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Jeux Vidéo / Vos jeux de la Décennie
« le: vendredi 25 décembre 2020, 20:11:45 »
Après une excellente année 2020, qui fut une grande année du jeu vidéo malgré elle et qui se termine dans l'allégresse générale, il est temps de faire le bilan des 10 dernières années videoludiques. Quels sont pour vous les jeux de la décennie ? On ne parle pas ici de faire un top des jeux qu'on a bien aimé, mais vraiment de définir ceux qui ont marqué votre coeur de gamer et qui resteront gravés dans vos souvenirs à jamais. Ceux dont vous parlerez encore dans 20 ans avec des étoiles dans les yeux avec nostalgie à vos enfants, ou petits enfants ou mieux, à vos chats.
Pour ma part, voici les quelques expériences qui m'ont redonné goût aux jeux vidéo :
Mon premier Elder Scrolls fut une révélation : un monde ouvert gigantesque et très riche, des zones aux décors variés, un univers cohérent au lore très fouillé, un gameplay intéressant qui sent bon le vieux RPG PC à l'ancienne remis au goût du jour, une sensation de liberté incomparable, des bugs rigolos... Le jeu n'est pourtant pas exempt de défauts, notamment au niveau des combats au corps à corps qui ne sont pas folichons et très perfectibles, mais en même temps qui joue cac quand on peut jouer archer furtif ?
Bref, un chef d’œuvre à mes yeux. Autant dire que The Elder Scrolls VI fait partie des jeux que j'attends le plus pour les années à venir.
Un jeu vraiment unique en son genre, qui sous ses apparences de petit jeu indé sans prétention, se révèle être un jeu d'une richesse incroyable. Il s'agit d'un RPG en monde ouvert 2D, mêlant exploration, craft et combats de boss dantesques. Son originalité vient du fait qu'il est possible de modeler le monde sans aucune limite, permettant ainsi aux plus créatifs de construire à peu près tout ce qu'ils veulent, de l'arène de boss super pratique au château dans les nuages en passant par le terrain de golf, tout est possible. Le jeu étant, de plus jouable en multi, sa durée de vie est quasi illimitée. Si on ajoute à ça les dizaines de références à la culture ciné, jeux vidéo ou littéraire qu'il renferme, ce monument est à faire au moins une fois dans sa vie...
Non, le jeu français n'est pas mort et Dead Cells le prouve de façon magistrale. Le jeu fait partie de la catégorie des rogue-lite, c'est à dire que si le joueur meurt durant son périple, il doit tout recommencer depuis le début, mais en conservant une partie de ce qu'il a collecté durant sa run. Sur le papier, ça donne pas spécialement envie, surtout si comme moi, on n'était pas familier du genre. Mais en voyant qu'il y avait des parades et des roulades, je me suis dit que ça ressemblait à du Dark Souls en 2D, alors j'ai tenté. Une fois la manette en main, le jeu est une véritable claque ; visuelle déjà, avec sa direction artistique magnifique en pixel art et ses animations très fluides. Le gameplay est d'une richesse incroyable, avec sa pléthore d'armes, boucliers et autres capacités de buff. Les possibilités de builds, même malgré la part aléatoire du jeu, sont vraiment très nombreuses et variées et heureusement, parce que le jeu est relativement difficile (j'ai pas encore réussi à le finir avec une cellule de boss active). Le jeu propose aussi plusieurs chemins différents, permettant de renouveler l'intérêt et d'éviter la lassitude. Au final, Dead Cells fut une excellente surprise pour moi et j'ai toujours plaisir à revenir dessus, malgré mon skill d'un niveau légèrement supérieur à celui d'un D_Y dans ses bons jours.
Dark Souls (évidemment) (2011)
Le successeur du jeu qui a créé un nouveau genre, celui des souls-like. L'un des meilleurs jeux de tous les temps à mes yeux. Avec son gameplay riche et précis, sa narration particulière et unique, son univers sombre et très nostalgique d'un passé révolu, ses zones variées, ses boss d'anthologie, son level design incroyable, il y a clairement eu un avant et un après Dark Souls pour moi. Tous les jeux m'ont paru fades après ce chef d’œuvre, surtout que j'ai enchaîné avec DS2 derrière (quelle purge ce truc sérieux). Ce jeu a été une expérience inoubliable et, même si j'ai enchainé tous les jeux de From Software ensuite, et qu'ils sont tous très bons, voire excellents (sauf DS2, faut pas déconner non plus), aucun n'a jamais eu le même impact dans ma vie de gamer. C'était sûrement parce que c'était mon premier souls et qu'il a ravivé la flamme du jeu vidéo qui commençait à s'éteindre en moi...
Pour ma part, voici les quelques expériences qui m'ont redonné goût aux jeux vidéo :
The Elder Scrolls V : Skyrim (11 novembre 2011)
Mon premier Elder Scrolls fut une révélation : un monde ouvert gigantesque et très riche, des zones aux décors variés, un univers cohérent au lore très fouillé, un gameplay intéressant qui sent bon le vieux RPG PC à l'ancienne remis au goût du jour, une sensation de liberté incomparable, des bugs rigolos... Le jeu n'est pourtant pas exempt de défauts, notamment au niveau des combats au corps à corps qui ne sont pas folichons et très perfectibles, mais en même temps qui joue cac quand on peut jouer archer furtif ?
Bref, un chef d’œuvre à mes yeux. Autant dire que The Elder Scrolls VI fait partie des jeux que j'attends le plus pour les années à venir.
Terraria (16 mai 2011)
Un jeu vraiment unique en son genre, qui sous ses apparences de petit jeu indé sans prétention, se révèle être un jeu d'une richesse incroyable. Il s'agit d'un RPG en monde ouvert 2D, mêlant exploration, craft et combats de boss dantesques. Son originalité vient du fait qu'il est possible de modeler le monde sans aucune limite, permettant ainsi aux plus créatifs de construire à peu près tout ce qu'ils veulent, de l'arène de boss super pratique au château dans les nuages en passant par le terrain de golf, tout est possible. Le jeu étant, de plus jouable en multi, sa durée de vie est quasi illimitée. Si on ajoute à ça les dizaines de références à la culture ciné, jeux vidéo ou littéraire qu'il renferme, ce monument est à faire au moins une fois dans sa vie...
Dead Cells (10 mai 2017)
Non, le jeu français n'est pas mort et Dead Cells le prouve de façon magistrale. Le jeu fait partie de la catégorie des rogue-lite, c'est à dire que si le joueur meurt durant son périple, il doit tout recommencer depuis le début, mais en conservant une partie de ce qu'il a collecté durant sa run. Sur le papier, ça donne pas spécialement envie, surtout si comme moi, on n'était pas familier du genre. Mais en voyant qu'il y avait des parades et des roulades, je me suis dit que ça ressemblait à du Dark Souls en 2D, alors j'ai tenté. Une fois la manette en main, le jeu est une véritable claque ; visuelle déjà, avec sa direction artistique magnifique en pixel art et ses animations très fluides. Le gameplay est d'une richesse incroyable, avec sa pléthore d'armes, boucliers et autres capacités de buff. Les possibilités de builds, même malgré la part aléatoire du jeu, sont vraiment très nombreuses et variées et heureusement, parce que le jeu est relativement difficile (j'ai pas encore réussi à le finir avec une cellule de boss active). Le jeu propose aussi plusieurs chemins différents, permettant de renouveler l'intérêt et d'éviter la lassitude. Au final, Dead Cells fut une excellente surprise pour moi et j'ai toujours plaisir à revenir dessus, malgré mon skill d'un niveau légèrement supérieur à celui d'un D_Y dans ses bons jours.
Dark Souls (évidemment) (2011)
Le successeur du jeu qui a créé un nouveau genre, celui des souls-like. L'un des meilleurs jeux de tous les temps à mes yeux. Avec son gameplay riche et précis, sa narration particulière et unique, son univers sombre et très nostalgique d'un passé révolu, ses zones variées, ses boss d'anthologie, son level design incroyable, il y a clairement eu un avant et un après Dark Souls pour moi. Tous les jeux m'ont paru fades après ce chef d’œuvre, surtout que j'ai enchaîné avec DS2 derrière (quelle purge ce truc sérieux). Ce jeu a été une expérience inoubliable et, même si j'ai enchainé tous les jeux de From Software ensuite, et qu'ils sont tous très bons, voire excellents (sauf DS2, faut pas déconner non plus), aucun n'a jamais eu le même impact dans ma vie de gamer. C'était sûrement parce que c'était mon premier souls et qu'il a ravivé la flamme du jeu vidéo qui commençait à s'éteindre en moi...