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Sujets - Maedhros

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The Legend of Zelda / Les figurines F4F
« le: Hier à 19:20:34 »
F4F pour First 4 Figurine est un site internet spécialisé dans la création de figurine de haute gamme établit en 2003. Créant des figurines de franchises célèbrent telle que Okami, First metal Alchimist Spyro le dragon, Crash Bandicoot, Sonic l'Hérisson et autres.
Toutefois il y a une excellente entende entre Nintendo et F4F et la compognie a produit de nombreuses figurine des licenses Super Mario, metroid, mais surtout The Legend of Zelda. Il existe donc plusieurs figurines The legend of Zelda que nous allons répertorier ici.

Zelda possédé par Ganondorf


Sixième figurine dans ligné des pièces central de Twillight Princess. La Princesse Zelda y est vêtu comme dans le jeu vidéo. Elle mesure 15 pouce de haut avec la base, coulé en polystone de haute qualité et peinte a la main. Livré dans une boite de luxe, numéroté a la main et avec un numéro de pièce. Il existe en tout 1250 pièce dans le monde entier.

Ganondorf (The Wind Waker)


Première figure dans la lignée de The Wind Waker. Ganondorf y est vêtu comme dans le jeux vidéo. mesurant 15 pouces le haut de son épée, coulé dans du polystone de haute qualité. La base ressemble au sommet de la tour de Ganon, base numéroté à la main et comprend une carte authenticité. La version exclusive inclut des lumières de type LED dans le socle, reproduisant un effet d'eau en train de s'écouler une fois allumées. La version classique est limité a 100 exemplaire et la version exclusive est limité a 800 exemplaire.

Zelda (Twilight Princess)


La princesse Zelda est vêtu similairement que dans le jeu. La figurine mesure 15 pouce de long incluant la base. Moulut dans un polystone de haute qualité et peinturé a la main. Il s'agit de la cinquième figurine de la thématique Twilight Princess. La basé est numéroté a la main et inclue une carte d'authenticité. La figurine est limité a 2750 exemplaires.

Link chevauchant Epona


La figurine mesure environ 40cm de haut et de large. Figurine peinte a la main. Elle est livré avec une carte authenticité. Il existe en 1500 pièce pour la version normal et 500 pour la version collector, Link ayant la peau doré et une Epona beaucoup plus sombre.

Link et Midona


Leur apparence est similaire a celle du jeu Twillight Princess avec l'ajout de petits détails. Fait a partir de polystone de haute qualité chaque pièce est peinte a la main individuellement avec des finition exigeante. La figurine mesure approximativement 15 pouce de haut et 15 pouce de long. La base est numéroté a la main et comprend une carte authenticité. La version exclusive comporte des cheveux de Midona pouvant s'allumer. C'est une pièce limité a 1000 exemplaires et 500 pour la version exclusives.

Ganondorf (Twillight Princess)


La figurine mesure 23 pouce de long incluant la base. Son apparence est similaire a celle du jeu Twillight Princess avec l'ajout de petit détail. La figurine est aussi orné d'une cape de tissu détaillé fait a la main qui a des fils le long du bord pour pouvoir être posé. lLa base est  numéroté a la main et la figurine viens avec une carte authenticité. La version exclusive comprend une tête additionnel qui est interchangeable avec la tête de la version classique. L'édition classique est limité a 1750 exemplaire 750 pour l'édition exclusive. 

Dark Link (Ocarina of Time)


La figurine mesure environ douze pouce de haut et neuf de large incluant la base. Son apparence est similaire a celle du jeu vidéo Ocarina of Time avec l'ajout de quelques détails. Fabriquer à partir de polystone de haute-qualité est fait et peinturé à la main. La base est numéroté est inclue une carte authenticité. La version exclusive viens avec une lumière dans ses yeux et la base a quatre éclairage qui vont lentement changer pour a l'eau un effet d'étrangeté. L'édition classique est limité a 2500 exemplaire alors que l'édition exclusive est limité a 725 exemplaires.

Darunia



La figurine mesure approximativement 15 pouce de haut incluant la base. Son apparence est similaire a celle du jeu vidéo Ocarina of Time avec rajout de plusieurs détails. Fabriquer à partir de polystone de haute qualité et fait à la main. La base est numéroté et inclue une carte authenticité. La version exclusive viens avec une base représentant le Médaillon du Feu. La version classique est limité à 2500 pièces alors l'édition exclusive est édité à 350 pièces. 

Xanto



La figurine classique viens avec le casque de Xanto dont la langue est amovible pour pouvoir voir la bouche. Est inclue aussi des vêtements très détaillé. Les lignes blanches et vertes des vêtements sont lumineux dans le noir. La figurine mesure environ 21 pouce incluant la base. Fabriqué dans du polystone de haute qualité, la statue est peinte à la main. Xanto a une apparence similaire à celle du jeu Twillgiht Princess avec plusieurs détail supplémentaire. La base est numéroté à la main et inclue une carte authenticité. La version exclusive viens avec le visage de Xanto non masqué que l'on peut changer avec celle celle masqué selon les préférences. La version classique est limité à 750 pièces alors que la version exclusive est quand à elle limité à 250 pièces. Les deux version ne sont malheureusement plus disponible donc si vous les voulez, il faudra passez pars la seconde main et donc un prix encore plus élevé.

Link (Ocarina of Time)


La figurine mesure approximativement sept pouce de haut incluant la base. Elle est plus petite que la plupart des autres figurines puisque Link a ici les genoux fléchit. Fabriquer dans un polystone de haute qualité, la figurine est peinturé à la main. En plus de Link, l'Épée de Maitre ont été recrée et ce sur une base diaporama incluant une carte du donjon et une petite clés pour plus de réalisme. La figurine viens aussi avec une carte authenticité. Elle existe en trois version, la première Link possède la tunique Kokiri, la seconde la tunique Goron et la troisième, la tunique Zora. La première édition est limité a 2500 exemplaires,  la seconde a 1250 exemplaires tous comme la troisièmes.

Skull Kid


La figurine mesure environ 9 pouce incluant la base. Fabriquer dans un polystone de haute qualité, la figurine est peinte a la main. La figurine viens avec une carte authenticité. Il existe en tous 2500 exemplaires.

Oni-Link


La figurine mesure 14,5 pouce de haut jusqu'à la pointe de son épée. Fabriquer dans du poly-stone de haute-qualité, la figurine est peinte à la main. la figurine viens avec une carte authenticité. Il existe en tous 2500 exemplaires.

Link et son Célestrier


La figurine mesure 26 par 22 par 25 pouce. Elle est sculpter dans de la résigne de polystone et peinturer a la main. Elle viens avec une base numéroté à la main et inclue une carte authenticité.  Il existe en tous 2500 exemplaire a travers le monde. Elle n'est malheureusement plus disponible donc si vous la voulez, il faudra passez pars la seconde main et donc un prix encore plus élevé.

Link contre le Capitaine Zigouille


La base est fait en polystone de haute-qualité  et peinturé a la main. Les figurine de Capitaine Zigouille et Link sont vendu séparément. La base est numéroté et viens avec une carte authenticité.

Link et le Lion Rouge


La figurine mesure 25 pouce de haut du mât à la base. Elle viens avec une base numéroté et une carte authenticité. Il en existe deux version, la version normal et la version exclusive contenant des leds qui s'allume de façon régulière. donnant l'impression que l'eau s'écoule.

Masque de Majora


La figurine mesure 25 pouces du haut des cornes à la base.  Elle viens avec une base numéroté et une carte authenticité. Il en existe deux version, la version normal et la version exclusive contenant des leds allumant les yeux du masque donnant l'impression que le masque prend vie.

Link (Botw)


La figurine mesure 10 pouce de haut et est peinturé à la main. Vous pouvez la trouver chez Together Plus en france Dark Horse aux États-Unis

Tablette Sheikah


La figurine est une pièce grandeur nature de 11.4 pouces de haut en résine de haute qualité. Elle capture fidèlement les détails complexes de la tablette Sheikah, de l'œil emblématique à la texture de la tablette. La tablette repose sur un socle minutieusement détaillé et peut être détachée. L'édition exclusive comprend une fonction d'éclairage LED pour l'oeil, une fonction sonore et une base avec un éclairage LED à couleur changeante lorsque la tablette est retirée ou insérée. L'écran de la tablette dispose également d'une fonction d'éclairage LED à couleur changeante qui peut être ajustée en appuyant sur l'œil situé au dos de la tablette.

Revali


Figurine de Revali de 10.7 pouces. Le design de la base est basé sur le symbole de l'œil de la tribu Sheikah qui apparaît lors de l'activation de l'interface de la tablette Sheikah, et l'édition exclusive de cette statue est livrée avec des fonctions LED lumineuses pour la base. L'édition exclusive vient avec une boîte Premium Deluxe.

Zelda (BotW)


Figurine en PVC de 9.5 pouces de haut. Le design sur la base est basé sur le symbole qui s'initie lors de l'activation de l'interface de la tablette Sheikah. L'édition exclusive de cette statue est livrée avec des fonctions LED lumineuses pour la tablette Sheikah Sheikah et la base numérotée limitée. L'édition exclusive vient avec une boite Deluxe Premium.

Mipha


Figurine en PVC de 8.9 pouces de haut. Le design de la base est basé sur le symbole de l'œil de la tribu Sheikah qui apparaît lors de l'activation de l'interface de la tablette sheikah, et l'édition exclusive de cette statue est livrée avec des fonctions lumineuses LED pour la base. L'édition exclusive vient avec une boite Deluxe Premium.

Bouclier hylien


Figurine en PVC de 11.5 pouces de haut. La base sur lequel le bouclier hylien est monté se fixe magnétiquement au support d'affichage qui l'accompagne, ce qui est simple dans sa conception mais accentue parfaitement le bouclier lui-même. L'édition exclusive de cette statue est dotée d'une fonctionnalité LED lumineuse sous les rivets dorés du support. L'édition exclusive vient avec une boite Deluxe Premium.

Urbosa


Figurine en PVC de 11.2 pouces de haut. Le design de la base présente le symbole de l'oeil sheikah, cohérent avec les autres statues de la gamme The Legend of Zelda : Breath of the Wild. L'édition exclusive de cette statue dispose de deux (2) modes d'éclairage LED (statique et animé) dans la base. Lorsqu'il est activé, le symbole de l'oeil sheikah brillera d'un bleu brillant : allumé de manière constante en mode statique et pulsé en mode animé. La base est légèrement plus épaisse pour accueillir l'électronique à l'intérieur.
Les autres fonctionnalités disponibles uniquement dans l'édition exclusive incluent une numérotation au bas de la base, une carte d'authentification, un câble USB-C, une batterie rechargeable et un emballage spécial exclusif de luxe avec numérotation.

Darmani


Figurine en PVC de 11.9 pouces de haut. Le design de la base présente le symbole de l'oeil sheikah, cohérent avec les autres statues de la gamme The Legend of Zelda : Breath of the Wild. L'édition exclusive de cette statue dispose de deux (2) modes d'éclairage LED (statique et animé) dans la base. Lorsqu'il est activé, le symbole de l'oeil sheikah brillera d'un bleu brillant : allumé de manière constante en mode statique et pulsé en mode animé. La base est légèrement plus épaisse pour accueillir l'électronique à l'intérieur.
Les autres fonctionnalités disponibles uniquement dans l'édition exclusive incluent une numérotation au bas de la base, une carte d'authentification, un câble USB-C, une batterie rechargeable et un emballage spécial exclusif de luxe avec numérotation.

Link chevauchant un cheval (BotW)


Figurine de 13,4 pouces de haut. Son ensemble, qui comprend sa tunique de prodige et son pantalon hylien, a été texturé de manière réaliste avec de superbes détails, tout comme son cheval et d'autres éléments de cette statue complexe. Les objets de Link tels que le sac à dos, le bouclier du voyageur et, plus important encore, sa tablète sheikah, sont également inclus avec des détails incroyables.La base comporte des symboles de pierre gravés sur le côté et des vignes s'enroulant autour de la pierre pour lui donner un aspect ancien et magique. Des nuances claires et sombres ont été utilisées pour créer de la profondeur afin de souligner davantage la texture.

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The Legend of Zelda / Princesse Zelda (dessin animé)
« le: mardi 26 mars 2024, 19:04:54 »

Après avoir sortis The Legend of Zelda 1 et 2 sur Nes et alors que The Legend of Zelda: A Link to the Past est en train d'être produit, Nintendo commence une étrange partie de son histoire, celle des fiascos des dessins animé. Effectivement, même si des licence telle que Super Mario et The Legend of Zelda sont extrêmement populaire, elles n'ont pas encore la notoriété qu'elles ont aujourd’hui. Seul deux jeux Zelda ont été produit sans compter le Game and Watch ainsi que trois jeux Super Mario. Il est donc intéressant pour Nintendo de faire connaitre ces licences avec des dessins animés. 


Ainsi est naquit le dessin animé The Legend of Zelda nommé Princesse Zelda dans la traduction français. C'est une production de DiC pour Diffusion information et communication qui est une société française de production de programme animé. Enfin, elle ne l'était plus vraiment en 1989. Elle là surtout été dans les années 1970 avant de s'étendre et d'ouvrir des filiales au Japon et aux États-Unies entre autres. En 1987, Jean Chalopin (fondateur de la société en 1971) revend ses part de DiC Enterprise, la filliale américaine, gardant la société française qui change de nom pour C£D. Bref, c'est dans une période de transition pour la compagnie que la production du dessin animé commence. Pour la petite histoire, la société fut racheter définitivement pars Disney en 1993. Le dessin animé est donc américano-canadienne et non française. DiC est un studio énorme ayant fait des classique du dessin animé telle que les Mystérieuse Cité d'Or ou Ulysse 31.


Après des négociations avec Nintendo, la société commence en 1989 a produire des adaptation de jeux vidéo telle que Capitaine N qui est une bouillit infâme de toute les licence jugé pas assez porteuse individuellement pars DiC. Puis viens Super Mario Bros qui connaîtra 52 épisodes et deux suites, un dessin animé correct, mais sans plus, mais Super Mario a l'époque était déjà tellement porteur que l'émission est devenus une espèce de programme bâtarde qui se composait en général d'un épisode de Super Mario Bros: Super Show, une émission live-action et surtout d'une deuxième partie animé. Du Lundi au Jeudi, c'était un épisode de Super Mario Brosh et le Vendredi c'était un épisode de The Legend of Zelda.


Depuis tous l'heure, quand je parle de DiC je parle de société de production et non de studio d'animation. Effectivement, à l'époque c'était déjà moins chère de sous-traiter l'animation a une compagnie sud-coréenne ou de racheter des programme japonais en masse. Le véritable studio d'animation est donc Say Yong Animation . L'écriture des épisodes, les story-bord, le background, le design et toute la pré-production ont été crée a la maison mère américaine qui ont envoyé le reste du boulot en Corée qui le renvoyait finit aux USA qui eux peaufinait l'épisode. C'est une méthode de production extrêmement classique encore utilisé de nos jour chez Cartoon Network.


Ainsi quelques effets de lumière, des statiques dessiné aux États-Unis nous donne un résultat qualitativement peu transcendant en 1989, mais reste tous de même correcte. Petit détail ,c'est un adaptation de jeux vidéo qui comporte des éléments de sounddesign de l'oeuvre originale. Les musiques qui sont un peux plus complexe que dans le jeu vidéo, mais surtout on retrouve dans la série les effets sonores du premier jeu. Dans les scènes de combat, il n'y a pas de mouvement de caméra et ensuite le timing est bon, mais nous pouvons voir qu'il n'y a pas de frême intermédiaire entre deux mouvement. On peut voir des déformation d'objet quand ceux-ci rebondissent. Les modèles quand a eux sont extrêmement rigide . Le mouvement est donc assez peu organique. Bref l'animation n'est pas dramatique du tout et tous faire parfaitement aurait fait exploser le budget.


L'écriture en soit des histoire, sans être transcendante, une certaine répétions des épisode, reste tous de même avec certaines bonnes idée comme un épisode où Link meurt et que son âme doit retrouver son corps pour revenir a la vie. Étant donner que le dessin animé a été seulement après The legend of Zelda1 et 2 qui sont très faible au niveau du scénario et de l'univers, je peux entièrement comprendre que des personnage imaginé alors soit différent de l'image qu'ils ont aujourd’hui. La mythologie Zelda telle qu'on la connet est née petit a petit et il aurait fallut au minimum attendre The legend of Zelda: A Link to the Past pour avoir un univers sur lequel s'appuyer pour crée un dessin animé. Ainsi, le charadesign de Ganon est complètement différent du Ganon telle qu'on le connait, étant donner qu'il n'est dans Zelda 1 qu'un amas de pixel ressemblant vaguement a un cochon bleu, c'est normal. ou encore que l'on ne fait mention que de deux morceaux de la Triforce qui parlent.


Toutefois, n'importe qu'elle scénariste sachant qu'il fait une émission pour enfant aurait produit des personnage assez stéréotyper de l'héroic-fantaisie: une héros droit et courageux et ayant toute les qualité, une jolie princesse qui se fait enlever et un vilain pas beau, mais les scénaristes de cette émissions ont décider que non. 


Ce qui fait que le vrai problème du dessin animé sont ces personnages. Zelda est une vrai allumeuse, Link est un trouillard et un pervers tentant de se faire la princesse Zelda, mais aussi toute les autre fille qu'il rencontre. Tous le monde semble ne penser qu'au sexe avec Ganon qui veux marié Zelda, Link, Esprit qui veux Link et le Roi d'Hyrule qui encourage Link a rentré pars effraction dans la chambre de Zelda en lui donnant même des fleurs. Link qui semble aussi être obliger de lancer une blague pourrie a chaque situation. Zelda a tous de même certaine qualité telle qu'être droite et forte même dans l'adversité, comme quoi on peut être une pute et être honorable.


Le dessin animé fut un échec commercial total, pour plusieurs raisons, mais surtout pour les personnages, un héros totalement trouillard et une princesse qui se bat est assez étonnant et nous somme en 1989, le politiquement correct qui nous obligerait a écoutez cette émission n'est pas encore a la mode. De plus, face à des mastodonte comme Saint-Seiya ou Dragon Ball, G.I Jo avec les piètre qualité de l'animation notre dessin animé ne faisait juste pas du tout le poids.


Toutefois avec le succès de The Legend of Zelda: A Link to the Past et The legend of Zelda: Ocarina of Time, DiC décide de rediffuser l'émission qui fut encore une fois une échec commercial. C'est encore une fois a cause des personnages du dessin animé, beaucoup trop différent des personnages de la série qui a maintenant une véritable base. Link y est décrit comme très courageux alors que dans le dessin animé il est un vrai trouillard et le princesse Zelda ne se bar jamais l'épée ou a l'arc, mais bien avec la magie, ce qui est tous le contraire du dessin animé.


Le générique de fin, quant à lui, était celui de Super Mario Bros avec quelques notes à part concernant le staff ayant travaillé spécifiquement sur Princesse Zelda. La série fut interrompue avec la fin du show de Mario si bien qu’il n’y a jamais vraiment eu de fin. Le dernier épisode de l’unique saison se finissant comme un épisode quelconque de la série. Le doublage français du personnage de Zelda n’aura semble-t-il pas été simple puisqu'en seulement treize épisodes, la princesse a eu au moins quatre voix différentes. Elle pouvait même avoir deux voix différentes au cours d’un même épisode, entre sa voix dans le générique de début (identique visuellement mais rejoué à chaque fois) et sa voix dans l’épisode même.

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The Legend of Zelda / Les figurines Good Smile Compagny
« le: mardi 26 mars 2024, 15:54:18 »
La Good Smile Compagny est un éditeur et un fabriquant de figurine pré peinte et le créa tueur des figurine de la gamme de figurine Nendoroïde. Elle fait des statues de personnage de mangas, mais aussi de jeux vidéo et plus précisément ici, de The Legend of Zelda. 


La compagnie a produit les figurines suivantes

Link (M'sM)


La figurine viens avec un l'expression classique de Link et une où il crie pour les postures de combats. Elle viens aussi avec un assortiement d'objet classique incluant l'épée kokiri, le bouclier du héros, une potion rouge, le masque du lapin, le masque goron, le masque mojo, le masque zora et la guide de Link, Taya est aussi inclut pour pouvoir volé et onner des conseil a notre héros. Même le vil Masque de Majora est inclut et peut être mit sur Link.

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Princesse Zelda (TWW)



La figurine vient avec trois expression faciale, l'expression standard, un clin d’œil et une expression pour les combats. La figurine viens avec un arc et une Flèche de Lumière, l'Épée de Maître et un Bouclier Miroir.

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Link (TWW)


Son épée du héros, son bouclier du héros, un quart de cœur ainsi que la très importante baguette du vent sont incluse avec la figurine.  Link viens aussi avec une variété d'expression, son expression standard, son expression de méfiance, un sourire ainsi qu'une expression de combat et une expression de nervosité.

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Link (ALbW)


La figurine viens avec un support permettant de la placer dans différentes positions, un visage souriant et un visage sérieux, l'Épée de Maître et le bouclier hylien, une petite illustration de Link peint sur un mur et la figurine figma articulé. Il existe aussi une version deluxe contenant en prime la baguette des tornades, une bombe, le grappin et un bébé Ti'Gorneau

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Link (SS)


La figurine viens avec un support de plastique pour des positions moins traditionnelle, un visage standard le montrant galant, ainsi qu'une expression et un puissant crie pour les combats, l'Épée de Maître ainsi que le Bouclier Hyliens et peuvent être mit dans le dos comme dans le jeu.

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Link (SS)


La style et l'apparence unique de Link dans le jeu a été retranscrit dans cette figurine. Un peinture détaillé les ombres et la texture détaillé du jeu.

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Zelda (TP)


La figurine viens avec avec deux visage, l'un avec une figure royale et l'autre avec un petit sourire, une épée et l'arc de lumière qui jouent un rôle important à la fin du jeu.

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Link (TP)


 La figurine viens donc avec trois visage, une expression de confiance, une expression de combat brutal, ainsi qu'une expression avec les dents serré, l'épée de maître et le bouclier hylien. Il existe aussi une version deluxe contenant aussi l'épée de Toal, le bouclier de Toal, l'arc du héros et une flèche, le boulet, l’œil du faucon et le grappin.

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Link (BotW)


La figurine viens avec deux visages, l'un souriant et l'autre en pleine action, un arc et des flèches, une épée, la tablette sheikahs et un bouclier, un support pour faire diverse position, un fourreau ainsi qu'un carquois. Il existe aussi une version DX contenant aussi une hache, une batte, une cuisse de poulet, une capuche et même un cheval que Link peut monter.

Quelques images de la figurine

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Un Gardien (BotW)


L’œil iconique du Gardien peut bouger et la tête peut aussi être tourné à 360°. La figurine inclut quelques effets esthétique pour recrée l'impression de puissance de ce monstre. Ainsi, il y a l'affiche translucide pour recréer l'écran de Game Over que de nombreux joueur vont faire après à cause d'un combat contre un Gardien. En addition viens aussi , un arc archéonique pour pouvoir l'intégré à la statuette de Link vendu séparément.

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Zelda (BotW)


La figurine est livrée avec trois visages dont une expression standard, une expression souriante et une expression en colère.
Pour les parties facultatives, elle est livrée avec le l'étalon royal blanc, la tablette sheikahs et la grenouille qui est apparu dans la scène La Princesse de la Sérénités lorsqu'elle l'a offert à Link. L'épée qui scelle les ténèbres, également connue sous le nom d'épée maîtresse, est incluse en tant que pièce optionnelle supplémentaire pour la figurine nendoroid de Link : Breath of the Wild.

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The Legend of Zelda / Projet Zelda (fanfilm)
« le: lundi 25 mars 2024, 16:44:51 »
Le projet Zelda est une communauté de fan tentant de faire un film Ocarina of Time offrant une version différente et intéressante du jeu. L'adaptation prend des liberté par rapport au jeu ainsi, la princesse Ruto ne sera vue que durant la période de l'enfance. Beaucoup de liberté furent prit avec les kokiris et leur rapport avec Link. Certains personnages on été totalement inventé. Nous verrons notamment l’emprise de Ganondorf sur les gerudos et celles-ci vont jouer un rôle plus important que prévu, sous cette influence. Une autre liberté que nous nous sommes permis est l’affection que certains personnages vont témoigner à Link. Depuis toujours ce sujet est repris par les fans du jeu et nous n’avons pu nous empêcher, nous aussi, de rapprocher certains personnages.

Episode 1 - Le garçon sans fée.



Episode 2 - La princesse à l'ocarina



Episode 3 - La gerudo du désert



Episode 4 - Sept ans plus tard



Episode 5 - L'épreuve du courage.



Episode 6 - Retour au colosse du désert.



Episode 7 - Princesse de mon coeur



ocarina of time - Le Make-Link Of


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Jeux Zelda / [Topic Officiel] Zelda (Game and Watch)
« le: dimanche 24 mars 2024, 21:47:52 »
Zelda est un jeu électronique sorti en 1989 sur Game and Watch, développé par Nintendo Research & Development 1 et édité par Nintendo.


Le jeu resorti en 1998 sur Nintendo Mini Classics et en 2002 sur Game Boy Advance dans la compilation Game and Watch Gallery Advance, en version numérique en 2015 sur Wii U dans la compilation Game and Watch Gallery Advance.

Gamedesign du jeu

Le jeu met en scène Link affrontant des ennemis comme des Stalfos, et un Moblin, puis dans un combat final, il lutte contre un dragon. Son gameplay a été fortement inspiré du jeu NES  The Legend of Zelda: Adventure of Link, et il comportait une histoire originale décrite dans le manuel. Comme dans The Legend of Zelda, le joueur peut effectuer une seconde quête après une victoire. Le fantôme et les Stalfos ne peuvent pas être tués et doivent être respectivement bloqués avec le bouclier et être évités. Le Moblin doit être tué pour faire apparaître des escaliers. Une fois le labyrinthe terminé, des escaliers apparaissent et l'action se déplace vers le repaire du dragon dans l'écran supérieur, dans le repaire du dragon. Link combat un dragon sur le côté droit de l'écran tout en évitant les jets de feu et sa queue. La partie gauche de l'écran supérieur affiche la carte du donjon et des éléments tels que le  Tomahawk, exclusif à ce jeu, que Link obtient en combattant le dragon. Après avoir vaincu le dragon, le recommence avec des ennemis plus rapide et en conservant le meilleur score du joueur. Un bouton permet au joueur de continuer en cas d'échec. 

Scénario

Huits dragons ravagent le monde et ont enlevé la princesse Zelda. Elle est retenue captive derrière un sceau qui oblige Link à récupérer les huit fragments de la Triforce gardé par chaque dragon.

Commercialisation

Le jeu sorti en 1989 en Amérique du Nord et en Europe, mais n'est jamais sorti au Japon. Nintendo réédita le jeu à partir de de 1998 dans la gamme Nintendo Mini-Classic par le biais de différents distributeur dans le monde, notamment comme Take 2 en France. Cette version est miniaturisée et se présente sous la forme d'un porte-clés. Cette version porte-clés, ainsi que Oil Panic et Donkey Kong, n'est sortie qu'en Europe. Début 2007, Stadlbauer et It's Outrageous! a commencé à distribuer la version Mini Classics dans certains endroits aux États-Unis, en utilisant les artworks de The Legend of Zelda: A Link to the Past et The Legend of Zelda: Four Swords Adventures.


Le jeu fut réédité dans la compilation Game Boy Advance appelée Game and Watch Gallery Advance en version non-remasterisée et déblocable, uniquement en occident. Ce mini-jeu Zelda est le plus difficile à débloquer, nécessitant que le joueur ait battu tous les autres jeux (et ait gagné les 160 étoiles). En raison des limitations du matériel GBA, les visuels ont été modifiés. Pour que tout s'adapte à l'écran en même temps, l'écran où l'action ne se déroule pas est réduit à environ les deux tiers de celui de la hauteur d'origine. La compilation fut réédité sur Wii U en décembre 2015 en Europe au début de l'année 2016 en Amérique du Nord et au Japon.

Exploitation

Le jeu est assez difficile à trouver, avecsa cote pouvant régulièrement effrayer les bourses les plus modestes et les modèles accusant mal leur âge, il peut être intéressant de passer par les rééditions du jeu pour pouvoir se faire une idée de l’expérience qu’il procure, malgré les trois millions de modèles qui ont été écoulés à travers le monde.


Le premier choix s’offrant à vous est un autre petit jeu à écrans LCD. Au cours de l’année 1998, Toymax Inc. obtient la licence permettant de mettre sur le marché les Nintendo Mini Classics, des porte-clefs vidéoludiques reprenant trait pour trait l’expérience proposée par les Game & Watch une décennie plus tôt, mais aussi de nouveaux jeux tout aussi simples. Parmi les revenants, on retrouvera avec plaisir Zelda, toujours avec son double écran à clapet. Plus petite que le modèle original et vendue très peu cher à sa sortie (environ 14 €), cette version est une bonne alternative au Game & Watch même si sa qualité de fabrication est un peu en retrait. Une deuxième version, à l’emballage différent, sera aussi vendue par Stadlbauer and It’s Outrageous! dans certains états des États-Unis, en 2007. Toutefois, ces Nintendo Mini Classics sont devenus presque aussi durs à retrouver que les Game & Watch.


Le second choix réside en une compilation un peu remise à niveau techniquement et sortie sur Game Boy Advance : la Game & Watch Gallery Advance (appelée Game & Watch Gallery 4 ailleurs dans le monde). Sortie le 25 octobre 2002, cette cartouche sera la seule compilation de jeux Game & Watch à sortir en Europe sur la console portable de Nintendo, le Japon et l’Amérique du Nord ayant pu profiter d’autres compilations dès 1997 sur Game Boy. En tout, la cartouche contient 20 jeux, dont dix à débloquer, parmi lesquels figure Zelda.


Il y avait autrefois le site Pica-Pic qui propose des versions Flash de jeux Game & Watch, dont Zelda. L’adaptation essaye d’être aussi fidèle que possible tout en apportant une lisibilité sans faille de l’écran. Malheureusement, avec la fin de Adobe Flash en 2017, le site ne fonctionne plus. Il ne reste plus que l'émulation, qui fonctionne très bien sur ce jeu pour recrée une version similaire. Cette solution était idéale pour se faire une première idée, même si le charme de ces jeux réside en très grande partie dans leur support physique qui leur est réellement indissociable.

Après le jeu

Contrairement aux autres jeux LCD, celui-ci a été développé par Nintendo et est réapparu sur une plate-forme Nintendo. La console portable sera l'avant-dernière sortie de Nintendo avant la sortie du Game Boy (la dernière étant Mario The Juggler).

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Jeux Zelda / [Topic Officiel] Ripened Tingle's Balloon Trip of Love
« le: samedi 23 mars 2024, 22:34:36 »
Freshly-Picked Tingle's Rosy Rupeeland ne s'est pas bien vendus en Europe, mais il s'est assez bien vendu au Japon dût à la plus grande popularité du personnage au pays du soleil levant. Ce faisant après Tingle's Balloon Trip, Nintendo décide de faire un second épisode centré sur Tingle, Ripened Tingle's Balloon Trip of Love. Le jeu sera développer par Vanpool, qui a développer les autres jeux Tingle.


Le but du jeu est de résoudre de nombreuse énigmes nécessitant les capacités des trois différents partenaire de Tingle: Kakashi dont sa petite taille permet de pénétrer dans les endroits normalement accessible, Buriki, très intelligent peut résoudre des énigmes que les autre personnages ne peuvent pas résoudre et Lion qui est fort.


Élément central du gameplay, les interactions amoureuse avec cinq personnage féminin et Tingle où on retrouve des mécaniques des jeux de drague. Il faut trouver les mots les adapté dans les dialogues pour augmenter l'intérêt des prétendantes. L'usage de cadeaux adapté aux goûts des différentes prétendent est aussi requis. L'un des but du jeu étant d'établir une relation avec les cinq personnage féminin. La plupart des actions du jeu se passe au stylet, le jeu étant lui-même totalement au stylet, sauf un mini-jeu d'un donjon.


Un premier indice indiquant sa présence est donner dans le magazine japonnais Famitsu de juin 2009, une image de Tingle accompagnée du mot Fée? Quelques jours après Nintendo ouvre un site web faisant allusion à un prochain jeu Tingle pour la DS. C'est toutefois dans un autre numéro que Famitsu que Nintendo annonce officiel le jeu, en même temps Dekisugi Tingle Pack, autre jeu Tingle.


Un homme de trente-cinq ans, célibataire achète un livre lui promettant le succès chez les femmes. Toutefois, dès qu'il ouvre le livre il est transporter dans un univers de livre d'image où il est Tingle. C'est pour lui le commencement d'un aventure pour tenter de retrouver sa liberté perdu.


Freshly-Picked Tingle's Rosy Rupeeland sort finalement en août 2009 sur Nintendo DS au Japon et ne sera jamais exporter en Occident dut au faible succès de Freshly-Picked Tingle’s Rosy Rupeeland en plus de la faible popularité de Tingle en Occident. Le jeu se vent à plus de 70 000 exemplaires, ce qui est très fort pour un jeu installé seulement au Japon, certainement dût au fait que Tingle est assez populaire au pays du soleil levant.


Comme dit précédemment, le jeu n'a jamais été commercialiser en Occident, il faut donc absolument passer par l'importation pour l'obtenir. Pour ceux qui ne connaisse pas le japonnais, il faut savoir que des fans ont mit à la disposition du public un patch traduisant le jeu en anglais.

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En 1995, Nintendo sortait une extension pour la Super Famicon: la Satellaview qui est un objet assez révolutionnaire pour l'époque, puisqu'elle permettait de télécharger des jeux, mais aussi de consulter des informations en ligne comme des vidéos et ce à l'aube d'internet. Pour booster les ventes de l'extension qui était assez faiblard, Nintendo décide de sortir trois jeux Zelda exclusif à cette console. Un remake de The Legend of Zelda premier du nom, un portage de The Legend of Zelda: A Link to the Past et un jeux totalement nouveau, BS The Legend of Zelda: Ancient Stone Tablets.


Pour sortir le jeu le plus vite possible, Nintendo réutilise le moteur physique et graphique de The Legend of Zelda: A Link to the Past, ainsi que la map du jeu. Toutefois, les trésors des donjons ont été changer. De plus, il y a quelques modification par rapport à The Legend of Zelda: A Link to the Past, premièrement une petite amélioration concernant les bottes de pégase puisque l'on peut maintenant changer d'écran ou changer de direction en continuant à courir. De plus, les mur que l'on peut détruire avec une bombe ne sont plus fissuré, les rendant bien plus difficile à trouver, mais il est possible de les frapper dessus avec l'épée, le son sera différent sur un monde dont qui est possible de détruire. Dans ces murs se trouvent le plus souvent des marchants vous vendant une plus grande capacité de flèches ou de bombes. Il existe aussi des magasins de location permettant de louer une épée plus puissante ou une pelle. De plus, une taupe est présente à des endroits aléatoire sur la carte, lui parler permet de récolter 10 000  points.


La plus grande différence reste toutefois au niveau du contenus téléchargeable, effectivement comme le remake de The Legend of Zelda premier du nom, le jeu ne se retrouve pas en entier, mais il faut télécharger celui-ci à des heures et des jours précis et ce en différentes partie. Chaque partie donnant accès à des nouvelles zones avec un temps limité pour finir les deux donjons qu'on peut trouver dans chaque partie. Une horloge interne est présente permettant le déclenchement d’événements à des heures précise, permettant l'avènement d’événement météorologique comme des orages, mais aussi l'apparition de bonus comme des fées.


Le jeu est la suite non officiel de The Legend of Zelda: A Link to the Past. Alors que Hyrule est menacer par un grand péril, la princesse Zelda fait une vision de l'apparition du Héros de la Lumière. Quelques temps plus tard, celui-ci apparaît, venus d'un autre monde, son but est de s'emparer des huit tablettes de pierres pour sauver Hyrule de ce péril.

Le jeu est sortis en 1995 sur Super Famicon avec l'obligation d'avoir une Satalleview. Dut à l'échec commercial de la Satalleviwe au Japon, elle n'a jamais été importer en Occident. Mais pire encore, c'est qu'il est totalement impossible de jouer à ce jeu, effectivement même avec l'importation, le service satellite de téléchargement de la Satalleview a été arrêter en 2000, il est alors impossible de télécharger le jeu, qui comme dit précédemment, ce téléchargeait en plusieurs parties qui disparaît après une semaine, il est donc totalement impossible de jouer à ce jeu.

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En 2015, Nintendo décide de fermer le Club Nintendo, son programme de fidélité pour le remplacer par My Nintendo. Celui-ci est finalement lancé début 2016. Pour célébrer l'ouverture de ce nouveau programme Nintendo décide de faire d'une pierre deux coups en annonçant My Nintendo PICROSS: Twilight Princess dans le but d'offrir à son programme un nouveau jeu, tout en célébrant son ouverture, mais aussi en faisant de la publicité à The Legend of Zelda: Twillight Princess HD qui sortira quelques jours après.


Le jeu sera dévelloper par le studio de développement Jupiter qui ont développer entre autre Pokémon Picross et ont donc une bonne connaissance de ce qu'est le jeu de Picross et comment l'adapté en jeux vidéo. D'ailleurs, avant de parler du jeu il serait important de parler du jeu de Picross sur table. Il s'agit d'un jeu de réflexion dont le but est de faire un dessin en noircissant les bonnes cases, tout ceci à l'aide d'indice logique qui sont sur le bord de la grille.


My Nintendo PICROSS: The Legend of Zelda: Twillight Princess est donc un jeu de picross avec des dessins provenant de The Legend of Zelda: Twillight Princess. Le jeu propose trois modes: le mode Picross qui permet de faire des picross simple de difficulté croissante, le mode Méga-Picross présentent des picross plus gros et plus complexe des dessins du précédent modes et ensuite Micross comprend des picross composé de picross, chaque case à remplir est composé de picross, permettent de révéler une plus grande image. Compléter les Picross permettant aussi d'obtenir des tampons et des messages originaux sur Miiverse.


Le jeu sort finalement le 17 mars 2016 au Japon sur Nintendo 3DS et quelques jours plus tard pour l'Occident, soit donc en même temps que le programme de fidélité My Nintendo et quelques jours avant The Legend of Zelda: Twillight Princess HD. Avec la fin de l'eshop de la Nintendo 3DS, le jeu n'est plus disponible. Il coûtait 1000 points platines du compte My Nintendo.

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Jeux Zelda / [Topic Officiel] The Legend of Zelda (Game Watch)
« le: vendredi 22 mars 2024, 14:46:40 »
Fin des années 80, les jouets électroniques portable sont légion comme les Game and Watch de Nintendo. Intéressé par ce marché, Nelsonic Industrie, compagnie créatrice de montre diverse souhaite elle aussi se lancer dans de marché prolifique. Toutefois face à la véritable inondation de divers jeux électroniques il faudrait pouvoir se démarquer. Pour cela, Nelsonic Industrie décide de faire un partenariat avec Nintendo of America pour créer une montre jouet. Suite au succès de The Legend of Zelda, c'est ce jeu qui est décider d'adapter pour cette montre jouet.


À cause des contrainte technique imposer par la faiblesse technologique d'une simple montre-jouet et l'écran LCD, le jeu se devait forcément beaucoup plus simple que The Legend of Zelda. Il est donc décider de mettre la priorité sur ce qui était alors considéré comme le cœur de la série, les donjons.


 Le contrôle de Link se fait donc en vue aérienne comme dans le premier jeu de la série. Link peut donc se déplacer, en haut, en bas, à gauche, à droite. Il faudra dans ce jeu parcourir quatre donjons qui sont en fait exactement les mêmes. On commence chaque donjon sans équipement, on récupère le boomerang, vaincre les Irons Barres présent dans la salle puis on trouve une épée permettant de vaincre les chauve-souris, si l'épée se brise, c'est la fin de la partie. On passe ensuite à l'autre salle en perdant tout notre équipement pour refaire exactement la même chose. Puis, après une salle permettant de récupérer de la vie, on arrive au boss, un dragon qu'il faut vaincre en lui lançant des bombes présente dans la salle. On obtient ensuite un des quatre fragments de la Triforce et on recommence quatre fois le processus. Le véritable but du jeu étant donc de faire le meilleur score possible.


Le jeu sort finalement en 1989 en Amérique du Nord. C'est trois ans plus tard, en 1992 qui est éditer en Europe alors que le jeu ne sortira jamais au Japon. Le modèle Européens est quelque peu différent que le modèle nord-américains. Alors que celui-ci disposait de quatre couleur de bracelet, le modèle européens n'a que la couleur noir. Toutefois, la plus grande différence est que dans le modèle nord-américain, le dos de la montre abordait la mention Nelsonic, alors que c'est le logo de Zeon, entreprise électronique japonaise qui est sur le dos des montres européennes.

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Littérature, BD et séries d'animation / [Livres] Guy Gavriel Kay
« le: mercredi 20 mars 2024, 19:52:44 »
Guy Gavriel Kay est un écrivain canadien spécialisé dans la fantasy historique. Il a également participé à la rédaction du Silmarilion de l'écrivain britannique J.R.R Tolkien (avec le fils de ce dernier), avant de publier des romans sous son propre nom.


En 1974, alors qu'il est étudiant en philosophie à l'université du Manitoba, il est engagé par Christopher Tolkien pour l'assister dans son travail sur Le Silmarilion, car ses parents sont des amis des parents de l'épouse de Christopher Tolkien. Il part pour Oxford pour travailler avec Christopher Tolkien, assemblant, corrigeant et peaufinant les nombreux écrits de J.R.R Tolkien qui vont constituer le Silmarilion


Il est ensuite scénariste de la série radiophonique The Scale of Justice (1982-1989), produit par Radio-Canada et qui se base sur des affaires judiciaires canadiennes. De 1984 à 1986, il publie ses premiers romans, la trilogie de fantasy La Tapisserie de Fionavar (avec L'Arbre de l'été, Le Feu vagabond et La Voie Obscure). Cette série, de facture très classique, reçoit un très bon accueil. Le Feu Vagabond reçoit le prix Casper (renommé prix Aurora depuis 1990) du roman anglais en 1987.


Il développe par la suite un univers plus personnel, souvent qualifié de fantasy historique. Ses romans ont maintenant en commun de se situer dans un univers imaginaire, mais s'inspirant très fortement de l'Histoire. La magie et le surnaturel sont très peu présent, voire absents, contrairement à la fantasy classique.


Les romans Tigane et La Chanson d'Arbonne s'inspirent respectivement de l'Italie et de la France médiévales. Guy Gavriel Kay reçoit à nouveau le prix Aurora en 1991 pour Tigane. Le roman Les Lions d'Al-Rassan  s'inspire de l'Espagne de la Reconquesta, plus précisément de la fin de la période du califat de Cordoue, et s'inspire notamment de la vie de Rodrigo Diaz de Bivar dit le Cid. Vient ensuite la série La Mosaïque de Sarance, qui s'inspire très fortement de l'histoire de l'Empire byzantin sous le règne de Justinien et Théodora (qui dura de 527 à 565).


En 2005, il publie Le Dernier Rayon du soleil, qui se situe quant à lui dans un environnement basés sur les vikings et les anglos-saxons. Ysabel, paru en 2007, il baigne dans une atmosphère provençale et reçoit le prix World Fantasy l'année suivante. En 2010, Sous le ciel explore un univers basé sur la Chine au temps de la dynastie Tang. En 2010, ses romans ont été traduits en 22 langues et ils se sont vendus à plus de deux millions d'exemplaires. La Mosaïque de Sarance, Le Dernier Rayon du soleil, Les Lions d'Al-Rassan, Enfant de la terre et du ciel et Un éclat d'antan se déroulent tous dans le même univers mais en des lieux et des époques différentes et font intervenir des personnages différents.

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Jeux Zelda / [Topic Officiel] Too Much Tingle Pack
« le: mercredi 20 mars 2024, 16:13:15 »
Tingle's Balloon Fight le nouveau jeu pour la DS sur Tingle viens d'être annoncer. Est alors annoncer en même temps Dekisugi Tingle Pack, sans nul doute dans le but de faire la promotion de Tingle's Balloon Fight pour la DSi. Le développement du jeu est donc confier au studio ayant dévelloper Freshly-Picked Tingle's Rosy Rupeeland, Vanpool.


Le jeu est fait de cinq mini-jeu. Le premier est un jeu de tarot permettant de voire son avenir. La deuxième est un timer à l’effigie de Tingle. Le troisième es une calculatrice à l'effigie de Tingle, sa plus particularité restant le fait qu'elle puisse diviser une facture entre les hommes et les femmes. Le quatrième est une marionnette Tingle avec une manivelle permettant de la faire danser sous fond musical, tous cela sous fond d'une photo de la DSi. Enfin le dernier mini-jeu est un jeu de pile ou face dont la plus grande particularité est de pouvoir jouer jusqu'à vingt joueur.


Le jeu sort fin juin au Japon et ne sera pas exporter en Occident, sans doute dût au fait que Irozuki Tingle no Koi no Balloon Trip ne sort pas non plus en Occident. Le pire étant que puisque le service du DSi Shop soit arrêter au Japon, tout comme partout dans le monde, le seul moyen de posséder le jeu est d'acheter une DSi japonnaise en espérant que la personne ait télécharger le jeu. Il est donc très difficile à trouver. Et je n'ai même pas trouver le site officiel qui permettait de jouer au jeu de tarot et de télécharger un économiseur d'écran à l'effigie du timer Tingle...

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Jeux Vidéo / [Jeu de plateau] Europa Universalis
« le: mardi 19 mars 2024, 23:04:30 »
Europa Universalis est un jeu de société de Philippe Thibaut édité en 1993 par Azur Wish Edition. C'est un jeu de stratégie-gestion où les joueurs doivent gérer des pays européens entre 1492 et 1792. Une extension a été publiée par la suite et intégrée au coffret de jeu.



Ce jeu de société atypiquement long a une durée officielle de 6 heures selon la boîte du jeu, mais les parties peuvent durer des semaines. Board Game Geek estime la durée du jeu à 15 jours. Europa Universalis comprend 1412 pions, deux cartes 56 cm × 86 cm (une pour l'Europe et une autre pour le reste du monde), un Grand Scénario de Campagne permettant aux joueurs de jouer l'ensemble de la période 1472 – 1792, sept mini-campagnes permettant aux joueurs de jouer des périodes de vingt à trente ans, ainsi que vingt scénarios plus courts. Le livre de règle en anglais compte 72 pages.



Les joueurs disposent d'une extraordinaire liberté de choix en matière d'économie, de guerre, de maintenance, de découvertes et d'investissement colonial. Un inconvénient est qu'il y a beaucoup de calculs et de gestions requis pendant le jeu concernant le calcul de revenus, les changements de prix, la maintenance et les achats de ressources militaires.



Durant le Grand Scénario de Campagne, les joueurs doivent gérer un pays ou un couple de pays pendant la période 1492 – 1792. Il est possible d'incarner la France, l'Angleterre, l'Empire ottoman, l'Espagne ou les couples Venise/Provinces-Unies et Portugal/Russie. Les joueurs peuvent effectuer des actions commerciales, administratives, militaires et diplomatiques pour atteindre une série d'objectif. Des évènements historiques surviennent à rythme régulier.



Une première extension officielle a été publiée et à introduit de nouvelles règles pour les forts et les missionnaires, ainsi qu'un nouvel ensemble d'objectif. Une deuxième extansion a été largement diffusée sur internet. Il a introduit encore un autre ensemble de règles, telles que les palais, incluant des monarques historiques avec des caractéristiques prédéfinies et un système de combat plus rapide qui pouvait diviser par dix ou plus le temps d'une bataille, ainsi que de nombreux nouveaux pays et pions mineurs. Il n'a jamais été publié officiellement.



Deux autres variants ont également circulé: l'évènement Rewrite par Risto Marjomaa et la version Europa8 par Pierre Borgnat, Bertrand Asseray, Jean-Yves Moyen et Jean-Christophe Dubacq qui introduit deux joueurs supplémentaires, des pions et des cartes revisés, et n'est pas encore terminé. Ces deux variants peuvent être obtenus gratuitement soit par téléchargement, soit en demandant aux auteurs. Il existe également une liste de diffusion assez réactive en suggestion et conseils sur les règles. Plusieurs jeux vidéo ont été créés sur la base de ce jeu et publiés également sous le nom d'Europa Universalis.     

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Jeux Zelda / [Topic Officiel] Tingle's Balloon Fight
« le: mardi 19 mars 2024, 22:40:01 »
En 1984 sortait Ballon Fight sur arcade et NES, développer par Nintendo R&D1 et éditer par Nintendo. Le jeu connaitra un assez grand succès, ressortant ensuite sur plusieurs plate-forme. Pour les membres platine du club japonnais Nintendo, Nintendo décide de ressortir ce jeu culte. Toutefois, pour ne bah faire un bête portage d'un jeu vieux de plus de quinze ans, Nintendo décide d'en faire un remake avec une figure culte. Il est alors décider de choisir Tingle pour cela.


Le jeu est développer par Nintendo et reprend les mécaniques du Ballon Fight. Soit de contrôler un personnage suspendu à deux ballon avec comme objetif de péter les ballons des PNJ pour les faire écraser au sol, et ce tout en évitant de se faire péter des ballons que ce soit par les PNJ ou les obstacles, sans quoi c'est Game Over. La principale particularité du personnage est son inertie qui sert à se déplacer.


Toutefois, si le mode solo de Tingle's Balloon Fight reprend trait pour trait Balloon Fight avec une forte amélioration graphique ainsi que le personnage de Tingle en tant que personnage principal, le jeu ajoute un mode multijoueur, une version coopérative de Balloon Fight où on reprend le personnage de Tingle, mais aussi ses frères Klindle, Dingle et leur fan David Jr. Le but et les mécanique restant les mêmes que dans le mode solo.


Il existe aussi un troisième mode de jeu, un peu plus innovant puisqu'il ne s'agit pas d'un copier-coller de Balloon Fight. Le mode nommé Balloon Trip se présente comme un side-scroller où le but est de récupérer le plus de rubis possible tout en évitant les obstacles. Aucun niveau distinct, mais quelques îles avec une pancarte save permettant de sauvegarder sa partie et d'avoir un check-point, bien que tout chute à l'eau remet le score à zéro, on sauvegarde notre position. De plus, quelques achievement sont disponible permettant d'obtenir de petites images.


Le jeu sort au Japon en avril 2007 sur Nintendo DS et ne sera jamais exporter en Occident. Il vous faut donc impérativement passer par l'import pour l'obtenir. Le jeu sortis sur DS utilise les deux écrans de celle-ci, mais j'ignore totalement si il utilise la fonctionnalité tactile de la console.

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Jeux Zelda / [Topic Officiel] Freshly-Picked Tingle's Rosy Rupeeland
« le: mardi 19 mars 2024, 18:31:47 »
Il y a certaine chose dans ce monde qui sont inexplicable, que l'humain ne comprend toujours pas, ne trouve pas de raison à leur existence, la singularité, la matière noir, la vie et Freshly-Picked Tingle's Rosy Rupeeland. Un jeu développer par Vanpool, studio de jeux vidéo japonnais en autre de Let's Pilates.


C'est donc ici une toute nouvelle équipe qui produira le nouveaux jeux hors-série The Legend of Zelda, Vanpool ayant toutefois auparavant travailler pour Nintendo en dévellopant les minis-jeux de Mario et Luigi: Superstarsaga. Toutefois c'est Kensuke Tanabe et Mari Shirakawa qui travailleront sur la conception du jeu, le premier étant un habituer de la saga ayant travailler en tant que scénariste sur The Legend of Zelda: A Link to the Past, The Legend of Zelda: Link's Awakening, The Legend of Zelda: Ocarina of Time et le remaster de The Legend of Zelda: Link's Awakening intitulé The Lgend of Zelda: Link's Awakening DX,

Dès le début du développement, Tanabe décide de faire un jeu sans Link et Mario pour renouveler les jeux Nintendo. L'équipe décide alors de mettre en avant le personnage de Tingle, personnage secondaire de la série The Legend of Zelda qui fait débat dans la communauté entre ceux qui l'apprécie et ceux qui le déteste. Pour agrandir le public, le jeu ne se passe pas pour autant dans l'univers d'Hyrule, mais dans un tous nouveau univers inédit à Tingle, bien que quelques clins d’œil sont évidement présent. 


Tanabe propose alors le projet à Vanpool qui commence alors des discutions avec Nintendo sur le gamedesign d'un jeu sur un tel personnage. Il est rapidement décider que l'argent devra être le maitre mot dans le jeu, Tingle étant un personnage particulièrement cupide. La Nintendo DS est alors parfaite pour un jeu centrer sur l'argent puisqu'elle permet par exemple de proposer une somme d'argent sur un écran, tout en voyant la réaction du personnage dans l'autre.


Ainsi le jeu reposera sur l'accumulation de rubis, la monnaie du jeu tirer de la monnaie de The Legend of Zelda,  et le dialogue avec les personnages. Le but du jeu étant de faire grandir une tour grâce aux rubis dans le but d’atteinte Rubis Land. Les rubis, en plus d'être la monnaie du jeu, est aussi la jauge de vie du personnage, la partie s'arrêtant quand il n'a plus de rubis. Il faut donc accomplir des missions ou récolter des objets auprès des personnages non-joueurs ou pour eux et ce toujours en échanges de rubis. Tingle étant originellement un cartographe, il est possible de dessiner des cartes à l'aide du stylet pour les vendre aux personnages non-joueurs. Tingle est aussi capable de cuisiner pour ensuite vendre ses plats, ce qui nécessite de ramasser les ingrédients nécessaire avant de cuisiner. Le chien Toutoutingle peut rapporter des objets intéressant en échange d'os. Il est aussi possible de ramasser des rubis dans les donjons qui cachent toujours un trésors défendu par un boss. La introduit aussi un système de négociation et de fixation du prix par le joueur, via une offre qu'il considère comme un prix approprier. Ce système est utilisé dans quasi-toutes les interactions social du joueur avec les personnes non-joueurs. Que ce soit pour vendre ou acheter un objet, mais aussi pour fixer la récompense après une mission. Si le prix proposer par le joueur pour acheter un objet est trop bas, il risque de ne pas pouvoir l'acheter, si le prix est trop haut, il dépense inutilement son argent. Chaque négociation raté doit être raté.  Lors des négociations, l'écran est divisé ; en bas, figure une sorte de calculatrice, et au-dessus à droite et à gauche, figurent Tingle et son interlocuteur. Les visages des personnages changent légèrement en fonction de l'éloignement des propositions avec leurs espérances. 


Le système de combat est très différent des jeux The Legend of Zelda. Lorsque Tingle entre en contact avec un ennemi, un nage de poussière ce forme. Le stock de rubis de Tingle se diminue lentement, le but est alors de tapoter sur l'écran tactile de la Nintendo DS pour que le phénomènes s'arrêtent au plus vite. Le joueur peut toujours se déplacer et d'autres ennemis peuvent rentrer dans le tourbillon. Le joueur peut ainsi perdre des rubis, mais gagner des objets s'il remporte le combat, objets qu'il peut utiliser pour augmenter son nombre de rubis. Plus il y a de rubis, plus les gains sont important, mais si l'ennemi est trop puissant, le nombre de rubis descend plus rapidement. Il est toutefois possible d'éviter le combat en engagent des compagnons dans les Tavernes; celui-ci suit le joueur à l'écran et combat alors à la place de Tingle. Chaque compagnon possède une barre de vie et des compétences particulière qui permettent par exemple d’atteinte un lieu inaccessible sans lui. Trois sortes de Compagnons peuvent être recrutées : les petits ont la possibilité de se faufiler dans les passages étroits, ceux de taille moyenne peuvent crocheter des serrures et les grands ont la capacité de détruire certains rochers dans les donjons. Il existe toutefois trente compagnons dont trois spéciaux impossible à acquérir dans les tavernes.


Puisque le jeu est un spin-off de la série The Legend of Zelda, il en reprend plusieurs composantes, ainsi le jeu est un jeu de rôle à la troisième personne en 2D, mais intégrant des personnage en 3D. L'action se passe en vue de dessus, mais avec des passage en vue latéral Le joueur déplace son avatar grâce à la croix directionnelle et peut déclencher des actions sur l'écran tactile via le stylet. Il bien évidement des interaction avec des personnages non-joueurs ainsi que donjons comportant des énigmes et des ennemis à vaincre. Tingle peut être aider par téléphone par une fée, nommé Pinkle ou encore par ordinateur chez-lui. Il est aussi possible de retourner à tout moment dans sa maison grâce à son ballon.


Le jeu est annoncé pour la première fois en octobre 2005 sous le titre Tingle RPG. Le jeu sort au Japon en décembre 2006 sur la Nintendo DS, pour Noël et en septembre 2007 il débarque en Europe, mais ne sortira jamais en Europe. Le jeu se vend finalement à plus de 200 000 copies, très peu pour un jeu de la série The Legend of Zelda, même s'il s'agit d'un spin-off. Sans doute est-ce dût au fait que Tingle n'est pas un personnage si apprécier en dehors du Japon et aussi que le jeu n'est jamais sur le plus grand marché vidéoludique: l'Amérique du Nord.


Dût aux faibles ventes du jeu, il ne fut jamais republier et n'est donc disponible que sur Nintendo DS où il reste très rare. Il n'a d'ailleurs jamais été commercialiser en Amérique du Nord où il faudra obligatoirement passer par l'importation pour en posséder une copie.


Les thèmes abordée par le jeu sont extrêmement différent de la saga dont il est issu. Ainsi, si dans The Legend of Zelda, les principales valeurs sont le courage, l'amitié, Freshly-Picked Tingle’s Rosy Rupeeland vante l'avarice, la cupidité et le profit. Le héros, comme tous les personnages, sont obsédé par l'argent, tout tourne autour de l'argenr, il faut même parfois payer quelqu'un pour qu'il vous parle. C'est un jeu à la gloire du capitalisme tout bonnement. 


Freshly-Picked Tingle’s Rosy Rupeeland  est le jeu qui commença une étrange phase de spin-off dédier à Tingle, mais qui ne sortiront jamais du Japon. Ainsi, une suite du jeu est sortis au Japon pour les membre platinite du Club Nintendo japonnais: Tingle Ballon Fight sur Nintendo DS.

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Littérature, BD et séries d'animation / [Livre] J.R.R Tolkien
« le: lundi 18 mars 2024, 21:52:48 »
L'oeuvre de Tolkien est une série de récits écrits par l'écrivain britannique J.R.R Tolkien. Ses deux romans les plus connus, Le Hobbit et Le Seigneur des Anneaux prennent place dans l'univers de la Terre du Milieu dont il développe la géographie, les peuples, l'histoire et les langues durant une majeure partie de sa vie.



En outre, il auras aussi écrit de nombreux essais littéraire. Durant sa carrière universitaire, il défend l'apprentissage des langues, surtout germaniques, et bouleverse l'étude du poème anglo-saxons Beowulf avec sa conférence Beowulf: Les Monstres et les Critiques (1936). L'essai reste à ce jour très influent dans l'étude de la littérature anglaise ancienne. Son essai Du conte de fées (1939) est également considéré comme un texte crucial dans l’étude du conte merveilleux comme genre littéraire, et de la fantasy.



Les livres fantastiques de Tolkien sur la Terre du Milieu, en particulier Le Seigneur des Anneaux et le Silmarilion s'appuient sur un large éventail d'influences, notamment son intérêt philologique pour la langue, le christianisme, le médiévisme, la mythologie, l'archéologie, la littérature ancienne et moderne et son expérience personnelle. Son travail philologique était centré sur l'étude de la littérature anglaise ancienne, en particulier Beowulf, et il reconnaissait son importance pour ses écrits. C'était un linguiste doué, influencé par la langue et la mythologie germanique, celtique, finlaidaises et grecques. Les commentateurs ont tenté d'identifier de nombreux antécédents littéraire et topologiques pour les personnages, les lieux et les évènements des écrits de Tolkien. Il a sans doute utilisé des noms de lieux réels, comme Cul-de-Sac, le nom de la maison de sa tante. Les effets de certaines expériences spécifiques ont été identifiés. L'enfance de Tolkien dans la campagne anglaise et son urbanisation par la croissance de Birmingham ont influencé sa création de la Comté, tandis que son expérience personnelle des combats dans les tranchées de la Première Guerre mondiale a affecté sa représentation du Mordor. 



L'une des principale influence de Tolkien est l'auteur anglais William Morris (1834 – 1896), membre du mouvement Arts and Craft. Dès 1914, Tolkien émet le désir d'imiter ses romances au style archaïsant, entrecoupé de poèmes et entame la rédaction d'une version du mythe finnois de Kullervo que son biographe Humphrey Carpenter décrit comme guère plus qu'un pastiche de Morris. Le roman de Morris The House of the Wolfings (1888) prend place dans la forêt de Mirkwood, nom d'origine médiévale également repris dans Le Hobbit, et Tolkien avoue la grande dette qu'on les paysages des Marais des Morts dans Le Seigneur des Anneaux envers The House of the Wolfings et The Roots of the Mountains(1889). Un autre roman de Morris, La Source au bout du monde (1896), présente un roi maléfique nommé Gandolf ainsi qu'un cheval blanc très rapide comme Silverfax, qui ont pu influencer les noms du magicien Gandalf et du cheval Gripoil dans Le Seigneur des Anneaux. Cependant, l'influence principale de Morris sur Tolkien est à rechercher dans un goût commun pour l'Europe du Nord médiévale, les archaïsmes de style, une conception proche du destin et de la quête menant le héros vers des univers enchantés. Anne Besson note que Tolkien ne pousse pas aussi loin que Morris le recours au vocabulaire archaïque, ce qui rend son style moins artificiel et plus accessible.



De nombreux critiques se sont penchés sur les ressemblances entre l'oeuvre de Tolkien et les romans d'aventures de H. Rider Haggard (1856 – 1925), principalement Les Mines de Salomon (1885) et Elle (1887). Ce dernier présente une cité en ruine nommée Kôr, un nom repris tel quel par Tolkien dans les premières versions du Silmarilion, et la reine Ayesha, qui donne son titre au roman, évoque plusieurs aspects de Galadriel. Dans Les Mines de Salomon, la bataille final et le personnage de Gagool rappellent la bataille des Cinq Armées et le personnage de Gollum dans Le Hobbit.



Les Hobbits, l'une des créations les plus fameuses de Tolkien, ont été en partie inspirés par les Snergs du roman d'Edward Wyke-Smith (1871 – 1935) The Marvellous Land of the Snergs, paru en 1924. Comme les Hobbits, les Snergs sont des humanoïdes de petites tailles qui aiment la nourriture et les fêtes. Concernant le nom hobbit, Tolkien suggère également une possible influence inconsciente de Babbit, roman satirique de l'États-Uniens Sinclair Lewis (1885 – 1951) paru en 1922, dont le héros éponyme possède la même suffisance bourgeoise que les hobbits.



Une influence majeure de Tolkien est la littérature, la poésie et la mythologie germanique, notamment anglo-saxonnes, son domaine d'expertise. Parmi ces sources d'inspiration, les principales sont le poème anglo-saxon Beowulf, les sagas norroises comme la Völsunga saga ou la Hervarar saga, l'Edda en prose et l'Edda poétique, le Nibelungenlied.



Malgré les ressemblances de son oeuvre avec la Völsunga et le Nibelungenlied, qui servirent de base à la tétralogie de Richard Wagner, Tolkien refuse tout comparaison direct avec le compositieur allemand, affirmand que ces deux anneaux (l'Anneau unique et l'Anneau du Nibelung) sont ronds, et c'est là leur seule ressemblance. Toutefois, certains critiques estiment que Tolkien doit en fait à Wagner des éléments comme le mal inhérent à l'Anneau et son pouvoir corrupteur, deux éléments abscents des légendes originales, mais centraux dans l'opéra de Wagner. D'autres vont plus loin et estiment que Le Seigneur des Anneaux se trouve dans l'ombre du plus monumental encore Anneau du Nibelung de Wagner.



Tolkien est formidablement attiré par le recueil de mythes finlandais du Kalevala lorsqu'il le découvre, vers 1910. Quelques années plus tard, l'un de ses premiers écrits est une tentative de réécrire l'histoire de Kullervo, dont plusieurs caractéristiques se retrouvent par la suite dans le personnage de Turin, héros malheureux des Enfants de Hurin. Plus généralement, le rôle important de la musique et ses liens avec la magie sont un élément du Kalevala également présent dans l'oeuvre de Tolkien.



Tolkien connaît bien le mythe arthurien, notamment le poème moyen anglais du XIVe siècle Sire Gauvain et le Chevalier vert, qu'il a édité, traduit et commenté. Toutefois, il n'apprécie pas ce corps de légende outre mesure: trop estravagant, fantastique, incohérent, répétitif à son goût pour pouvoir constituer une véritable mythologie de l'Angleterre. Cela n'empêche pas des motifs et échoes arthuriens d'apparaître de manière diffuse dans Le Seigneur des Anneaux, le plus évident étant la ressemblance entre les tandems Gandalf-Aragorn et Merlin-Arthur. Plus généralement, des parallèles apparaissent entre les mythes celtes et gallois et l'oeuvre de Tolkien, par exemple entre l'histoire de Beren et Luthien et Culhwch ac Olwen, un récit du Mabinogion gallois.



La théologie et l'imagerie catholique ont participé à l'élaboration des mondes de Tolkien, comme il le reconnait lui-même:

Le Seigneur des Anneaux est bien entendu une oeuvre fondamentalement religieuse et catholique; de manière inconsciente dans un premier temps, puis de manière consciente lorsque je l'ai retravaillé. C'est pour cette religion que je n'ai pratiquement pas ajouté, ou que je n'ai pas supprimé les références à ce qui s'approchait d'une religion, à des cultes et des coutumes et de monde imaginaire. Car l'élément religieux est absorbé dans l'histoire et dans le symbolisme.

En particulier, Paul H. Kocher affirme que Tolkien décrit le Mal de la façon orthodoxe pour un catholique: comme l'absence de Bien. Il cite de nombreux exemples dans Le Seigneur des Anneaux, comme l'oeil dans paupière de Sauron: la fente noire de la pupille ouvrait sur un puit, fenêtre ne donnant sur rien. Selon Kocher, la source de Tolkien est Thomas d'Aquin, dont il est raisonnable de supposer que Tolkien, médiéviste et catholique, connaissait bien l'oeuvre. Tom Shippey défend la même idée, mais, plutôt que Thomas d'Aquin, il estime que Tolkien était familier avec la traduction de la Consolation de Philosophie de Boèce réalisée par Alfred le Grand, également appelée Mètre de Boèce. Shippey soutient que la formulation la plus claire du point de vue chrétien sur le mal est celle de Boèce: le mal n'est rien. Le corollaire selon lequel le mal ne peut créer est à la base de la remarque de Frodon: l'Ombre qui les a produits peut seulement imiter, elle ne peut fabriquer: pas de chose vraiment nouvelles, qui lui soient propres. Shippey pointe des remarques similaires faites par Sylvebarbe et Eldond et poursuit en affirmant que dans Le Seigneur des Anneaux, le mal apparaît parfois comme une force indépendante, non comme la simple absence de bien, et suggère que les ajouts d'Alfred à sa traduction de Boèce sont peut-être à l'origine de ce point de vue.



Certains commentateurs ont également rapproché Tolkien de G. K. Chesterton (1874 – 1936), autre écrivain anglais catholique utilisant le merveilleux et le monde des fées comme allégories ou symbole de valeurs et de croyances religieuses. Tolkien connait bien l'oeuvre de Chesterton, mais il est difficile de dire s'il a vraiment constitué une de ses influences.



Dans l'essai Du conte de fées, Tolkien explique que les contes de fées ont cette particularité d'être à la fois cohérents en eux-même et avec quelques vérités du monde réel. Le christianisme lui-même suit ce modèle de cohérence interne et de vérité externe. Son amour des mythes et sa foi profonde se rejoignent dans son affirmation selon laquelle les mythologies sont un échos de la Vérité divine, point de vue développé par Mythopoeia. Tolkien introduit également dans Du conte de fées le concept d'eucatastrophe, un retournement de situation heureux qui consiste selon-lui l'un des fondements des contes et que le retrouve également dans Le Hobbit et Le Seigneur des Anneaux.



Tolkien commence à écrire (principalement des poèmes) pour son plaisir dans les années 1910, élaborant une mythologie autours d'une langue construite. Il s'agit alors de sa principale forme d'expression artistique, loin devant la prose. Ses vers sont le plus souvent inspiré par la nature, ou bien par des des textes qu'il étudie et apprécie, comme Les Contes de Canterbury de Geoffre Chaucier ou Piers Plowman de William Langland. Un trait caractéristique de ses poèmes de jeunesse est leur représentation des fées comme des petits êtres ailés vivant dans les prés et les bois. Par la suite, Tolkien renie cette image victorienne de la fée, et ses Elfes s'en détachent. Néanmoins, le poème Goblin Feet (publié en 1915) connaît un succès honorable et est réédité dans plusieurs anthologie. Au grand désespoirt de son auteur pour qui il symbolise tous ce qu'il est venu à détester au sujet des elfes. Encouragé par ses amis, Tolkien envoie en 1916 un recueil de poème intitulé The Trumpets of Faery à la maison d'édition londonienne Sidgwick and Jackson, mais il est refusé.



Tolkien commence à dessiner et à peindre des aquarelles dans son enfance, une activité qu'il ne délaisse jamais totalement, bien que ses autres obligations ne lui laissent guères le loisir de s'y consacrer et qu'il se considère lui-même comme un artiste médiocre. Dessiner des personnages n'est pas son point fort, et la plupart de ses oeuvres représentent donc des paysages, réels (ou à partir des années 1920) imaginaire, inspirés par ses lectures (le Kalevala, Beowulf) ou la mythologie naissante du Silmarilion. En vieilissant, il délaisse en partie l'art figuratif au profit de motifs ornementaux griffonnés sur des enveloppes ou des journaux où l'on retrouve fréquemment la figure de l'arbre.



Après son retour de la Première guerre mondiale, Tolkien délaisse quelque peu les vers pour se consacré à la rédaction des Contes perdus en prose. Il s'agit alors d'un ensemble d'histoire racontées à Eriol, un marin danois du Ve siècle de notre ère, par les elfes de Tol Eressëa, située loin à l'Ouest. L'idée de Tolkien est alors de créer une mythologie pour l'Angleterre: la fin des Contes perdus, jamais rédigée, devant voir l'île de Tol Eressëa, brisée en deux, devenir la Grande-Bretagne et l'Irlande. Les elfes auraient progressivement disparu de leur ancien pays, et les chefs anglo-saxons semi-légendaires Hengist et Horsa se seraient avérés les fils d'Eriol. Tolkien abandonne assez tôt ce projet ambitieux de mythologie anglaise, mais il retient l'idée de marin humain servant de moyen de transmission des légendes elfique: ce rôle est par la suite dévolu à Aelfine, un marin anglais du XIe siècle.  Il continue toutefois à publier des poèmes dans diverses revues au cours des années 1920-1930. Durant son séjour à Leeds, il entreprend de relater en vers allitératifs l'histoire de Turin Turambar. Cet effort reste inachevé: Tolkien abandonne en 1925, après avoir rédigé un peu plus de 800 vers, pour se consacré au Lai de Leithian, qui relate l'histoire d'amour entre Beren et Luthien en distiques octosyllabiques. Tolkien travaille sur le Lai pendant sept ans avant de l'abandonné à son tour en 1931, au vers 4175, malgré les commentaires approbateurs de son ami C.S Lewis.  Tolkien retourne à la prose dans les années 1930 et rédige un ensemble de textes qui développe son imaginaire: une brève Esquisse de la Mythologie, qui comprenait les contes de Beren et Luthien et de Turin, le mythe cosmogonique de l'Ainulindalë, deux ensembles d'annales, des précis sur l'histoire des langues (Lhammas) et la géographie du monde (Ambarkanta). Au coeur de l'ensemble se trouve la Quenta Noldorinwa ou Histoire des Noldoli qui prend ensuite le nom de Quenta Silmarilion, évolution de l'Esquisse de la Mythologie. À partir de 1936, Tolkien commença à étendre le cadre de sa mythologie pour inclure le conte de La Chute de Numenor, inspiré de la légende de l'Atlantide.  Les années 1930 le voient aussi s'essayer à de long poèmes d'inspiration nordique (les deux lais publiés en 2009 sous le titre La Légende de Sigurd et Gudrun), arthurienne (l'inachevé La Chute d'Arthur, publié en 2013) ou bretonne (Le Lai d'Aotrou et Itroun, publié en 1945).



Dans les années 1920, Tolkien commence à inventé des histoires pour distraire ses enfants. Un bon nombre d'entre elles, comme celles du bandit Bill Sitckers et son ennemi juré, le Major Road Ahead, dont les noms d'inspirent des panneaux croisés dans la rue, ne sont cependant jamais couchés sur le papier. D'autres le sont, notamment Roverandom, écrit pour consoler le petit Michael  qui avait perdu son jouet préféré, Monsieur Merveille, qui relate les mésaventures du héros éponyme avec son automobile, ou Le Fermier Gilles de Hams, qui acquiert un ton plus adulte au fil des réécritures. En outre, Tolkien écrit chaque année entre 1920 et 1942 une lettre illustrée censé venir du Père Noël à ses enfants; un revueil de ces Lettres du Père Noël a été édité en 1976. D'autres oeuvres comprenait Feuille, de Niggle (une partie du livre Tree and Leaf) et Smith de Grand Wooton. Roverdandom et Smith de Grand Wooton, comme Le Hobbit, ont emprunté des idées à son légendaire.



Durant sa carrière universitaire, il défend l'apprentissage des langues, surtout germaniques, et bouleverse l'étude du poème anglo-saxons Beowulf avec sa conférence Beowulf: Les Monstres et les Critiques (1936). L'essai reste à ce jour très influent dans l'étude de la littérature anglaise ancienne.



Tolkien ne s'attendait jamais à ce que ses histoires deviennent populaire, mais par pur hasard, un livre intitulé Le Hobbit, qu'il avait écrit quelques années auparavent pour ses propres enfants, attira en 1936 l'attention de Susan Dagnall, une employée de la maison d'édition londonienne George Allen and Unwin, qui a persuader Tolkien de le soumettre pour publication. À sa publication, en 1937, il recoit un excellent accueil de la critique comme du public, est nommé pour la médaille Carnegie et remporte un prix décerné par le New York Herald Tribune. Il est toujours considéré comme un classique de la littérature enfantine. Toutefois, quelques année plus tard, Tolkien pose un regard critique sur son livre, regrettant de s'être laissé aller à un ton trop puéril. "Les enfants intelligents possédant un goût sûr (il semble en avoir un certain nombre) ont toujours distingué comme des faiblesses, je suis heureux de le dire, les moment où le récit s'adresse directement aux enfants".



Les récits qu'il imagine pour ses enfants sont également abondamment illustrés, qu'il s'agisse des Lettres du Père Noël, de Roverandom ou du Hobbit. Lorsque ce dernier une publié, il inclut quinze illustrations de Tolkien (dont deux cartes), qui réalise également la jaquette du livre. L'édition américaine comprend cinq illustrations supplémentaires en couleur. En revenge, Le Seigneur des Anneaux, livre coûteux à produire, n'inclut aucune illustration de Tolkien.



Son essai Du conte de fées (1939) est également considéré comme un texte crucial du conte merveilleux comme genre littéraire, et de la fantasy. Cet essai discute du conte de fée en tant que forme littéraire. Il a été initialement rédigé dans le cadre de la conférence Andrew Lang de 1939 à l'Université de St-Andrews en Écosse. Tolkien se concentre sur le travail d'Andrew Lang en tant que folkloriste et collectionneur de contes de fées. Il n'était pas d'accord avec la large inclusion par Lang de contes de voyageurs, de fables de bêtes et d'autres types d'histoires. Tolkien avait une perpective assez étroite, considérant les contes de fées comme ceux ce déroulait dans Faerie, un royaume enchanté, avec ou sans fées comme personnages. Il les considéraient comme comme le développement naturel de l'interaction de l'imagination humaine et du langage humain.



Après le succès du Hobbit, l'éditeur de Tolkien, Stanley Unwin, lui réclame une suite. Incertain, Tolkien commence par lui proposer un ouvrage très différent: Le Silmarilion, un recueil de légende mythologiques imaginaires sur lequel il travaille depuis près de vingt ans. Cet ensemble de texte le reçoit un accueil pour le moins circoncept de la part d'Allen and Unwin. Dès décembre 1937, Tolkien entreprend donc la rédaction d'une véritable suite au Hobbit. Il faut donc près de douze années pour terminer Le Seigneur des Anneaux, un roman qui a presque totalement perdu le ton enfantin de son prédécesseur au profit d'une atmosphère épique et noble plus proche du Silmarilion.Tolkien a passé plus de dix ans à écrire le récit principal du Seigneur des Anneaux, période pendant laquelle il a reçu le soutient constant des Inklings, en particulier de son ami le plus proche C.S Lewis, l'auteur des Chroniques de Narnia. Le Hobbit et le Seigneur des Anneaux se déroulent tous deux dans le contexte du Silmarilion, mais bien après. Il n'y a pas de cohérence totale entre Le Seigneur des Anneaux et Le Hobbit, les deux oeuvres les plus étroitement liées, car Tolkien n'a jamais pleinement intégré toutes leur tradition. Il commenta en 1965, alors qu'il éditait Le Hobbit pour une troisième édition, qu'il aurait préféré réécrire complètement le livre en raison du style de sa prose.



Tolkien voulait au départ que Le Seigneu des Anneaux soit un conte pour enfant dans le style du Hobbit, mais il est devenu rapidement plus sombre et plus sérieux dans l'écriture. Bien qu'il s'agisse d'une suite directe du Hobbit, il s'adressait à un public plus âgé, s'appuyant sur l'immense histoire du Beleriand que Tolkien avait construite au fil des années précédentes. Tolkien espérait désespérement que Le Quenta Silmarilion soit publié avec Le Seigneur des Anneaux, mais les éditeurs (Allen and Unwind and Collin) ont refusé. De plus, les coûts d'impressions étaient très élevés dans la Grande-Bretagne des années 1950, ce qui imposait que Le Seigneur des Anneaux soit publié en trois volumes.



À sa publication, en 1954-1955, le roman reçoit un accueil varié de la part de la critique, mais le public le plébicite, notamment aux États-Unis après sa parution au format poche dans les années 1960. Sa popularité n'a jamais faillit depuis: traduit dans une quarantaine de langues, il a été le sujet d'innombrables articles et ouvrage d'analyse et est sorti vainqueur de nombreux sondages réalisé auprès du public. Dans l'enquête Big Read de 2003 menée par la BBC, Le Seigneur des Anneaux s'est révélé être le roman le plus aimé au Royaume-Uni. Les Autraliens ont élu Le Seigneur des Anneaux "Mon livre préféré" dans une enquête menée en 2004 par la chaîne autralienne ABC. Dans un sondage réalisé en 1999 auprès des clients d'Amazon.com, Le Seigneur des Anneaux a été jugé comme leur livre du millénaire préféré. En 2002, Tolkien a été élu 92e plus grand Britannique dans un sondage mené par la BBC et en 2004, il a été élu 35e dans la liste des Grands Sud-Africains de la SABC3, la seule personne à figurer sur les deux listes. Sa popularité ne se limite pas au monde anglophone: dans un sondage de 2004, inspiré de l'enquête britannique Big Read, environ 250 000 Allemands ont trouvé Le Seigneur des Anneaux comme leur oeuvre littéraire préféré.



Les oeuvres les plus connus de Tolkien, Le Hobbit et le Seigneur des Anneaux contiennent de nombreux poèmes, décrits par Tolkien comme partie intégrante du récit (et de la représentation des personnages), mais qui laissent souvent les critiques circonspects. Le recueil de poème Les Aventure de Tom Bombadil (1962), composé en grande partie de versions remaniées de poèmes écrits et publiés dans les années 1920-1930, n'attire guère l'attention, mais il est dans l'ensemble bien accueilli par la presse et la critique. 



Le succès du Seigneur des Anneaux assure à Tolkien que son Silmarilion, désormait très attendu, sera publié, mais il lui faut encore l'achever. L'auteur passe les vingt dernières années de sa vie à travailler en ce sens, mais la tâche se révèle ardue et il ne parvient pas à l'accomplir, victime de ses hésitations et de la simple quantité de travail de réécriture et de correction à fournir pour le rendre cohérent avec Le Seigneur des Anneaux. Qui plus est, il se laisse fréquemment distraire en rédigeant des textes sur des points de détails en négligeant la trame principale: La sous-création en elle-même était devenue un passe-temps qui apportait sa propre récompense, indépendante du désir d'être édité.



Le Silmarilion est toujours inachevé à la mort de Tolkien, en 1973. Il a fait de son troisième fils, Christopher, son exécuteur littéraire: il lui revient de procéder à l'édition de ce ouvrage. Il y travaille pendant près de quatre ans avec l'aide ponctuel de Guy Gavriel Kay (plus tard, un auteur de fantasie bien connu) , réorganisant les écrits hétéroclites et parfois divergents de son père sous la forme d'un texte continu, sans narrateur externe. Le Silmarilion paraît en 1977 et reçoit des critiques très variés: beaucoup jugent négativement son style archaïsant, son absence d'intrigue centrale et son grand nombre de personnages. Il a recu le Prix Locus du meilleur roman fantastique en 1978.



Christopher Tolkien poursuit sa tâche éditoriale jusqu'à sa mort en 2020, tout d'abord avec Contes et légendes inachevés (1980), une compilation de textes postérieurs au Seigneur des Anneaux, de nature essentiellement narrative, puis avec les douze volumes de l'Histoire de la Terre du Milieu (1986 – 1996), une étude longitudinale des textes de son père ayant servi à l'élaboration du Silmarilion, ainsi que des brouillons du Seigneur des Anneaux et d'autres écrits inédits. Les brouillons du Hobbit laissés volontairement de côté par Christopher Tolkien, sont publiés à leur tour en 2007 par John D. Rateliff dans les deux volumes de The History of The Hobbit.

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Après l'achèvement de l'Histoire de la Terre du Milieu, Christopher Tolkien édite six ouvrages supplémentaires de son père. Trois d'entre eux se penchent sur les Grands Contes du Silmarilion: il s'agit des Enfants de Hurin (2007), Beren et Luthien (2017) et La Chute de Gondolin (2018). Si le premier constitue une version indépendante, à part entière de l'histoire de Turin telle que Tolkien l'avait rédigé dans les années 1950, les deux autres se présentent comme des compilations de toutes les versions, achevée ou non, des récits concernées rédigés par Tolkien au cours de sa vie, de l'époque des Contes perdus jusqu'à sa mort. Les trois autres nouveaux livres de Tolkien parus durant cette période ne concernent pas la Terre du Milieu: La Légende de Sigurn et Gudrun (2009), deux long poèmes inspirés de la mythologie nordique, La Chute d'Arthur (2013), une relecture en vers inachevée du mythe arthurien et L'Histoire de Kullervo (2015), une oeuvre de jeunesse reprenant un épisode du Kalevala.



Plusieurs recueils d'illustrations de Tolkien ont été publié après sa mort, parmi lesquels Peintures et aquerelles de J.R.R Tolkien (1979), J.R.R Tolkien: artiste et illustrateur (1995), The Art of the Hobbit (2011) et The Art of the Lord of the Rings (2015). Catherine Mcllwaine a organisé une exposition majeure des oeuvres de Tolkien à la bibliothèque Bodleian, Tolkien: Maker of Middle-Earth, accompagnée d'un livre du même nom qui analyse les réalisations de Tolkien et illustre la gamme complète des types d'oeuvres d'art qu'il a créées.




De nombreux auteurs ont publiés des romans de fantasy avant Tolkien, depuis William Morris et George Macdonald au XIXe siècle, mais le succès majeur remporté par Le Seigneur des anneaux au moment de sa publication en poche aux États-Unis (au milieu des années 1960) est, pour une large part, à l'origine d'une renaissance populaire du genre. Tolkien est ainsi souvent considéré comme l'un des pères de la fantasy moderne. Ce succès donne lieu à l'émergence d'un nouveau marché dans lequel les éditeurs ne tardent pas à s'engouffrer, notamment l'américain Ballantine Books (qui édite également Tolkien en poche aux États-Unis). Plusieur cycles de fantasy publiés dans les années 1970 témoignent d'une forte influence de Tolkien, par exemple L'Épée de Shannara de Terry Brook (1977), dont l'histoire est très proche de celle du Seigneur des Anneaux ou Les Chroniques de Thomas Covenant de Stephen R. Donaldson, dont l'univers de fiction rappelle la Terre du Milieu. À l'inverse, d'autres auteurs se définissent par opposition à Tolkien et aux idées qu'il leur semble véhiculer, comme Michael Moorcock (qui le fustige dans son article Epic Pooh) ou Philip Pullman. Tom Shippey souligne qu'ils doivent malgré tout eux aussi leur succès à celui rencontré par Tolkien.



En 2008, le Times classe Tolkien en sixième position d'une liste des 50 plus grands écrivains britanniques depuis 1945. En 2012, les archives de l'Académie suédoise révèle que Tolkien faisait partie de la cinquantaine d'auteur en lice pour le Prix nobel de littérature en 1961. La candidature de Tolkien, proposé par son ami C.S Lewis, est rejeté par le comité des Nobel, l'académicien Ander Osterling écrit que Le Seigneur des Anneaux n'est en aucun cas de la grande littérature. Le prix revient au Yougoslave Ivo Andric.



Dans une lettre de 1951 à l'éditeur Milton Waldman (1895-1976), Tolkien parle de son intention de créer un corps de légendes plus ou moins connectées dont les cycles devraient être liés à un tout majestueux, et pourtant laisser la place à d'autres esprits et à d'autres mains, maniant la peinture, la musique et le théâtre. Les mains et les esprits de sont en effet inspirés des légendes de Tolkien. Il connaissait personnellement Pauline Baynes (l'illustratrice préférée de Tolkien des Aventures de Tom Bombadil et du Fermier Gill de Hams) et Donald Swann (qui a mis en musique The Road  Goes Ever On). La reine Margrethe II du Danemark a crée des illustrations du Seigneur des Anneaux au début des années 1970. Elles les envoya à Tolkien, qui fut frappé par la similitude de leur style avec ses propres dessins. Tolkien n'était cependant pas implacablement opposé à l'idée d'une adaptation dramatique et vendit les droits cinématographiques, scénique et commerciaux du Hobbit et du Seigneur des Anneaux à United Artists en 1968. United Artists n'a jamais réalisé de film, bien que le réalisateur John Boorman prévoyait un film au début des années 1970. En 1976, les droits furent vendus à Tolkien Enterprises, une division de la société Saul Zaentz, et la première adaptation cinématographique du Seigneur des Anneaux sortit en 1978 sous la forme d'un film d'animation en rotoscopie réalisé par Ralph Bakshi avec un scénario de l'écrivain de fantaisie Peter. S. Beagle. Il ne couvrait que la première moitié de l'histoire du Seigneur des Anneaux.



En 1977, un téléfilm musical d'animation du Hobbit a été réalisé par Rankin-Bass, et en 1980, ils ont produit le téléfilm d'animation musical Le Retour du Roi, qui couvrait certaines des parties du Seigneur des Anneaux que Bakshi n'a pas pu adapter. De 2001 à 2003, New Line Cinema a sorti Le Seigneur des Anneaux sous la forme d'une trilogie de film tournés en Nouvelle-Zélande et réalisé par Peter Jackson. La série a connu un grand succès, s'est extrêmement bien comporté commercialement et a remporté de nombreux Oscars. De 2012 à 2014, Warner Bros et New Line Cinema ont sorti Le Hobbit, une série de trois films basés sur Le Hobbit, avec Peter Jackson en tant que producteur exécutif, réalisateur et co-scénariste. Le premier opus, Le Hobbit: Un Voyage Inattendu est sorti en décembre 2012, le second, Le Hobbit: La Désolation de Smaug est sorti en décembre 2013 et le dernier volet, Le Hobbit: La Bataille des Cinq Armées, en décembre 2014. En 2017, Amazon a acquis les droits télévisuels mondiaux du Seigneur des Anneaux, pour une nouvelle série d'histoire, Le Seigneur des Anneaux: Les Anneaux de Pouvoir.



En 2019, un biopic sobrement intitulé Tolkien, réalisé par le cinéaste finlandais Dome Karuroski est  commercialisé. Cette adaptation cinématographique retrace de manière romancé la jeunesse de l'écrivain, interprété par l'acteur anglais Nicholas Hoult. La famille et les ayants-droits de Tolkien déclarent qu'ils n'ont pas approuvé, autorisé ni participé à la réalisation du film.



Son influence s'est étendue à la musique, y compris le groupe danois Tolkien Ensemble, qui a mis en musique toute la poésie du Seigneur des Anneaux et à un large éventail de jeux se déroulant dans la Terre du Milieu. Parmis les allusions littéraires à Tolkien, il apparaît comme le vieux professeur J. B. Timbermill dans les cinq romans de la série A Staircase in Surrey de J. I. M. Stewart.



Dans le domaine des sciences, plus de 80 taxons ont été nommés en référence à des personnages ou d'autres éléments de l'univers de fiction de Tolkien. L'Homme de Florès, homonidé découvert en 2003, est fréquemment surnommé hobbit en raison de sa petite taille. L'astéroïde (2675) Tolkien, découvert en 1982, est également baptisé en l'honneur de l'écrivain, ainsi que le cratère Tolkien sur la planète Mercure, en 2012. Il y a aussi des caractéristiques géographiques de Titan (la plus grande lune de Saturne), des noms de rues tels que There and Back Again Lane inspiré du Hobbit, des montagnes comme le mont Shadowfax, le mont Gandalf et le mont Aragorn au Canada, des entreprises telles que Palantir Technologies et des espèces dont la guêpe Shireplitis tolkieni, 27 nouvelles espèces de papillon Elachista et de nombreux fossiles.



Depuis 2003, la Tolkien Society organise la journée de la lecture de Tolkien, qui a lieu le 25 mars dans des écoles du monde entier. En 2013, Pembroke College de l'Université d'Oxford a crée une conférence annuelle sur la littérature fantastique en l'honneur de Tolkien. En 2012, Tolkien faisait partie des icônes culturelles britanniques sélectionnées par l'artiste Sir Peter Blake pour apparaître dans une nouvelle version de son oeuvre la plus célèbre: la couverture de l'album Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band des Beattles – pour célébrer les figures culturelles britanniques de sa vie qu'il admirait le plus.



Plusieurs plaques bleues en Angleterre commémorent des lieux associés à Tolkien, notamment son enfance, ses lieux de travails et les lieux qu'il a visité. La Monnaie royale a produit une pièce commémorative de 2£ en 2023 pour marquer le 50e anniversaire de la mort de Tolkien.



La Bibliothèque national de France consacre à son oeuvre une exposition d'envergure du 22 octobre 2019 au 16 février 2020, intitulé Tolkien, voyage en Terre du Milieu. Cette exposition se place au premier rang de fréquentation de toutes les expositions de l'histoire de la BnF, et son catalogue a été  (fait extrêmement rare) réimprimé plusieurs fois.



Avant sa mort, Tolkien a négocié la vente de ses manuscrits, brouillons, épreuves et autres documents liés à ses oeuvres alors publiées, notamment Le Seigneur des Anneaux, Le Hobbit et Le Fermier Giles de Ham, au Département des collections spéciales et des archives universitaire, à la bibliothèque John P. Raynor, S.J de l'Université Marquette à Milwaukee, Wisconsin. Après sa mort, sa sucession a fait don des papiers contenant la mythologie du Silmarilion et de ses travaux universitaires à la bibliothèque Bodleian de l'Université d'Oxford. La bibliothèque Bodleian a organisé une exposition de son travail en 2018, comprenant plus de 60 objets qui n'avaient jamais été vus en public auparavent. En 2009, une ébauche partiel de Langage et nature humaine que Tolkien avait commencé à co-écrire avec C.S Lewis mais qu'il n'avait jamais achevé, a été découvert à la bibliothèque Bodleian.

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