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Nier : Automata
Duplucky:
Bon, la fin E est une immonde purge. Autant j'ai rigolé devant l'absurdité du truc, ce qui me fait penser que Yoko Taro, c'est quand même un génie de ouf. Autant au bout d'un moment, ça devient dur de chez dur. J'ai beau recommencé encore et encore, je meurs en boucle
(Cliquez pour afficher/cacher)juste après avoir tué Square-Enix
Au bout d'un moment, j'ai rajquit tellement j'avais mal aux poignets. :severe:
Suijirest:
Pour ceux qui ont vu (ou deviné, ce qui n'est pas dur) la fin E de NieR Automata, voici un petit travail de vulgarisation/résumé des thèmes du jeu, ainsi que la façon dont ils s'incorporent à la construction même du soft :
C'est diablement passionnant et ça me conforte d'autant plus dans ma conviction profonde que ce titre est l'une des meilleures œuvres du média, tout en n'étant clairement pas l'un des meilleurs jeux qui soient. v.v La nuance est d'importance.
Duplucky:
J'ai pas encore eu la chance de débloquer la fin E, donc je regarde pas. Mais dans un autre registre, j'avais vu cet article :
https://withaterriblefate.com/2017/04/24/where-are-the-humans-in-nier-automata/
Ca parle peut-être de la même chose mais n'ayant toujours pas débloqué cette fameuse fin, je l'ai pas lu non plus. :8):
Mais oui, le jeu a beau avoir certains défauts évidents, il a une écriture exceptionnelle qui interpelle sans arrêt le joueur. Dés l'instant où tu vas dans le désert, tu sais que t'as affaire à un jeu pas comme les autres. :^^:
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