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Watching Challenge 2017 : C'est parti ! (Inscriptions jusqu'au 1er Février)

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Yorick26:
Allez je mets les derniers films qu'il me restait à voir pour finir les 40 films.


8. Un film d'Amérique latine (sujet ou réalisateur ou autre...) - Brésil : L'Etreinte du serpent : 4/10

Dernier film de mes 40 premiers films, ben ce fut laborieux et décevant. Le synopsis m'avait plu et me semblait haut perché. Pour le coup, c'est sûr il faut s'accrocher à cause du scénario et de la culture amazonienne qu'il faut intégrer au fur et à mesure. On ne comprend rien, et il semblerait qu'il faille l'assumer. Mais le format n'aide pas. J’espérais voir un film où on puisse profiter de la splendeur de la forêt amazonienne. En définitive je me retrouve avec un film en noir et blanc, ou on voit pas grand chose. Perte d'attrait immédiat. Quant au fait que les dialogues soient dans le dialecte local et parfois en espagnol, je comprends ce choix, mais il aurait fallu parfois revoir la durée d'affichage des sous-titres car une fois sur deux, ils disparaissent en un clin d'oeil et je ne sais pas ce qu'il s'y est dit. Donc voilà, c'était clairement pas un film à regarder avec la crève à 23h quand tu as envie de dormir.

25. Un film qui donne faim - Et tu fais comment pour savoir si ça te donne faim sans avoir vu le film. ;) Les Délices de Tokyo : 10/10 <3

En l'occurrence, toute la première moitié du film, je n'ai pas pu m'empêcher d'avoir faim alors que je venais de finir de manger. Une catastrophe. Je n'aime pourtant pas les haricots rouges, l'ingrédient principal de la pâte An qui est le sujet superficiel de ce film. Outre la première couche de l'histoire, ce sont les thèmes abordés qui m'ont plus sans pour autant me parler personnellement. On y évoque avec douceur et tristesse le dur thème de l'exclusion sous différentes formes, ainsi que la différence entre réussir sa vie et trouver un sens à sa vie. Les personnages sont attachants et les "bad guy" peuvent se trouver dans la propriétaire ou la mère de Wakana, mais ce sont surtout les entraves imposées et surtout qu'on s'impose à soi-même qui font office de méchant à vaincre. Et tout cela vous est servi sur un fond de culture japonaise respectueuse, calme, un peu perdue et poétique. Un vrai ravissement pour le cœur.


J'aurais pas eu le temps de les 50, mais déjà j'ai réussi à faire les 40. Je suis quand même méga content.

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