Tu ne devrais pas sous-estimer les fan mades tu sais, nombre d'entre eux arrivent très bien à sortir du lot et parviennent même à rivaliser avec de vrais films sortis au ciné.
Genre La Vengeance de Morsay, un chef-d'œuvre qui encule sans problème un film comme La Haine :coffee:

Mais plus sérieusement, c'est vrai qu'il n'y a pas matière à comparer, mais il n'empêche que pour un fan made ça déboite vraiment, et ça prouve en même temps qu'il ne faut pas forcément un budget astronomique pour faire une bonne adaptation.

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Jeux Vidéo / Resident Evil
« le: dimanche 27 octobre 2013, 19:39:21 »
Très sympa, mais je suis du même avis. Un huit clos pour un RE serait l'idéal.
D'ailleurs je sais plus si j'ai déjà eu l'occasion de le dire mais pour moi l'adaptation "officieuse" de RE au cinéma n'est autre que [●REC] v.v
C'est d'ailleurs une adaptation de RE beaucoup plus convaincante que les films officiels, imo.

(ce fan made aussi, soit dit en passant =D)

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Jeux Vidéo / [Discussions libres] Parlons Jeux Vidéo !
« le: dimanche 27 octobre 2013, 19:35:06 »
Je plussoie, d'ailleurs il me semble que j'en avais fait une critique mais pas sûr, m'en souviens plus...
En tout cas très bonne expérience que ce Limbo, malgré qu'il faille obligatoirement crever pour déjouer tous les pièges.
Mais la direction artistique de ce petit jeu est juste à tomber par terre :3

À faire au moins une fois, ça c'est sûr !

I am confirmating. :niak:

Omg, effectivement. Azy tu me stalkes :o
C'est d'ailleurs le seul test d'un jeu que j'ai posté sur ce topic xP
Mais j'ai bien fait, il le mérite :-*

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Jeux Vidéo / [Discussions libres] Parlons Jeux Vidéo !
« le: dimanche 27 octobre 2013, 06:45:05 »
Je me joins à la populasse de ceux qui ont crevé la première fois mais dont ça a été easy la deuxième pour Infinite o/
D'ailleurs si ma mémoire est bonne, il en était un peu de même pour le premier Bioshock. J'avais assez galeré la première fois qu'on doit buter un Big Daddy mais après ça passait comme une lettre à la poste...
D'ailleurs j'avais plus galéré pour buter le BD que pour le combat contre le boss final, c'est dire si celui-ci est merdique v.v

J'ai débuté Limbo qui est un jeu de plateforme 2D dans un univers fait de noir et gris.
C'est vraiment extra. Le gameplay est réduit à deux bouton (sauter / action) et la direction.
L'ambiance et glauque, la difficulté bien dosée, les pièges souvent vicieux.
A faire !

Je plussoie, d'ailleurs il me semble que j'en avais fait une critique mais pas sûr, m'en souviens plus...
En tout cas très bonne expérience que ce Limbo, malgré qu'il faille obligatoirement crever pour déjouer tous les pièges.
Mais la direction artistique de ce petit jeu est juste à tomber par terre :3

À faire au moins une fois, ça c'est sûr !

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: dimanche 27 octobre 2013, 06:25:59 »
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Je trouve que généralement les profs d'université sont vraiment intelligents, mais ils ont de ces melons de dingue... J'ai déjà eu des profs comme ça, genre " Le cours commence à 8h30, à 8h32 je ferme les portes de l'amphi'", et je n'ai jamais compris. Comme les profs qui t'appellent quand t'es en retard " olol, viens devant comme ça tout le monde qui tu es et t'as la honte". Euh ouais sérieux, je me demande si ça les fait kiffer d'avoir de l'autorité ou bien ... ?

C'est juste ce qui s'appelle avoir un ÉNORME balai dans le fion :h:
J'ai un prof dans ma fac qui est exactement comme ça, genre maniaque de l'autorité et tout.
Une fois je l'ai même supris entrain d'engueuler un couple juste parce qu'il s'embrassait dans les couloirs.
Bordel, c'est pas comme s'ils faisaient un gosse dans l'enceinte de la fac non plus :h:

Par contre quand un type entre à la bourre dans un amphi, je peux compendre que ça pertube le cours...
Surtout quand le mec fait limite exprès de faire un baroufle pas possible v.v
Mais quand c'est discret ça gène pas, certes.

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Discussions Générales / Topic Anniversaires des membres
« le: samedi 26 octobre 2013, 16:26:23 »
Je vote pour Wolf parce qu'il a 26 balais et que c'est un vieux.
Bon anniversaire :-*

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Longs métrages et Télévision / Aujourd'hui j'ai vu...
« le: vendredi 25 octobre 2013, 18:53:31 »


Jeudi 24 Octobre, 21h35.
Je revois pour au moins la millième fois le dernier film que le regretté Sergio Leone réalisa en 1984.
En fin de projection, je réalise que je n'ai jamais pris le temps de faire une critique sur ce chef-d'œuvre qui a marqué à tout jamais mon existence.
Une chef-d'œuvre comme on n'en fait plus aujourd'hui, doté d'un casting de dingue, dont Robert de Niro, James Woods, Joe Pesci et Jennifer Connelly dans son tout premier rôle. Ce projet mastodonte dut mûrir pendant près de treize ans dans le cerveau de Leone, et Ennio Morricone, son fidèle et ami de toujours, en composa la musique dix ans avant même la première image du film. Le tournage, éreintant, y fut pour beaucoup dans la dégradation de la santé de Leone, qui décéda cinq ans plus tard.

Son héritage ? Le meilleur film de tous les temps.

Il était une fois en Amérique, qui n'est autre que le troisième volet de la grande saga de Leone portant sur plusieurs périodes-clés de l'histoire américaine et entamée avec le chef-d'œuvre culte Il était une fois dans l'Ouest, est construit comme une série de flashbacks (et donc jadis remonté de manière chronologique par des connards véreux et avides, Dieu merci cette version est désormais quasiment introuvable). Il démarre en 1930, sur la trahison du gangster juif new yorkais David Aaronson, dit "Noodles" (Robert De Niro). Poursuivi par ses anciens collègues de la Pègre, Noodles quitte précipitamment la fumerie d'opium dans laquelle il avait trouvé refuge. Il réussit à fuir, et en un bond futuriste, nous voilà arrivés trente ans plus tard, dans les années 60.

Loin de ses glorieuses années passées à vivre au profit de la Prohibition, Noodles est devenu un vieillard blasé, sans le sou. Invité à participer à une mystérieuse cérémonie, il est revenu dans le New York de son enfance, persuadé d’avoir en fait été retrouvé par ses anciens poursuivants et se préparant à être tué. Car, rongé par le remord et la solitude, Noodles n'a plus rien à perdre et a simplement accepté l’invitation par "curiosité". Mais Noodles est très loin de la vérité, et ne se doute pas une seconde du véritable motif de son retour.

On retourne alors quarante ans en arrière, (dans les années 20 donc, vous suivez ?) alors que Noodles et ses amis, ceux là même qu’il trahira à la fin de la Prohibition, n'ont qu'à peine treize ans. Car c’est ici que tout a commencé : la rencontre de l’amitié, la rencontre de l’amour, les premiers pas dans la délinquance, les premiers ébats sexuels, les premiers deuils aussi… Car pour bien comprendre le pourquoi d’une trahison mortelle qui n’est pas ce qu’elle semble être, il faut définir les liens intenses que Noodles tissa avec « Cockeye », « Patsy » et surtout « Max » (James Woods), sans oublier son impossible amour de toujours, Deborah.

C'est ainsi que le film alterne entre passé, présent et futur au moyen d'ellipses fort bien trouvées, et multiplie au passage les scènes cultes...


Alors, oui, Once upon a Time in America est très difficile à résumer, et oui, Once Upon a Time in America est un film long (c'est une fresque de presque 4 heures). Mais pas excessivement. Car l’histoire, complexe, nécessite absolument une telle longueur. Le film est lent ? Oui et non. Ok, les caméras s’attardent sur les visages, les regards, les situations. Mais Leone raconte une histoire si forte en émotion, les psychologies des protagonistes (et de Noodles en particulier) sont d’une telle profondeur, que là aussi, c’est nécessaire. La longueur des séquences permet au spectateur de réaliser la gravité du dilemme, de comprendre parfaitement ce qu’il se trame derrière le regard de De Niro, et surtout à l’émotion de se développer à son paroxysme.

Prenons la scène de la (bon bien sûr, il fait avoir vu le film en premier afin d'en saisir vraiment toute la subtilité). Pour qu’en une seule scène on arrive à vous faire passer des concepts comme la candeur enfantine, la puberté, la naissance de la sexualité, la gourmandise, la pauvreté, la faim, et qu'en plus au passage on a réussi à vous faire pleurer ET rire, vous n’allez quand même pas vous plaindre que c’était trop long ! Surtout quand tout ça est sublimé par la somptueuse musique de Morricone ! OUATIA est un film dense, et on en ressort éreinté, lessivé, essoré de toutes les larmes de notre corps (ou pas) (enfin tout le monde n'a pas la même sensibilité après hein). Parce que, bien entendu, c’est un film qui requiert une profonde attention et une grande empathie pour les personnages, ce n’est pas un film qui se regarde en bouffant du pop corn, ni un film où on s’arrête pour aller pisser un coup (quoique si vous avez vraiment envie, il y a un entracte au bout de 2h40 de film).


Et puis surtout, on n’est jamais allé aussi loin dans la complexité émotionnelle. OUATIA est mon film préféré et le restera sûrement jusqu’à la fin de ma vie parce qu’aucun autre film à ma connaissance n’est aussi bouleversant. C’est aussi simple que ça. Car cette fameuse trahison, au cœur de cette intrigue à la richesse inégalée, a des visages multiples, innombrables. Elle est très compréhensible de façon concrète, bien sûr. Mais ce n’est qu’à la fin qu’elle prend toute son ampleur. Alors que l’œuvre s’ouvre sur de grandes images de violence (l’interrogatoire sanglant de Fat Moe, le passage à tabac de Max et Noodles jeunes), elle se termine dans un calme mélancolique, crépusculaire, élégiaque. On ne verra pas la moitié du casting crever dans des conditions atroces comme on le verrait dans Les Affranchis ou Casino, par exemple. Le dialogue (de sourds) qui clôt ce chef-d’œuvre est juste le plus exceptionnel de toute l'histoire de cinéma. Aussi glacial qu’incroyablement chaleureux, il mêle rancune, remords et regrets sans qu’aucun mot ne prenne le dessus, et est empreint d'un sombre désespoir qui finalement mène à l’optimisme. Car, derrière l’apparence dépressive de OUATIA, tout ici ne parle que d’amour et d’amitié dans leurs plus bouleversantes extrémités.


Que dire encore ? Que c’est divinement interprété ? Attendez, on parle de De Niro et de James Woods ! Que la musique est merveilleuse ? Vous n’écouterez plus jamais Yesterday des Beatles de la même manière. Que la photographie est la plus belle du monde ? Wait, tout ça, ce n’est que du bonus (et quel bonus !) par rapport à la force émotionnelle que l’on se prend dans la gueule et qui nous fait fondre en larmes à la moindre réplique (« qu’as-tu fait pendant toutes ces années Noodles ? » - « Je me suis couché tôt »), au moindre regard de De Niro qui intériorise une douleur immense, et à son sourire énigmatique et à jamais indéchiffrable sur le mythique plan final (d’ailleurs, on ne veut pas le déchiffrer). Que dire d'autre ?

Oui. Une dernière chose. OUATIA est un film à voir, ça, c’est évident. Car après tout, c'est un peu le meilleur film de gangsters de l'histoire (à égalité avec Le Parrain). Mais c’est aussi un film à revoir, à re-revoir et à re-re-revoir encore, et ainsi de suite. Car il est impossible d'en saisir toute la beauté en un seul visionnage (même s’il est devenu mon film préféré instantanément). Et je ne dis pas que le film est trop cérébral pour être compris en une seule fois, car il ne l'est pas. Il est seulement trop chargé, émotionnellement encore une fois, pour pouvoir être digéré en une seule fois.

Comme tout chef-d’œuvre qui se respecte, Once Upon a Time In America est un film qui parle aux cœurs, pas aux cerveaux.


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Discussions Générales / Votre dernier(e) achat/vente?
« le: vendredi 25 octobre 2013, 18:33:43 »
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Sinon pour les 10 numéros du magazine tu l'avais même dit sur ce topic (de mémoire), donc oui j'étais au courant (d'ailleurs ma poupée vaudou à ton effigie traine encore quelque part).

Zarb ça, je pensais pas que j'en avais parlé ici pourtant. Enfin si tu l'dis...
Et sinon pour la poupée, la tienne est suspendue au rétroviseur de ma caisse :h:
D'ailleurs si tu as ressenti une douleur au bras gauche aujourd'hui, je te rassure, c'est tout à fait normal :coffee:

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Discussions Générales / Partagez vos blagues (pourries ou non)
« le: vendredi 25 octobre 2013, 18:27:13 »
J'ai une question concernant ta blague précédente :-*
Comment les flics ont pû se rendre chez le type, vu que ce dernier n'a pas indiqué l'adresse ?
Bon, ça empêche pas que la blague reste drôle quand même hein =D

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: jeudi 24 octobre 2013, 18:35:48 »
OMFG.
J'ai envie de pleurer.
Je viens de revenir 14 ans en arrière.
Gorillaaaaaaaaas !!!
Ce jeu j'y jouais quand j'avais 6 ans sur le vieux PC de mon paternel (qui tournait encore sous Win 95 à l'époque).
Je me demandais si j'arriverai à remettre la main dessus un jour ou l'autre et là bim, je tombe dessus.
Ça fait clairement parti de mon enfance donc gros moment de nostalgie :'(

Le but est simple : vous incarnez un gorille géant et vous devez buter l'autre gorille en face à coup de banane explosive =D
Pour envoyer la banane, il faut entrer manuellement un angle et une vitesse.
Le premier joueur qui touche l'autre gagne la manche.

Quand t'as 6 ans c'est chaud, mais maintenant c'est easy de faire 15 manches sans en perdre une seule ;D

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Discussions Générales / Commentaires des Photos
« le: mercredi 23 octobre 2013, 21:47:31 »
Si vraiment il est pas d'accord c'est pas un souci, je me ferais une joie de combattre pour toi

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Discussions Générales / Votre dernier(e) achat/vente?
« le: mercredi 23 octobre 2013, 21:19:29 »
Clair qu'on en fait plus des comme ça aujourd'hui v.v
Metal Hurlant a un peu été une petite révolution dans le cinéma d'animation.
Je dirais même que sous la domination "Disneyenne", ce film fut l'un des rares contre exemple cherchant à se distinguer par un design crade sous substance illicite, une disposition à la dark fantasy pour adulte, un humour noir et un goût très prononcé pour l'ultra violence et le cul :p

(d'ailleurs ouais, Besson s'en est clairement inspiré, mais en même temps il ne s'en est jamais caché)

Et puis rien que la bande-annonce de l'époque donne envie de s'y plonger :3
 


Sinon je sais plus si je te l'ai dit ou pas mais j'ai réussi à mettre la main sur les 10 premiers numéros du mag original :coffee:

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Discussions Générales / Photos Animaux
« le: mercredi 23 octobre 2013, 15:41:04 »
BEWARE, TERMINADOG IS COMING !
Ça au moins c'est de la bête! Alors que pendant ce temps, les chats se contentent juste d'être mignons... :astro:

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