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[Discussions libres] Parlons Jeux Vidéo !
Cap:
Hello ! Ca fait un bout de temps que je n'ai pas posté par ici, et j'ai tâté d'un paquet de jeux depuis la dernière fois.
On commence avec Sifu. Sur le papier, le jeu avait tout pour me plaire. Vraiment. J'ai essayé de l'aimer, je jure. Mais je sais pas. J'ai l'impression que le jeu est punitif pour être punitif. Après une intro où il suffit de simplement bourrer, et qui ne nous apprend aucune mécanique, on est lâché dans le premier niveau. On douille pas mal, on meurt quelques fois, ça passe, et nous voilà dans le deuxième. Et là, on se fait turbo laver.
Donc après deux heures de jeu, je comprends qu'en fait, je jouais mal, et je lance enfin le tuto. Ca y est, j'ai les mécaniques de jeu. Et je comprends qu'en fait, le jeu me demande d'apprendre les patterns pour avancer. La parry n'offre quasi aucun feedback, et j'ai compris que très tard qu'en fait, j'étais pas bien. Et surtout. A quel âge je peux passer au niveau suivant ? Quand est-ce que je suis dans la curve, et bien pour avancer ? Pourquoi le premier niveau je peux bourrer comme une teubée et ça passe, et le deuxième je me fais turbo laver ? Pourquoi le premier niveau m'autorise à passer ? Pourquoi faire des raccourcis si les emprunter me fait glisser sous la curve (à cause du manque d'xp et surtout de débloquer moins d'augment) ?
Je ne te comprends pas Sifu. Dommage. Tant pis. Peut être un jour j'aurai l'énergie de me plonger corps et âme et je reviendrai vers toi. Aujourd'hui, c'est non. Désolée.
J'ai ensuite fait Pizza Possum avec un pote. Petit jeu d'infiltration, où il faut voler de la bouffe et s'emparer de la pizza tout en haut de la montagne. C'est rigolo, on a passé une belle aprem à rigoler, les bruitages sont incroyables. C'est un peu la vibe de Untitle Goose Game, vraiment fun.
Puis j'ai joué à Storyteller. Très sympa aussi. On a une histoire à raconter, des personnages et des scènes à placer. On est assez libre de comment placer tout ça, certains puzzle sont très simples alors que d'autres demandent de pas mal penser out of the box comme on dit. Les défis sont très sympas pour ajouter quelques histoires, et certaines situations obtenues (parfois un peu par hasard), sont franchement cools et totalement inattendues. Petit puzzle game sans trop de prétention.
Et j'avoue tout. J'ai craqué pour Assassin's Creed : Mirage à sa sortie. Et je ne regrette rien. Le jeu n'invente rien, mais on a un retour à l'ancienne formule, tout en la mettant au goût du jour. On est quasi exclusivement en ville, le focus est mis sur l'infiltration et sur l'enquête. La quête principale est une mind map dans laquelle on doit enquêter pour avancer. C'est toujours un peu guidé (obligé), mais on sent qu'on est un peu plus lâché et livré à nous même. De même, on retrouve les assassinats à la Unity, dans lesquels on a notre cible, les lieux, et on doit créer nous même nos opportunités. Certains passages sont plus cinématiques, on les sens, mais c'est un plaisir de retrouver ces phases.
Assez peu de collectibles, et on a tellement de phases libres que j'ai tout simplement accepté de faire des petits détours pour les récupérer en me rendant sur les lieux de ma prochaine enquête. Les quêtes annexes sont un peu osef par contre. Enfin, j'ai un gros coup de cœur pour le pickpocket : c'est simple, efficace, et engageant ce qu'il faut. J'ai adoré me déplacer à pieds et faire les poches des gens.
Le jeu se traîne par contre le poids de l'héritage de Valhalla. Il est obligé de finir d'une certaine façon, et cette fin peut laisser sur le côté les gens n'ayant pas fait le grand frère. Mais mis à part cette dernière cinématique (et ses enjeux), l'ensemble se comprend très bien pour quelqu'un d'étranger à la série. Très contente que la licence se penche un peu sur ces pans d'elle-même qu'elle avait un peu oubliés. C'est un peu AsC 2 au goût du jour, plus moderne, moins lourd dans son gameplay (mais Ezio en moins :oups:). Franchement, j'ai vraiment apprécié mon expérience.
Et j'ai mis les mains sur le dernier jeu qui me manquait des Supergiant Games : Pyre. Je ne l'ai pas terminé. Mais il n'est pas encore désinstallé, je n'ai pas perdu espoir de le relancer un jour !
Je ne vais en dire que du bien. La DA est soignée (on reconnait la patte du studio), les musiques top, les dialogues bien écrit, les personnages biens construits. On sent la mesure de nos choix. Les phases de gameplay, les genre de match de basket (mais pas vraiment) entre les deux équipes sont bien foutues, c'est clair, maniable, on se prend bien au jeu. Franchement, le jeu est bien.
Mais je sais pas. J'ai du mal à le relancer. Comme avec tous les autres jeux Supergiant. Je ne comprends pas. Je trouve sincèrement que le jeu est bien. Mais je ne prends pas...
J'ai joué en parallèle à Battle Chasers Nightwar. Je sais pas si vous vous souvenez, il y a quelque temps, j'ai fait Ruined King. C'est le même studio. Petit voyage dans le passé, on voit bien l'évolution de la formule entre les deux jeux. On retrouve des vibes, on voit ce qui a été changé, amélioré, en grande partie pour le mieux. Je retiens surtout la suppression du bestiaire que je trouve dommage : j'aime beaucoup la mécanique de complétion au fur et à mesure, et surtout de bonus qui se débloque une fois assez d'ennemi tué. Ce n'était pas super équilibré, mais le concept est cool. Petit jeu sympathique, mais quitte à aborder la formule, je conseille bien plus aisément Ruined King
J'ai profité d'une soirée pour faire What Remains of Edith Finch. Petit jeu narratif qui retrace l'étrange destin des membres de la famille Finch. Tout se laisse suivre, et on découvre les histoires avec une curiosité parfois un peu macabre. Chacune propose ses séquences de gameplay, parfois très différentes et dépaysantes. No spoil (bien sûr), mais la dernière m'a particulièrement marquée. A la fois pour la mécanique très simple et très engageante, mais aussi par ce qu'elle raconte.
Le jeu est très court (2 heures pour le traverser), mais il nous emmène dans un drôle de voyage dont on ressort forcément un peu changé.
Et en parlant de voyage. Le dernier jeu de ma liste en est aussi un. Il me faisait de l'œil depuis un bout de temps, dans mes jeux steam. Et après du harcèlement de plusieurs personnes (certaines ne se connaissant même pas), j'ai fini par le lancer, sur un long week-end. Outer Wilds (promis, 0 spoils)
Ce jeu a réveillé beaucoup trop d'angoisses chez moi. L'immensité du vide. La liberté totale de mouvement (avec une maîtrise toute relative, surtout au début). L'inconnu. L'océan et la tempête (surtout que je suis arrivée là bas sans mon vaisseau). Surtout l'océan en fait. Encore une fois, merci à ceux qui m'ont soutenue en stream, sans vous j'aurai juste alt+f4 ma partie <3
Mais mis à part ça (qui est mon histoire avec moi-même en fait), on découvre un jeu très bien construit. C'est à nous de comprendre ce qui se passe, ce qui s'est passé et de nous fixer nos propres objectifs. C'est à nous de comprendre les règles du jeu, de les appréhender, de jouer avec pour atteindre nos buts. Le jeu nous encourage à expérimenter, à tester. Nous tromper n'est pas si grave. Il n'y a rien à perdre. Et nos réussites sont si satisfaisantes (mais si éphémères).
Tout est expliqué à qui sait chercher. Les infos sont d'ailleurs très bien réparties (parfois en plusieurs fois !), et absolument pas cryptiques. Quand on nous donne une information, c'est clair et précis. Et au fur et à mesure, on ramasse des petits bouts du puzzle qu'on essaie, plus ou moins facilement, de recoller ensemble. Et quel plaisir à la fin de voir nos hypothèses se confirmer et de constater que nos déductions étaient bonnes.
J'ai vécu des émotions très fortes. Positives, la satisfaction d'avoir trouvé, l'émerveillement face à la découverte, la curiosité d'en savoir toujours plus. Négatives, l'angoisse face à cet univers impitoyable, la frustration face à [spoilers], le désespoir face aux révélations. C'était fort. C'était intense. J'ai laissé une partie de moi dans cet univers, cherchant les solutions possibles, me remémorant les endroits qu'il me restait à explorer, là où je pourrais trouver mes réponses. Cela faisait longtemps que le jeu vidéo ne m'avait pas fait vibrer comme ça. C'était une belle expérience. C'était une belle aventure. A partager avec d'autres astronautes autour d'un feu de camp en faisant griller des guimauves.
Merci pour ce voyage Outer Wilds.
Maedhros:
Vous savez, si je ne priorise pas l'émulation, pour certains jeux il est difficile moralement de ne pas la défendre. Bon le youtuber présente des jeux qui sont aussi sur PS2, mais les grosses exclu jamais réédité (genre Fire Emblem)...
Cap:
Yo. Ca faisait longtemps ! J'ai joué à plein de trucs depuis le temps, je vais vous parler de ce qui m'a marquée principalement. C'est parti !
On commence avec Let's Revolution. Petit jeu qui reprend le concept du démineur, mais à sa sauce, avec des tricks dans le gameplay, des pouvoirs et des méchants. Si sur le papier le jeu a l'air fort sympa, j'ai un peu du mal avec l'exécution. J'ai du mal à me plonger dedans, j'ai l'impression (peut être à tort) qu'il est trop chance dépendant pour finir une run. D'autant plus avec les personnages que l'on débloque ensuite. Il m'a fait décrocher, et je n'arrive même plus à relancer une partie. Dommage (par contre, j'ai relancé le démineur classique, aïe aïe aïe).
J'ai ensuite craqué pour Backpack Hero. Si vous avez lu mon post sur les jeux de l'année, je l'ai mentionné là bas. On explore des donjons, on ramasse du loot, on affronte des monstres, et tout le sel du gameplay revient à organiser son sac à dos. Les différents personnages offrent des variations dans le principe initial. Si l'histoire est assez bateau et n'est que prétexte à faire plus de donjons, elle propose néanmoins de très nombreuses runs à thème, avec des contraintes ou des règles particulières. (Presque) Aucune run ne se ressemble, et c'est toujours un plaisir de ranger au mieux son sac à dos pour l'aventure. Je critiquerais néanmoins son système de combat et sa gradation, qui fait que les derniers étages (et boss) ne sont que des dps check. Et la très très grande variété d'objet qui implique, forcément, des objets plus puissants que d'autres. Qu'on finit toujours pas vouloir et garder aux dépens d'autres possibilités.
J'ai voulu me lancer dans un nouveau rogue lite : Have a Nice Death. On m'en avait dit du bien, et effectivement, il l'est. Mais. J'ai pas accroché. Je crois que je me refais le même syndrôme que pour Hadès. Sur ma première partie, j'ai avancé jusqu'au dernier boss de la run (oui). Maintenant, faut que je farm des runs pour avoir assez de stats pour passer. Ca m'a calmée instantanément. Aucune envie de relancer. A tel point que j'ai hésité à le refund (bon, je l'ai pas fait pour plein de raisons, mais voilà). J'ai adoré l'ambiance du titre (death corp), le gameplay et le gamefeel, mais j'ai été instantanément blasée...
Puis je suis partie sur Conv/rgence : a League of Legend Story. Le jeu où on joue Ekko. J'ai passé un très chouette moment. Le jeu se présente comme un metroidvania, mais je dirai plus un jeu action aventure en 2D. Le jeu t'indique en permanence où tu dois te rendre, et les niveaux sont plutôt couloirs. Loin d'être un défaut, cela permet de mettre en pratique le gameplay très fluide. Ekko est un plaisir à contrôler. Les boss sont plutôt chouettes, et offrent des batailles intéressantes. L'histoire est prenante, et tout est présenté pour embarquer également les néophytes de l'univers. Les connaisseurs pourront, quant à eux, chercher les clins d'oeil plus que nombreux au lore riche de LoL.
J'ai ensuite attaquée Trek to Yomi, petit jeu où on incarne un samouraï dans un jeu 2D en noir et blanc. Persuadée que j'étais que Yomi était une ville, qu'on partait simplement pour une petite balade, j'ai rapidement déchanté. Yomi, c'est les enfers. Le jeu est sombre, et nous emmène effectivement dans les tréfonds de l'enfer dans une quête rédemptrice... A sa manière. Le gameplay est exigeant, et demande un timing précis et une bonne gestion de l'attaque, de la parade et de l'endurance. Il ne serait pas tombé quelques jours avant le jeu suivant, je l'aurais très sûrement tryhard comme une débile, dans le mode de difficulté maximale où un coup pris signifie la mort.
Parlons-en du jeu suivant. Je l'attendais celui-là. Prince of Persia : the Lost Crown. J'ai eu l'honneur et le plaisir d'avoir un avant-goût du jeu, et celui-là me donnait juste envie de le croquer à pleines dents. C'était un plaisir. Sargon est ultra maniable, c'est d'un grisant de parcourir les couloirs tortueux du mont Qaf. On s'y perd (un peu), et chaque nouveau pouvoir est un prétexte à plus d'agilité de déplacement et surtout de nouvelles zones à explorer. L'histoire est un peu bateau, mais on se laisse porter jusqu'à de nouveaux affrontements corsés. Visuellement, je trouve le style très beau, et certaines cinématiques offrent des mises en scène très stylés. Tout comme certains arrières plans. Et la musique est incr, Mentrix et Gareth Coker (jtm) aux commandes, c'est ultra quali.
Et enfin, je me suis lancée dans Chants of Sennaar. J'en avais entendu que du bien, et j'étais dans un mood pour. Donc me voilà partie. C'est un petit point and click tout tranquille, où on se retrouve à parcourir les étages d'une sorte de tour de Babel. A chaque étage y vit son peuple parlant sa langue. Et à nous de comprendre ce qui s'y raconte. A partir du contexte, des phrases, des lieux, on doit se raccrocher à ce qu'on peut et essayer d'interpréter chaque symboles jusqu'à finalement arriver à tout traduire. Le jeu n'est pas très long, juste ce qu'il faut, et on se laisse embarquer par l'énigme de la langue et les énigmes environnementales pour (tenter d')atteindre le sommet de la tour.
Cap:
Hello ! Petit post pour vous parler de mes derniers jeux.
On commence avec Ghostwire : Tokyo. Oui, vous avez bien lu. Je ne sais pas trop pourquoi je l'ai lancé. Je l'avais récupéré sur Epic, et, un coup de tête, me voilà en jeu. C'est un jeu de tir à la première personne. Je ne m'attendais à aucune de ces deux composantes, et j'avoue avoir failli lâcher à ce moment. Nous sommes lâchés dans un Tokyo déserté suite à quelques folies d'un homme fou. L'ensemble de la population est devenu des esprits et des monstres peuplent la ville. Un esprit partage le corps du protagoniste, l'évitant le même sort que l'ensemble des habitants, et surtout, lui offre son moyen de défense : le tissage d'éther. A partir de ses mains il peut condenser l'énergie pour tirer les ennemis. Et bordel. C'est beau. C'est bien modélisé. Les mains sont magnifiques, et j'ai été hypnotisée par les différents mouvements qu'elles font. Et juste pour ça, je suis restée sur le jeu.
Les déplacements sont fluides. D'abord très horizontal, dans les rues au sol. Puis les compétences se débloquent et la hauteur devient également un terrain de jeu. Le monde ouvert s'ouvre d'ailleurs progressivement, et c'est très agréable. Monde ouvert ni trop grand, ni trop petit. L'exploration se fait naturellement en avançant la quête principale.
Quête principale que je trouve très mal écrite. Par trois fois, on rattrape le très grand méchant qui hahaha est très méchant et nous échappe. Par trois fois, il est urgent de le rattraper parce que son rituel de très très méchant va aboutir et ce serait la catastrophe. Bon. Voilà quoi. Le ton est tellement catastrophique qu'il en devient très léger. Même chose pour les protagonistes. Si au début l'esprit qui nous habite est franchement hostile, la coopération va vite devenir de mise. Les dialogues ne reflètent pas vraiment cette évolution. Et c'est dommage, parce que le jeu est capable de faire mieux. Les personnages se font régulièrement des petites remarques, en ramassant des objets, en faisant des courses ou en finissant un combat qui là fonctionnent et font mouche. Pourquoi les dialogues de la quête principale ne marchent pas eux ?
De même, je trouve l'ambiance assez peu exploitée. Le jeu brouille régulièrement nos perceptions, les volumes se cassant très facilement. Lors de la quête principale, cela arrive assez rarement. Par contre, certaines quêtes annexes jouent allègrement avec les codes et règles de l'univers. Ou posent des ambiances très pesantes, on parle quand même d'esprits hantant des lieux parfois bien décrépis. Mention spéciale au DLC qui se déroule dans une école un peu délabrée, où des élèves ont disparu. L'ambiance est tellement pesante, avec des objets qui changent de place hors caméra ou des petits bruits au bon endroit pour nous faire sursauter. J'ai pas pu. J'ai alt-f4, repris à l'extérieur et pas remis les pieds là bas. C'est certes l'exemple extrême, mais j'aurai aimé que le jeu joue plus avec ça. Ils en sont capables, pourquoi pas un peu plus dans la quête principale qui est, je trouve, bien molle et vide.
J'ai finalement bien apprécié. J'en attendais pas grand chose, et j'ai été happée et j'ai passé un très chouette moment. Mais j'ai cette impression que la quête principale est en dessous ce que dont le jeu est capable et aurait pu fournir. Je trouve ça bien dommage.
J'ai ensuite taté de Potionomics. Je voulais un jeu chill, où je gère ma petite boutique, je fais des potions, je grind tranquillement et voilà. Oui mais pas que en fait. Je ne m'y attendais pas, mais il y a également une gestion du temps comme dans la série des Ateliers. J'ai alors réalisé que je ne pouvais pas. Je me mets trop la pression pour tout gérer et optimiser mon temps. C'est quelque chose qu'actuellement je fuis IRL, je n'ai pas envie de le retrouver dans du jeu vidéo, du moins, pas aujourd'hui. Je passe mon tour.
Je me suis laissée tenter par Inbento, petit jeu de puzzle où on doit créer des bentos correspondant à ceux indiqués. Si au début les niveaux sont assez simples et on doit simplement superposer correctement des pièces, les mécaniques se corsent rapidement. Les derniers niveaux sont des vrais casse-têtes avec un melting-pot de toutes les mécaniques rencontrées. Puzzle game très sympa tout pipou, je recommande !
Enfin, j'ai lancé Tails of Iron. Jeu d'aventure 2D en vue de côté, le jeu raconte l'histoire d'un rat voulant reconquérir son royaume suite à l'invasion des grenouilles. Mais surtout, le jeu est dirigé par ses animations. Tout est pesant, et une animation commencée est une animation qui va se terminer, peu importe les inputs. Les combats sont donc délicats, et il faut faire attention à ne pas faire l'attaque de trop qui fera qu'on se fera frapper en retour. Mais une fois tout ça compris et intégré, le gameplay est vraiment sympa. Les combats sont plutôt variés et il y a une flopée de boss uniques. Un petit passage mou où le jeu demande de faire des allers-retours pour accumuler des ressources, mais mis à part ça, petite pépites pour qui aime le genre.
Guiiil:
En me baladant sur l'abonnement XBox PC, j'ai redécouvert RollerDrome, qui m'avait quelque peu gravé la rétine y a quelques années lors de son annonce. Bien que je n'y aie pas beaucoup joué (une heure de streaming), je trouve le jeu extrêmement fun. Par contre, jouer au clavier, c'est galère ; je compte retenter l'expérience avec une manette pour une meilleure maniabilité.
Mais du coup, la force de RollerDrome (en plus de porter le nom d'un chouette département), c'est son style visuel très Moebiusien, qui enrichit l'expérience de jeu. Malgré les défis bien "Allez, fait un meilleur score", c'est typiquement le genre de jeu qui a un bon goût de reviens-y.
Cependant, il n'y a que très peu de liens avec le film dont il a l'air de s'inspirer !
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