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Messages - Trictus McNatret

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Musique / Vous voulez nous faire découvrir une musique ?
« le: mercredi 30 juillet 2014, 02:02:21 »
Heu... Non mais carrément. Je plussoie Nile, Leena, t'as des bons goûts. Et ce morceau, waouh. J'en ai les larmes aux yeux tellement c'est beau.

Moi, de mon côté, je lis On the Road de Kerouac, alors j'en profite pour replonger dans le bebop, et là j'suis à fond sur ça...





C'est beau.

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: mercredi 30 juillet 2014, 01:57:41 »
La vie en solitaire, ces vilains mots. Personnellement, je parle plutôt de vie en autonomie, voire d'indépendance. v.v

Je plussoie. Solitaire, ça sonne triste. D'autant plus qu'avec une coloc qui s'annonce, j'vais plus pouvoir l'utiliser. Ah parce que je sais pas si je l'ai dit mais J'AI TROUVE MON LOGEMENT AHAHAHAHA. En l'occurence, ce sera carrément une MAISON, et hyper bien située en plus. J'ai tellement hâte de m'y installer, vous pouvez pas savoir.

En ce moment, j'ai le sang qui bout, c'est horrible. Je suis coincé dans ce bide camp de vacances, sympa sans plus, mal peuplé, avec une piscine rigolote mais peu adaptée à la pratique sportive, un paysage sympa mais pas bien grand et peu de libertés à ma disposition, alors que je rêve de retrouver la ville, ses bruits, ses nuits, sa population grouillante, ses déserts sous l'éclairage des lampadaires, et la liberté, la vraie. Celle qui me fait me lever tôt mais trouver la vie belle.
En plus, j'ai des envies monstrueuses de faire des trucs. Je sais pas quoi, mais des trucs, quoi. Vraiment. Allez, plus que quelques jours et j'y échappe... Plus qu'un mois et j'suis délivré ! WOUHOU !

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: mardi 29 juillet 2014, 23:03:58 »
Après y'a les dons de moelle osseuse mais là c'est autre chose que du sang, personnellement je ne l'ai jamais fait.

Sachant que d'après l'expérience d'un pote, c'est particulièrement douloureux et éprouvant, je comprends que ce soit peu fréquent...

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Littérature, BD et séries d'animation / Je bouquine!
« le: mardi 29 juillet 2014, 14:20:32 »
Bon. J'ai maintenant confirmation d'un fait qui me semblait assez évident : avoir un PC sous la main divise par deux ma vitesse de lecture. C'est marrant parce qu'à une époque, j'avais une machine qui souffrait de ralentissement très longs et très violents, ce qui du coup m'amenait à lire devant l'ordinateur... Bah ça a été l'une des périodes où j'ai dévoré le plus de bouquin. En parallèle, par contre, j'avais une vision très limité du web, mais bon...

Bref. Du coup, j'ai fini y a pas longtemps La Peste de Camus, et heu... Waouh. C'est plutôt surprenant, comme oeuvre, et je vais expliquer pourquoi...
En 1945, une épidémie de peste bubonique a été déclaré à Oran, dans l'Algérie Française. Elle succédait à une épidémie plus sérieuse qui a eu lieu en 1944 à Alger. C'est inspiré de ces faits que Camus écrit son roman. Au début de l'ouvrage, un narrateur qui ne souhaite dévoiler son identité qu'à sa fin, s'annonce comme volontaire pour dresser une chronique d'une épidémie de peste qui s'est abattue sur la ville d'Oran (toujours dans l'Algérie française).

Au début, la lecture de la Peste m'a BEAUCOUP perturbé. Etant un grand fan de l'Etranger de Camus, je m'étais habitué à un style particulièrement sensitif et cognitif, où la narration à la première personne nous immerge dans les pensées et perceptions de Meursault ; la Peste a une écriture qui mêle la recherche d'objectivité et la quête d'une vue d'ensemble, propres à une chronique, et les impressions de son narrateur. Il en résulte qu'après avoir trouvé au début une certaine froideur au récit, on finit par sentir petit à petit l'être humain derrière sa tâche d'historien. J'ai trouvé cette façon de raconter surprenante, mais particulièrement bien pensée et maîtrisée. Un avis d'autant plus conforté par la révélation quand à l'identité du narrateur, qui m'a travaillé tout au long de la lecture avant de me sembler évidente.
Parce que, oui, la Peste est VRAIMENT bien écrit. Si l'oeuvre est plutôt dense et peut parfois prendre des longueurs, elle est aussi forte. Camus a le sens du discours, c'est indéniable : que ce soit dans les dialogues et harangues de ses personnages ou via les impressions du narrateurs, il fait montre d'un grand talent pour dessiner des idées, présenter des opinions, émettre des jugements ou au contraire inviter le lecteur à dresser ses propres opinions, avec juste des mots.
La trame est rudement bien menée, et c'est d'autant plus admirable qu'en ayant choisi de narrer les chroniques d'une épidémie de peste, l'auteur s'est engagé à un travail long et rigoureux, ayant pour but de faire le portrait d'une société entière, qu'un fléau fait évoluer sur une longue période de temps. C'est très exigeant : il le fait merveilleusement bien.
Aux passages dévoués à donner une vue d'ensemble de la ville et de la progression de la peste, s'enchaînent ceux consacrés aux protagonistes, à des personnalités individuelles qui subissent ou luttent contre le fléau. Or les personnages construits par Camus sont juste géniaux. Ils sont particulièrement bien construits et utilisés, et s'il y a une chose que j'apprécie chez Camus, c'est qu'il y a une sorte d'objectivité dans leur traitement, qui amène le lecteur à s'en dresser sa propre opinion. Mieux, les protagonistes ont tous la capacité de surprendre et d'amener à reconsidérer l'avis qu'on s'en est fait au premier abord, tant ils évoluent au fur et à mesure de l'oeuvre, et ça c'est encore un coup de maître. J'ai évidemment été particulièrement touché par le docteur Bernard Rieux ou par le très charismatique Tarrou, selon moi la figure majeure de l'oeuvre ; mais, par exemple, j'ai été plutôt surpris par le père Paneloux ou le journaliste Rambert. Le seul bémol que j'ai, c'est l'absence presque totale de personnages féminins vraiment travaillés, ce que je trouve plutôt dommage.
Enfin, je compte bien applaudir Camus pour le brio avec lequel il a su rendre son oeuvre universelle. Parce que la Peste, ce n'est pas juste une chronique fictive d'une épidémie, qui déjà est susceptible d'intéresser tout un chacun : c'est aussi tout le portrait d'une société frappé par un fléau et amenée à réagir en conséquences. La peste, ce peut être la peste noire à la sombre réputation, mais ce peut aussi être la peste brune du nazisme, qui a rongé des nations. Ca se sent quand on le lit, mais le roman ne parle pas seulement de la maladie des bubons : il y a derrière le mot de peste un sens plus large, et derrière les personnages, des idées qui ne concernent pas que les infections.

Du coup, malgré un début de lecture plein d'appréhension, j'ai fini par adorer ce roman TRES dense, mais qui au final gagne à l'être. J'en suis ressorti agréablement surpris, éprouvé mais satisfait, et positivement marqué par cette oeuvre rigoureusement travaillée, complète et particulièrement riche. Un scénario simple mais mené de main de maître, une narration ingénieuse et bien exploitée et des personnages très humains et utilisés avec brio font de la Peste un roman costaud mais formidable, que je recommande vraiment.

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Littérature, BD et séries d'animation / Je bouquine!
« le: lundi 21 juillet 2014, 20:25:37 »
Je viens de finir à l'instant le recueil de poème The melancholy death of oyster boy, de Tim Burton, traduit en "La triste fin du petit Enfant Huître" (et autre histoire). L'ouvrage est bien sûr en édition bilingue, et illustré par Burton.
Honnêtement, c'est loin d'être un ouvrage exceptionnel, mais il faut avouer que j'ai pris beaucoup de plaisir à le lire. J'aime énormément son style, très simple, concis mais ingénieux, ces petits jeux de mots sans complexes ni lourdeurs et le côté comptine de ses poèmes. Les personnages sont pour la plupart très touchants et amusants, même si leurs destins se recroisent un peu trop, la mise en page est intéressante, les illustrations mignonnes (même s'il faut avouer que Burton a raison de dire qu'il n'a jamais su dessiner :oups ) bref, l'univers de l'auteur réalisateur reste fidèle à lui-même et bien rendu, avec ce brin mordant et cette horreur enfantine qui le caractérise.
Je reproche quand même à l'ouvrage d'être moins audacieux et novateur que je ne l'espérais, et les poèmes trop courts et peu nombreux. Ca se dévore bien mais vite, et en ce qui me concerne, je suis un peu resté sur ma faim.
Loin d'être un chef d'oeuvre, The melancholy death of oyster boy reste une oeuvre agréable et amusante, qu'un fan du célèbre réalisateur peut se plaire à garder comme goodies dans sa collection. Je regrette pas mon achat, j'espère juste ne pas retrouver le ticket de caisse...

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Discussions Générales / Partagez vos rêves!
« le: dimanche 20 juillet 2014, 06:17:24 »
Bon. Ces derniers temps, je fais pas mal de cauchemars quand je réussis à m’endormir, et aujourd'hui même, j'ai passé l'aprèm entier à ne faire que ça, terrassé que je l'étais par la chaleur et la fatigue. Bon, ceux que j'avais fait alors, j'ai pas vraiment pris le temps de me les remémorer : je n'ai fait que les enchaîner.

Seulement, là, il y en a un qui vient de me réveiller et qui me perturbe pas mal, alors je vais essayer de vous retracer les souvenirs que j'en ai... A en juger le décor aux débuts de mes souvenirs dudit cauchemars, j'étais en centre-ville et le ciel était sombre, très très sombre. Ce devait être la nuit, et je crois qu'il n'y avait alors pas ou très d'éclairage artificielle style lampadaire, parce que même si je reconnaissais les lieux, il y a beaucoup de choses que je devais deviner dans l'obscurité. Je pense que je rentrais "chez moi", soit en suivant l'itinéraire entre le centre-ville et la résidence où j'habitais.
Et donc j'arrive dans LA grande place de la ville, et je vois à peine. Je sais où je suis, ça m'est familier, mais des tas de choses échappent à ma vue à cause de l'obscurité, comme je l'ai déjà dit ; et là, voilà que deux gosses viennent m'interpeller et me disent que je suis inconscient et que je fais n'importe quoi. Ils m'empoignent par les bras et commencent à me guider en m'expliquant que je me dirige droit vers "la bande" et que sans eux, je risque de gros ennuis. Je me rends compte que j'ai très peu de bagage, mais que ce que je porte sur moi est très précieux et que j'étais pressé de rejoindre les murs sécuritaires de ma chambre étudiante. Eux m'amènent sur le chemin en rigolant et en me disant qu'heureusement qu'ils étaient là parce que je suis naïf, mais j'ai l'impression que quelque chose dans leur attitude ne va pas, d'autant plus que l'obscurité s'est épaissie au point où je ne les vois plus.
A un moment, j'ai eu l'impression que quelque chose me piquait à la gorge sans savoir vraiment quoi, mais j'me suis dit que ça devait être mes sens qui me jouent un tour... Petit à petit, la lumière commence à revenir, je reconnais la longue, très longue rue qui remonte jusque "chez moi" (2/3 du trajet) et je vois enfin mes sauveurs, deux jeunes garçons, comme je l'avais deviné, tout sourire. Ils m'annoncent qu'ils sont rassurés et qu'ils vont me laisser tranquille maintenant... mais je sais pas pourquoi, quelque chose dans leur attitude m'a perturbé.
Et donc, je commence à reprendre la route que je reconnais, quand je me rends compte que malgré la lumière, ma vue déconne quand même pas mal, que j'ai très peu d'équilibre et que mon corps est lourd, raide, fatigué. J'arrive à peine à lever les bras, à parler et je marche très lentement, et ça m'inquiète. Là, je repense à la sensation de piqûre dans le cou, et je me dis que ça se trouve, les deux angelots sont des connards qui m'ont drogués, et je décide de me planquer dans les haies d'une maison pour voir s'ils reviennent récupérer leur victime une fois assommée... C'est à dire moi.
Bien sûr, je les vois revenir dans la rue en rigolant, s'attendant visiblement à me retrouver sur leur chemin. Sauf que, sûrement sur l'effet de la saloperie qu'ils m'ont inoculé, je bascule, et quand je relève la tête, abruti que je suis par le produit, c'est pour apercevoir ces deux jeunes fumiers qui s'avancent vers moi avec des mines triomphantes et des cris de joies.
Du coup, à peine capable de me lever et sûrement pas en mesure de me défendre même contre des gamins, je regarde autour de moi si y a pas de l'aide à chercher, et me rends compte que l'une des fenêtre de la maison à heu... ma droite je crois (on s'en fout) est illuminée, ouverte, et qu'une vieille dame est attablée à l'intérieur, apparemment en train d'écrire.
Du coup, je me mets à hurler des appels au secours en me traînant vers chez elle, la porte s'ouvre, j'entre, la porte se ferme et j'essaye de me redresser malgré mon état, de plus en plus alarmant. Je remercie la dame, jette un oeil à la fenêtre pour voir mes "agresseurs" me lancer de grands sourires moqueurs en me disant qu'ils vont m'attendre et que j'allais pas tarder à sortir.
Je fais alors attention à l'intérieur de la maison dans laquelle je suis, et c'est le genre fluffy fluffy, blanche et rose mais avec un ameublement et un aménagement assez moderne, beaucoup de peluches, dont certaines sont très grandes, et quelques chats. Je me dis que je suis bien tombé, je la remercie et on discute vite fait.
Sauf qu'alors que je lui demande s'il y a moyen d'appeler un taxi pour qu'il me ramène, elle insiste sur le fait qu'elle se doit de m'héberger maintenant que je suis là, et commence à me mettre mal à l'aise. La conversation est courtoise, mais la madame est de plus en plus insistante et refuse de me laisser repartir "parce que c'est dangereux dehors", même avec de l'aide. Je fais gaffe aux détails de chez elle, et là je comprends que si ses chats ne bougent pas, c'est parce qu'ils sont morts. Je commence sérieusement à me sentir mal à l'aise, d'autant plus que je découvre des tâches, discrète mais visible, de sang à diverses endroits, et je comprends pourquoi les gamins me disaient que j'allais pas tarder à ressortir.
Et j'me suis réveillé alors que j'hésitais entre ouvrir la porte et affronter la vieille, avec mes sens en vrac et mon corps qui répondait plus.

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: mardi 15 juillet 2014, 20:46:10 »
J'ai mon appart \o/ Une coloc en plus, j'en ai jamais fait avant mais bon je vois pas pourquoi ça se passerait mal. L'histoire du "on est ami au début et on se déteste à la fin" doit être exagéré j'espère :niak:

On en reparle dans un an ? 8) si tu veux, on peux commencer des paris sur celui qui tue ses colocs en dernier. Enfin je dis ça mais... L'appart que je visais nous a été violemment ninja par des locataires qui n'étaient même pas censés poser leur candidature parce que le proprio est un gros menteur, ce qui fait que je dois de nouveau en chercher un. Mais en l'occurence, j'ai une visite jeudi, donc je continue à y croire.

Et de toute façon, si j'ai rien, je suis foutu parce que j'ai genre clamé de façon très claire à la femme de ménage de mon ancienne résidence que j'étais heureux de ne plus la voir l'an prochain 8) Donc je pense pas pouvoir y remettre les pieds un jour...

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Discussions Générales / Topic Anniversaires des membres
« le: mardi 15 juillet 2014, 00:43:28 »
Joyeux anniversaire Jielash ! Que ton poing reste vif et ta gambette légère ! *s'en va dans un voile de fumée*

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: dimanche 13 juillet 2014, 19:42:23 »
Moi si. Mon rasoir électrique. Que j'ai toujours. 8l

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: dimanche 06 juillet 2014, 00:29:42 »
Hum... D_Y a raison de dire que dans ce genre de situation, il faut agir, et j'ai fait un parallèle entre deux situations incomparables dans ma dernière réponse que je n'aurais pas dû faire.
Du coup, je défends pas mal ce que tu dis sur la nécessité, dans certaines situations, d'agir quand on le peut, quitte à s'en manger une ou deux, ou au moins d'essayer d'ameuter un mouvement de foule/d'alerter une autorité concernée pour calmer le jeu avant que ça dérape.

J'avoue que quand je vois qu'un conflit éclatent entre deux partis qui se cherchent mutuellement des crosses, ça me donne plus envie de les laisser assumer leur débilité entre eux qu'autre chose. Autant un groupe de personne agressé par un autre aura ma sympathie, autant j'aurais plus de mal si ça s'attaque des deux côtés. C'est pas ce qu'il y a de plus mâture comme réflexion, et je pense que si je peux d'une manière ou d'une autre intervenir même quand ça ne me regarde pas, j'y repenserais.

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: vendredi 04 juillet 2014, 18:40:13 »
C'est quoi tous ces gens qui trouvent des apparts aussi vite ? Ils me stressent, j'ai l'impression que je vais jamais trouver, pourtant j'ai encore du temps :^^':

Et c'est chaud ton histoire Duplucky, c'est le genre de situations où tu sais pas quoi faire en général :-|

Ce que je vais dire peut paraître un peu dur, mais dans ce genre de cas, je préfère ne rien faire. Du tout. J'ai déjà tenté de m'interposer dans quelques bagarres, mais outre le fait que bien souvent, on se met en danger pour un résultat pas forcément convaincant, y a aussi le fait que bien souvent, on te reproche d'être intervenu alors que ça ne te regarde pas. Après, là c'est à part : il risquait d'y avoir mort d'homme et c'est une bonne chose qu'un mouvement de foule les ait empêché de faire une connerie. N'empêche que maintenant, je me méfie avant d'intervenir...

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: mardi 01 juillet 2014, 00:00:30 »
Moi j'ai plus cours, alors je flood pas !

Modération
Euh si ! Comment ça c'était fait exprès ? Raisons de plus pour moder ! Na !

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Pas les SDF, GKN. Ni les étudiants en lettres =(

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Discussions Générales / Restons dans le Hors-Sujet ! [Discussions libres]
« le: dimanche 29 juin 2014, 18:33:57 »
Chaud ces gens qui aiment pas les soldes. C'est trop cool, les soldes. Surtout les soldes Steam.

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Littérature, BD et séries d'animation / L'attaque des Titans
« le: vendredi 27 juin 2014, 21:13:12 »
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