Merci Saphira, en effet les descriptions de mes personnages sont "basiques" je vais essayer d'arranger ça ! Et pour ce qui est du rythme de parution je suis à un chapitre minimum par jour ! ^^
Chapitre 14 : Briser mes chaînes. Vili, ouvrit les yeux, mais tout ce qu’elle vit n’était que ténèbres. Elle tenta de se relever mais ses jambes ne l’obéissait plus, une porte se tenait près d'elle, à 53 centimètre exactement. La Vorace rampa et la toucha, elle poussa un cri de douleur, le contact avec la porte lui avait brûlé sa main gauche.
Elle repartie au fond de sa cellule, et attendit… Elle resta ainsi jusqu’à ce qu’une lumière envahisse la salle, un bruit sourd se fit entendre puis le noir.
Une respiration sifflante mais régulière émanait de la droite de Vili.
- Qui est là ? demanda-t-elle d’une voix tremblante.
Aucune réponse. La respiration de l’inconnue se fit plus rapide.
- Qui est là ? répéta la Vorace.
Un murmure perça le silence, un mot :
- Camille…
- Camille ? ! Qu’est ce qu’ils t’ont fait ? !
- Ils vont venir te chercher… Courage…
Sur ces paroles une silhouette imposante ouvrit la porte, attrapa Vili par les cheveux et l’entraîna en dehors de la cellule.
Le trajet dura 5 minutes, 5 minutes où la Vorace ne dit mots, même pas pour exprimer sa souffrance, sa main gauche, ses yeux, ses cheveux, tout lui faisait mal.
On l’installa sur une chaise dans une salle aux murs gris, un homme d’une quarantaine d’année entra, il était brun aux yeux vert…
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Mailo sortit de sa chambre, marmonna quelques jurons Mog, et se dirigea vers la chambre de Camille il frappa a la porte mais aucune réponse.
- Tu vas sortir d’ici, fille de kupo ! s’égosilla-t-il.
Il ouvrit la porte, personne.
Mailo pris alors le chemin de la chambre de Vili, même chose, personne ne répondit. Sentant que la moutarde lui montait au nez, il partit en direction du salon Commun, endroit où les membres de la Résistance se réunissait pour boire un verre.
Sur la route le Mog rencontra ses homologues, l’un d’entre eux portait un paquet, un autre une missive. Les membres de son espèces obtenait surtout des postes à la Communication, Mailo, lui avait réussi à décrocher un travail plus captivant d’après lui. Il était un Supérieur c’est à dire qu’il dirigeait une troupe de rebelle.
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L’homme aux yeux verts gifla Vili.
- Puisque tu décides de ne rien dire je ne voie qu’une solution…
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Camille tenta de remettre de l’ordre dans son esprit, essuya sa bouche ensanglanté d’un revers de la mains, cracha du sang, s’évanouit.
Un cri retentit.
Et voilà le travail, . J'espère que vous avez devinez qui se charge de l'interrogatoire de notre pauvre Vili.