J'ai pu me débarrasser des monstres et faire apparaître les sanctuaires. Je n'en ai plus qu'un à valider et je pourrai passer à la suite de l'aventure. Il s'agit de celui intitulé "le temps de la réflexion", avec les pics. Première fois, je suis morte sur les deux grandes roues qui tournent, deuxième fois j'ai été heurtée de plein fouet par un boulet. Vous savez, ceux qui se balancent et qu'il faut soit faire tomber en coupant la corde, soit figer. J'ai coupé la corde du premier boulet, j'ai figé le petit dernier au fond, mais quand j'ai voulu m'élancer en paravoile, aïe ! Je sens que ça va être compliqué...
Avant ça j'ai fait le sanctuaire de "la balle au bond". Alors, j'ai réussi à attraper et amener une boule là où se trouvait le socle, pas celui qui permet l'accès au coffre, l'autre. Je me disais "chouette, j'ai réussi le sanctuaire, j'ai...". Et ben non. La boule n'était pas de la bonne taille...
J'ai dû recommencer. La deuxième fois était la bonne.
Cette première partie a vraiment une atmosphère particulière, avec ce ciel sombre, si sombre...
Édit : Il m'est arrivé un truc bizarre. Je suis partie à la recherche de l'amulette de téléportation. En prévision, j'étais allée au laboratoire d'Akkala acheter de quoi compléter ma tenue archéonique. Il a fallu que je choisisse entre le casque et les jambières (ayant déjà le plastron), car je n'avais pas assez de cœurs antiques. J'ai opté pour les jambières. J'ai acheté des flèches archéoniques aussi. Ainsi parée, j'ai été chercher l'amulette. J'étais persuadée de prendre cher, et ben... pas du tout. J'ai atterri au beau milieu de Gardiens et j'ai couru comme une folle jusqu'au coffre. Sans qu'
aucun Gardien ne réagisse.
A croire qu'ils dormaient trop profondément.
J'ai utilisé l'amulette à la rive des Vœux, parce que ça fait une paire de fois que j'essayais de finaliser la quête "le destinataire de la lettre", sans succès. La première fois, un officier Yigga est apparu dans le repère des Lézalfos et j'ai perdu la bouteille de vue au cours de la bagarre. Les autres fois, je paumais la bouteille en cours de route, par exemple aux alentours d'un pont. J'en avais marre de devoir refaire le chemin jusqu'à la petite Zora pour tout recommencer. Finalement j'ai réussi, le destinataire l'a eue cette fichue lettre ! Et aucun ennemi "embêtant" n'est venu me mettre des bâtons dans les roues.