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Messages - Neyrin.

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Littérature, Fictions / Écrits et tableaux
« le: mercredi 28 février 2024, 20:24:33 »
(TR) THÉRAPIE BRÈVE

Je vois cette pendule dorée sous cloche, dont les boules tournent successivement dans un sens puis dans l’autre avec un silence et une légèreté déroutants.

Je vois la table basse en bois foncé avec un plateau en verre.

Je vois, sur cette même table, la petite statuette noire d’une femme recroquevillée sur elle-même, la jambe repliée contre sa poitrine et la tête reposant sur son genou, la serviette en papier carrée et orange dont les bords sont abîmés, cornés à cause de l’eau qui les a déformés, cette petite bouteille en verre à bouchon mécanique, ces deux verres aux côtés concaves et violets soigneusement posés sur cette serviette.

Je vois, par terre, cette corbeille en osier qui n’est ni ronde, ni ovale et dont je me suis souvent questionnée l’utilité.

Je vois le fauteuil de bureau sous le porte-manteau, dont l’ensemble est recouvert d’un épais tissu orange avec des éléphants indiens ; celui en tête de file a le corps emporté par une énorme couture et n’a plus qu’une seule patte arrière visible, mais qui semble indiquer le chemin aux deux éléphants qui lui succèdent.

Je vois les portes de placard blanches coulissantes, et les rails argentés au sol qui m’évoquent ceux de la chambre où j’ai vécu ce qui m’a amenée dans cette pièce.

Je vois les rideaux rouges qui ne sont pas symétriquement ouverts derrière vous, et votre regard qui semble chercher où mes yeux se posent au moment où vous me parlez.

Je vois le purificateur d’air en plastique blanc qui dénote dans cette pièce aux tons chauds, mais que vous avez dû mettre pour apaiser certains patients hypocondriaques ; il s’allume tantôt en bleu, tantôt en rouge.

J’entends la sonnerie du téléphone dans une autre pièce, sans pouvoir déterminer laquelle car je ne connaissais que celle-ci. Puis je vous entends me dire  : « Ne vous déconcentrez pas. La sonnerie vous gêne ? ».

Je me rappelle me demander s’il existait un bureau où sonnait ce téléphone. Puis si c’était ici que vous viviez, avec votre cabinet uniquement séparé par cet étroit couloir aux murs vierges.

Je vois l’étroit couloir aux murs blancs.

Je vois cette entrée où, en face de la porte, se trouve une commode blanche habillée d’un grand tableau encadré.

Je vois, posés sur la commode, les deux petits chats en porcelaine au regard singulier, côte à côte et orientés vers le couloir.

Je vois la sonnette jaunie à ma gauche.

Puis je vois ce siamois, qui s'est invité dans votre jardin, me considérer avec appréhension et prendre la fuite. Tout comme j'aurais aimé le faire à ce moment-là, mais vous me rappeliez toujours qu'il était temps d'affronter les fantômes.



(Merci beaucoup docteur de m'avoir sauvée.)

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: vendredi 02 février 2024, 23:20:23 »
Puis sa colloc est partie en vac, et je vais pas aller plus loin ici :hap:

sa doit câliner severe

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Réactions, Annonces et Suggestions / Le futur du forum
« le: mardi 14 novembre 2023, 00:11:29 »
Je suis désolée mais je ne peux pas t'aider... Je n'ai jamais géré un serveur Discord.

Edit : Voilà le modèle « forum » dont je parle dans le message précédent. Les topics remontent en tête de liste lorsqu'un message est posté dedans.



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Réactions, Annonces et Suggestions / Le futur du forum
« le: lundi 13 novembre 2023, 23:48:16 »
(Je précise que je n'ai pas lu les messages précédents. J'apporte juste ma pierre à l'édifice.)

Je pense que faire migrer le forum Puissance-Zelda sur un serveur Discord serait un impératif pour lui redonner ses lettres de noblesse. On ne va pas se leurrer, les forums sont morts et il est temps de leur dire adieu. De plus, personne ne connaît PZ et c'est vraiment triste, surtout qu'il existe toujours une communauté très importante de fans de TLOZ. Breath of the Wild et Tears of the Kingdom en ont apporté des nouveaux qui échangent sur une plateforme plus adaptée à son temps.

Je suis sur un serveur Discord public qui s'appelle « Café Zelda » et, sur certains aspects, il se rapproche du modèle du forum grâce à Nitro — je précise qu'il est public parce qu'il est facilement trouvable en recherche dans l'onglet « Découvrir » — : il est possible de créer des « topics » dans des sections (Artistique, Humour, Général, etc.), et même d'y joindre des miniatures. On peut même avoir des rôles bien définis avec des accès ou non, obtenir des « récompenses » grâce à la programmation de bots, etc. Avec une organisation et des règles propres à un serveur Discord PZ, un contrôle des entrées et un tri des membres, c'est tout à fait réalisable de retrouver une activité au sein de notre communauté. Peut-être même aussi de faire gagner le site en popularité avec un salon #évènements lié aux actualités.

Enfin, je ne vous apprends rien. Peut-être que certains d'entre vous sont sur des gros serveurs et voient déjà comment ils sont fichus... Je vous invite quand même à le visiter parce qu'il est sympathique, bien qu'un peu bordélique à mon goût. :oups:

Ne laissons pas notre communauté couler ! :nain:

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Tears of the Kingdom / [Topic Officiel] Tears of the Kingdom
« le: lundi 13 novembre 2023, 01:52:32 »
Je reviens d'entre les morts pour exprimer mon mécontentement face à Zelda Tiktok. J'ai une critique très grossière au four, mais je ne sais pas quand est-ce que je vais la poster... Après, elle n'a rien de plus à apporter. Je pense partager le même avis que la majorité. En tout cas, je n'ai toujours pas fait le boss de fin parce que le jeu ne m'en a pas du tout donné envie. Ce jeu, c'est pas le GOTY mais le DOTY (Disappointment Of The Year).

Pour vous dire, j'ai passé un meilleur moment en rejouant à Luigi's Mansion 3 en parallèle... Au moins, je n'avais pas l'impression de manger un plat resté trop longtemps au frigo et chauffé vite fait au micro-ondes avec un peu de fromage pour que ça passe mieux.

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Tout le monde se plaint et personne ne pense à Issouna.

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Coin Artistique / Topic de dessins de JLH
« le: vendredi 08 juillet 2022, 23:53:00 »
J'adore ! Et je crois reconnaître à qui appartiennent chacun des personnages. :oups:

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: vendredi 08 juillet 2022, 23:48:33 »
Super nouvelle !! Je suis rassurée pour vous. Et comme Doutch et Cocotte ont souhaité avant moi : passez un heureux mariage !! <3

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Littérature, Fictions / Écrits et tableaux
« le: mercredi 29 juin 2022, 20:56:47 »
BOULEDOGUE FRANÇAIS



(Cliquez pour afficher/cacher)

Un bouledogue français à la peinture à l'huile sur un carton toilé de 24 x 33 centimètres. Il ne reste plus qu'à attendre qu'il soit extrêmement sec pour le vernir ; ça le protègera et ça lui donnera plus de brillance.

Les plus connaisseurs d'entre vous sauront d'où vient exactement le modèle. :oups:

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Littérature, Fictions / Écrits et tableaux
« le: samedi 25 juin 2022, 20:58:32 »
Merci ! <3 Et oui, j'ai constaté des différences clairement. Vu que mon bois était lisse, il absorbait moins la peinture et c'était beaucoup plus simple pour mettre la couleur. Ensuite, vu que le médium à peindre fluidifie la peinture et la rend plus brillante, c'était aussi beaucoup plus simple pour la travailler. :8):

Pour les pinceaux aussi,  ils sont beaucoup plus fins donc c'est super pour faire les yeux ou les petits détails comme les poils et les plumes. Je les utilise même pour les grands tableaux maintenant, et y a pas photo.

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Littérature, Fictions / Écrits et tableaux
« le: samedi 25 juin 2022, 16:24:22 »
PETITE MÉSANGE

 

(Cliquez pour afficher/cacher)

Une petite mésange toute simple pour l'anniversaire de ma maman dans quelques jours. Comme pour les miniatures précédentes, elle est peinte sur un support en bois de 4 centimètres de diamètre, et à la peinture à l'huile. Quelques nouveautés cependant : j'ai appliqué les conseils donnés par les miniaturistes que j'avais rencontrés. J'ai donc poncé mon bois pour le lisser et retirer les aspérités, j'ai travaillé avec des pinceaux extrêmement fins (ce sont, en réalité, les pinceaux les plus petits du marché coupés aux ciseaux pour qu'il ne reste presque que quelques poils) pour être encore plus détaillée et précise, et j'ai mélangé ma peinture avec un médium à peindre (ce que je ne faisais jamais jusqu'à présent :hap: bravo le veau). Bref, voilà.

À venir prochainement j'espère, un grand tableau et une broderie pas folichonne.

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Faut dire que je suis chaud comme la braise, et que je suis jeune donc ça travaille,surtout que l'amie que je connais depuis 2017 est très belle et ne cesse de s'embellir, ça devient dure pour moi de résistez a cette beauté sauvage qui est tout le contraire de moi justement et une fille un peu bad girl, qui ose faire des chose et qui m'a ouvert à plein de truc et qui m'a transformé en un autre homme en me faisant découvrir certains truc bah ça m'attire, je supporte pas les filles qui me ressemblent ou qui sont comme moi, ça n'a aucun intérêt....Après je reste le héros de la légende hé j'ai bien mérité une pause après moult aventures  :8): :miou: :whip:

starfoullah

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Je n'ai aucune idée de ce que sont les missions du Nintendo Switch Online. Y a des missions dans un abonnement pour avoir accès au mode en ligne ? :oups:

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Littérature, Fictions / Écrits et tableaux
« le: dimanche 29 mai 2022, 18:44:48 »
LA SAUVAGEONNE DU METROPOLITAIN

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Un vent gondolé s’extrayait de la bouche de métropolitain comme la profonde expiration d’un géant. Il surprenait les indécis, les rêveurs et les non initiés lorsqu’ils descendaient les escaliers, mais jamais les coutumiers ; il s’évanouissait, une fois la descente vers le sous-sol terminée, pour laisser place à un air lourd et comprimé. Pour pénétrer en son sein, il ne suffisait pas de dévaler des escaliers partiellement défoncés : il fallait détenir un sésame fait de papier à l’impression rouge. Petit et rectangulaire, sa vocation était de s’introduire dans une fente d’une même couleur que sa robe, d’en ressortir dans un cliquetis qui précédait le rabattement des portes durant quelques secondes, le temps que l’individu s’engouffre dans l’étroite ouverture et s’éloigne vers les quais souterrains. Il arrivait que des personnalités dépourvues de sésame — des fraudeurs — violent ce système en bloquant les portes pour accéder au corps même du métropolitain, et cela agaçait particulièrement une personne qui ne supportait pas que l’on entache les règles qui régnaient en cet endroit.

Cette personne, c’était une femme ni trop grosse, ni trop maigre dont les cheveux ne tombaient ni trop bas, ni trop haut. Elle n’était ni trop bizarre, ni trop normale. Elle était un juste milieu de l’humain, de sorte qu’elle était invisible au milieu de ses semblables. Elle était intellectuellement et physiquement invisible ; personne ne prêtait attention à son existence comme elle ne prêtait attention à l’existence de personne. C’était une chair parmi des chairs, un corps malodorant qui suaient parmi d’autres corps malodorants qui suaient. Tous les jours, son sésame rabattait violemment les portes dans un cliquetis accompagné d’un signal sonore, puis elle se dirigeait sur les quais pour attendre. Attendre un grand serpent blanc, endommagé par le temps, qui glissait sur des rails comme du savon sur une faïence trempée. Lorsqu’il ralentissait, il produisait un crissement fort désagréable puis, une fois brusquement arrêté, tout son bagage intérieur — c’est-à-dire principalement des voyageurs — bringuebalait. Les portes coulissaient avec vacarme et là, un flot d’inconnus se déversait sur les quais et si quelqu’un avait le malheur de se précipiter dans le wagon avant le vidage complet de celui-ci, il était emporté par la vague humaine. Inutile était de lutter : personne ne s’écarterait, et tous forceraient le passage. C’était le même effet que les pôles positifs de deux aimants qui s’abhorraient réciproquement, qui jamais ne souhaitaient se rencontrer et, avec force, se rejetaient l’un l’autre.

Dès qu’elle était vidée, la rame enflait de nouveaux voyageurs et dans un son strident, les portes se condamnaient. Chacun se retrouvait prisonnier dans une capsule étouffante au beau milieu d’autres prisonniers silencieux. Pas une voix ne s’élevait car personne, semblait-il, ne souhaitait être individualisé. Le véhicule démarrait et en quelques secondes, était lancé à pleine vitesse dans les couloirs noirs des souterrains. Les wagons étaient pourvus de fenêtres, mais cela n’avait pas grande utilité car à l’extérieur, tout était d’un noir profond et abyssal. Si profond et si abyssal que les éclairages blafards de la rame faisaient des vitres des miroirs approximatifs où tout un chacun pouvait observer les autres, sans que ces mêmes autres ne le sachent. Les bancs et sièges arboraient des renflements de textile dont les fibres renfermaient une crasse emmagasinée sur plusieurs années, une crasse qui provenait des culs sales qui s’y posaient, des vêtements souillés, des bagages encrassés qui avaient roulé, traîné et noyé dans la boue urbaine, des sacs de courses alourdis par des bouteilles de lait percées, des boîtes d’œufs cassés et des briques de soupe perforées. L’aspect de ces sièges n’avait rien d’attrayant, sinon tout de repoussant et pourtant, les gens s'asseyaient. Les très mauvais jours, il arrivait qu’une vomissure aux couleurs chaudes tapisse le sol, qu’elle infeste les lieux d’une odeur nauséabonde mais que personne ne semblait la fuir, et même que certains usagers s’en accommodent en s’y installant non loin. Sûrement devaient-ils se dire :  « Une place est une place, et je ne la céderai pour rien au monde ». Du moins, c’était ce que cette femme s’imaginait. Sinon comment serait-il possible que des individus, pourtant dégoûtés par ces fluides humains, supportent une telle nuisance olfactive ? Au sein du métropolitain, il semblait que tout un chacun s’oubliait, mettait un certain confort à l’écart et ne relevait pas, de quelque manière que ce soit, les pollutions urbaines qui dégradaient l’espace public.

Dans sa course linéaire, unique et sans déviation, le grand serpent mécanique produisait un bruit insupportable pour les tympans fragiles ou désaccoutumés. Le moteur vrombissant mêlé au frottement du vent entre le véhicule et les parois du tunnel en étaient les responsables. Outre son vacarme, ce jour-ci, le métropolitain accueillait des profils que la citadine se réjouissait d’avance de déchiffrer. Les têtes semblaient s’être multipliées par dizaine et formaient comme un champ de maïs sous serre dont elle avait décidé d’être le céréalier. Cependant, aucun épis ne se démarquait particulièrement des autres tant ils étaient nombreux. Elle décida de descendre au prochain arrêt avec quelques autres usagers, puis s’installa sur l’un des sièges métalliques qui longeaient le mur du quai. Les silhouettes quelconques se dirigeaient toutes vers la sortie indiquée par une flèche verte providentielle, tandis que d’autres arrivaient vers elle pour monter dans le prochain train. Leurs regards se croisaient parfois parce qu’elle les étudiait sans gêne ; c’était toujours eux qui baissaient les yeux les premiers.

Les voyageurs défilaient et tous sortaient de voitures bondées. La femme dût attendre une bonne trentaine de minutes avant d’estimer qu’elles étaient ni trop vides, ni trop pleines pour se laisser engloutir par la bête longiligne. À l’intérieur, les gens étaient bien moins compressés et la vue n’était pas obstruée par des boules chevelues en tout genre. À quelques centimètres d’elle, un couple, jeune et de bonne famille, se tenait debout. Le conjoint s'agrippait à la barre d’une main, et retenait sa compagne par la taille de l’autre. Dans un élan de galanterie, peut-être lui épargnait-il un intime contact avec les bactéries qui envahissaient ce point d’accroche. Puis il lui caressa superficiellement le dos (il semblait que le gros manteau qu’elle portait ne lui permettait pas de sentir avec précision les gestes de son compagnon), et l’embrassa. Elle n’y répondit pas ; elle ignorait que beaucoup de filles rêvaient d’être à sa place et que par respect pour ses comparses, elle devait absolument répondre à cette marque d’affection. Pourtant, rien de plus ne se produisit. Cela eut le don d’agacer l’observatrice de cette scène. Ils descendirent à Charles de Gaulle.

De cette manière, la vision de la femme se dégagea. Elle s’aperçut qu’elle était face à un petit garçon à la chevelure châtain qui imbibait son gâteau sec de salive. Il ne semblait pas décidé à le croquer, et sa mère ne semblait pas décidée à lui en donner un autre. Alors il faisait profiter ses papilles de chaque molécule de sucre qui composait cette friandise avant que celle-ci ne se désagrège dans sa bouche. Elle trouva cela fort dégoûtant, car l’enfant traînait ses mains sur les sièges crasseux et tenait sa confiserie dans l’une ou dans l’autre. Ce n’était plus seulement imbibé de bave, mais aussi de toutes sortes de bactéries !

Elle finit par détourner son regard, fatiguée et lassée de son après-midi dans le métropolitain ; il fallait rentrer désormais. Alors elle quitta le véhicule lorsqu’elle fut à son arrêt, franchit les escaliers qui la conduisit à la surface et se retrouva sous un ciel maussade. Les rues empestaient la pollution ; l’air était étouffant d’une autre manière à l’extérieur. La citadine extirpa ses clés de la poche de sa veste puis, après un peu de marche, parvint jusqu’à son immeuble. Une fois rentrée dans son petit appartement du cinquième étage, elle s’effondra sur son lit sans même se déshabiller. Rapidement, le sommeil la gagna et ses rêves se composèrent de quais souterrains et de transports en commun.



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Aide Zelda / Breath of the Wild
« le: mardi 24 mai 2022, 00:55:27 »
Si t'es maniaque comme moi, tu préfèreras faire tout ce qui est secondaire avant de finir la quête principale. Si tu ne l'es pas, il me semble qu'après avoir fini la quête principale, ta partie sera marquée d'une petite étoile et lorsque tu la relanceras, elle sera de nouveau sur la dernière quête "Abattre Ganon" (à confirmer, je fais appel à mes souvenirs).

Edit: j'avais pas vu que Chompir avait répondu, désolée :niak: 


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