Soit pas jaloux Guiiil, avoir une vraie vie sociale en dehors d'Internet existe, tu vas peut-être connaitre ça un jour, qui sait
:jesors:
Ash ! Je m'apprêtais à dire la même chose, c'est dommage....
Sinon, aujourd'hui enfin, je suis allé à la plage ! Pour la première fois dans ces "vacances" !
Des amis à nous ont invité à les rejoindre pour passer la journée dans un bungalow qu'ils avaient loué dans un camps de vacances se trouvant à l'Est de la capitale. Il était certes un peu isolé. L'intérieur était pas mal, mais dehors, on se croirait au Kazakhstan. Leur plage était réputée, mais encore fallait-il l'atteindre : la distance qui la séparait du bungalow était d'à peu près 1KM (Le camps se trouvait en hauteur, et ça prenait beaucoup de temps pour descendre puis aller à la plage). On fournissait plus d'effort pour arriver jusqu'à la plage que pour nager.
Une fois dans l'eau, j'allais m'éloigner pour voir si je n'avais pas perdu "le pied", et le résultat était tel que je m'y attendais : je maîtrisais toujours la nage du petit chien, la seule que j'ai jamais pu apprendre.
Après 45minutes, je suis sorti pour manger, mais aussi pour m'allonger car j'étais fatigué.
Au retour, on a dû attendre 1h 20minutes dans un embouteillage qui n'en finissait pas à cause des 2 premiers barrages. C'était prévisible, il y avait beaucoup de monde à la plage. Arrivé au 3eme, ma tante pète un câble : trop, c'est trop !
Son mari a alors décidé de faire le cancre comme certains et de passé de l'autre côté, sens inverse, dans lequel il n'y avait que quelques voitures qui s'étaient retrouvées dans le même merdier que nous, et après avoir passé ce 3eme barrage en retournant au bon moment dans l'autre côté, soulagement : ce qu'on avait parcouru faisait le double des 2 premiers barrages réunis...(j'exagère un peu mais bon)
La fin de cette "aventure" a incité les "grands" à mettre une croix rouge sur cette plage et ils ont décidé de ne plus jamais y retourner (sauf dans cas vraiment déséspéré).
Moi, j'avais trouvé ça marrant : durant l'embouteillage des 2 premiers barrages, on parlait du "bonheur" et de sa définition propre pour tuer le temps. C'était drôle car ça permettait de voir le mari de ma tante débattre et de constater qu'il ne changera jamais : "votre raisonnement, c'est de la pure merde. Vous devriez arrêter de penser n'importe quoi, car ce que je vous dis est très sensé".
Ca leur apprendra à refuser une partie de langue au chat, ça aurait été plus amusant...