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Messages - Neyrin.

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Je fais un petit saut par ici pour signaler que je suis toujours vivante. :8): Vivement les votes en tout cas !

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Plus que cinq jours avant la deadline, duellistes ! :cheers:

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Coin Artistique / Une Haine-ième Galerie.
« le: mercredi 05 juin 2019, 13:17:34 »
Supers les dessins avec la perspective ! Surtout les deux derniers, j'aime beaucoup l'ambiance que ça donne. :miou:

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Quiz Audiovisuel / Quelle est donc cette chanson ?
« le: mardi 04 juin 2019, 16:57:37 »
Ces quelques paroles ont suffi à me faire chanter. :8): C'est Cargo d'Axel Bauer.

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Débat / L'art de se faire pigeonner par le marketing Internet
« le: mardi 04 juin 2019, 16:49:28 »
De toute façon, wtf de payer 50€ par an juste pour pouvoir jouer online. Ça fait quand même cher l'option... :oups:

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Bon, après le stress des examens et les quelques semaines de latence, j'ai eu les résultats aujourd'hui !  Je suis admise en deuxième année avec plus que la moyenne et toutes les matières validées. Je suis rassurée, je ne suis pas collée aux rattrapages. Voilà, voilà.

Apparemment, ça écrème pas mal aussi en L2 donc va falloir que je m'accroche encore l'année prochaine. :hap:

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Discussions Générales / Topic Anniversaires des membres
« le: lundi 03 juin 2019, 20:21:49 »
Merci à tous pour vos petits posts, c'est super gentil. <3

Konod, le point à la fin de mon pseudo est juste là pour faire styley. :8):

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Effectivement, le thème peut paraître assez flou. Le principe même du thème est la réécriture du texte élaboré lors de la première manche ; le but n'est pas d'écrire une suite, mais de créer quelque chose de tout à fait différent. Il faut bouleverser tout ce qui a pu structurer votre premier texte, et vous interprétez cette structure comme vous le souhaitez ! Jouez véritablement avec le texte pour créer un décalage et surtout, pour que votre œuvre puisse être encore assimilée à la précédente. J'espère avoir répondu à ton interrogation, jeune combattant !

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Le départ pour la mer fut tardif, mes p'tits matelots. Les officiers de quart ont pris du retard, mais les voiles sont déployées et bien gonflées par les rafales ! Le voyage sera des plus agréables, c'est l'cap'taine qui vous l'dit. J'espère que vous n'avez pas oublié de faire un bisou sur la joue de votre maman, parce que l'aller sera peut-être sans retour. Ha ha !

Vous entendez, mathurins ? Le chant des sirènes et la mélodie des vagues ? Bah ! Vous zavez les tympans bouchés. Comment ? C'est pas l'chant des sirènes ?! Qu-... ! Tout l'monde sur l'pont, mes p'tites marinières ! Ça pisse rouge !


Que… ! Une mutinerie a éclaté sur le navire ! Bande de tête de nœuds ! Bande de traîtres et de couards ! @Great Magician Samyël ! @Aélia ! Que faites-vous ?! C’est que ça s’coupe les bras et que ça s’perce les yeux... ! V’là que deux matelots s’ramènent et qu’ils s’disputent la barre du cap’taine ! Ils sont au taquet ! Ils ont sabré notre commandant !!

Quelle boucherie... ! Braves mutins, maintenant que le cap’taine et son bulbe sont crevés, l’un de vous doit le remplacer ! Pour cela, vous devez subvertir l’action, renverser tout ce que vous avez pu imaginer lors de votre première escale ! Pour parvenir au titre de grand cap’taine du navire et transformer les traîtres en pâtée pour requins, vous devez faire apparaître dans vos œuvres les mots « mutinerie », « sabre » et « miroir » !

Que le duel commence, mathurins ! Fini la rigolade et le lourd ! Brandissez vos sabres et percez l’aut’ dans le bide !


DESCRIPTIF :

Les deux prétendants au titre de capitaine doivent subvertir l'action, renverser le personnage et/ou l'univers qu'ils ont élaboré lors de la première manche. Les mutins sont libres de choisir comment bouleverser leur premier texte : réécriture, réinvention, réinterprétation formelle du texte, modification de l'essence même du personnage, etc. Tous les coups de traître sont permis pour décapiter l'adversaire et remporter ce duel sanglant ! Sachez faire preuve d'originalité et d'imagination !

Des contraintes s'imposent néanmoins : les mots « mutinerie », « sabre » et « miroir » doivent apparaître dans les textes.



  • Tous les styles d'écriture sont acceptés.
  • Les mots obligatoires doivent être indiqués en gras dans le texte.
  • Tout retard sera pénalisé par un retrait de 0,5 points pour les premières vingt-quatre heures, puis par 2 points supplémentaires par tranche de vingt-quatre heures supplémentaires entamée, jusqu'à l'élimination du participant une fois la note de zéro atteinte.
  • Chaque texte devra comporter un titre.
  • La longueur des textes devra être comprise entre 2500 mots (environ deux pages) et 6500 mots (environ onze pages) en police 11. Des exceptions raisonnables à ces longueurs pourront être envisagées si elles se justifient par l'emploi de formes particulières.
  • Les textes peuvent être relus par une personne extérieure au concours.

Un dernier rappel pour les duellistes des mers et les officiers de quart...

Citation de:  Capitaine Synopz
Critères Généraux (12 points) :
  • Respect du thème (4 points) :
  • Langue, Style et Cohérence (6 points) :
  • Originalité (2 points) :
Appréciation Personnelle (8 points) :

Sur ce... Allez-y ! On veut voir le sang fuser et gicler ! Ha ha ha !!

Vous avez jusqu'au LUNDI 10 JUIN À 23h59, dernier délai pour rendre les œuvres de vos charmants esprits. Les textes doivent être rendus par messages privés à Synopz ou moi-même et doivent être, de préférence, en format PDF. Sur ce, les vieux loups de mer veillent à l'avancée de vos travaux.

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Comme la dernière fois, je ferai un post qui contiendra les textes de chacune des poules ! Il n'arrivera pas ce soir par contre, désolée mes petits mathurins. Concernant le thème, il sera posté plus tard dans la soirée, histoire de laisser les participants découvrir leurs corrections... :oups:

Edit : Ne riez pas, je n'avais pas été prévenue. Les textes sont à votre disposition juste en dessous, mes matelots chéris. :8):

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Mauvaise nouvelle mes p'tits mousses... L'officier de quart Neyrin a fait une erreur colossale dans l'une de ses corrections, ce qui l'oblige à la revoir dans son entièreté. Elle vous présente toutes ses excuses, shame on her. Ça lui apprendra à ne pas connaître l'histoire de tous les Legend of Zelda. De fait, les corrections seront publiées demain...

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La mienne est rendue ! :-*

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Littérature, Fictions / Écrits non contractuels
« le: vendredi 17 mai 2019, 16:44:19 »
Le troisième enfant

Les femmes ressentaient, durant une période plus ou moins longue, le besoin viscéral d'enfanter. Lorsque l'amour sincère naissait et perdurait, la partenaire s'imaginait étreindre un être fragile ardemment désiré, fruit d'une association entre deux amours partagées. Un être qui l'était jusque dans l'odeur qu'il portait, jusque dans le visage qu'il arborait. Quelle fierté pour une mère que d'avoir une telle merveille dans les bras ! Certaines affirmaient que tout cela n'était que sombres bêtises, comme si elles craignaient d'être réduites au même rang que les autres espèces. Une crainte d'être humiliées par le rapprochement entre l'humain et l'animal qui semblait pourtant évident ; chaque être humain suivait un instinct inhérent même s'il pouvait lutter contre par la raison. C'était d'ailleurs la raison naturellement présente qui poussait la femme à refuser de porter la vie, par simple souci de facilité. Voilà une décision bien confortable et agréable que de ne mettre au monde aucune progéniture ; c'était défier le dessein de la nature par fierté narcissique.

C'était du moins ce qu'elle pensait, cette femme qui ne pouvait porter aucun enfant dans son utérus. Tout cela restait du domaine du fantasme malgré elle. Elle se refusait à essuyer un nouvel échec ; un échec déchirant qui ne laissait pas de cicatrices. Elle était éprise d'une terrible jalousie envers les jeunes mères, enviait l'amour maternel et pur qu'elles pouvaient offrir à leur progéniture. Jamais elle ne pourrait le déployer, cet amour, et était condamnée à errer dans une frustration couplée à un profond désespoir.

   « Et si j'étais maudite ? avait-elle demandé un beau matin, alors que les rayons du soleil s'étaient à peine immiscés dans la chambre.

   — Ne te rejette pas la faute. Ce n'est pas une question de malédiction, avait-il répondu. Peut-être que ça finira par marcher, peut-être que nous finirons par l'avoir, notre enfant.

   — Je ne veux plus souffrir.

   — Alors comment faire pour te consoler ? »

   Elle ignorait le potentiel remède miracle ; il avait donc dû dénicher une solution pour panser les meurtrissures de sa compagne. Les psychiatres s'étaient révélés inefficaces pour vaincre la douleur qui l'enserrait. Ne sachant que faire, il avait rapporté un chaton minuscule. Il n'espérait rien obtenir de cet animal, mais il fut comme une révélation pour sa femme. Son instinct maternel avait jeté son dévolu sur cette pauvre bête qui poussait des miaulements désespérés, secouée par la faim et l'absence de chaleur. Elle l'avait posée sur son ventre – comme on posait un nouveau-né – pour l'apaiser tandis qu'elle soulageait son estomac qui criait famine. Ce petit animal fut un moyen d'adoucir la rancœur qu'elle éprouvait envers les jeunes mères, d'adoucir la souffrance qui la poignardait. Toute son énergie avait convergé vers lui, désirant construire un lien fort entre eux et, lorsqu'il avait atteint un âge où la curiosité mordante l'emportait sur la prudence, elle l'avait surveillé comme un enfant en bas-âge.

Les chats grandissaient bien plus rapidement que les humains, ce qui apporta une forme d’angoisse chez la mère adoptive. Comment gérer un enfant qui grandissait aussi vite ? Pauvre femme qui se créait tant de soucis ! Puis vint un jour où son mari, ayant émergé du tumulte de son travail, s’attarda sur la relation qu’elle entretenait avec sa précieuse bête. Il sentait que quelque chose n’allait pas.

« C’est un chat, tu ne peux pas l’élever comme un enfant. Tu ne peux pas le considérer comme tel.

— Mais je l’aime… Je l’aime de tout mon être.
   
— Je ne t’interdis pas de l’aimer, répondit-il. Je veux simplement que tu prennes conscience de la réalité. »

Ils ont parlé. Beaucoup parlé jusqu’à ce qu’elle entende raison. Elle a cessé de noyer le jeune chat sous cet amour qu’il ne rendrait jamais comme un être humain et très vite, sa rancœur endormie refit surface. Elle alimentait de nouveau le quotidien de cette malheureuse femme, ne cherchant que le bonheur d’avoir une progéniture. Elle observait désormais son animal grandir de sa terrasse. Elle l’observait devenir adulte, devenir une chatte et vivre au gré de ses envies.

La mère résignée se contentait seulement de remplir ses gamelles et changer les déjections qui venaient importuner la litière, redevenue chagrinée par l’absence d’un bébé. En cette saison qu’était l’été, la chaleur emplissait le jardin et martelait les chaises en fer forgé de la terrasse, si bien que personne ne pouvait s’y asseoir tant elles brûlaient la chair. C’était d’ailleurs pour cette raison que la femme en laissait toujours une à l’ombre ; ainsi, quand l’envie de lire et de prendre le soleil la saisissait, elle pouvait s’installer sereinement, entamer sa lecture de l’après-midi et contempler le paysage qui s’étendait face à elle. Un vaste aplat verdoyant qui trouvait sa frontière grâce au champ de tournesols qui se perdait dans l'horizon. Ces tournesols se levaient fièrement, leurs pétales jaunes déployés vers l'astre incandescent qui les galvanisait et leur conférait cette splendeur que jamais personne ne nierait.

Sous ce ciel radieux et cette température étouffante qui semblait inépuisable, la chatte avait donné naissance à trois petits. C’était une femelle avec une forte corpulence, et sa prise de poids n’avait jamais inquiété sa propriétaire jusqu’à ce qu’elle retrouve des chatons dans son séjour, dont deux décédés. Le troisième – le plus frêle et portrait craché de sa génitrice – avait survécu. La malheureuse femme comprenait bien la douleur de perdre ses enfants ; néanmoins, elle n’éprouvait aucune empathie envers son animal. La jalousie s’était même amplifiée.


(Cliquez pour afficher/cacher)

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FIN DE LA REMISE DES TEXTES | DÉBUT DES CORRECTIONS


Bien, nous y voici. Matelots, avez-vous craint le courroux de l'océan ? Avez-vous surmonté avec bravoure ses terribles épreuves ? Allons, allons cessez de mentir ! Nous, capitaines, voyons tout. La tempête était si furieuse, les vagues si déchaînées... ! Mes p'tits mousses, nous avons perdu deux braves compagnons dans cet affrontement mortel. Allons, allons ne pleurez point, séchez vos larmes... Vous faites couler les miennes. N'ayez crainte : désormais, les officiers de quart prennent le relais.


@Ptitecocotte @Yorick26 @Synopz @Jielash @Rodrigo

Officiers de quart... Sur le pont ! Oui, oui c'est à vous qu'on s'adresse. Vous maîtrisez désormais toutes les subtilités de votre travail ; les matelots comptent sur vous et votre expérience pour apprécier leurs œuvres. Néanmoins, plusieurs rappels sont tout de même les bienvenus... Ne croyez-vous point ?

  • Tous les styles d'écriture sont acceptés.
  • Les mots obligatoires doivent être indiqués en gras dans le texte.
  • Tout retard sera pénalisé par un retrait de 0,5 points pour les premières vingt-quatre heures, puis par 2 points supplémentaires par tranche de vingt-quatre heures supplémentaires entamée, jusqu'à l'élimination du participant une fois la note de zéro atteinte.
  • Chaque texte devra comporter un titre.
  • La longueur des textes devra être comprise entre 2500 mots (environ deux pages) et 6500 mots (environ onze pages) en police 11. Des exceptions raisonnables à ces longueurs pourront être envisagées si elles se justifient par l'emploi de formes particulières.

Citation de:  Capitaine Synopz
Critères Généraux (12 points) :
  • Respect du thème (4 points) :
  • Langue, Style et Cohérence (6 points) :
  • Originalité (2 points) :
Appréciation Personnelle (8 points) :



Vous avez jusqu'au DIMANCHE 26 MAI À 23h59, dernier délai pour rendre les corrections.

Les résultats seront publiés en temps voulu, et le dernier thème sera dévoilé peu de temps après l'annonce des résultats qui, espérons-le matelots, arriveront à quai à l'heure ! Sachez qu'en ce jour que sera le 26 mai, les génitrices n'auront aucune influence sur la ponctualité exigée. Sur ce, mathurins, reposez vos pieds émoussés !

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Oh, c'est triste ces abandons. C'était si bien parti à la première manche...

Reposez-vous bien Cap et Krys ! Merci d'avoir participé, et revenez quand vous voulez. :8): Concernant nos petits restants, Synopz et moi-même attendons toujours les dernières œuvres... :-*

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