Communauté > Littérature, Fictions
[Petits textes en prose ou Fadaises d'Hyrule] | Xanto01
Xanto01:
Une légende
Nos Pziens ayant vaincu l'effroyable Spectra, ils se rendirent au château Zelda pour y relater leurs aventures. Après un long récit, la princesse les félicita avant d'informer le peuple que la menace avait été éradiquée. Les festivités en hommage à nos héros durèrent trois jours et trois nuits entièrs. Ainsi durant cette période de fête on dansait, riait, et chantait la gloire de nos héros. La citadelle était plus vivante que jamais, les jeunes enfants riant et jouant, tout imitant avec des longs bouts de bois leur servant d'épée leurs idoles, les commères diffusant toutes sortes de ragots au sujet de nos héros.
Une semaine après ces festivités, Zelda convoqua nos héros à la salle du trône car, elle avait une proposition qui pouvait intéresser les Pziens. C'est ainsi que vinrent nos Pziens, tous s'étant adapté à leur nouveau de style et d'ailleurs certains se firent plus remarquer que les autres. C'est d'ailleurs comme ça que Nobody fit son entrée, en criant:
"Salut les gens !"
Notre archer très sur de lui était vêtu d'une élégante tunique de couleur noire, d'une magnifique cape pourpre surmontée d'une fourrure ainsi que des plusieurs bagues en or, signe de sa richesse. Les quelques Pziens présents eux, étaient abasourdis devant la tenue vestimentaire de Nobody. Ignorant les regards incrédules, Nobody s'assit alors dans le siège qu'il lui était attitré. Zelda décida de couper ce lourd silence en questionnant Nobody:
"Bonjour Nobody. Sais-tu où se trouve les autres Pziens ?
Nobody:Ben... Zelink, Midona-Hylia et 01 arrivent. Mais ils ont pris des chemins différents.
Du40: Comment ça des chemins différents ?intervint du40
Nobody: Ils font la course. Midona-Hylia a pris son cheval, 01 a pris Pyro et Zelink court sur les toits. Et moi je les ai tous poutré !dit Nobody fier de son exploit
Zelda: Voilà pourquoi j'avais des doutes aussi sujet de votre réussite... Vous..."
Zelda fut interrompu car des bruits de pas se faisaient retentir dans les escaliers. Nos Pziens ainsi que la princesse se demandèrent l'origine de ce bruit avant de voir la porte s'ouvrir, laissant ainsi entrer Zelink suivi de Midona-Hylia. Midona-Hylia accusa Zelink d'avoir triché et inversement, cette dispute durait au moins un quizaine de minutes, et c'est après cette nouvelle dispute concernant la course que nos Pziens s'assirent sans un mot. Zelda voulut parler mais elle fut une énième fois coupé dans son élan car 01 fit son entrée tout en accusant Zelink de tricherie. Finalement après cette dispute concernant encore cette course, que 01 s'assit. Zelda pût enfin leur expliquer la raison de leur convocation :
"Si je vous ait réuni ici, c'est pour vous faire part d'une proposition qui pourrait vous intéresser.
Gaellink: Une statue à notre effigie ?
Nobody: De l'or ?
01: De l'argent ?
Midona-Hylia : Des terres ?
Zelink: Des couronnes ?
Du40: Des pouvoirs ?
Zelda: Non, rien de tout cela... Je vais vous...
01: C'est nul alors ! On aurait aucun truc géniaux !
Zelda: Écoute un peu avant de faire des commentaires. Donc je disais...
Nobody: Elle a pas faux, tout ce qu'on a dit c'est des trucs méga cool !
Zelda: Laisse moi parler d'abord. Donc je vous propose de finir parti de la Garde d'élite. Qu'en pensez-vous ?
Du40: Ce serait avec honneur !
Gaellink: D'accord avec Du40 !
Zelink: Je suis mes amis !
Nobody: Comme eux !
Midona-Hylia : Pareil !
01: Ce serait un grand honneur ....mais nan merci. Je préfère les grands espaces.
Zelda: Et bien, si tout le monde s'est décidé.... Vous pouvez disposer !"
Et c'est ainsi que ce clotura cette journée qui était aussi la dernière journée où nous Pziens étaient réunis. Ils s'étaient ainsi tous réunis au soleil couchant devant le pont de la citadelle, chacun faisant ses adieux à 01. Alors que celle ci allait partir, du40 la retint en lui posant une simple question:
"Pourquoi ne pas avoir tué Ganonpow ? Je veux dire, il nous a trahi.
01: C'est mon rival, le combattre est vital pour moi comme pour lui. Le tuer serait tuer une partie de ma propre âme. Nous combattrons plein d'autres fois, tel est notre destin. Au fait ne me dites pas adieux, seulement au revoir."
Et c'est ainsi que ce termina notre histoire, chacun de nos héros exerçant leur profession. C'est sous une belle journée ensoleillée que les recrues de la Garde d'Hyrule s'entrainaient, sous le regard de leurs mentors du40 et Gaellink. Midona-Hylia et Nobody, nos archers quant à eux, enseignaient l'art du tir à l'arc. Notre mage Zelink devint quant à lui, le mage personnel de Zelda. Et quant à 01, elle errait. Telle est la légende des nos Pziens, ceux qui réussirent à battre le démon oublié Spectra. Mais ce qu'ils ignoraient, c'est que malgré cette période de paix, un nouveau mal se terrait dans l'ombre....
FIN
Midona-Hylia:
Génial! Dis-moi si je me trompe mais, il y aurait une suite à ce que je vois. En tout cas, c'est ce que laisse penser les dernières phrases.
Xanto01:
Non tu ne te trompes pas, il y aura une suite, enfin si les Pziens qui sont dans la première fic sont d'accord pour participer. Donc pour les Pziens qui ont donné leur accord pour réapparaitre dans la suite, il y a pour le moment :
-Du40
-Midona-Hylia
-Stefbad
-Zelink
-Gaellink
-Nobody
-Twilia
-Ganonpow
Midona-Hylia:
Tu peux compter sur moi pour participer! J'ai hâte de savoir ce qu'on va faire dans cette suite!
Xanto01:
LA MORT
Elle me regardait, sa longue faux d'argent pur pointée vers moi. Ses yeux d'une couleur rouge sang, semblaient à première vue dénués d'expression mais je savais qu'elle me regardait, elle m'observait avec un regard de glace, sa bouche se déformant en une sorte de sourire cruel. Car c'était mon tour, cela était écrit dans son parchemin, le parchemin qui scellait le destin de tout les mortels de ce monde. D'ailleurs dès que je lut mon nom sur son parchemin, mon sang se figea. L'angoisse montaen moi, de la sueur perla sur mon front et quelques larmes se mirent à couler sur mes joues. Bien sûr, je pensais échapper à ce triste sort en évadant mais je ne pouvais pas, mes membres refusèrent de m'obéir, tétanisés par l'angoisse croissante en moi. Elle, lisant dans mes pensées comme un livre ouvert, me torturait l'esprit et s'amusait ainsi avec mes nerfs. Elle ricanait, se moquant ainsi de moi, me pointant de son long doigt fin. Tandis qu'elle avançait doucement vers moi, je reculais, je reculais jusqu'à ce que je trouve coincé, mon dos touchant ainsi la roche dure et froide. J'étais pris au piège, pris à mon propre jeu. J'avais voulu déjouer les règles et m'approprier la puissance mais l'heure était venue, l'heure de mon jugement, le Jugement Final. Après tant d'années à avoir déjoué ses pièges, elle m'avait finalement retrouvé mais je ne voulais pas car j'avais peur d'elle, peur de la mort. Elle me dévisageait de son regard mauvais, me rappelant ainsi mon piteux état, le sang séché tachant mes vêtements lacérés. Alors que je la fixais avec appréhension, elle disparut de mon champ de vision. Je regardais alors dans toute les directions sans aucun succès, tout à coup le vent qui me fouettait le visage cessa pendant un cours instant, pendant quelques secondes interminables, c'est alors qu'un nouveau courant d'air me caressa la joue. Un cri de douleur s'échappa alors de ma gorge, un filet de sang coulait de ma joue. Alors que je portais ma main sur ma joue, un rire retentit. Un rire glacial venant à la fois de partout et de nulle part, mon cœur se mit à battre la chamade. Mon destin était scellé, de toute évidence j'allais mourir. Dans un élan de désespoir, je criais. Je criais de désespoir puis je me jetai aux pieds de mon bourreau, pleurant à ses pieds. Je m'aggripait à son longue robe d'un noir profond, implorant ainsi sa miséricorde. Elle me releva la tête d'un geste délicat avant de me sourire cette fois-ci non pas un sourire cruel mais un sourire doux. Elle entoura alors délicatement mon cou du creux de sa faux avant de me dire:
"J'ai entendu ta miséricorde, et ta seule délivrance est la mort. Telle est la clé pour te délivrer de ta haine. Adieu"
Ces derniers mots résonnèrent devant ma tête tel un écho dans une grotte. Je fermai alors mes yeux et pris une profonde inspiration nulle doute la dernière. Fièrement agenouillé, je me posais multiples questions. Suis-je vraiment prêt à mourir ? Je n'eut pas le temps de répondre à cette question, la Mort m'ayant clouer la question dans la gorge, de sa mythique faux. Je mourus alors, au bord d'un ruisseau dont les eaux apaisées se mêlait à ma chevelure, au beau milieu d'une magnifique clairière; un sourire gravé jusqu'à jamais sur mes lèvres.
FIN
Navigation
[#] Page suivante
[*] Page précédente
Sortir du mode mobile