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Écrits et tableaux

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Neyrin.:
ÉCRITS ET TABLEAUX
SOMMAIRE
ÉCRITS


* Le rouge à lèvres
* Princesse Mononoké
* Le squelette (1)
* Le squelette (2)
* Deux sandwichs au poulet et un café
* <3 Princesse Kaguya
* (poème) La rose satinée
* <3 Le mouton
* Le jeune toubib
* <3 Le troisième enfant
* Morceau de souffrance quotidienne (/!\ traite de la dépression)
* Morceau de mon quotidien : le trajet
* <3 Morceau de mon quotidien : le déjeuner
* Le judas
* (poème) Martinet noir
* <3 Les murmures du Printemps
* <3 La bête indésirable : Prologue et Chapitre I
* Léa (2017)
* (poème/chanson) Ne me quitte pas avant la fin de l'été
* La Sauvageonne du métropolitain [NOUVEAU]
ÉCRITS BREATH OF THE WILD


* O.S introductif Breath of the Wild
* <3 Aversion viscérale
* <3 Lumière endormie
* La naissance du Roi
* <3 Tir d'aile
TABLEAUX


* Cernus
* Dumoria
* <3 Le trésor de Nedrac
* Petite ruelle
* <3 Poisson-Rêve
* Yuzu & Haru
* Petites montagnes décoratives
* *Noelle cast SNOWGRAVE
* <3 Collection de miniatures
* Petite mésange (miniature) [NOUVEAU]
* <3 Bouledogue français [NOUVEAU]


BRODERIES


* Paon en fleurs
* <3 Milk Bars

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La chute inexorable de la pluie l'apaisait. Le son que produisait l'averse semblait ne jamais être semblable à un autre, si bien que cela en devenait une mélodie aux oreilles du jeune homme. De grandes flaques où iraient, une fois la tempête terminée, s'ébaudir les petits oiseaux, jonchaient le sol. Le ciel couvert d'imposants nuages noirs grondait et par moment, le jeune homme pouvait observer des éclairs se dessiner au loin. Ils traversaient le ciel avant de disparaître aussi vite qu'ils étaient apparus. Ils semblaient si lointain, qu'il crut un instant que jamais la foudre ne pourrait l'atteindre. Il aurait aimé admirer le paysage, mais la brume formée par cette averse l'empêchait de voir au-delà du bout de son nez. Si cette pluie ne s'était pas abattue sur eux, il se serait posté au bord de cette petite montagne qui surplombait une mince partie de la plaine, et aurait contemplé - peut-être des heures durant - les troupeaux de chevaux parcourir la vaste étendue verdoyante, les animaux sauvages qui paissaient sur le versant d'une autre montagne, le ciel noir moucheté d'étoiles. Il aurait écouté les murmures nocturnes, les grands mouvements silencieux des nuages et du vent qui s'engouffrait dans les feuilles des arbres. Peut-être se serait-il endormi par la suite, ne pouvant résister davantage à la fatigue qui l'écrasait.

Le souffle bruyant de l'un des chevaux le tira de ses pensées. Son regard se détacha de la pluie, et se reporta sur la jeune femme qui caressait sa monture à la robe immaculée. Sa main glissait sur son encolure, puis sur sa crinière. Elle arborait un air dépité, accentué par les cernes provoqués par son sommeil irrégulier et insuffisant. Tous deux ne parvenaient pas à dormir convenablement, assaillis par la crainte d'être attaqués durant leur sommeil. Près de quatre jours que l'épuisement s'était installé, ils avaient atteint leurs limites. Le jeune homme arrivait encore à lutter contre celui-ci, mais sa coéquipière manquait de tomber de fatigue à chaque instant. Heureusement pour eux, ils avaient trouvé refuge dans un tas de ruines sur le plateau d'une montagne. Ici, ils seraient en sécurité le temps d'une nuit jusqu'à ce qu'ils puissent reprendre la route jusqu'au village le plus proche. Là-bas, ils pourraient profiter d'un lit et de quelques jours de repos mérité, de même pour leurs chevaux.

« Zelda, je monte la garde cette nuit, dit-il.

- Hm ? répondit-elle, tirée de sa torpeur. Tu dois te reposer, toi aussi.

- Nous alternerons. »

Silence. Seul le crépitement du feu vint combler le calme qui venait de s'installer. Le ciel gronda, un éclair le traversa. Le jeune homme pouvait entendre d'ici les cerfs et les biches prendre la fuite, remuer la végétation sur leur passage. Ils devaient être une dizaine, tout au plus. Une nouvelle fois, le jeune homme se perdit dans ses pensées. Il ferma les yeux quelques secondes. Happé par l'épuisement, il se laissa porter par les songes. L'endroit était propice à un agréable repos. Dans un faible mouvement, il s'appuya contre le mur délabré avant de sombrer.

Les premiers rayons matinaux vinrent l'éblouir. Ils réchauffaient son corps endolori. A moitié éveillé, Link peinait à se situer. Ce ne fut qu'après une minute de flottement qu'il finit par se lever. Il était resté au même endroit, appuyé contre ce mur. Son sommeil n'avait pas été des plus réparateurs mais il avait recouvert assez de forces pour poursuivre le voyage jusqu'au prochain village. Le jeune homme s'étira, se redressa puis inspecta les environs. Le feu qui brûlait les fagots de bois il y avait de cela une poignée d'heures, était désormais éteint. Une légère fumée noire s'élevait jusqu'au plafond avant de se dissiper sous les coups du vent qui s'infiltrait. Zelda était couchée sur le flanc près du bois calciné, plongée dans un profond sommeil.

Personne n'avait monté la garde cette nuit, une aubaine qu'ils n'aient pas été attaqués ou dépouillés de leurs vivres et armes. Il en restait à peine pour subsister ne serait-ce que deux jours. Ce village, ils devaient le rejoindre de n'importe quelle manière. Le jeune homme poussa un long soupir et mit un pied hors de leur refuge de fortune. Le plateau de la montagne baignait sous la lumière du soleil matinal, l'herbe était humide et des flaques jonchaient le sol. Par moment, l'ombre d'un nuage s'y reflétait. Les oiseaux s'égosillaient dans les arbres à proximité. C'était le meilleur moment pour observer la nature se réveiller. Désireux de profiter de quelques minutes de tranquillité et de solitude, il s'installa au bord de la montagne pour contempler le ciel orangé, les chevaux sauvages en contre-bas et le versant de la montagne opposée.

Si le jeune homme avait pu choisir, peut-être n'aurait-il pas choisi cette vie. C'était ce à quoi il songeait lorsqu'il observait le monde autour de lui, lorsqu'il était livré à ses pensées. Peut-être aurait-il préféré ne pas être fils de chevalier, ne pas se préoccuper de ses responsabilités et de pouvoir les fuir rien qu'en lançant son cheval au galop à travers les plaines. Voyager dans l'insouciance avec pour seul et unique objectif : traverser la contrée à la recherche d'une réponse. Laquelle ? Lui-même l'ignorait. Une réponse, voilà tout. Peut-être serait-il parvenu à la trouver, peut-être l'aurait-il trouvé sans avoir voulu la chercher.

Plus les journées défilaient, plus il sentait Hyrule trembler sous le courroux du Fléau. Lui, n'était pas encore éveillé et espérait que jamais il ne reviendrait. Malheureusement, sa résurrection semblait inévitable, qu'importe le nombre de fois où le Héros le scellait. Jamais Link n'avait souhaité être le Héros, le destin s'était abattu sur lui sans crier gare. Tout ce qu'il pouvait faire désormais, c'était supporter.

« Nous sommes préoccupés par la même chose ? demanda une voix féminine dans son dos. »

Intrigué, il se retourna pour découvrir Zelda. Combien de temps était-il resté assis ici, à contempler le paysage ? Elle vint s'asseoir à ses côtés, posa son regard sur l'horizon avant de le reporter sur lui. Elle lui adressa un sourire harassé.

« Probablement, répondit-il.

- Tu es sûr qu'il va revenir mais tu ne le crains pas, n'est-ce pas ? Tu ne crains rien, ni personne. »

C'était faux.

« Tu es confiant. Tu sais que tu sauras en venir à bout.

- Je n'en sais rien.

- Moi aussi. (elle marqua une pause) Je suis désolée d'avoir été aussi rustre avec toi, ces derniers temps... Je m'en excuse. »

Link se redressa. Il voulait mettre fin à cette conversation qui, dans tous les cas, n'aboutirait à rien. De toute façon, il n'avait jamais été enclin à la conversation. Zelda ne fit aucune remarque, elle s'y était accommodée au fil du temps. Elle, en revanche, demeura dans la même position, le regard rivé sur le lointain. Elle observait les biches à l'affût sur la montagne opposée. Tout était si paisible, que personne n'aurait pu croire un instant que le Fléau pouvait apparaître à tout moment. Elle était inquiète, bien trop inquiète. Ce voyage lui nouait le ventre tant l'anxiété la poignardait, mais ils réussiraient comme chaque siècle. Ils n'échoueraient pas. Ils n'échoueraient plus. Ils n'étaient plus seuls désormais, les autres Prodiges lutteraient à leurs côtés.
 
« Et si tout ne se passait pas comme prévu, qu'adviendra-t-il de nous ? D'Hyrule ?, avait-elle demandé. » Il n'avait pas répondu. Sûrement s'exileraient-ils ou mourraient sur le champ de bataille, mais c'était pour cette raison que Link existait : pour les protéger ou plutôt, pour la protéger.

« Je n'ai jamais eu besoin de toi pour assurer ma protection. »

Neyrin.:
Je n'ai pas trouvé l'inspiration pour une deuxième fiction sur Zelda, donc voici un texte que j'ai écrit il y a plusieurs mois de cela sur Princesse Mononoké. Je l'avais regardé une nouvelle fois et il m'a tellement plu, que je n'ai pas pu m'empêcher d'écrire un petit truc dessus. Rien de bien transcendant, mais j'ai bien aimé l'écrire.
(Cliquez pour afficher/cacher)Des bruits de pas lourds dans l'herbe fraîche et humide. Le frémissement des brins, le vent qui s'engouffrait dans les feuilles et faisait bruisser les arbres. L'égosillement des oiseaux, le cliquetis des sylvains qui s'étaient rassemblés. Une agréable mélodie, si douce et propice au repos qu'Ashitaka sentait son esprit empli d'une grande plénitude. La douleur s'était évaporée. Son bras semblait purifié de la malédiction malgré les plaques pourpres qui demeuraient. Ces marques qui proliféraient sur sa peau blanche et semblaient consumer sa chair. Elles devenaient redoutables lorsqu'un être pur, dépossédé de la haine se tenait face à lui.

Il se sentait léger et apaisé. Était-il de retour sur cette berge ? Près de cette étendue d'eau où s'abreuvait le précieux et admirable kami, Shishigami ? Il pouvait encore sentir la truffe chaude du Dieu sur sa blessure, son cœur repartir de plus belle tandis que son corps recouvrait peu à peu la vie. Il entendait encore ses pas sur la surface de l'eau qui formaient des ondes oscillantes.

Une imposante ombre se dessina sur son visage. Un souffle fort et bestial soulevait les mèches qui glissaient sur son front. Ashitaka entrouvrit les yeux. Cette sensation de légèreté s'envola, seule demeurait à présent la souffrance. Elle consumait ses muscles. La géante louve blanche, Moro, se tenait à quelques centimètres de son visage. Ses crocs étaient apparents, de la salive s'écoulait d'entre ses lèvres noires. Elle s'écarta lorsqu'une jeune fille lui caressa la joue. C'était San, celle qu'il avait protégé au village des forges, d'Eboshi et de ses soldats. Lorsqu'il avait été grièvement blessé, c'était elle qui l'avait apporté auprès de Shishigami. Elle vint s'accroupir près de lui, appuya son oreille contre son thorax pour vérifier si son cœur battait. Il était vivant, il le savait.

Sa respiration était faible et irrégulière, sa vision confuse. Il peinait à distinguer le visage de la princesse Mononoké, seulement ses lourdes boucles d'oreilles blanches qui pendaient à ses lobes. Ashitaka ne parvenait à mouvoir ne serait-ce qu'une partie de son bras. San s'approcha davantage, passa son bras derrière son dos pour le soulever et le presser contre elle. Son ventre se contractait et se relâchait au rythme de sa respiration, son souffle chaud venait effleurer le visage du jeune homme. Sa main droite vint retirer avec précaution les bandages usés qui recouvraient la malédiction qui proliférait. Il leva les yeux vers elle. Il pouvait distinguer son menton, sa courte chevelure brune et les mouvements qu'effectuaient son bras. Moro s'était éclipsée, laissant seule San avec le convalescent.

« Il a sauvé un humain, dit-elle avec rancœur. Pourquoi ? Tu méritais la vie, c'est ça.

- Je l'ignore... articula-t-il.

- Tu devrais le savoir, lâcha-t-elle d'un ton sec. (elle remonta sa manche) La malédiction a pris de l'ampleur. Il ne t'a pas guéri. »

Il était condamné, il le savait bien et avait accepté ce destin. Il ne craignait pas la mort. Le regard de San se reporta sur Ashitaka. Il ferma les yeux, se laissa bercer par les bruits qui l'entouraient. Des sons infimes qui se perdaient dans l'immensité de la forêt. Il sentait la présence des sylvains qui s'agitaient autour d'eux, l'agitation des autres esprits de la forêt. Il percevait les murmures de l'eau et du vent.

San lui caressa les cheveux de manière hésitante. Ses gestes étaient doux, comme elle le faisait avec les bêtes qu'elle côtoyaient. Elle portait le parfum de la forêt. Il se laissa porter par la tendresse qu'elle lui offrait. Sa présence lui était rassurante.

« Nii-san, tu ne crains pas cet endroit, hasarda la jeune fille sauvage. Les humains n'osent pas s'en approcher d'habitude. Ils sont perfides mais peureux.

- Tu es humaine...

- Je suis une louve ! s'écria-t-elle. »

Il sourit. San était fascinante. A présent, Ashitaka n'écoutait plus que son souffle. Elle s'était penchée, ses lèvres avaient effleuré son front. Son cœur tambourinait dans sa poitrine. Ses gestes se firent plus lents, plus doux. La princesse Mononoké, c'était ainsi qu'on la surnommait. Ce surnom lui allait à merveille. Elle le pressa davantage contre lui tandis que la fatigue l'emportait de nouveau.

Le jeune homme revint à la réalité. Il s'était assoupi quelques heures auparavant. Tout cela n'avait été qu'un rêve, un agréable rêve. Le soleil exposait ses premiers rayons au village des forges. Ils vinrent éblouir les habitants de cette terre. L'esprit embrumé, il se redressa et entreprit de se préparer. Il devait quitter le village, repartir en direction de la forêt. Ashitaka voulait la retrouver. L'image de cette jeune fille ne parvenait pas à se détacher de ses pensées. Elle était intrigante, magnifique et unique.

Il enfila ses vêtements lavés par les villageoises, sortit de la petite maison après avoir rassemblé ses affaires puis alla rejoindre un enclos où se trouvait Yakuru, un bouquetin roux dont l'agilité était impressionnante. Il était une monture d'exception, celle qu'Ashitaka ne quitterait pour rien au monde. Il le salua chaleureusement au travers de caresses.

Le village s'activait dès les premiers rayons du soleil. L'on pouvait déjà entendre le bruit des marteaux qui forgeaient le fer, les rires à gorge déployée des femmes et les cris des vachers. Le ciel perdait sa teinte orangée. Ashitaka décida d'équiper Yakuru en vue de son départ. Alors qu'il resserrait le harnais autour du crâne de sa monture singulière, quelqu'un vint à sa rencontre. Une charmante villageoise qui avait la tête entourée d'un turban immaculé. Elle fit glisser ses mains abîmées par le travail acharné sur la barrière de l'enclos dans un sourire.

« Vous nous quittez déjà ? hasarda-t-elle. C'est dommage. Vous nous étiez d'une précieuse aide !

- Désolé, dit-il. Je reviendrai vous voir.

- Ne distrayez pas les femmes sur le chemin. »

Ashitaka sourit, amusé puis saisit Yakuru par les rênes pour le guider hors de l'enclos. Il ne voulait pas s'attarder. Le jeune homme grimpa ensuite sur son dos sous le regard de son interlocutrice. Elle semblait inquiète de le voir partir ainsi.

« Prenez soin de vous. »

Sur ces mots, il partit au galop et dévala la pente qui menait jusqu'à la sortie du village. Il avait confié revenir un jour aux forges, avait salué brièvement les habitants avant de passer la porte qui nécessitait dix hommes à la fois pour la soulever. A l'extérieur des murs, il s'engagea sur le terrain désolé surplombé par la forêt. Une terre désolée parsemée d'arbres calcinés. C'était l'œuvre des humains. Moro et ses enfants s'y rendaient souvent, espérant pouvoir reprendre ce territoire un jour. C'était peine perdue. Les humains ne cessaient d'inventer de nouvelles armes pour repousser les bêtes. Les sangliers perdaient la raison et bientôt, la voix du seigneur Okkoto ne serait plus écoutée par ses semblables. Peut-être en serait-il de même pour celle de Shishigami. Si ce jour venait à arriver, le déferlement de haine ne cesserait de croître dans le cœur des bêtes et ses conséquences seraient dévastatrices.

Yakuru poursuivait son ascension. Le vent s'engouffra dans la tunique du jeune homme. Au loin, l'on pouvait apercevoir l'immense forêt cabalistique qui précédait cette terre calcinée. Ashitaka scrutait l'horizon, perdu dans ses pensées. Il devait retourner à ce lac, celui où apparaissait le Dieu cerf. Il y retrouverait San, il en était sûr. Si elle ne s'y trouvait pas, alors il l'attendrait à cet endroit. Des heures, des jours s'il le fallait mais il l'attendrait. Tout ce qu'il souhaitait, c'était se libérer de l'image de cette jeune fille qui occupait son esprit.

Gaellink:
Après avoir lu tes écrits dans la fic collective j'étais curieuse de voir si tu avais écrit d'autres choses, et vu que personne n'a mis de commentaire j'ai eut envie de donner mon avis ^^

Alors déjà ton écriture est très agréable à lire, je n'ai pas vu de grosses fautes ou de coquilles (mais bon je suis pas une championne pour les remarquer  :(8: ) Que soit l'ambiance de Botw ou de Princesse Mononoké  je trouve que tu as réussi as la retrouver. Par exemple ton texte sur Botw me fait penser à certains passages dans les souvenirs avec la pluie, le doute sur soi-même, sur l'avenir, la menace de Ganon, ouaip je le trouve super :oui: et tant pis si tu ne trouve pas suite, il ne faut pas se forcer ! Et le second texte m'a redonné envie de regarder Princesse Mononoké, qui est pourtant le Miyazaki qui m'a traumatisé (je l'ai vu beaucoup trop jeune et j'en garde pas un très bon souvenir), il faudrait que je lui donne une seconde chance  :^^:

Voilà ! Hâte de voir tes prochains écrits que se soit ici ou sur la fic collective ^^

Neyrin.:
Merci beaucoup pour ton retour, ça me fait très plaisir !

Chompir:
Il y a longtemps je voulais poster par ici. Semblerais que j'ai oublié de le faire.  :oups:

J'avais beaucoup aimé ton début de fic sur BotW et comme l'a dit Gaellink, on retrouve bien les sentiment éprouvés dans un souvenir sous la pluie. Je trouve que Link est très bien décris et tu nous donnes un passé très intéressant qui lui va très bien. (Surtout avec la situation.)
Pour ta deuxième fic sur Mononoké, je la trouve très intéressante. J'avais vu le film il y a maintenant 5 ans, mais tu j'ai envie de le revoir.  :oui:
Ta description du village des forges est plutôt bien fait. (J'avoue que j'étais tellement triste de voir le moment ou le village est incendié.)
Le rêve aussi est intéressant et je trouve que tu respecte plutôt bien l'univers.  :oui:

Ça fait peut être longtemps que tu n'as pas posté ici mais j'espère que tu nous réécriras des morceaux de fic. :(8:

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