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Messages - Vaati the Wind Mage

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Littérature, Fictions / [Fiction Collective] Miderlyr - Saison 2
« le: samedi 07 mars 2020, 17:48:33 »
Alaïa
Vétéran
Jour 6 avant la fin
Dans le labo de Sébastide Hordefeu
Le réveil


Une douleur vive s’était propagée dans tout mon corps. C’était tout ce que je pouvais ressentir, tout ce que percevais, mais je n’étais pas capable d’hurler, de communiquer, ou simplement de bouger. Petit à petit, des sons, distants, commencèrent à parvenir jusqu’à mon oreille, et une lumière, blanche et éblouissante, m’aveugla quelques instants. Je pus alors reprendre contrôle de mon corps. J’étais encore dans cette espèce de salle de chirurgie où j’avais été acheminée précédemment, aux côtés de Cheiralba, Syl, et d’une naine et d’un draconien que je n’ai pas pu reconnaître. Sébastide était attaché, faisant face au petit groupe, et ayant perdu un bras. Dès que je fus complètement réveillée, je voulu hurler, mais la douleur était si violente que je ne pus même pas respirer. Cheiralba se précipita vers moi, et je lançai vers elle un regard désespéré, tandis que des larmes coulaient le long de mes joues.
“Ne t’inquiètes pas, tout va bien se passer, dit-elle. Nous tenons Sébastide captif, tu es en sécurité avec nous.”

Petit à petit, la douleur devint moins diffuse, et tandis qu’elle se dissipait, je poussai des cris, pleurant à cause de son intensité. Mais rapidement, quelque chose me frappa : je n’étais pas capable de bouger mon bras droit, et il me faisait beaucoup plus mal que le reste de mon corps. Lentement, terrifiée par ce que j’allais découvrir, je tournai la tête vers ma droite. Mon bras… mon bras semblait être fait d’une surface noire, lisse, froide. Je portai ma main gauche sur ma bouche, et poussai un autre cri.
“M…. mon bras ?! Qu’est ce que vous avez fait à mon bras. ?”

Je me mis alors à sangloter, choquée de ce que je venais de voir.

“Je suis navrée, me dit alors Cheiralba. Tout ce que j’ai pu faire, ça a été d’achever ce que Sébastide avait commencé : j’ai recousu votre bras. Je m'engage, si vous le souhaitez, à l'amputer s'il vous répugne trop, mais je ne pouvais pas prendre cette décision à votre place. Il fallait que j'attende votre réveil… Prenez votre temps.”

Sans lui répondre, je la regardai, toujours en sanglotant, tentant d’exprimer tout ce que j’étais incapable de dire. La douleur finit enfin par se dissiper, et je me redressai, tentant de me tenir plus droite : je ne pouvais pas supporter de m’humilier davantage. Mon bras pendait, inerte, ne faisant que me rendre plus inutile encore. Je ne pouvais déjà presque pas me battre avant, j’étais à présent handicapée. Tentant encore de saisir tout ce qui venait d’arriver, je tournai la tête vers Cheiralba, et c’est en voyant son air compatissant que je compris alors ce qu’elle et Syl venaient d’accomplir.

“Vous… vous m’avez sauvée ? Mais… Pourquoi ? Pourquoi avoir pris ce risque ?
Il était hors de question de te laisser aux mains de Sébastide. Par ailleurs, il me fallait des réponses. Il fallait que je le vois, que je le questionne… “

Je me mis à tousser, fébrilement, puis je tentai de descendre de la table d’opération, aidée par Cheiralba, qui soutint mon corps. Tournant la tête vers ma gauche, je vis, posé dans une coupelle en bois sur une table encombrée par plusieurs instruments de chirurgie, le bras qu’il m’avait arraché, baignant dans une petite flaque de sang. Me retenant de pleurer à nouveau, je dirigeai un regard haineux vers Sébastide.  Celui-ci me rendit mon regard par un sourire sordide.
“Tellement de potentiel gâché, soupira-t-il alors. Si j’avais pu t’achever, tu aurais pu être l’unes de mes plus glorieuses créations…
-Qu’est ce que… qu’est ce que vous m’avez fait ?
- Là n’est pas la question, ma petite… La question est plutôt qu’est ce que tu aurais pu devenir ? Si cette expérience avait abouti, toi et moi, nous aurions pu accomplir tant et tant de choses… sans moi, tu ne seras qu’un autre monstre de foire lâché dans ce monde.
- Je… je ne comprend pas.
- Bien sûr que tu ne comprend pas. Tu n’as jamais été en capacité de comprendre.”

Cheiralba s’avança vers lui tandis que nous parlions. Elle le fixait, une expression d’intense mépris se lisant sur son visage. Alors qu’elle le fixait ainsi, je lui trouvais l’air plus digne et plus noble encore qu’auparavant. Les deux se fixèrent ainsi pendant quelques instants, l’un ayant le regard fixe, impassible, presque mort, l’autre le toisant de haut en bas, contenant visiblement toute sa colère.

“Tu ne m’as toujours rien dis depuis que je suis revenu A54. Tu semblais pourtant brûler d’impatience de me questionner tout à l’heure. Quelle est la raison de ce silence inopiné ?”

Cheiralba ne lui dit rien. Elle se rapprocha de lui, puis se pencha afin de se mettre à son niveau, puis le regardant droit dans les yeux, une expression presque apaisée mais néanmoins ferme sur le visage, elle dit :

“Je n’ai pas besoin d’en savoir d’avantage.”

Tout d’un coup, avec une violence que jamais je ne lui aurais prêté, Cheiralba se jeta sur le scientifique, le plaquant contre le sol. Elle planta une dernière fois son regard dans celui de Sébastide. Une lueur de défi brillait dans les yeux du scientifique, comme s’il défiait sa création de le tuer. Soudainement, Cheiralba découvrit son dard, et le planta dans la chair de Sébastide. Celui-ci commença à se convulser, de l’écume sortait de sa bouche. Il se mit à émettre un faible râle, mais Cheiralba laissait son dard planté dans son corps. Au bout d’une vingtaine de secondes, Sébastide cessa ses convulsions. Son corps se raidit. Il était mort. Alors, seulement, Cheiralba ôta son dard, reprit sa posture droite, puis considéra le corps qui était à ses pieds : son créateur gisait, son visage baignant dans l’écume qui sortait de sa bouche et le sang qui coulait de son bras. Me tenant à côté d’elle, je regardais ce corps avec un mélange de haine et de soulagement. Puis, je jetai un premier regard vers ces autres personnes à qui je devais la vie, puis fis quelques pas vers eux.

“Je…. je vous dois la vie.”

Je me tenais là, face à eux, misérable, baissant les yeux. Ils n’avaient aucune raison d’être venus me chercher, et il était stupide de croire que leur but principal avait été de me sauver, et je ne m’en rendais compte que maintenant. Si je n’avais pas été enlevée par Sébastide, je ne m’en serais pas sortie. Parce que je ne suis pas importante, pour personne. Pourquoi le serais je ? Je ne suis qu’une elfe faible, incapable de se battre. Et j’ai beau avoir changé, j’ai beau m’être renfermée, je suis toujours cette elfe niaise qui n’aspirait qu’à faire le bien avec ces objectifs stupides, et qui n’était même pas capable de voler correctement. Tôt ou tard, j’allais retourner à ma solitude. C’était là qu’était ma place, après tout. Toute ma vie, je n’ai aspiré qu’à attirer l’approbation ou la sympathie de quelqu’un. C’est tout ce que je peux faire. Je voulais être une bonne voleuse pour m’attirer la fierté d’Alabaross après avoir rejoint la Guilde, et je voulais par dessus tout rester près d’Öhlraj. L’un était probablement mort, l’autre m’avait abandonné. Et c’était ma destinée de perdre tous ceux en qui j’accordais ma confiance. Cheiralba, Syl… personne ne pourrait combler ce vide que j’avais en moi, parce jamais je ne pourrais être importante pour qui que ce soit. Jamais je n’aurais de valeur. Jamais je ne pourrais être utile. Au contraire, tout ce que j’avais jusque là, c’était mettre tout le monde en danger en me faisant enlever comme une idiote, et à devenir plus handicapante encore. Et même quand j’avais essayé de faire le bien, tuant des membres de la Croisade, qui sait quelles en ont été les conséquences à la surface ? Le mieux que je pouvais faire, le seul cadeau que je pouvais délivrer à ce monde, c’était de disparaître, silencieusement, dans la cave où je me terrais, après avoir quitté ce laboratoire, pour y mourir, rapidement, sans souffrance. Personne ne serait là pour me pleurer, je ne manquerai à personne. De toute manière, il n’y a jamais eu personne pour me pleurer. Suite à toutes ces réalisations, qui m’étaient parvenues grâce à ce sauvetage, j’empêchai les larmes de couler le long de mes joues, puis, me redressant, dis d’un ton froid, bien que j’ai tenté d’y insuffler toute la fausse joie que je pouvais :
“Jamais je ne pourrai vous remercier comme il se doit.
- Ne perdons pas notre temps en galanteries, dit alors la naine. “

Dès qu’elle eût fini sa phrase, elle me jeta un regard perplexe.

“Il faudrait plutôt déterminer la suite des événements.”

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Jeux Zelda / [Topic Officiel] Twilight Princess (HD)
« le: samedi 04 janvier 2020, 15:09:01 »
Le fait qu'on nous fasse miroiter Célestia pendant tout le jeu pour au final n'avoir rien (mais vraiment) est très décevant. Un donjon et une boutique, alors que c'était censé être une civilisation extrêmement avancée, c'est pas assez.

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Jeux Zelda / [Topic Officiel] Twilight Princess (HD)
« le: jeudi 12 décembre 2019, 22:40:47 »
Il a beau être facile, ça reste un très bon combat de boss.

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Discussions Générales / Topic Anniversaires des membres
« le: vendredi 22 novembre 2019, 22:07:20 »
Joyeux anniversaire en retard Ze !

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Littérature, Fictions / L'univers Vaati
« le: dimanche 10 novembre 2019, 16:41:18 »
Voici venu le temps des rires et des chants de ma nouvelle histoire. Celle-ci n'a strictement rien à voir avec Corterra, et est une fiction horrifique. Elle sera bien plus courte aussi, et parlera d'un groupe de cinq jeunes adultes pénétrant dans la maison maudite de Byrynthya et... Je vous laisse découvrir la suite !

 
     
Byrynthya



Chapitre 1 :



       Il y avait toujours eu quelque chose d’anormal dans la maison Byrynthya, quelque chose de si affreusement dissonant que mêmes les âmes les plus sceptiques ne pouvaient l’ignorer. Les arbres qui l’entouraient semblaient hurler quand le vent soufflait dans leurs feuilles, son ombre qui se projetait sur la colline la nuit ne faisait qu’amplifier sa présence et les reflets sur ses fenêtres étaient autant de silhouettes malfaisantes. C’était un vaste manoir, qui semblait ne jamais avoir subi les affres du temps. Les colonnes qui soutenaient le porche étaient toujours d’un blanc immaculé, les fenêtres étaient toujours parfaitement propres, aucune feuille n’encombrait son allée et les murs semblaient tout juste avoir été repeints. Située en haut de la colline qui surplombait la petite ville de Thofélec, la maison Byrynthya dominait toutes les maisons et tous les habitants. D’aussi loin que le doyen de Thofélec s’en souvienne, elle avait toujours été là. Nul ne savait depuis quand exactement elle trônait sur la ville : c’était comme si elle était soudainement apparue, imposant sa présence, sortant de nulle part. Il était impossible de ne pas la voir  peu importe l’endroit où l’on se trouvait dans la ville, et sa simple vision conférait un sentiment de malaise intense. Et bien sûr, il y avait la légende.

Contrairement à la maison, tout le monde savait très bien quand celle-ci avait débuté, et chacun était étonné de la date relativement récente de ces événements comparée à l’âge supposémment avancé de la demeure : tout avait commencé le 4 avril 1925, lors que quatre jeunes adultes avaient décidé de découvrir ce qui se cachait dans les entrailles de la maison Byrynthya, Emilie Cherais, Jean LeFol, Elizabeth Moray et Charles Gerain. Sur les quatre jeunes gens qui étaient rentrés dans la maison, seuls deux en étaient sortis, Elizabeth et Charles. Si la jeune fille avait, bien que profondément choquée, fini par se remettre de ces événements, Charles avait sombré dans une profonde démence, et relatait des propos incohérents sur la maison, et de ces propos jaillit le secret du coeur de la maison : la maison serait habitée par l’esprit de Byrynthya, une sorcière morte pendue qui jetterait sa vengeance sur les âmes assez audacieuses pour oser pénétrer sa demeure, mais leur offrirait une chance incroyable s’ils s’en échappaient. Et effectivement, par la suite, Elizabeth réussit dans tout ce qu’elle entreprit et se créa une fortune assez grande pour qu’elle puisse se permettre de quitter Thofélec pour Paris. Charles, quant à lui, retrouva ses esprits sans aucune raison apparente deux ans après les événements, et se maria avec la fille qu’il avait toujours aimée, et qui jusque là, s’était montrée très réticente. Néanmoins, le cadavre de Jean fut retrouvé dans la ville le lendemain de l’excursion, la nuque brisée, des marques de mains la couvrant. Mais le corps de la jeune Emilie ne fut jamais retrouvé. Ce mystère entourant cette maison, lié au fait que les personnes qui s’y étaient rendues avaient soit tout oublié soit était traumatisées ne firent qu intensifier l’intérêt que la population portait à cette maison. Mais dès que les forces de l’ordre s’y rendirent pour déterminer précisément ce qui s’était passé, ils pénétrèrent dans une maison d’une propreté irréprochable, certes gigantesque mais ne contenant aucun labyrinthe. Cela ne fit que renforcer l’intérêt pour la maison, mais chaque exploration de la maison résultait inéluctablement en un massacre, parfois total et souvent laissant échapper un ou deux survivants. Bientôt l’accès à la maison fut interdit, mais la jeunesse est telle qu’elle trouve toujours le moyen de parvenir à ce qui lui est refusé. La municipalité finit par établir une cloture tout autour de la maison, surmontée de barbelés. Cela réduisit considérablement le nombre d’excursions, mais éventuellement, quelques unes avaient lieu, la curiosité l’emportant toujours sur la raison. Celles-ci ne se déroulaient que très rarement, la funeste réputation de la maison étant clairement définie après le nombre considérable de morts s’y étant déroulées. Mais les téméraires qui peuplent ce monde continueront toujours d’ignorer le danger pour être les précurseurs, les pionniers de quelque chose de grand. Et ceux qui exploraient la maison Byrynthya voulaient être les premiers à en revenir tous, et à se souvenir précisément de ce qui s’y passait. Mais tous ont échoué. Et tous ceux qui ont tenté de pénétrer la maison après la vague d’explorations sont morts. Il est des choses dans le pays de Thofélec qui sont connues, et parmis celle-ci, tout le monde sait que ceux qui entrent dans la maison Byrynthya n’ont désormais plus aucune chance d’en sortir.

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Discussions Générales / Topic Anniversaires des membres
« le: lundi 28 octobre 2019, 17:43:30 »
Joyeux anniversaire en retard Actario ^^

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Littérature, Fictions / [Fiction Collective] Miderlyr - Saison 2
« le: mardi 22 octobre 2019, 21:25:46 »
Alaïa
Vétéran
Jour 6 avant la fin
Laboratoire de Sébastide
Face face avec Sébastide


Je me réveillai difficilement. Mon corps était engourdi et je me sentai complètement perdue. J’essayai de lever un bras, mais celui-ci était attaché. Bientôt, je me rendis compte que j’étais attachée. J’étais dans une pièce, où une femme s’affairait à écrire quelque chose sur un calepin. Elle avait des lunettes, de longs cheveux noirs attachés de manière particulière et une blouse qui autrefois avait dû être blanche. Profitant de son inattention, je tentai de me libérer de mes entraves… sans succès, mis à part celui de me faire gémir de douleur. Elle me jeta alors un regard indifférent, puis se remit à écrire. Dès qu’elle eût fini, elle s’approcha de moi et commença à m’examiner de plus près. J’étais pétrifiée. Je ne savais pas pourquoi, mais cette femme me terrifiait : sa manière de bouger, froide, sans vie, ses yeux qui jetaient des regards méprisants et son visage toujours inexpressif, tout cela formait un ensemble assez dérangeant.

Soudain, la porte de la pièce s’ouvrit et en homme, quoiqu’il n’en avait pas tout à fait l’air, entra en faisant rouler une sorte de table à roulettes, où reposait un corps recouvert d’un drap blanc. Aussitôt, la femme perdit son visage impassible et se mit en colère :

 ≪ Mais qu’est-ce que vous faisiez ? Pourquoi cela a mis autant de temps pour ramener ce que vous avez trouvé ?
— Eh bien, Madame Mengel, c’est-à-dire que nous avons eu une… une déconvenue.
— Quel genre de déconvenue. demanda-t-elle en fronçant légèrement les sourcils.
— Il y a eu une intruse. Mais ne vous inquiétez pas, c’était juste une pauvre vieille femme. A l’heure qu’il est, l’autre tâche a du s’en occuper.
— Referme les portes.
— Mais Madame, je pense pas que…
— Est-ce que j’ai demandé ton avis ? Dois-je te rappeler ce qui t’est arrivé la dernière fois que tu m’as désobéi ? Ici bas, on ne peut pas se fier à la simple apparence. As-tu inspecté les environs ? Es-tu resté longtemps avec cette femme ? As-tu vérifié s’il n’y avait pas quelqu’un d’autre ?
— Eh ben…
— Non. Bien entendu. Je me demande pourquoi Sébastide tolère encore votre existence à vous deux…
— Je suis navré Ma…
— Va refermer les portes maintenant. On ne peut pas prendre le risque que qui que ce soit pénètre dans le laboratoire… Maintenant laisse-moi ! Je dois finir d’observer cette elfe avant de l'amener à Sébastide.
— Bien, Madame Mengel. ≫

Une vieille femme ? Ce pourrait il que ce soit Cheiralba ? Non… Impossible… Aussitôt, l’homme repartit. Madame Mengel posa alors son regard sur moi. Il était toujours aussi froid, aussi mauvais.

 ≪ Est-ce que tu peux toujours parler ?
— ...ou….oui.
— Alors dans ce cas tu ne dois pas être en trop mauvais état. ≫

Elle reprit son bout de papier, écrivit quelques mots supplémentaires puis appela quelqu’un. Aussitôt, quelque chose arriva dans la pièce. La créature était trapue, et recouverte d’une sorte de combinaison. Il saisit la table à roulette où j’étais installée, puis commença à m’emmener vers Sébastide. Madame Mengel nous suivait. Sur mon chemin, je pus observer de multiple portes, peut-être une vingtaine. Derrière elles, je pouvais souvent entendre des gémissements, des grattements. Derrière certaines, il semblait y avoir plusieurs personnes. Comment un bâtiment aussi grand avait pu rester caché, même au sein de la Faille ?

Enfin, je fus acheminée dans une grande salle blanche. Celle-ci contrastait énormément avec le reste du bâtiment. Elle semblait propre, pure. Néanmoins, au centre, se trouvait une gigantesque table d’opération. Un tuyau partait de dessous la table pour se jeter dans une rigole, elle-même se terminant dans une évacuation. Le long, des traces oscillant entre le jaune terne et le marron foncé ne laissaient rien présager de bon. Je frémissais à l'idée de la quantité de sang qui avait coulé par là à chaque opération et que personne n'avait jamais réussi à laver complètement.  Dans un coin de la pièce, me fixant, bougeant uniquement la pièce pour suivre mes mouvement. Il portait une combinaison intégrale en ce qui semblait être du cuir rouge. A son ensemble pendait de nombreux instruments qui réfléchissaient à qui mieux mieux la lumière de la salle. Leur vue me provoqua un sentiment d'angoisse que je ne soupçonnais pas possible, se rajoutant à l'effroi que je ressentais jusqu'à présent. Cherchant à détourner mon regard de mes futurs outils de torture, je levais les yeux vers le visage de cet homme. Seul son nez, long comme celui d'un corbeau, était vraiment visible. Sa bouche et son crâne étaient recouvertes de tissus. Quant à ses yeux, ils étaient masqués par d'épaisses lunettes. Sur l'une d'elles, deux lentilles grossissantes étaient raccordées grâce à des petites tiges métalliques.

 ≪ Alors tout va bien, j’ai examiné tout son corps et elle ne présente aucune blessure sérieuse si ce n’est à l’épaule, mais rien de trop grave.
— Très bien. Laisse-nous seuls maintenant Sofia.
— Attendez, Monsieur Hordefeu.
— Oui ?
— Je me dois de vous prévenir qu’il y a peut-être des intrus dans le laboratoire.
— Les portes ont été fermées ?
— Oui.
— Très bien, dans ce cas enclenche les fermetures hermétiques de la chambre opératoire. Je ne veux pas être dérangé. ≫

La femme quitta les lieux sans même se retourner, me laissant seule avec cet homme. Il s’approcha de moi, caressa ma joue. Il m’inspecta, promenant ses lunettes partout sur mon corps. Il resta longtemps sur mon épaule.

 ≪ Eh bien, eh bien, eh bien… Voilà quelque chose qui doit bien te faire souffrir, ma pauvre enfant. Mais ne t’inquiètes pas. Toi et moi allons trouver un intérêt commun à cette rencontre fortuite.
Connais-tu la pierre qu’on appelle obsidienne ? demanda-t-il. C’est une pierre très lisse, noire et extrêmement résistante. Elle donne son nom à une race de monstres, l’Etrobsi. Leur peau est semblable à l’obsidienne, noire, lisse, sans la moindre imperfection. Ils résistent aux chocs les plus terribles, mais ont une force… limitée. Depuis quelques temps, je tente de créer un croisement entre l’Etrobsi et une autre espèce. Les humains se sont révélés très insatisfaisants. Et je crois avoir trouvé… Normalement, les elfes ne se laissent pas attraper. ≫

Il alla ensuite chercher une sorte de tissu, qu’il imbiba d’un liquide étrange, puis il revint vers moi à nouveau en se rapprochant lentement.

 ≪ Les Elfes ont de grandes aptitudes magiques. Leur organisme est très différent des autres humanoïdes. C’est pourquoi je suis convaincu que cette fois… Ça marchera.”

Les souvenirs de Luxien ont surgi dans mon esprit et des larmes ont commencé à couler le long de mes joues.

≪ Non… non… non. ai-je imploré. Pas ça, s’il vous plait… Je vous en prie non…
— Allons mon enfant… Tu seras la première… La première d’une longue lignée de créatures dominantes. ≫

Alors, il plaqua le tissu contre ma bouche. Je tentai de me débattre, mais attachée, je ne pouvais rien faire. Je ne pu qu’observer mon environnement devenir flou, voir le monde disparaître. La dernière chose que je pu entendre fut la phrase de cet homme étrange :

 ≪ Après tant d’efforts… Peut-être te voilà enfin, Obsidianne. ≫

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Littérature, Fictions / [Fiction Collective] Miderlyr - Saison 2
« le: mardi 15 octobre 2019, 22:30:35 »
Saltior
7jours avant la fin
Appartements de Saltior
Le retour de l'impératrice




Le noir. Le noir total. Des ténèbres épaisses, opaques. Et dans cet océan de noirceur, je me tenais, seul, désemparé. Quand soudain, une lumière jaillit, plus éclatante, plus éblouissante, plus aveuglante que tout ce que j’avais jamais vu. Et dans cette lumière, je pouvais enfin distinguer une silhouette, qui se transforma en corps, celui d’une personne bien connue : Zarastra. Elle me regardait, puis soudainement son visage prit une émotion de dégoût profond. Elle regarda la lumière plus loin, puis son regard retourna vers moi. Témoignant d’un dédain profond, elle se retourna puis s’en alla. Pétrifié de honte, je tentai quand même de la retenir en tendant un bras vers elle. Quand soudainement, j’entendis un rire. Ce rire. Ce rire qui des années après m’empêchait encore de dormir quelquefois. Ce rire qui pénétrait ma chair, faisait trembler mes os, et irritait mes yeux. Ce rire qui restait mon seul véritable adversaire, le seul qui pouvait me mettre à terre. Ce rire qui appartenait à la personne dont seule la pensée me tétanisait.
“Saltior , s’exclama enfin la voix moqueuse. Si tu savais comme cela me réjouit de te revoir après toutes ces années !”

Prenant sur moi pour accomplir cet effort surhumain, je me retournai pour lui faire face. Et elle était là. C’était d’elle que venait toute cette lumière : et elle ne faisait pas que la diffuser, elle était cette lumière. Ses longs cheveux blancs étaient attachés autour de sa couronne. Son visage était toujours d’une beauté surnaturelle, et ses yeux posaient sur moi un regard indifférent. Ses lèvres noires étaient retroussées en un sourire sadique, et elle arbhorrait une robe superbe, où le blanc se mêlait à l’or. Eladora Lux, impératrice éclinienne, me faisait face à nouveau. Et soudainement, tout me revint : toutes ces tortures, tous ces ordres, ces années de service pour cette femme horrible.

“Enfin te revoilà. Si tu pouvais savoir comme tu as manqué à tout le monde au palais… Mais maintenant tout va redevenir comme avant ! Tu vas revenir parmis nous, et Je vais oublier tous ces incidents malencontreux. Allez Saltior, il faut y aller.”

Soudainement, Eladora devint gigantesque. Elle me saisit de sa main blanche, et me porta jusqu’à hauteur de son visage. Et elle se remit à rire. Ce rire dément, qui ne pouvait appartenir qu’à la pire des personnes que ce monde ait porté. Et puis, posant sur moi un regard très intrigué, elle se mit à presser mon corps. A le presser plus fort, toujours plus fort, jusqu’à ce que je commence à sentir mes os se briser. Mais je ne pouvais rien faire, pas même crier. Et elle continuait de sourire, et elle continuait à me fixer.

Enfin, mon corps se relevant d’un coup, je me réveillais, dans un lit trempé de sueur. Les événements de la journée avait été durs. Je me levai, me dirigea vers une commode, et but cul sec un verre de l’alcool le plus fort que je possédais. Sur mon corps, se trouvaient de multiples cicatrices : beaucoup venaient de combats. Mais les autres… elles se différenciaient immédiatement du reste. Elles étaient droites, à motifs, et extrêmement nombreuses. Eladora était incapable de blesser un être qui n’appartenait pas à son espèce. Sauf que me voir souffrir lui procurait un plaisir immense, cruel. Demander à ses sujets de me torturer devant elle ne l’avait jamais dérangé, au contraire, cela la détendait. Je n’étais pas un esclave, j’étais un jouet. Mais tout cela était loin derrière, mais malgré tout si proche…
Jamais Zarastra ne devait savoir comme cela m’avait marqué. Je serrai les poings : perdre ma valeur à ses yeux signifiait perdre ma valeur tout court. Et je préférais la mort à ce destin.

Les événements de cette journée avaient été longs et pénibles : malgré tout, elle avait très bien commencé, le rebelle nous avait révélé l’endroit où il se cachait avec ses alliés. Je l’ai alors laissé, en bien piteux état, mais il pourrait toujours servir. J’avais alors demandé à des hommes de surveiller les lieux nuit et jour, après m’y être rendu pour observer que plus personne n’y était, mais qu’on avait fui dans la précipitation. Malheureusement, ces rats avaient malgré tout pensé à prendre avec eux tout ce qui pourrait nous donner des informations sur la rébellion. Néanmoins, ils avaient laissé différentes potions, ainsi que quelques objets et armes magiques qui pourraient se révéler indispensable. Et la surveillance avait payé : nous avions capturé un rebelle. Un Eclinien. Ce fut à moi que revint l’honneur de l’interroger, cet imbécile étant revenu le jour même, tard le soir. L’interratoire fut long et pénible : l’Eclinien refusa de me répondre, et se murait dans le silence, malgré toutes les tortures infligées. Je dois malgré moi admettre que son silence le rendait respectable, dans une certaine mesure. Mais c’est à cause de cet individu que ces souvenirs sont remontés…
Il n’était plus qu’une ruine en cet instant. J’avais arraché tous les ongles de ses mains, il lui manquait quelques dents, quelques un de ces doigts avaient été brisés, et il était couvert d’échymoses. Il m’a alors regardé, et m’a jeté une lueur de défi. I Pour la première fois, il a alors commencé à parler :
“C’est donc vous Saltior Tellardet… l’esclave des Ecliniens hein ?
- Je vois que ma réputation me précède
-J’espère que vous garderez un bon souvenir de notre très chère tyranne…
- Aussi exécrable que vous visiblement. Toujours en vie ?
- Vous savez comment elle est… Increvable. Intouchable.
-Malheureusement…
-Empathis Memoriae.”

En entendant ce sort, je me suis précipité sur lui. Aussitôt son regard a changé. Ce n’était plus que du défi. C’était bien plus que cela. Pris d’une rage folle, j’ai commencé à le frapper, encore et encore, sans retenir mes poings. Après l’avoir salement amoché, je l’ai jeté au sol
“Vous croy… vous croyez vraiment, m’a-t-il lancé, que j’aurais été assez….stupide…. pour aller chercher ces objets après notre fuite ?”

Puis il s’est évanoui. Sa condamnation ne tarderait pas, et j’allais veillé à être le bourreau. Mais ces mots, ce sort… Ce serait un piège ? Ce serait lié au cauchemar. Peu importe ! La rébellion prendra fin, et Zarastra dominera...

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Littérature, Fictions / L'univers Vaati
« le: lundi 14 octobre 2019, 22:57:05 »
Bon, j'ai décidé de prendre une pause, peut être définitive ou pas, avec Corterra parce que clairement, je n'arrive plus à me mettre à fond dedans. Du coup en ce moment j'ai commencé à écrire autre chose. Comme Corterra, ce sera dans un univers heroic fantasy, néanmoins ce sera dans un axe assez différent. Bref, à bientôt pour un premier chapitre de cette fiction toujours pas nommée.

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Littérature, Fictions / [Fiction Collective] Miderlyr - Saison 2
« le: dimanche 13 octobre 2019, 22:52:51 »
                     
   Alaïa
              7 jours avant la fin, fin du premier jour
                  Anciens réseaux d'égoûts
              Le début de la décadence



Bon sang, qu’est ce que c’était ? Cheiralba avait toujours semblé étrange, mais ce que j’avais vu… Était-elle une créature venue de la Faille ? Si oui, étais-je en train de m’enfoncer dans un piège ? Ce sourire…. Il semblait si naturel… Encore une désillusion ? Encore un abandon ? Une manipulation ? Jamais je ne la laisserai m’approcher, devrais-je en perdre mon épaule. Elle m’avait sauvée de la créature, certes, mais peut être voulait elle juste être celle qui me dévorerait.

Malgré tout, la présence de Syl me rassurait : elle semblait assez puissante et je ne lui portais aucun soupçon. Néanmoins, je préférais garder mes distances avec ces deux étranges femmes, bien que condamnée à rester à leurs côtés, ce à cause de cette maudite blessure ; je marchais donc nettement en arrière. L’odeur commençait à devenir insupportable, et la lampe, que j’avais déléguée à Syl, commençait à être futile : c’était comme si l’obscurité opprimait la lumière, qu’elle l’empêchait de se diffuser. Nous marchions difficilement, sans dire un mot et une certaine tension commençait à s’installer. Quiconque était resté dans les failles assez longtemps connaissait cette odeur, celle de la mort, celle des corps qui en perdent l’aspect. Cette odeur de chair en putréfaction était forte et l’on se rapprochait de sa source quand la douleur due à ma blessure commençait à être insoutenable. La douleur avait été progressive et elle était maintenant à son paroxysme. Tentant en vain de l’intérioriser, je n’ai pas été en mesure de faire un pas de plus et me suis lourdement écrasée sur le sol trempé. Le bruit de ma chute attira mes deux comparses, qui me retrouvèrent adossée contre une paroi, avec une expression de souffrance imprimée sur le visage, bien que je tentais de la réprimer. Voyant Cheiralba arriver, je tentais de me décaler légèrement, mais la douleur me rappela vite à la réalité. Je lui ai jeté un regard de défi, lui faisant face.
“Je vous en prie, dit Cheiralba en posant sa main sur mon épaule. Je ne vous veux aucun mal. Croyez-moi, je ne suis pas ce que vous pensez que je suis. Je suis persuadé que vous vous faites des illusions à mon propos.
-Vraiment, lui ai-je lancé ?”

Syl nous regardait d’un air incrédule, tentant vainement de comprendre la situation. Cheiralba m’observa longuement, puis souleva le pan de tissu qui recouvrait mon épaule. Je détournai le regard, et l’entendis pousser un soupir.
“Ecoute, m’a-t-elle dit, je te conseille de ne pas regarder. Ton épaule est dans un sale état, mais si on agit assez vite, il sera possible de la sauver.
- Ne m’approche…. pas !
- La chute a été dure pour toi. Je l'ai déjà dit. Crois moi, je ne vous ferai aucun mal. Mon unique but est de vous guérir, d’accord ? J’ai sur moi le nécessaire pour stabiliser ton état, mais je vous conseille de faire demi-tour pour rejoindre l’endroit où nous nous sommes rencontrés. Vous vous reposerez en attendant que je puisse vous guérir pleinement.C'est grâce à vous que je suis parvenu jusqu'ici. Je n'ai jamais été aussi proche de mon objectif et je vous suis redevable. Mais il est hors de question que tu continues dans cet état.
- Et qu’est ce qui me prouve que ce n’est pas un piège hein ?
- Alaïa… Je vous en prie… soyez raisonnable.

Résignée, je commençai à laisser Cheirlba panser mes plaies, quand j’entendis un petit bruit métallique. J’ai alors entendu un bruit métallique au loin. Mes oreilles commencèrent à vrombir. Mon esprit commença à s’endormir, le sons devenaient distants, les silhouettes floues. Néanmoins, je pouvais nettement sentir quelque chose me saisir le poignet. Tout alla très vite : cette chose me traîna rapidement sur le sol. Trop rapidement. Tellement que Cheiralba et Syl ne purent pas me rattraper. J’ai été entraînée dans un tuyau , tortueux et sombre. L’odeur de charogne était plus présente que jamais. Finalement, ma course infernale s’arrêta, quand ma tête tomba lourdement sur le sol. J’entendis alors une voix
“Eh bien, celle-ci est en mauvais état… Tu penses vraiment qu’il pourra en faire quelque chose ? Oh mais… une elfe. Voilà qui plaira à Sébastide. Traîne-la vers lui… Je suis sûr que ça lui plaira.”



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Jeux Zelda / [Topic Officiel] Twilight Princess (HD)
« le: dimanche 13 octobre 2019, 14:04:09 »
Après je ne suis pas du tout exigeant niveau graphismes, donc le jeu m'a paru très beau  :hap:

Même si oui, TWW est un jeu très au dessus, et clairement le Zelda dont les graphismes ont le mieux vieilli, même aujourd'hui c'est beau et chatoyant.

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Jeux Zelda / [Topic Officiel] Twilight Princess (HD)
« le: dimanche 13 octobre 2019, 12:17:38 »
BON, le jeu est terminé. Alors verdict : c'est un très bon jeu, mais il a des défauts qui l'handicapent énormément. Déjà, je ne sais pas si c'est moi, mais je trouve qu'à certains moments (notamment ceux où on doit sauter) Link n'est pas très maniable, mais c'est peut être juste mon manque de skill. Niveau scénario, le jeu se porte très bien et l'histoire se suit sans déplaisir, avec quelques retournements de situation. Midona est un personnage incroyablement bien développé, et est effectivement un des meilleurs personnages de la saga. Néanmoins, à part elle, il n'y a aucun personnage vraiment marquant dans le jeu.

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Après, le jeu a des musiques splendides, et l'ambiance du jeu est très bien gérée : les lumières sont superbes, et tous les moments qui se déroulent dans le crépuscule sont juste géniaux. En bref, c'est un jeu que j'ai beaucoup aimé, mais il ne manque pas de défauts.

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Jeux Zelda / [Topic Officiel] Twilight Princess (HD)
« le: lundi 07 octobre 2019, 22:10:13 »
Bon, je viens de terminer la quête des insectes et d'accéder à Célestia. Pour l'instant, le jeu s'en sort très bien, le passage au village oublié était juste superbe. Néanmoins, les parties entre les donjons sont clairement moins intéressantes, voir assez barbantes parfois. C'est toujours aller chez Telma, voir qui il manque, aller voir le gars, faire deux trois trucs puis enfin accéder au donjon. Quoiqu'il en soit j'ai hâte de voir ce que me réserve ce dernier donjon, et d'assister au climax du jeu.

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Jeux Organisés / L’ascension des Bokoblins (Loups Garous organisés)
« le: lundi 07 octobre 2019, 20:40:41 »



Ca y est, elles ont gagné. Après que Sentinelle ait éliminé Shern, elle saisit la main de Cap, son épouse. Elles regardent satisfaites le village, qu'elles ont réduit en cendres, puis s'éloignent paisiblement détruire un autre village. Ainsi Vaati et le Masque des amoureux s'éloignent sans un bruit.

Voilà, c'est la fin de la partie, avec la victoire du couple Sentinelle/Cap. N'hésitez pas à partager vos retours !

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Jeux Organisés / L’ascension des Bokoblins (Loups Garous organisés)
« le: dimanche 06 octobre 2019, 20:52:02 »

Le village conduit silencieusement @Anonymouslyfox au bûché. Se révèle alors le visage du Grand Sage, triste, et se laissant lentement dévoré par les flammes. Tous les villageois ont perdu leur pouvoir. Le village diminué d'avantage s'endort sans un bruit.

Rappel des participants :

Participants :
  • Cap
  • Sentinelle
  • Shern

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