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Je bouquine !

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Brume-Ondeblois:
Tiens la trilogie des joyaux et celles des périls, voilà longtemps que je les ais lues et elles m'avaient laissé un souvenir assez mitigé.
En fait l'avis de Doutch résume assez bien ce que je pense de l'oeuvre d'Eddings ( de la partie que j'ai lu en tout cas.). On y retrouve des personnages, des situations d'un classicisme assez surprenant, mais aussi très efficace. Ce ne sont pas des livres que l'on s'ennuie à lire, et j'ai le souvenir d'un humour particulièrement burlesque par moment, surtout venant D'Aphraël et de l'éternel compagnon d'Emouchet dont le nom me fait défaut,  personnage aux réflexions aussi simpliste que tordantes.
Enfin il faudra bien que je touche à la Mallorée  et à la Belgariade puisque ce sont les oeuvres principales de l'auteur, mais au sortir des annales de la compagnie noire qui restera l'une des oeuvres de Dark fantasy les plus dense que j'ai pu lire, repasser sur de la High fantasy légère risque de me faire subir un sacré choc.

Doutchboune:
Lypphie > si tu as lu les Trilogies des Joyaux et Périls il y a longtemps, tu pourrais lire La Belgariade/Mallorée, mais il faut éviter de les lire de manière trop rapprochée. Même si les deux histoires sont différentes, il y a certains mécanismes scénaristiques qui sont proches, tout comme certains personnages. Enfin, c'est pas la même chose non plus, mais bon, on sent bien l'attache que peut avoir Eddings à son idée de l'Univers (enfin, de ses Univers).
Sinon, celui dont le nom te fait défaut, c'est Kalten. Une perle, ce Kalten, encore plus dans la Trilogie des Périls
(Cliquez pour afficher/cacher)surtout quand il va consoler Séphrénia quand elle apprend la trahison de Zalasta, cette scène, elle est énorme ! Kalten, un homme simple.  ;D

Rodrigo:
J'ai fini l'attrape coeurs, et j'ai rédigé une petite critique :

(Cliquez pour afficher/cacher)J'avais beaucoup entendu parler de ce livre, bicause il est bouleversifiant et biautiful et tout. Mais là je viens de le finir, et je ne comprends pas.

En fait, je me suis toujours demandé : pourquoi ? Pourquoi est-ce que Holden nous raconte tout ça ? Quel est l'intérêt de ce récit ? Quel est son sens ? Il veut dépeindre l'Amérique telle qu'elle était à son époque ? Il veut montrer qu'il était un rebelle incompris ? Et je n'ai jamais eu la réponse, le livre se finissant comme il commence, dans une sorte de néant.

Alors oui, le style était sûrement très audacieux à l'époque, et il faut avouer que ça se laisse lire facilement quand même, mais il y a tant de chapitres inutiles ou stupides que j'ai eu l'impression de perdre mon temps. Peut-être que cette inutilité faisait le charme du récit, permettait d'explorer la personnalité du héros, mais je n'ai pas apprécié. Dix pages pour une conversation avec une pute au téléphone, qui ne débouche sur strictement rien, et après ? On veut montrer que le héros est désespéré et tombe dans la drogue, l'alcool et la déchéance, parce que le système ne lui convient pas ? Mais c'est un gros con Holden, il n'aime rien, vraiment. Le cinéma ? Un truc à faire quand on s'emmerde, mais ce n'est pas intéressant. Les gens qui jouent bien du piano ? C'est vraiment exaspérant quand on joue trop bien. Pareil pour les acteurs. Et les filles ? Elles sont toutes connes et ne comprennent pas ses discussions hautement intellectuelles à base de " les gens c'est tous des cons".

Non franchement, je ne sais pas comment j'ai pu lire 250 pages dans la tête d'un pareil petit con, mais j'ai lu ce livre quasiment d'une traite, et y'avait pas mal de petites réflexions sympas quand même
Sinon Taiki, j'ia trouvé aussi sympa l'explication du titre, par contre j'arrivais pas à m'identifier à ce héros perso. Rien que son langage m'agaçait, avec ses "la môme" et toutes ses phrases super courtes. Et même le truc des canards en hiver, j'ai pas trop compris le trip dessus.

Maintenant, je commence le Trône de Fer  : le Bûcher d'un Roi, que j'ai enfin !

Murihoro:



Mon livre de chevet. ;D Je vous dirai s'il est bien le jour où j'aurais fini de le comprendre... C'est l'affaire de quelques années, ne vous inquiétez pas.
Le principe (si le titre n'est pas assez évocateur), c'est d'avoir retranscrit par écrit des cours donnés à Bordeaux à propos de la recherche dans le domaine des mathématiques. C'est en soi assez intéressant, parce que mine de rien, les cours au lycée (ou dans d'autres établissements scolaires, en fait) sont très larges, alors que les recherches ont lieu dans un domaine très précis, qui peut être n'avoir été évoqué que quelques minutes au détour d'une leçon. Le but de ces bouquins (c'est une série, comme l'indique "volume 3") est donc de donner une vision d'ensemble de ce qu'est la recherche mathématiques. Et je dois dire que c'est plutôt intéressant à lire, pour peu qu'on s'intéresse aux maths.

Et la vraie raison, c'est que j'ai un sujet à trouver pour un exposé à présenter en fin d'année. :niak:

Et en fait, j'ai un sujet à trouver et ça m'intéresse aussi.

Brume-Ondeblois:

--- Citation de: Doutchboune le vendredi 16 mars 2012, 09:05:56 ---Lypphie > si tu as lu les Trilogies des Joyaux et Périls il y a longtemps, tu pourrais lire La Belgariade/Mallorée, mais il faut éviter de les lire de manière trop rapprochée. Même si les deux histoires sont différentes, il y a certains mécanismes scénaristiques qui sont proches, tout comme certains personnages. Enfin, c'est pas la même chose non plus, mais bon, on sent bien l'attache que peut avoir Eddings à son idée de l'Univers (enfin, de ses Univers).
Sinon, celui dont le nom te fait défaut, c'est Kalten. Une perle, ce Kalten, encore plus dans la Trilogie des Périls
(Cliquez pour afficher/cacher)surtout quand il va consoler Séphrénia quand elle apprend la trahison de Zalasta, cette scène, elle est énorme ! Kalten, un homme simple.  ;D

--- Fin de citation ---

La phrase qui m'avais marquée à l'époque c'était une référence de ce  genre (Mon souvenir très approximatif donne évidemment une phrase moche et approximative mais que voulez vous, je n'avais pas plus de de 13 ans quand j'ai lu cette trilogie.)
(Cliquez pour afficher/cacher)Ah mais tout le monde ne pense pas dans la même langue que nous? Je pensais que c'était le temps qu'il vous fallait pour tout traduire dans votre tête qui nous rendaient plus intelligent.Bref que j'y repense, c'était bourré de références aussi burlesque qu'amusante comme
(Cliquez pour afficher/cacher)Les négociations avec les dieux trolls, c'était à mourir de rire ça Il faudra quand même que je les relise, j'ai vraiment oublié la majorité de l'histoire, et puis bon si la Belgariade est dotée du même humour, il faudra que je m'y attarde aussi.

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